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Hétéro séduit

Chapitre 2

Gay
Hétéro séduit
Ivan m’avait laissé son n° de téléphone mobile. J’ai souvent hésité à le rappeler. Le souvenir de cette soirée avec lui me revenait sans cesse et me brûlait intérieurement. J’avais joui comme je ne l’avais jamais fait avec les femmes et la vision de son corps élancé, bien dessiné, la peau couleur de miel, avec juste la trace blanche du slip, hantait mes nuits. Je ne comptais plus mes masturbations nocturnes et je maculais régulièrement mes draps. Surtout un fantasme me venait : être à mon tour et pour la première fois sodomisé par ce bel éphèbe. Le dimanche suivant, désœuvré et n’y tenant plus, je l’appelais. Il était chez lui et libre ; Déjà le fait d’entendre sa voie me provoquait une érection. Je lui proposais de le prendre chez lui et de l’emmener en forêt, pour une ballade, ce qu’il acceptait. Je me douchais soigneusement, usant d’un savon parfumé, m’aspergeait de mon eau de toilette et décidais de le rejoindre sans sous-vêtement. J’enfilais juste un short de coton beige directement sur la peau et une chemisette blanche. Une demie heure plus tard je sonnais à sa porte. Il descendit et me rejoignit dans ma voiture. Il portait un short moulant rouge et un marcel bleu marine qui mettait en valeur ses pectoraux et dégageait bien ses épaules. Dès le démarrage, sa main gauche vint caresser ma cuisse droite, puis palper mon sexe au travers du tissu. « Mais tu ne portes pas de slip aujourd’hui » dit-il avec un large sourire. Je piquais un fard. C’est fou ce que je redeviens gamin en présence de ce jeune mec. Je parvins à lui répondre d’une voix étranglée : « tu me rends fou ».J’arrivais sans encombre, malgré mon trouble, dans la forêt et recherchais un chemin peu fréquenté pour y garer ma voiture. Avec Ivan, nous sommes partis à pied, par des sentiers à peine tracés, pour trouver un coin tranquille. Parvenus dans une étroite clairière ombragée et tapissée de feuilles mortes, nous avons fait halte et nous sommes étreints avec force, en échangeant un baiser profond.Reprenant mon souffle, je l’ai déshabillé en un tour de main, puis il m’a à son tour dessapé. A poils tous les deux, nous nous sommes étendus sur le feuillage et il a commencé à me caresser le sexe de la base au prépuce, avant de tirer sur celui-ci pour dégager mon gland. Il y a alors porté ses lèvres, l’enserrant, tandis que sa langue titillait le méat et léchait le gland. J’ai senti le sang monter dans ma hampe qui s’est dressée rapidement dans sa bouche. Ma femme ne m’avait jamais fait de fellation et je n’aurais même pas osé le lui demander. L’une de mes maîtresses avait bien essayé, mais avec une telle répugnance que cela avait tourné court.Cette fois, dans la bouche d’Ivan, c’était génial. Ma verge était gonflée et dure comme du bois, développant ses 20 cm ; mes couilles étaient rétractées en boules compactes et je sentais le plaisir monter et m’envahir tout entier. Les mains crispées dans la chevelure bouclée de mon jeune ami, je commençais à faire d’amples mouvements de va et vient dans sa bouche, pénétrant jusqu’à sa glotte. La jouissance est venue plus vite que je n’aurais voulu et j’ai éjaculé dans cette bouche chaude et douce en trois longs jets de sperme, en jetant un grand cri de libération, de victoire et de joie. Sans hésiter Ivan a tout avalé et m’a encore soigneusement nettoyé le gland et la verge de toute trace de sperme, avant de m’embrasser sur la bouche avec passion. Provisoirement apaisés, nous sommes restés couchés, côte à côte, dans le silence du bois, effleurés par une brise rafraîchissante. Mais mon fantasme était toujours présent à mon esprit et mon sexe repris vite de la vigueur à cette évocation et à la