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L'heure des courses

Chapitre 2

Erotique
Du coup, une fois que j’eus payé, c’est tout naturellement que je lui proposai de l’aider à mon tour à mettre ses courses dans son caddie. Elle me remercia avec force sourires. A nous voir nous entraider et finir nos courses ensemble, on aurait presque eu l’impression que nous étions un couple.
Je proposai bien évidemment de l’accompagner jusqu’à sa voiture pour prendre les choses lourdes des profondeurs de son caddie pour lui éviter ces manutentions douloureuses pour elle.

(Suite de l’histoire : )

« - Voilà » lui-dis, une fois que ce fut fini« - Je vais vous aider de même » dit-elle« - Non, ça n’est pas la peine pour moi. Moi, je n’ai pas mal à l’épaule. Par contre c’est vous qu’il faut ménager.— Oui, je sais » répondit-elle « mais ça n’est pas évident. Et le plus dur reste à faire…— Aïe, en effet… Ecoutez, vous ne voulez pas que je vous accompagne jusqu’à chez vous pour vous aider à les monter au 1er étage ?— Oh, c’est super gentil à vous. Mais ça me gêne. Et vous devez être pressé ?— Non, ça va, je ne suis pas à une demi-heure près. Et puis personne ne m‘attend chez moi.— OK, alors. Vous êtes vraiment adorable. Je ne sais pas si vous vous souvenez mais je suis à  10 minutes d’ici. Vous me suivez ?— Pas de problème. »

