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Le hijab in the city

Chapitre 1

Erotique
Bonjour à tous ! Je m’appelle Myriam ; je suis une Algérienne de 45 ans, divorcée, brune à la peau mate, aux yeux verts. Malgré mon âge, j’ai encore le corps d’une gamine de 25 ans : 65 kg pour 1m 72, bonnets 95E et une superbe paire de fesses.
Je vais vous raconter ma vie depuis juste un mois avant ma séparation jusqu’à maintenant. J’habite actuellement dans la région PACA, à Toulon. J’ai divorcé à l’âge de 41 ans ; à cette époque, mon fils Abdel était âgé 16 ans. J’habitais à Lyon dans une HLM avec mon mari et mon fils ; depuis toujours, je porte le hijab, mais ce qui énervait mon mari, c’est que je portais toujours des chaussures à talons. Mon mari était un homme très possessif qui ne me laissait sortir que rarement sortir ; il partait travailler à 7h et ne revenait qu’à 20h. Mon fils, lui, était à l’école.
Un mois avant mon divorce (nous étions en août) mon fils et mon mari sont partis en Algérie jusqu’en septembre : je suis donc seule à la maison. Je vais parfois voir ma belle-sœur Nora, qui est mariée à Mourad, le frère a mon mari. Nora est une vraie salope : elle a toujours trompé son mari, à gauche et à droite, la plupart du temps avec des jeunes de 20 ans.
Nous sommes le 2 août ; mon mari et mon fils sont partis hier. Je peux enfin me lâcher un peu ; vivre, quoi ! À 10h du matin, je suis en train de finir mon ménage ; il ne me reste que le salon à faire. Je fais une pose dans la cuisine et allume une cigarette ; d’habitude, quand mon mari est là, je me cache car il ne veut pas que je fume. Comme il fait très chaud, je ne porte qu’une robe arabe ; je décide de l’enlever et de rester en soutien-gorge et string. Je finis de passer la serpillière sur le sol du salon puis je vais prendre une douche. Lorsque j’ai terminé, je vais m’habiller dans ma chambre avant d’aller faire quelques courses. J’enfile des collants noirs avant de mettre une jupe qui m’arrive 10 cm en-dessous des genoux, un tee-shirt marron à manches longues et un voile blanc. Juchée sur des talons aiguille blancs, je me trouve super belle, et bonne aussi… Comme mon mari n’est pas là, j’en profite pour me maquiller.
Lorsque je reviens du Carrefour où je suis allée faire mes courses, tout le monde a les yeux fixés sur moi ; je suis devant mon allée et, avec tous mes sacs à provisions, je vais devoir faire plusieurs allers-retours jusqu’au troisième étage, sans ascenseur. Heureusement, le voisin du dessous – un jeune Antillais de 21 ans – vient me proposer son aide.– Tu veux que je t’aide ?– Oui, merci. Mon mari est parti en Algérie avec mon fils, et je me retrouve seule.
Je passe devant lui et monte chez moi. Arrivée devant ma porte, je le remercie.– Merci beaucoup ! Comment tu t’appelles ?– De rien ; c’est Rémy. Et si vous avez besoin d’aide comme vous êtes seule, je suis là. D’accord ?– OK. Je te remercie, Rémy. Moi, c’est Myriam.
Je rentre chez moi, et lui chez lui. Je range tout dans les placards et commence à me faire à manger. Pendant que je cuisine, je repense à mon jeune voisin qui m’avait si gentiment rendu service ; en plus, je le trouve trop craquant… Malgré notre différence d’âge, ce jeune m’attire ; ça doit être sa peau noire car Nora, ma belle-sœur qui a un amant noir, n’arrête pas de me dire qu’ils sont bien membrés. Je mange en pensant à lui ; et le soir, dans mon lit, je ne peux m’empêcher de me toucher en pensant à lui… Je me fais jouir grave : ça fait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort.
Le lendemain matin, je me lève vers 9h ; après avoir fait le ménage, je me retrouve sur le balcon à midi pour fumer une cigarette. J’aperçois Rémy qui revient chez lui. Il lève la tête et m’aperçoit. Je lui fais signe de monter ; il comprend et répond à mon signe. Je viens juste d’enfiler un pull à manches longues, une jupe et un voile blanc lorsqu’il frappe à ma porte. Je le fais entrer. Mon cœur bat à mille à l’heure. Je prends de l’argent dans mon porte-monnaie.– Tu peux m’acheter pour dix euros de shit, des cigarettes et des feuilles ? Mais ne le dis à personne !– OK : pas de soucis ; mais je ne peux vous l’apporter qu’à 20h.– C’est pas grave ; tiens, prends mon numéro : comme ça, quand c’est bon, tu m’appelles.
Je lui file l’argent et mon numéro, et il part. En l’attendant, je prends une douche et me rase le maillot, puis je choisis des vêtements blancs pour m’habiller ; des bas, une jupe, un top à manches longues et des talons aiguille : tout est blanc. Je force un peu sur le maquillage, qui me donne des allures de prostituée, mais je m’en fous.