contemplation de ce corps masculin tout près du miens. Je me mis à mon tour à lui faire une fellation appuyée pour le mettre en condition, salivant abondamment pour bien lubrifier son vit et m’appliquant à l’exciter par des caresses sur les fesses et les seins. Ivan répondit à ces gestes par une superbe érection et l’une de ses mains vint explorer mon fion. Je sentis un doigt s’introduire dans mon œillet et tourner doucement pour le détendre. J’étais de nouveau tout échauffé, gémissant de plaisir, aspirant de tout mon être à être sodomisé par ce superbe sexe, raide et vibrant sous mes lèvres. Un aveu m’échappa : « prends moi, viens en moi, possèdes moi, je t’en prie ». Ivan dégagea son sexe, se releva et me fit lever, puis me demanda de m’appuyer des deux mains sur le tronc d’un arbre proche, les jambes bien écartées, le cul tendu en arrière. Le cœur en débandade, suant à grosses gouttes, abandonnant tout mon orgueil de mâle hétéro, je m’exécutais. Je sentis sa langue parcourir ma raie, puis lécher ma pastille, enfin y pénétrer doucement. Il salivait beaucoup, puis glissait à nouveau un doigt et l’enfonçait profondément. Lorsqu’il glissa un second doigt je me crispais de crainte de la douleur, mais il passa sans problème. Au troisième doigt, j’eu un peu mal et gémis. Ivan se retira alors pour à nouveau me lécher le cul en salivant et bien me lubrifier. Mon sphincter s’étant distendu et mon œillet ouvert, je le sentis passer sa verge sur ma raie, puis appuyer son gland contre mon trou. J’étais maintenant prêt à tout et il le ressentit. Soudain il força un peu et doucement son gland s’enfonça dans mon cul, écartant le sphincter. Je ne ressentis qu’une faible douleur, très vite transformée en plaisir lorsque le vit d’Ivan remplit mon cul et commença à le labourer. Son gland venait régulièrement heurter ma prostate et sa verge glissait contre mes viscères, comme dans du beurre. Ses burnes heurtaient mes fesses en cadence et ses deux mains caressaient mon ventre. Mon corps n’était plus que vibrations intenses de plaisir. Le coquin savait y faire, en véritable expert. Ses doigts effleuraient habilement toutes les parties érogènes de mon corps livré à lui. Sa bouche multipliait les baisers sur mes épaules, mon cou, mes joues. Son sexe gonflé et raide, allait et venait avec force dans mon cul tendu et ouvert. Puis il se mit à malaxer mes couilles d’une main, et à me masturber, l’autre main serrée sur ma verge. Je sentis une onde de plaisir m’envahir, de mon cul à mon sexe, puis à tout mon être. C’est alors que dans une grande contraction, Ivan libéra en moi des jets d’un liquide chaud. Dans un hurlement de plaisir, j’éjaculais à mon tour, couvrant le tronc de l’arbre d’un sperme blanc et crémeux. Après nous être encore promenés nus dans la forêt, nous tenant par les hanches, ivres de joie et de plaisir, nous avons remis nos shorts et je l’ai ramené chez lui. Pendant tout l’été nous nous sommes revus, chez lui, chez moi ou dans la nature et j’étais devenu accroc à son corps et à son vit. Mais avec la rentrée des cours, Ivan a regagné la ville universitaire voisine et je ne l’ai plus revu, me consolant par des aventures passagères, soit avec des femmes, soit avec des hommes, tous rencontrés via internet. Après les vacances de Noël, mon second fils, étudiant lui aussi, m’annonça qu’il avait trouvé un colocataire pour le reste de l’année et qu’il me le présenterait le dimanche suivant. Le jour dit, j’avais commandé chez le traiteur un bon petit repas et les attendis. Sonnerie, j’ouvre et je vois, derrière mon fils, un grand brun baraqué, un jeune homme blond qui paraissait très gêné : Ivan. J’ai eu du mal à m’en remettre et à ne rien laisser paraître.

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