Je la suivis donc, prenant garde à ne pas la perdre, car j’aurais été bien incapable de retrouver le chemin de sa maison où je n’avais été qu’une seule fois.Arrivé là-bas, je garai ma voiture dans la rue, tandis qu’elle ouvrait son portail pour rentrer la sienne. J’entrai dans sa cour et lui proposai de refermer son portail, tandis qu’elle avait déjà ouvert son coffre. Je m’empressai de venir auprès d’elle et lui demandai expressément de ne prendre que les sacs légers, tandis que je pris en premier les sacs et cartons les plus lourds pour les monter jusqu’à sa cuisine.
En quelques voyages, montées et descentes des escaliers d’un pas alerte et énergique, je lui déposai l’ensemble de ses courses sur le pavé de sa cuisine.
« - Ah je vous remercie, c’est tellement gentil de vous être donné ce mal, et de m’avoir accompagnée jusqu’ici pour me donner ce coup de main.— Mais non, il n’y a pas de quoi. Ça n’était vraiment pas difficile. — Si, quand même. Vous avez pris du temps pour m’aider. Et je suis sûre que vous auriez pu à l’utiliser à autre chose…— Je vous assure que je n’aurais pas pu mieux l’employer.— Oh vous êtes trop chou » et sur cette parole elle s’approcha et me caressant une joue, elle déposa un baiser sur l’autre.
Je m’empêchai avec grand mal de ne pas laisser échapper un sourire bête. Je ne savais plus que dire ni quoi faire.
Voyant visiblement mon embarras elle me dit :
« - Pour vous remercier, je peux quand même vous offrir l’apéro ?— Oui bien-sûr ! » dis-je, satisfait de ne pas partir déjà et de devoir laisser cette dame si charmante. — Mais il faut que je range quand même un peu les courses… Surtout les produits frais, je ne peux pas les laisser comme ça » sur un ton qui s’excusait« - Naturellement. Je vais vous aider. »
Elle parut à nouveau gênée mais ne protesta pas. Et avec douceur je pris un par un les sacs, les ouvrit, lui tendit les victuailles qu’elle plaça au fur et à mesure dans son réfrigérateur. J’étais tout près d’elle, presque tout contre, à certains moment nos bras se touchaient au cours de ce ballet, de cette chaîne que nous faisions à deux. Nous agissions en silence, et mes gestes se voulaient empreints d’une grande douceur, comme pour ne pas casser une ambiance feutrée de sereine complicité qui s’était installée en quelques minutes.
« - Où rangez-vous ces packs ? » lui demandai-je.« - Non, laissez » dit-elle.« - Ah non » insistai-je « ça ne serait pas la peine de vous avoir aidée jusqu’à maintenant si je devais vous laisser désormais porter ces packs de liquide si lourds…« - Bon, ok, portez ce pack dans la pièce au fond, les autres je vais les déballer. Je range les bouteilles ici. »
En parfait chevalier servant, je fis ce qu’elle m’avait indiqué. Quand je la rejoignis à nouveau dans la cuisine, elle venait de terminer de ranger ses courses, et semblait détendue. Elle me sourit.
« - Un Porto ça vous dit ?— Oui, c’est parfait. »
Elle nous servit deux verres et sortit des amuse-bouche.
« Ça ne court quand même pas les rues, des hommes comme vous…— Pourquoi ?— Parce que : m’accompagner jusque chez moi et m’aider à ranger mes courses, il n’y a personne qui ne le proposerait.— Eh bien moi, oui. » Et j’ajoutai : « je suis comme ça. — Je vois ça. Vous n’êtes pas quelqu’un de banal.— Oh mais si. C’est quand même normal d’aider son prochain. » Venant juste de prononcer ces mots, je me dis qu’elle allait me prendre pour un vieux catho, un bigot, et c’était mal engagé pour moi si j’espérais recevoir, comme marque de sa gratitude, plus qu’un baiser sur la joue et un apéro.
La dame, bien que d’un physique banal, commençait à me plaire (ça a toujours été la personnalité qui m’a séduit et attiré chez les femmes, bien plus que leur physique – il y a des femmes au physique parfait qui n’ont pas plus de charisme et de pouvoir de séduction qu’un bulot) ; sa gentillesse, sa douceur, sa confiance me donnaient une envie croissante de partager avec elle plus qu’un verre de Porto, et commençaient à danser dans ma tête des idées inavouables.
Aussi ajoutai-je, non sans prudence :
« - C’était un plaisir de vous rendre ce service. …et ça n’est pas perdre son temps que de passer un petit moment avec une personne aussi charmante. »« Merci. Je suis touchée. »
Elle me regarda avec un sourire qui s’élargissait à vue d’œil, un sourire qui était comme entendu, une invite, un don d’elle-même.
Sa main était appuyée sur la table, je posai la mienne dessus et commençai à la caresser lentement, sensuellement, en prenant mon temps.Je prenais mon temps pour qu’elle puisse protester, exprimer un refus. Elle n’en fit rien. Elle ne retira pas sa main, laissa ma main caresser son poignet, remonter sur son avant-bras, tandis que ses yeux restaient dans les miens ; sa peau était douce, j’avais envie de le lui dire, mais je la vis se lever lentement et je fis de même.
