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L'hétéro convaincu

Chapitre 1

Gay
Je me prénomme Tom, j’ai 29 ans. Hétérosexuel convaincu, j’ai toujours eu depuis mes premières années de jeune adulte et les après-midi que je passais le plus souvent avec mon ami David, des penchants pour l’acte entre hommes.
Il était monté un peu mieux que moi, avec une belle queue d’environ 18 centimètres légèrement recourbée vers le haut et surplombée d’un magnifique gland que j’aimais sucer. Je me rappelle que nous jouions à la console puis nous nous aventurions systématiquement sous la couette de son lit pour laisser libre court à nos découvertes physionomiques.
C’était un coup lui, un coup moi. Nos mains se croisaient sur nos manches et nos bouches passaient de longues minutes sur le sexe de l’autre dans la chaleur étouffante d’un après-midi d’été dans une chambre confinée. Je dois dire que le fait de relater tout cela me procure une petite excitation dans le bas ventre. Si je pouvais retourner à cette époque, j’en ferai bien plus c’est certain !
Nous en étions restés aux petites pipes entre jeunes hommes qui se découvrent et j’avais laissé tout cela de côté quand j’ai rencontré ma première petite amie. Le sexe avec une femme était pour moi beaucoup plus intéressant et j’avais l’impression de revenir à des choses "normales", au sens littéral du terme, m’efforçant d’effacer les souvenirs de la belle queue de mon ami.Les années passaient et les conquêtes féminines se suivaient.
J’ai rencontré ma femme, avec qui j’ai eu la chance d’avoir 2 beaux enfants, aujourd’hui âgés d’une dizaine d’années pour l’aîné et de six pour le second.Notre vie sexuelle est relativement active, et ni elle ni moi n’avons à nous en plaindre je le crois. C’est une femme un peu plus mûre que moi, arborant un physique plutôt séduisant dont je ne me plains aucunement.En ce qui me concerne, je fais partie de ces gens qui s’imposent une hygiène de vie assez stricte principalement dans mes activités sportives qui me permettent de jouir d’un physique assez avantageux. Pas d’embonpoint, des fesses fermes et musclées, des muscles saillants sans être proéminents. Un homme qui s’entretient simplement.
Une vie normale en somme.
J’avais presque entièrement occulté ces épisodes homosexuels de ma jeunesse, comme si j’en avait le devoir.Mais un jour, l’envie de tenir à nouveau dans ma main, un beau sexe bandé et de m’y attarder a fini par faire son retour à l’occasion du visionnage d’une vidéo porno mettant en scène un gloryhole. Je dois avouer que j’ai toujours eu un faible pour cette pratique, que je trouve particulièrement bandante. Voir  toutes ces bites à disposition d’une personne seule, cachée, protégée par l’obscurité de sa cabine et n’ayant qu’à s’occuper d’elles sans se soucier des hommes qui vont avec...Hmmm.
J’ai visionné bon nombre de ces vidéos, jalousant parfois les femmes que je voyais prendre leur pied à pomper des queues à la chaîne pour satisfaire leurs envies ponctuelles.Leur envie de se comporter en vraies salopes, déchaînées, sans morale, le temps d’une vidéo de quelques dizaines de minutes.
J’ai décidé de sauter le pas un jour pluvieux, lors d’une journée de travail qui se terminait plus tôt que les autres. Il y a dans ma ville un sauna gay, devant lequel j’avais eu l’occasion de passer plusieurs fois, mais jamais je n’avais eu le cran de m’y aventurer.
La peur de retomber dans un engrenage que je saurai me plaire.Ce jour-là, j’ai finalement décidé de pousser cette porte vitrée et de voir ce qui allait se passer.
Après m’être acquitté de mon droit d’entrée et écouté timidement les recommandations du patron, me voila en train de m’avancer dans l’entrée de cet établissement.Des hommes nus sont accoudés au bar et discutent tranquillement, l’ambiance me parait sympathique.Je me dirige vers le vestiaire et déverrouille mon casier. Mes gestes sont clairs et précis, comme si j’étais un habitué des lieux. Je me dévêtis et passe ma clé autour du cou, puis je m’aventure vers les douches qui jouxtent un jacuzzi occupé par quelques hommes qui me scannent littéralement de haut en bas. Ma main heurte le bouton poussoir et un jet chaud vient s’écouler sur ma poitrine, ruisselant sur mon sexe encore au repos.
Deux hommes s’installent à leur tour sous d’autres buses et se savonnent doucement en cherchant mon regard. J’ai le souvenir à cet instant d’avoir voulu donner l’impression d’avoir l’habitude et de renvoyer une certaine assurance. Je ne sais pas pourquoi. Comme si le petit nouveau allait être jeté en pâture à une meute de loups affamés.
