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L'heure de la revanche

Chapitre 2

Erotique
Un mois s’était écoulé depuis que Jean-Jacques avait révélé à Madame Constant qu’il connaissait les malversations dont elle s’était rendue coupable et qui l’avait obligé à se déshabiller devant lui dans son beau bureau et l’avait planté là.Depuis ils se voyaient régulièrement dans l’entreprise sans s’adresser la parole, Madame Constant faisant cependant tout pour l’éviter, elle ne lui donnait plus de travail et lui laissait une paix royale.Jean-Jacques jubilait, il la savait à sa merci et réfléchissait constamment aux prochaines humiliations qu’il lui ferait subir…L’occasion lui sembla excellente ce matin quand il entendit sa chef de service rabrouer violemment la petite comptable du bureau d’à côté. Cette dernière, Françoise, une petite blonde rondelette d’une trentaine d’années n’osait pas réagir devant l’autorité naturelle et la prestance de Catherine Constant.Il se leva consoler sa collègue et lui glissa à l’oreille qu’elle aurait bientôt une très bonne surprise.
De retour à son bureau, il prit son téléphone et composa le numéro de sa chef.Reconnaissant son numéro de poste, Catherine décrocha immédiatement, mais ne prononça pas un mot. Ces derniers jours, elle pensait régulièrement à l’horrible scène qu’elle avait vécu dans son bureau et elle s’en voulait de n’avoir pas été plus prudente, elle se savait à la merci de ce Jean-Jacques qui la dégoutait avec sa petite taille et son visage ingrat. Pourtant, avec le temps et le soin qu’elle avait pris à ne plus le croisait, elle avait espéré qu’il se contenterait de cette humiliation et avait doucement repris confiance.Maintenant son téléphone avait retenti et elle restait sans voix, gagnée par la panique…Prenant lui aussi son temps Jean-Jacques prit la parole :
— Bonjour Catherine, comment allez-vous ce matin ?— Bien merci Jean-Jacques et vous ?— Bien, chère Catherine, dorénavant vous vous adresserez à moi en disant Monsieur ! Maintenant c’est moi qui vous appel par votre prénom, vous avez déjà oubliée…— Oui c’est entendu, Monsieur— Voilà qui est mieux, j’ai beaucoup pensé à vous depuis notre dernière entrevue, je suis que vous avez aimé me montrer vos gros seins et votre petite toison !
D’un ton outré, Catherine répliqua :
— Mais pas du tout vous me dégouter !
Cette réponse spontanée lui avait échappé et elle douta qu’elle ne tarderait pas à le regretterD’un ton mauvais Jean-Jacques lui répondit en effet :
— Très bien, vous méritez une autre leçon, je vous rejoins dans votre bureau dans cinq minutes et je vous veux totalement nue à mon arrivée !
— Non, vous ne pouvez pas faire ça !
Jean-Jacques ne dit rien et raccrocha, Madame Constant resta interdite, ses pensées se bousculer dans sa tête, que faire ? Obéir ? S’enfermer ? Quitter la société ? Elle se sentait piégée, perdue…Elle était encore plongée dans ses réflexions, lorsque sa porte s’ouvrit et que Jean-Jacques pénétra dans son bureau, il s’avança vers elle, la gifla et lui cria : à poil, je pensais avoir été clair !!Jean-Jacques la prit par le bras et la conduisit au centre du bureau, puis il alla s’installer dans le grand fauteuil de direction.
— Maintenant vous allez obéir ou je décroche ce téléphone et je vous dénonce !— Non attendez je vais le faire, supplia-t-elle !
Tête basse, Catherine se déshabilla rapidement, malgré la honte, elle se sentait exciter contre sa propre volonté.
— C’est bien, viens près de moi !
Catherine s’approcha lentement cachant son sexe et ses seins avec ses bras, Jj les écarta sans ménagement et passa la main entre ses cuisses, il la retira toutes humides…En rigolant, il lui cingla :
— Mais tu es une vraie salope, cela t’excite de te montrer à poil ! J’en étais sûr, avec tes airs supérieurs, tu ne rêves que d’une grosse bite ! Avec moi tu vas être servie.
