Voilà déjà plusieurs mois que Sylvain et Pascal s’étaient rencontrés et avaient eu une relation sexuelle, même si cela était resté très soft. Et ce n’était pas la dernière. En effet, chaque fois que l’envie se faisait sentir et surtout que l’opportunité se présentait, ils en profitaient pour se rencontrer et passer un moment très agréable ensemble. Les rencontres étaient plus ou moins espacées, cela pouvait aller de 15 jours à 1 mois. La plus part du temps cela se passait chez Pascal, par commodité, confort et parce qu’il vivait seul, ce qui rendait les rencontres plus faciles. Sylvain se sentait toujours excité mais quelque peu coupable, par contre Pascal était heureux et très excité par l’envie d’aller plus loin. Ce dernier était plus actif que passif et avait une forte envie de pénétrer son partenaire. Il était très patient, espérant le moment où Sylvain accepterait. Pour ce qui est de Sylvain, plutôt actif, il n’était pas vraiment attiré par la pénétration, que ce soit comme actif ou passif. Ce qui lui plaisait c’était de caresser le sexe de son partenaire, de caresser ses testicules, de le prendre dans sa bouche, de le sucer, de le caresser avec sa langue, de sentir son partenaire gémir de plaisir. Cette sensation de membre chaud à l’odeur bien particulière l’excitait. Par contre lui toucher l’anus ne lui disait rien du tout.Sylvain venait d’arriver, la porte d’entrée était entre-ouverte. Il se faufila dans l’appartement et referma derrière lui. Pascal était déjà prêt, nu, assis sur un pouf dans le salon et se masturbait très lentement avec un sourire aux lèvres. Sylvain le regardait et était interloqué sur son attitude. Il avait lui aussi le sourire, ravi par ce que lui proposait son ami. Il fut agréablement surpris de le voir dans cet état et du attendre plusieurs secondes avant de bouger et entamer la conversation. Il aimait voir ce sexe d’une bonne taille, en érection, coulissant dans la de son propriétaire. Ce fut Pascal qui brisa le silence : « Je savais que tu arrivais, j’en avais trop envie, je voulais te surprendre... »« Et bien c’est le cas, c’est une belle surprise, je trouve ça super excitant. » « Et puis je n’ai pas beaucoup de temps, j’ai un rendez-vous alors il va falloir faire vite »Sylvain s’approcha tout en retirant sa veste, puis ses chaussures. Pascal se releva pour l’enlacer et l’embrasser. Sylvain vint se coller contre lui. Ils restèrent quelques minutes enlacés l’un à l’autre. Les langues se mélangeaient, les bouches se collaient. Ils finirent pas se desserrer et Pascal exprima, par une respiration, le plaisir qu’il avait ressenti contre son partenaire. Son sexe touchant la cuisse de Sylvain à travers son jean’s, il commença à défaire la boucle du pantalon. Ce dernier le laissa faire, caressant délicatement de la paume de la main, le sexe posé sur sa cuisse. Puis Pascal déboutonna les boutons et glissa sa main dans l’ouverture pour caresser à son tour le sexe à travers le boxer, il était déjà en érection. Il descendit jusqu’au testicules, ce qui fit descendre doucement le pantalon. Sylvain souriait et sa respiration accélérait, c’était très agréable pour lui. Il continuait à caresser le sexe tendu sur sa cuisse qui avait dessiné une auréole de liquide pré-séminal sur le tissu. Puis Pascal passa une main dans le dos de Sylvain pour se diriger vers les fesses et aider le pantalon à descendre. Le boxer était maintenant complètement apparent, le sexe de Sylvain était en forte érection et remontait jusqu’à l’élastique, il pouvait presque sortir tout seul. Sylvain se libéra de l’entrave du pantalon par quelques mouvement de pieds. Puis Pascal recommença à caresser le sexe, tout le long de la verge, à travers le boxer. Allant de temps en temps jusqu’au testicules pour remonter jusqu’au gland. Puis il se colla à Sylvain pour sentir sur son sexe la chaleur du corps de son partenaire, lui caressant d’une main les fesses et de l’autre glissant ses doigts dans le boxer pour attraper le gland. Pendant se temps, Sylvain avait saisie le gland du sexe contre sa cuisse entre ses doigts et le pressait comme un fruit trop mur. Ce qui fit émettre à Pascal un petit gémissement. Le boxer était maintenant descendu, les fesses et le sexe libéré, masturbé délicatement. Les deux homme s’embrassaient à nouveau gouluement. Puis Sylvain s’écarta pour retirer son boxer et son t-shirt et être complètement libéré. Sportif d’un bon niveau, il était très musclé. Il adorait laisser faire Pascal ce qu’il voulait dans une certaine limite. Pascal avait ce regard pleins de désir et de malice et après avoir regardé son partenaire ôter son boxer commença par embrasser les pectoraux en insistant bien sur les tétons. Les premiers gémissements se faisaient ressentir et le sexe de Sylvain se frottait contre le torse en mouvemente de Pascal. Ce dernier empoigna le membre pour le branler tout en continuant ses baisers qui descendait au niveau des abdos. Il finit par lui prendre la queue en bouche et commencer à le sucer. Ses pipes étaient de plus en plus excitantes pour Sylvain et celle-là l’était encore meilleure. Il glissa une main entre les cuisses pour lui insérer un doigt dans le cul pour lui stimuler la prostate. Sylvain surpris se laissa faire, très excité, cela lui était très agréable. C’était si bon qu’il ne tarda pas à éjaculer. Sa queue cracha plusieurs jets de sperme dans la bouche sans prévenir. Il grogna de plaisir et en même temps tellement surpris que pour la première fois Pascal accepte d’avaler son sperme. Son sexe était toujours enfoncé dans cette bouche, qui ne voulait perdre aucune goutte.Enfin, Pascal retira sa bouche et il souriait d’entendre dire que c’était super bon, très fort et superbement agréable. Sylvain voulu à son tour tenter de le branler ou de le sucer, mais Pascal lui fit comprendre que ce n’était pas la peine. Il avait pris du plaisir à le faire jouir avec sa bouche. Sylvain n’avait pas vu son corps se raidir, et son visage se crisper. Pascal avait fermé les yeux et sa main s’était agitée de plus en plus rapidement sur son sexe et finalement au moment de recevoir la semence de Sylvain dans la bouche il laissa sortir plusieurs jets sur le sol. Pascal se redressa et vint se coller contre Sylvain. Ils s’enlacèrent, nu l’un contre l’autre, sans rien dire, juste pour le plaisir de sentir la chaleur corporelle de l’autre.