Ma main se posa sur sa taille et je l’attirai vers moi. Immédiatement, je sentis ses bras se nouer autour de mon cou. Mon autre main se posa sur sa nuque et nos bouches se rejoignirent, pour échanger un baiser, long et sensuel. Nos langues se mêlèrent, langoureusement, passionnément. Je caressais ses épaules fines, nos lèvres jouaient les unes avec les autres.Je pris son visage comme une coupe tandis que je sentis qu’elle s’était lancée dans le déboutonnage de ma chemise. J’avais l’impression que j’allais revivre une scène déjà vue, sauf que cette fois ses mains caressaient mon poitrail, et je réalisais qu’elle avait dû en avoir très envie, la première fois.
Mes mains l’imitèrent, déboutonnant son chemisier que je fis passer par-dessus ses épaules. Celles-ci étaient douces, arrondies – miracle et merveille de l’anatomie féminine – ma bouche entreprit de les parcourir, descendit sur ses bras, la naissance de ses seins.
Nos bouches se reprirent, elles ne se disjoignaient plus que pour fondre à nouveau l’une sur l’autre. Mes mains enhardies firent glisser les bretelles de son soutien-gorge, puis caressant sa nuque et son dos, elles tombèrent sur les agrafes qui cédèrent, la libérèrent du sous-vêtement qui vola dans la pièce. Mes paumes découvrirent ses seins, à la peau infiniment douce, ma bouche goba leur fraise que je sentis frissonner et s’ériger, devenir dures, leur surface toute granuleuse sous ma langue : son corps s’était révulsé en arrière, son dos tendu comme un arc, ses mains caressaient mes cheveux.
Ma bouche glissa, comme sous l’effet de la pesanteur, sur son ventre parfait, tandis que mes mains avaient fait descendre son pantalon : la jolie blonde était désormais en culotte, poitrine nue, au milieu de sa cuisine. Je la débarrassai de ce petit slip de dentelle décidemment en trop et j’humai les parfums subtiles de son petit triangle secret à peine voilé par une fine et courte toison.Emprisonnant des fesses souples, mes mains possessives se refermèrent sur des hanches douces, des cuisses pleines ô tellement féminines, qui s’ouvrirent lentement, me dévoilant l’entrée de la grotte mystérieuse des plaisirs.
Ma bouche se referma sur cette autre petite bouche aux lèvres fines et tellement humides, recueillant le miel et la promesse de retrouver le paradis perdu. Ma langue se délecta de cette source inépuisable, tandis qu’au-dessus de moi je n’entendais que soupirs et gémissements.
La belle roucoulait, poussait des : « Ah oui ! Vas-y ! Oh oui, que c’est bon ! »
Je prenais plaisir à explorer, tel un spéléologue, toutes les anfractuosités de la voute qui me surplombait, léchant le nectar qui tombait de la cavité, ma langue se frayant même un chemin jusqu’à un étroit cratère au goût musqué.
Je sentis les parois trembler comme sous le coup d’un séisme venu des profondeurs, tandis que je maintenais ses cuisses flageolantes, secouées par un orgasme incontrôlable. Ses cris puissants me firent m’accrocher à ses fesses, maintenant sa vulve plaquée contre ma bouche qui la ventousait avec des bruits de succion.
Je remontais à l’air libre et trouvai sa bouche, qui me gratifia d’un profond baiser plein de reconnaissance, tandis que mes mains jouèrent avec ses jolis seins si appétissants.
Elle se laissa ensuite guider et courber sur sa table de cuisine et le spectacle de son cul harmonieux fit durcir davantage ma queue qui réclamait son dû. M’étant débarrassé de mon pantalon et de mon slip, j’enfilai une capote et me plaçai derrière sa jolie fente bien entrebâillée. La belle blonde se cambra au mieux et écarta ses cuisses avec grâce pour me livrer passage.
J’empaumai son mont de Vénus renflé d’une main tandis que l’autre se saisit d’un sein qui pointait vers le sol d’une façon touchante, et mon vit trouvant tout seul l’entrée de sa chatte s’y glissa avec délice. Arrivant en butée, je poussai un soupir de contentement, y restant quelques instants pour savourer la chaleur et la douceur satinée de l’intimité de mon hôtesse.Puis mes mains se posèrent sur les hanches bien marquées de cette belle, et je commençai à la gratifier d’une bonne levrette qu’elle accueillit avec des petits cris de joie et de plaisir.