Il ouvrit sa braguette et sorti son énorme queue déjà bien gonflée, puis il lui appuya sur les épaules la faisant tomber à genoux devant lui, suce-moi et applique-toi …Madame Constant, n’en revenait pas, elle n’avait jamais vu une aussi grosse bite, elle la prit en bouche la sentant encore grossir, elle était totalement vaincue et suçait avec application passant sa langue sur l’énorme gland puis l’engouffrait profondément.Jean-Jacques se retira brutalement, il ne voulait pas jouir tout de suite, il n’en avait pas fini avec elle, D’un air mauvais, il décrocha le téléphone et demanda à Françoise de les rejoindre dans le bureau de Madame Constant. Cette dernière n’en crut pas ses oreilles et se releva paniquant
— Vous ne pouvez pas faire ça, j’ai trop honte, laissez-moi me rhabiller s’il vous plait.— Non, lui répondit Jean-Jacques en souriant vous allez l’accueillir nue et vous excusez pour votre habitude de tout à l’heure, à moins que vous préfériez expliquer vos détournements à la police
La porte toqua, Jean-Jacques répondit : entre Françoise nous t’attendions et referme derrière toi !Passant, le seuil, Françoise crut rêver devant le spectacle qui ‘étalait devant elle, Jean-Jacques assit tranquillement dans le grand fauteuil et Madame Contant totalement nue à ses côtés, la tête basse, cachant ses gros seins aux larges auréoles avec ses bras !
— Approche, Françoise, ne sois pas intimidée, Madame Constant a quelque chose à te dire, n’est-ce pas Catherine ??— Oui, murmura Catherine, je voulais m’excuser pour tout à l’heure d’avoir élevé la voix avec vous…
Jean-Jacques compléta :
— Catherine regrette son attitude et comprend mériter une punition, nous avons pensé qu’une bonne fessée déculottée lui servirait de leçon, n’est-ce pas Catherine ?— Heu, heu, oui c’est vrai je mérite une fessée
Françoise, n’en croyait pas ses yeux, la belle et fière Madame Constant nue et acceptant une fessée, elle avait l’occasion de se venger des brimades qu’elle avait subies et entrant rapidement dans le jeu ;
— Oui, une bonne fessée, c’est tout ce qu’elle mérite !!
Elle s’approcha et saisit une grande règle, toisant sa patronne d’un air méchant.
— Mets-toi sur le bureau à quatre pattes !!— Oh, non pas comme ça !! supplia Catherine !— Pourquoi ? Tu ne veux pas nous montrer ton gros cul ?? Crois-moi tu vas obéir !
Elle lui pinça violemment un sein et Madame Constant laissa échapper un cri, effrayée elle grimpa rapidement sur le bureau et pris la position. Françoise lui cingla l’intérieur des cuisses avec sa règle l’obligeant à s’écarter de plus en plus, Jean-Jacques ne perdait pas une miette du spectacle.Catherine, voyait irrémédiablement sa chatte s’ouvrir, sa position de chienne l’humiliait profondément et l’excitait en même temps ! Elle sentait sa mouille dégouliner le long de ses cuisses. Elle s’avait que de sa position Jean-Jacques avait une vue parfaitement sur sa chatte charnue et dégoulinante, il pouvait même se délectait de son anus brunâtre et offert…Les coups de règle commençaient à s’abattre violemment sur ses fesses, lui arrachant des petits cris, son cul chauffait et rougissait rapidement…Au bout, d’une vingtaine de coups, Françoise pris du recul pour admirer son œuvre, heureuse et excité de voir ce cul bien rouge elle s’approcha et saisie les belles fesses de ses mains les malaxant et les écartant. La chatte de Catherine s’ouvrait et se refermait laissant apparaitre un intérieur bien rose.Jean-Jacques pris finalement la parole : c’est bien maintenant au coin main sur la tête pendant dix minutes et après vous pourrez vous rhabiller et retourner travailler !
Catherine pleurnichant obéit et prit la position.Entrainant Françoise par le bras, Jean-Jacques quitta le bureau en lança à Catherine : soyez sage et à bientôt….À suivre…
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