Ma douche terminée, je décidais de découvrir davantage les lieux et marchait vers un couloir sombre. Un hammam se présentait sur ma droite, une chambre noire avec un "sling" façe à moi.Spontanément, je m’engouffrais dans le hammam en refermant la porte derrière moi. A l’intérieur, quelques hommes épars se masturbaient mollement l’entre-jambe en me regardant entrer.Je m’asseyais dans un coin et profitait de la chaleur. Mes pensées étaient en ébullition à cet instant. Je pensais à ma femme, à la raison (que je me connais toujours pas) qui m’avait poussé à venir.La porte s’ouvrit et je pus distinguer dans l’épaisse vapeur l’un des deux hommes de la douche qui venait d’entrer. Il hésita quelques secondes puis s’assit à côté de moi. Mes mains étaient posées sur mes jambes, immobiles.Au bout de quelques instants, je sentis sa jambe frôler la mienne. Je restais sans réponse.Puis son coude vint doucement taper dans mon bras. J’étais paralysé, aucun mot, aucun geste ne sortait.Finalement, sa main commença à courir sur ma jambe, puis quelques secondes plus tard, ses doigts effleuraient la peau de mon sexe.Je le laissais faire, sans mot dire.Un autre homme, resté jusque là dans le fond du hammam se rapprocha et se place devant moi, la queue à hauteur de mon visage.  Il devait avoir environ 50 ou 60 ans, bedonnant et présentait un tout petit sexe qui avait du mal à dépasser de son ventre poilu.Je me rappelle avoir eu quasiment un dégoût pour cette situation qui, il faut l’avouer, ne me plaisait pas.Devant mon immobilisme, l’homme debout se fit une raison et sortit de la pièce.
L’autre était toujours en train de me caresser le sexe, et je m’aperçus que je bandais ce qui avait l’air de plaire à mon hôte qui branlait lentement mon chibre relativement imposant. Cette situation dura 4 ou 5 minutes et s’approchant de mon oreille il me glissa un: "On y va ?" qui déclencha immédiatement une chamade dans ma poitrine.
Sans réfléchir, je me levais et m’engouffrais dans le couloir sombre qui courait vers le fond du club.Des petites pièces arborant des matelas au sol étaient alignées. Je choisissais la première qui venait et y entrait, alors que mon complice fermait la porte à clé derrière lui.L’éclairage était faible mais je distinguait bien mieux sa queue qu’auparavant. Il était doté d’un sexe d’environ 13 ou 14 centimètres, rasé et de petit diamètre. Je dois reconnaître que j’étais assez déçu à cet instant, les fantasmes masculins trottant dans mon esprit suite aux gloryhole que j’affectionnais tant  me faisaient espérer une bite énorme que j’aurai eu tout loisir de sucer et de faire jouir de ma bouche.
J’en prenais mon parti et me contentais de celle-là, dressée devant mon nez. J’étais agenouillé, les jambes écartées sur le matelas, je sentais mon anus qui tambourinait comme pour me dire qu’il voulait lui aussi être de la partie.Sans demander mon reste, j’enfournais sa bite dans ma bouche et entreprenait de la sucer.J’avais l’impression d’être une de ces femmes, honorée par ce membre masculin offert. Je m’appliquais et poussait au fond de ma bouche cette queue raide de désir.Mes aller-retour le long de ce bout de chair m’excitaient au plus au point et j’entendais mon mâle râler de plaisir, la tête basculée en arrière.
Au bout de quelques minutes, j’arrêtais mon office et me levais pour attraper une capote dans un panier mis à disposition. Je déchirais l’emballage et en équipait mon étalon.
J’avais envie d’être sa salope. Envie de sentir sa queue me pénétrer, m’élargir la rondelle.Sans hésitation, je lui lançais un: "Encule moi !" avant de me mettre à quatre pattes sur le matelas, la tête contre le mur et le cul en l’air.J’étais véritablement offert et j’attendais qu’il colle son gland contre mon cul pour le sentir m’élargir le trou de balle.Il s’introduisait sans difficulté et commençais à me limer.A ce moment, aucune pensée ne me venait. Je ne pensais plus à rien si ce n’est à cette homme en train de me ramoner le cul sur un matelas, au fond d’un couloir sombre dans ce sauna qui m’intriguais tant.
Mon complice était endurant et je ne voulais qu’une seule chose, le sentir décharger sa semence au fond de mon petit trou. Je n’avais jamais eu l’occasion de m’essayer à la sodomie, même lors de mes après-midi torrides avec David. Je crois que c’est ce qui me manquait avec le recul...
Ma tête frappait contre la paroi de la cabine au rythme des coups de butoir de mon hôte. J’étais aux anges et je prenait mon pied à fond. Un hétéro en train de se faire enculer...qu’allait on penser de moi si ça venait à se savoir ? Et ma femme qui m’attendait sagement à la maison...
Un râle plus sourd se fît entendre et je sentis sa queue se contracter et écarter ma rondelle par saccades. Ce salaud était en train de jouir ! Je pensais à cette bite plantée au fond de mon cul et qui remplissait le préservatif de son foutre chaud.A ce moment j’aurai adoré que son sperme aille se perdre au fond de mes entrailles, mais ce n’était pas raisonnable.
Mon ami attendit quelques instants, en profitant pour reprendre son souffle, puis se retira. J’étais comblé. Je venais de me faire sodomiser pour la première fois...
Bizarrement, un sentiment de honte m’envahissait et je me précipitais sous la douche pour rincer ce corps souillé.Sans m’éterniser, je me rhabillais et quittais les lieux sans traîner.
Sur le trajet du retour, je me répétais que c’était une expérience et que je ne recommencerai pas. Que c’était la curiosité qui m’avait poussé à assouvir ce fantasme mais que ce n’était pas bien. J’étais tiraillé par les remords.
Le jour où j’écris ces lignes, 4 mois ont passé. Curieusement, le souvenir de cette fin d’après-midi de janvier 2017  est toujours bien présent mais il m’excite lorsque je m’y replonge.Nous continuons à faire l’amour à un rythme assez soutenu avec ma femme, comme avant.J’en suis encore convaincu aujourd’hui, je suis un hétérosexuel convaincu...mais un hétéro qui se refera enculer ! Et cette fois par une grosse queue bien épaisse, parce qu’il n’y a rien de plus jouissif que de se faire posséder par un autre.

 TOM.
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