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Un hétéro fait sa Gaypride

Chapitre 1

Gay
La saison de la gay pride a réveillé en moi quelques souvenirs datant d’il y a 2 ans. A l’époque j’étais ce qu’on appelle un « gay friendly ». 100% hétéro tout en étant proche de la communauté, notamment au travers d’un couple d’amis homo que je fréquentais à chacun de mes passages dans la capitale. C’était ma 1ère Pride et c’est celle qui restera marquée dans ma mémoire. J’étais âgé de 30 ans cette année-là.
L’après-midi s’était déroulée dans une ambiance festive et c’est tout naturellement que nous avons pris le chemin du Marais pour passer la soirée. Les nouvelles rencontres se sont succédées au fur et à mesure de la tournée des bars que nous avions entamée. Ces derniers étaient bondés si bien qu’à plusieurs reprises je sentais des mains étrangères qui se posaient sur l’arrière de mon jean au niveau de mes fesses. Ça ne me dérangeait pas mais je ne faisais rien pour encourager la continuité de ces caresses. J’ai toujours su que mon physique attirait autant les femmes que les hommes mais l’attirance envers ces derniers n’était pas réciproque. La nuit était déjà bien avancée quand mes amis et moi avons pris la décision de rentrer dormir. Comme à chaque fois, je logeais dans leur appartement et j’avais pris soin de déplier le canapé-lit avant notre départ. Je n’ai jamais été pudique, c’est pourquoi j’ai jeté mes fringues sur le sol à peine j’avais franchi le seuil ne gardant que mon boxer sur moi et je me suis laissé lourdement tomber sur le lit pendant que mes 2 amis commentaient la journée. Je les écoutais à peine, je ne pensais qu’à dormir et j’espérais silencieusement qu’ils allaient vite rejoindre leur propre chambre. Le silence tomba mais je sentais qu’ils étaient toujours dans la pièce où je me trouvais. J’ai ouvert les yeux pour voir ce qui se passait. Effectivement ils étaient à quelques mètres de moi, ils s’embrassaient à pleine bouche. Je voyais leurs langues s’emmêler langoureusement tandis que leurs respirations s’accéléraient. Je ne les avais jamais vu s’embrasser et je ne pouvais détacher mon regard de cette scène. Ils avaient également quitté leurs vêtements pendant que je me déshabillais. L’un d’eux portait un boxer comme moi tandis que l’autre était vêtu d’un slip très moulant. Effet d’alcool ou excitation de cette vision, je ne sais pas mais je me suis mis à bander direct. Instinctivement ma main s’est posée sur mon boxer et j’ai commencé à caresser ma tige du bout des doigts sans les quitter des yeux. Leurs queues étaient dressées et je les voyais se frotter l’une à l’autre à travers le tissu qui les recouvrait.
J’étais tellement hypnotisé que je n’ai pas vu que mes 2 amis m’observaient tandis que ma main se trouvait maintenant à l’intérieur de mon boxer. J’avais empoigné fermement ma queue pour me branler doucement à demi allongé sur le canapé-lit. Je suis sorti de ma torpeur quand ils sont venus s’allonger à côté de moi, l’un sur ma droite, l’autre sur ma gauche. J’ai brusquement lâché ma queue comme l’aurait fait un enfant pris en train de voler des bonbons. Un de mes amis a ri, j’ai tourné la tête vers lui prêt à lui demander d’arrêter mais à la place de ça, c’est un gémissement de plaisir qui s’est échappé de ma bouche quand j’ai senti la main de mon autre ami se glisser sous mon boxer et attraper ma queue. A son tour il commença à me branler doucement dans un 1er temps puis en faisant coulisser ma peau de plus en plus rapidement le long de ma tige. Une seconde main se glissa sous mon boxer pour me malaxer les couilles, les faisant rouler au creux de sa paume en cadence avec celui qui me branlait. Mes yeux étaient fermés, j’ai senti une langue venir titiller un de mes tétons. J’haletais bruyamment pris d’un plaisir que je n’avais encore jamais ressenti à ce point. Les dents ont remplacé la langue sur mon téton pour le mordiller tout en tirant dessus pour le faire pointer au maximum. J’étais proche de la jouissance, je gémissais sans chercher à me retenir, mais d’un coup, tout s’est arrêté. Les mains ont quitté mon boxer et la bouche s’est éloignée de moi me laissant complétement frustré. J’ai réouvert les yeux mais je n’ai pas eu besoin d’interroger mes 2 amis pour comprendre ce qui se passait. L’un d’eux était maintenant en train de m’enlever le seul morceau de tissu qui me recouvrait encore. Je me suis laissé faire, allant même jusqu’à soulever les fesses pour lui faciliter la tâche. Mon autre ami en avait profité pour approcher sa bouche de la mienne. Voyant que je ne reculais pas il passa sa langue sur mes lèvres puis il l’enfonça dans ma bouche. Je gémis à nouveau tout en collant ma langue à la sienne. Me voilà moi l’hétéro complétement nu entre 2 hommes et en train d’embrasser l’un d’eux.
