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D'hier à maintenant : Les vacances

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
Précédemment : Je fais passer une journée de plaisir à Laure en la faisant rencontrer Estelle.
Nous étions sur le chemin du retour lorsque mon téléphone sonna. C’était une nouvelle fois ma mère. Elle me fit savoir qu’ils avaient pris la décision avec mon beau père de repartir le lendemain en fin de matinée, et que de ce fait ils avaient besoin de moi pour ranger et préparer la voiture.
J’en informai Laure qui tristement me demanda si nous nous verrions du soir même. Je lui répondis par l’affirmatif en ajoutant que pour rien au monde, je ne partirai sans avoir réussi à lui donner du plaisir.
En rentrant au camping, nous nous séparâmes dans un baiser, puis je rejoignis mes parents.J’aidai mon beau père à fixer le coffre de toit et à y ranger les affaires les plus volumineuses. Armelle avait également été rappeler pour aider ma mère. Elles rangèrent dans les valises ce dont nous n’aurions plus besoin.
Le moment du repas arriva assez rapidement. Je mangeais sans faim. Des idées n’arrêtaient de me trotter dans la tète. La première est que je n’allais plus revoir Laure. Nous n’étions pas ensemble depuis longtemps mais j’étais attaché à elle. Et la seconde, qui était la plus importante, qu’adviendrait il de notre relation à Armelle et moi ?
Cette question là m’obsédait beaucoup. Difficile de revoir à une vie normale avec elle après tout ce qui s’était passé. Et puis comment voyait elle la chose de son coté ? Une de plus à ajouter à ma liste de question prise de tête.Il faudrait que je lui demande. Ce serait plus simple.
Je passai mon tour pour une fois de devoir faire la vaisselle. J’estimai pouvoir m’en passer pour cette fois. Mes parents râlèrent mais je m’en moquai. Je ne pensai qu’à une chose, faire l’amour à Laure, ce soir. Pas la baiser, mais vraiment lui faire l’amour, en prenant notre temps.
Je marchai d’un pas vif quand Armelle me rejoignit.
— Alors cette journée ?— C’était bien, répondis je de manière évasive.— Juste bien ? Donne moi des détails, s’il te plaît ?— Écoute pour le moment, je ne veux pas en parler. Je te raconterai ça demain soir quand on sera de retour à la maison. Pour le moment je veux passer du temps avec Laure.
Elle eut une réaction à laquelle je ne m’attendais pas.

— Depuis quand c’est la femme de ta vie, commença t-elle. Je ne compte plus pour toi ? Je suis juste bonne à te sucer, pour que tu te vides les couilles un coup de temps en temps.— Armelle, tais toi s’il te plaît ! Il y a des gens qui nous regardent.— Et alors, qu’ils nous regardent. Je m’en fous. Je suis attaché à toi, donc ne me rejette pas sous prétexte que tu ne verras plus cette connasse demain, pleura t-elle.
J’étais désemparé. Je ne savais pas comment réagir. Et les regards des gens autour de nous me dérangeait de plus en plus. Heureusement la population était principalement néerlandaise et ils ne comprirent pas un mot de ce qu’Armelle venait de crier sur tous les toits.Je saisi ma belle par le bras et l’emmenai dans notre coin préféré, afin de discuter avec elle.
— C’est quoi cette crise de jalousie que tu me fais, demandai je, ça ne te ressemble pas.— Excuse moi, continua t-elle en pleurant, mais j’ai l’impression que tu t”éloignes de moi.— Armelle, ça ne fait qu”une journée que je suis avec elle. Il y a pas deux jours, on jouait encore ensemble, toi et moi. Et puis si je veux passer du temps avec elle, ce soir, c’est parce que c’est le dernier soir. Je ne la verrai plus après. Toi et moi, nous continuerons à nous voir. Mais avant de reprendre là où nous en étions, il faudra que nous ayons une discussion.
Je clôturai mon discours en lui déposant un baiser sur les lèvres. Elle me le rendit avec force. Je sentis sa langue se frayait un chemin afin de rejoindre la mienne. Machinalement j’ouvris ma bouche pour qu’elle l’atteigne. Nous nous embrassâmes pendant de longues minutes puis je partis vers chez Laure.
Elle m’attendait, assise, sur la chaise de camping que son père se réservait de manière habituelle. Elle m’accueillit avec un sourire et je remarquai qu’elle s’était changée. Ce soir là, elle avait mis une robe noire toute simple à fine bretelle. Je pouvais aisément deviner qu’elle n’avait pas de soutien gorge une fois de plus.
— Mes parents sont partis au village pour la fête, m’expliqua t-elle. Ils voulaient que je vienne mais j’ai prétexté un mal de tête.— Ah d’accord, répondis je bêtement.— Ca te dirait de profiter de ma tente avec le matelas qui est dedans. Ce sera bien plus confortable que l’herbe du coin isolé, et surtout nous ne serons pas vus.— Je pensais que tu aimais joué les voyeuses.— J’aime regarder mais être regardé, non merci. Alors ça te tente ? me demanda t-elle en tendant la main.— Beaucoup.