Je m’arrêtais à intervalles réguliers pour bien lui montrer que je n’étais pas pressé de prendre mon plaisir, ralentissant le rythme (« ô temps, suspens ton vol » …et ta saillie), profitant de cette pause pour explorer de mes mains avides la mollesse et l’élasticité de son ventre, la souplesse de ses seins gourmands, la douceur de ce pubis plein comme un fruit mûr, puis enserrant sa taille de mon bras, je reprenais le rythme de mes coups de boutoir qui ébranlaient tout son ventre, la faisaient gémir, puis crier, jurer, et perdre tout contrôle !
Je plaquai son corps contre moi en la redressant, ma bouche léchait son cou parfumé, et continuai à la besogner en cadence. De mon autre main mes doigts caressaient sa fourche humide, ses petits gémissements m’excitaient comme un damné.
Soudain, reprenant l’initiative, elle m’échappa et se mit à genoux, prit ma queue dans sa bouche, et se mit à me sucer goulûment et avec talent.La petite garce s’y prenait terriblement bien, et je l’encourageai à continuer en caressant ses cheveux mi-longs et soyeux, cajolant ses bras et ses épaules.
Je la fis se relever et l’embrassant, l’invitai à s’allonger sur sa table de cuisine libre, sur le dos. Ses reins une fois sur le bord de la table, je lui fis écarter les cuisses, et encore une fois fondis sur sa vulve rose et ouverte, toute luisante, pour laper sa rosée abondante qui lui coulait partout. Elle exultait, mugissait son plaisir, au comble de l’excitation, tout son corps secoué de petites secousses incontrôlables.
A nouveau je la pénétrai, glissai sur toute la longueur de son fourreau brûlant, et la maintenant par les cuisses, je la travaillai à longs coups de reins souples. Mes mains passaient de ses cuisses douces à ses seins moelleux, caressant ses flancs, mes yeux dans ses yeux brillants, déjà partis au Nirvana de l’extase.
Elle reprit ses esprits quelques instants pour me demander dans un souffle de monter également sur la table et de me placer en 69.Elle ouvrit largement ses cuisses pour que je déguste son coquillage bien offert, tandis que je sentais qu’elle avait littéralement aspirée mon membre ; elle le faisait entrer et sortir de sa bouche à une allure folle avec des bruits de succion. Mes lèvres prenaient l’une après l’autre ses fines lèvres, ma langue parcourait ses trésors satinés, sur tout le coquillage et la perle, glissant jusqu’au fond du rocher, léchant la petite bouche sombre de son anémone, tandis que mes mains pelotaient avidement cuisses et fesses, et toute chair qu’elles trouvaient à leur portée. Un de mes majeurs glissa lentement dans la petite crevasse musclée qui se livra sans résistance et lui laissa passage, tandis que l’autre avait pris place dans les profondeurs de sa conque, et caressait la face grenue et spongieuse, lui arrachant des cris étouffés par mon vit qui remplissait si bien sa bouche.
Je sentis son plaisir monter, les secousses de ses cuisses et de ses muscles pelviens se rapprocher, puis se spasmer, et lâchant un cri violent, ses cuisses, son ventre, ses jambes, s’agitèrent, en proie à un violent orgasme. Avec un zèle qui força mon admiration, ne se laissant pas décontenancer, après les quelques secondes durant lesquelles elle avait été tétanisée, sa bouche reprit ses mouvements de va-et-vient comme si sa vie en dépendait, et s’appliqua jusqu’à ce que je sente le plaisir monter ; encouragée par les signes avant-coureurs, par la sensation entre ses joues et sur sa langue d’une raideur exacerbée, elle continua jusqu’à ce que je sente l’acmé arriver, et toute ma semence jaillit et je me vidai dans sa jolie bouche.J’étais un peu honteux de n’avoir pas tenté de me retirer, mais elle ne montra, pour sa part, aucune gêne ni signe de dégoût, puisque je la sentis déglutir et m’avaler lentement, jusqu’à la dernière goutte.

Les muscles tout endoloris, nous parvînmes à descendre lourdement de cette table dure. Je lui caressai tendrement les cheveux. Elle me confia qu’elle n’avait jamais joui comme ça, ou en tout cas, aussi loin qu’elle s’en souvenait. Je l’enlaçai et l’embrassai encore, lui confessant que pour moi aussi ça avait été très bon, que ça n’était que du bonheur de faire l’amour avec elle.
Après la douche, elle voulut me retenir à dîner. Comme elle était seule ce soir-là, comme beaucoup d’autres, et moi également, je ne refusai pas, et nous soupâmes tous les deux dans une ambiance, tendre, chaleureuse et feutrée.
Depuis ce fameux soir, j’ai gardé le numéro de son portable qu’elle m’a donné. Néanmoins, je lui laisse l’initiative de l’appel.
Parfois, elle me téléphone en fin d’après-midi et m’invite à passer chez elle. Nous nous rejoignons à sa maison après l’heure des courses. Et nous faisons l’amour, passionnément, en prenant notre temps.C’est toujours aussi bon.


FIN
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