Leurs mains couraient maintenant sur moi s’attardant sur mon torse et mes tétons qu’ils pinçaient l’un après l’autre avant de les faire rouler entre leurs doigts. Une langue remontait le long de mon cou pendant que l’autre me fouillait toujours la bouche avec ardeur. J’avais perdu la tête, je ne voulais plus que ça s’arrête, j’en voulais encore et encore. Comme s’ils avaient lu mes pensées, j’ai senti leurs mains descendre le long de mon ventre pour aller caresser l’intérieur de mes cuisses. Je les ai écartées pour m’offrir complétement à leurs mains. La langue avait quitté ma bouche pour reprendre le titillement de mes tétons mais elle fut remplacée aussitôt par celle de mon autre ami. Il me goutait à son tour m’aspirant la langue entre ses lèvres de temps en temps. Il ne me fallut pas longtemps pour l’imiter et pour me mettre à sucer la sienne. Néanmoins, je ne la suçais que quelques secondes car une main s’était de nouveau refermée sur ma queue et avait entrepris de me branler à une cadence folle me faisant me cambrer soulevant mes fesses du matelas en poussant de longs cris de plaisir. Je sentais mon frein se tendre à chaque va et viens manuel.Pendant ce temps, des doigts glissaient le long de la raie de mes fesses et venaient caresser ma rondelle, pinçant la peau de celle-ci et la faisant rouler comme ils l’avaient fait avec mes tétons quelques minutes plus tôt puis ils remontaient dans ma raie avant de revenir jouer avec ma rondelle. C’est à ce moment-là que j’ai joui, inondant mon ventre avec de longues giclées de foutre. Cette jouissance avait tellement été brutale que je restais quelques minutes sans bouger, la bouche ouverte pour reprendre ma respiration. Un doigt s’est infiltré entre mes lèvres pour se coller à ma langue. Il était recouvert par quelque chose au gout salé. J’ai refermé ma bouche dessus pour le sucer et enrouler ma langue autour. Je goutais mon sperme, je savais que c’était dans mon foutre qu’il avait été tremper son doigt avant de le glisser dans ma bouche. D’autres doigts se roulaient sur mon ventre. J’ai ouvert les yeux juste au moment où ils se dirigeaient entre mes cuisses.J’arrêtais son geste en saisissant le poignet d’une main ferme. Le fait d’avoir joui m’avait certainement fait prendre conscience de ce qui se passait.
— « Arrête, je ne suis pas gay ! »Ils se mirent à rire tous les 2.— « On sait bien que tu n’es pas gay mais t’aimes le sexe autant que nous et ça fait tellement longtemps qu’on avait envie de s’amuser avec toi »
Néanmoins il n’insista pas, il se contenta de passer au-dessus de moi pour se rapprocher de son mec. J’ai roulé sur le côté leur tournant le dos car j’avais deviné qu’ils allaient baiser à côté de moi et je ne voulais pas voir ça (pour éviter de perdre la tête de nouveau ?). Très rapidement j’ai pu sentir la cadence infernale des coups de reins du couple grâce aux mouvements du matelas. Je fixais le mur devant moi quand mon regard fut attiré par le reflet de la vitre. Je voyais tout sans que mes amis s’en doutent. Ils étaient en levrette, celui à 4 pattes se cambrait pour mieux s’offrir à l’autre et accueillir ses coups de reins brutaux. Il avait la croupe maintenue par les mains de notre ami. Je devinais qu’à chaque va et viens l’autre ressortait presque sa queue entièrement pour mieux la rentrer au coup suivant. Je bandais de nouveau mais cette fois ci je ne me caressais pas, je faisais semblant de dormir pendant que leurs gémissements se transformaient en longs râles rauques pour terminer en cris de plaisir lorsqu’ils arrivèrent à la jouissance finale. Ils se laissèrent tomber sur le matelas et le silence s’installa me plongeant dans un profond sommeil. Je ne me doutais pas de ce qui m’attendait au réveil..
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