Nous allâmes derrière l’emplacement où sa tente était montée. Elle me laissa entrer le premier, puis elle entra fermant les parois. J’en profitai qu’elle était dos à moi pour passer une main sous sa robe. Elle l’arrêta puis se jeta sur moi. Nous échangeâmes un long baiser, passionné, coller l’un à l’autre. J’étais allongé sur le dos et elle sur moi. Et en effet le matelas de sa tente était bien mieux que l’herbe.
— Pourquoi tu t’es changé ? lui demandai je après ce long baiser.— Déjà pour te faire plaisir…— Je prends plaisir à te voir dans cette robe, en effet.— ...et ensuite, parce qu’en allant à la douche tout à l’heure, j’ai remarqué des taches de cyprine dans mon short. Et puis il sentait fort le sexe. Je ne pouvais pas rester comme ça avec mes parents à coté.— Je comprends mieux. Et donc y-a-t-il quelque chose de porter en dessous de cette petite robe ? demandai je en plaçant mes mains sur ses fesses.— A toi de me le dire.
Je frottai le vêtement sur son magnifique fessier. Je ne sentis pas de résistance. Je mis une main en dessous du vêtement. Les fesses étaient à nus.
— Tu aimes te balader, sans sous vêtement, on dirait.— Après la journée que nous avons passé, il est vrai que j’ai apprécié me promener sans rien en dessous. Donc je pense le faire souvent désormais.— Et bien les mecs par chez toi, vous être content.— Je pense.
Elle se pencha vers moi et m’embrassa à nouveau. Je lui rendis son baiser. il était tendre et délicat. Nous avions envie de la même chose ce soir.Elle se releva et vint s’asseoir à califourchon sur moi. Je lui ôtais sa robe, découvrant une nouvelle fois, son corps sublime. Je plongeai aussitôt ma tête vers ses seins, pour embrasser ses tétons durcis pour le désir. Elle me maintenait la tête, râlant de plaisir. Elle se dégagea puis me déshabilla. En sortant mon sexe de sa prison de tissu, je me sentis libérer. Nous nous caressâmes, nous arrachant des râles de plaisir. Cela dura longtemps. Je n’avais jamais senti ma queue aussi dure et sa chatte aussi humide.
Elle m’enfila une capote puis je la pénétrai doucement. Nous ressentions le contact de nos chairs malgré ce morceau de plastique. Ce fut long et intense. La jouissance fut forte pour tous les deux. Elle s’appliqua à me retirer la capote et à me nettoyer avec sa bouche.
Nous nous câlinâmes après cela pendant plusieurs minutes.
— C’est la première fois que je faisais réellement l’amour, me confia t-elle.— Moi aussi, lui répondis je.
Nous étions tous les deux silencieux, écoutant les sons provenant du dehors, nos respirations et nos battements de coeur. Soudain je compris combien j’aurai dû tenter quelque chose avec elle plus tôt.
Ce soir là nous fîmes l’amour deux fois. Toujours de manière intense et passionnée. La jouissance que nous avons eu à chaque fois, valait toutes celles réunies que nous avions eu auparavant avec nos différents partenaires.
Elle s’endormit dans mes bras sous les couvertures. Je la laissai, m’habillant dans le silence, puis je sortis rejoindre le mobile home. Je me couchai en repensant, à regret, aux différents événements de la journée. Je m’endormis tardivement cette nuit là.
Le lendemain matin je fus réveillé par ma mère. Il fallait que je me dépêche, si je voulais aller dire au revoir à mes amis avant de partir.Je me douchai rapidement puis je rejoignis Armelle qui faisait ses adieux à notre groupe d’amis. Nous échangeâmes nos numéros de téléphone, promettant de se donner des nouvelles. Nous fîmes également des photos afin de ne pas oublier le visage des uns et des autres.
Puis vint le temps de se séparer. Je serrai la main de David, le plus simplement possible. Je donnai une accolade amicale mais néanmoins virile à Jibé. Alexa me déposa un baiser appuyé sur la joue, puis Laure et moi, nous échangeâmes un long et tendre baiser.
Je restai longtemps en contact avec Alexa et Jibé. Le couple de vacances se changea finalement en couple durable. Aux dernières nouvelles que j’ai eu, il y a quelques années, ils étaient parents de deux enfants et ils avaient le projet de se marier.
Laure, de son coté, m’appela presque tous les mois, les deux années qui suivirent. On se racontait nos déboires sentimentaux ou tout simplement pour nous remémorer les moments que nous avions passé. J’appris, il y a maintenant fort longtemps, qu’Estelle et elle s’étaient revues. Estelle était étudiante dans la ville de Laure. J’avais rapidement compris, qu’elles étaient plus que des amies.
Et pour Armelle et moi, me demanderez vous. Et bien l’histoire ne s’arrêta pas à la fin de ces vacances.
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