À 20h, Rémy m’appelle pour me dire qu’il arrive ; je suis toute contente et je l’attends avec impatience. Quand il arrive, il me regarde avec de grands yeux sans dire un mot, la bouche ouverte ; je le fait entrer au salon et m’assois à ses côtés.– Tiens, Myriam.– Merci, Rémy ; tu es un amour !– Tu es trop belle, Myriam…– Merci, c’est gentil. Tu peux me rouler un joint ? Je ne sais pas le faire.– Oui, si tu veux.
Pendant qu’il me roule mon pétard, je lui fixe l’entrejambe ; quand il l’a terminé, il me le tend.– Tiens, Princesse !– Wouaah… Je suis ta princesse ?– Oh oui : ma Princesse, ma Reine !– Arrête, Rémy ; tu es trop jeune.– Pas pour toi, en tout cas.– Pourquoi tu dis ça ?– Eh bien, tu ne m’aurais pas invité chez toi.– Ah ; je t’invite chez moi, et ça veut dire que j’ai envie que tu me baises… C’est ça ?– Bah oui... Comme toutes les beurettes quand leur mari les laisse seules, tu te lâches.– Oui, c’est vrai : je me lâche, et je te trouve trop craquant !– Merci, Myriam ; moi aussi !!
À ce moment, je suis en train de fumer et ma tête commence à tourner. Il pose sa main sur ma cuisse et commence à remonter ; mais je la lui repousse. Il me demande :– Tu fais quoi ?– Bah, quoi…– Pourquoi ? Tu veux pas que je te baise ?– Non : pas la première fois.– Bah, suce-moi au moins ; j ai les couilles pleines !Je pose ma main sur sa bite, et tout en commençant à frotter, je lui réponds :– D’accord.Il sort sa bite toute dure et là, je suis choquée.– Putain… C’est quoi cet engin de mort ? Bordel, comme elle est grosse !– Eh oui ! Tu veux pas que mon anaconda te défouraille dans les fesses, ma chérie ?– Ooh, non ; tu vas me tuer !– Bientôt, alors ; en attendant, suce, tu m’excites !
Je descends ma tête et commence à lécher le bout de son gland, puis je remonte le long de sa verge jusqu’aux testicules. Je vais jusqu’à son anus puis je reviens sur sa bite ; je la prends en bouche et commence à lui tailler une bonne pipe bien baveuse. Au bout de dix minutes, j’ai la mâchoire qui me fait mal, mais il ne veut pas que j’arrête. Heureusement, il ne tarde pas à m’inonder tout le visage de sperme.– Ahhhhhhhhhh… Oui, sale pute ! Oui, ramasse-toi mon sperme dans ta gueule de salope ! Ouiiiiii… Putain, tu suces bien !!Je lèche les dernières gouttes sur son gland ; il se rhabille et me laisse seule à la maison, le visage plein de sperme. Je me lève pour prendre une douche puis je vais dormir, satisfaite de ce que je viens de recevoir sur le visage.

(à suivre, mes chéries)
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