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Histoire alternative

Chapitre 4

Travesti / Trans
Dimanche…  Mon sommeil a été agité. J’ai fait d’étranges rêves, des rêves ou j’étais en femme, des rêves ou je séduisais de beaux garçons, des rêves érotiques tellement intense « que les draps s’en souviennent » comme disait la chanson. Je devrai aller voir mes parents, mais je n’ai pas envie… Je suis maussade. Je les appelle pour leur dire qu je ne viens pas, parce que je suis un peu souffrant . Oui maman, pas de problème, je me soigne, promis…
J’ai besoin de prendre l’air. Je descends les rues et les avenues, je vais me balader sur le boulevard des Pyrénées. Mais quelque chose me manque. Julie me manque, sa compagnie, ces moments inoubliables que nous avons vécu hier. Et je suis frustré. Je me fait la remarque que personne ne me regarde, alors qu’hier, des hommes se retournaient sur notre passage. C’était tellement délicieux ! J’en ai des frissons ! Et aujourd’hui… Vivement ce soir vingt heures, que je retrouve Julie. Au fait, je m’habille en mec ? Ou en fille avec les fringues qu’elle m’a laissé ? Oh ! Mais au fait, si j’osais…
Je retourne à mon appartement. Je prend mon repas rapidement puis je fais l’inventaire. Tout est immédiatement utilisable. J’ai même du pot puisqu’au fond du sac à main, je trouve dans un pochette oubliée du fond de teint et un bâton de rouge à lèvre. C’est peu, mais peut être assez pour faire illusion ? J’hésite… Et puis je me décide. La seule façon de savoir, c’est d’essayer. Mon repas rapidement liquidé, je me rase aussi soigneusement que possible. Puis je m’habille en me remémorant les conseils de Julie. J’ai le cœur battant, mais je m’oblige à m’habiller méthodiquement. Puis le peu de maquillage à ma disposition. Ça devrait passer, quoique les yeux mériteraient un peu de tralala… Mais déjà, je ne me reconnaît plus et je ne vois qu’une femme dans le miroir de ma chambre. J’ai trouvé, je vais enlever mes lentilles et mettre mes lunettes de vue teintées. Je ne les aimais pas parce que je les trouvait… trop féminines ! Là, çà tombe bien.
J’ai le cœur qui bat fort les premières minutes, pas autant qu’avec Julie hier, oui mais aujourd’hui, je suis seul… Mais personne ne semble me remarquer… J’essaie de me calmer, de marcher tranquillement, « en promeneuse ». Je m’applique à avoir une démarche féminine, telle que Julie me l’a fait pratiquer… et çà marche. Aucun regard étonné, aucun geste montrant de la surprise.
Je m’installe un long moment sur un banc au parc Beaumont. J’ai pris un livre avec moi, mais je fais seulement semblant de lire. A travers mes verres fumés, je guette les réactions des passants. Plusieurs me lanceront un regard que je qualifierai d’intéressé. Personne ne me fait la moindre remarque. A peine aurais-je droit à quelques « bonjour » de convenance de la part de personnes que je croise. C’est presque décevant ! Je reprend ma promenade via le palais des Pyrénées et de là, vers le château d’Henri IV. Et puis mon cœur a un raté net !
Je croise un de mes collègues de travail ! C’est Xavier, un ingénieur célibataire qui a la réputation d’être un chaud lapin. En me croisant, il émet un petit sifflement admiratif… Je suis mort de trouille ! M’a t-il reconnu ? Je poursuit ma marche le cœur battant, et il en fait autant. Je me retourne furtivement… Il poursuit sa route comme si de rien n’était.
Il ne m’a pas reconnu… Ouf ! J’aurai eu l’air malin demain. Je suis certain qu’il ne m’a pas reconnu. Si çà avait été le cas, il se serait arrêté et n’aurait pas manquer d’engager la conversation du style, mais qu’est-ce que tu fais comme çà, t’es devenu tarlouze, bref vous voyez le genre. Du coup je ne sais que penser : soulagé de ne pas avoir été reconnu, ce qui veut dire que ma transformation est plus que crédible…  mais aussi flatté d’avoir provoqué une telle réaction !
Le soleil baisse rapidement. Mine de rien, je me suis promené comme çà tout l’après-midi et tout s’est bien passé. C’est même étrange car au fur et à mesure, j’ai presque oublié que j’étais « en femme » tellement çà m’a semblé naturel… Je suis en avance à l’ABC, mais Julie ne tarde pas à arriver. Elle semble surprise, mais je ne lui laisse pas le temps de dire un mot. Je l’enlace et l’embrasse aussitôt passionnément.
-Eh bien dis donc, je t’ai manqué ! Et je ne m‘attendais pas à te trouver en jupe ? Moi qui te ramenais tes fringues. Tu as fait quoi aujourd’hui ?— Si tu savais ; je te raconte.
Je lui dit tout par le détail, ma pulsion initiale, ma promenade, mes émotions, les réactions des gens. Elle écoute avec un sourire ravi. Manifestement elle est enchantée de me voir réagir ainsi.
— C’est super, me dit-elle, je suis tellement heureuse que tu te sentes bien en femme. J’avais tellement peur qu’après ta première expérience d’hier, tu laisses tomber, que tu préfère être un mec.— Oui, bien sur, je suis un mec... Mais… comment dire ? Je ne sais pas, je me sens bien dans ces fringues. Ça me semble tellement naturel…
En fait, je me sens surtout troublé… Il y a conflit dans mon esprit. Je suis un mec, mais je me sens bien en femme. Voilà, je ne sait plus ou j’en suis.

— Et là tu te sens comment ?— Là présentement ? Je me sens toute excitée, dis-je en riant. J’ai envie de baiser !— Moi aussi ! Mais je n’ai pas mangé me dit-elle. Toi non plus ? Un croque-monsieur vite fait, çà te dit ?— D’accord ! Mais après, on baise, j’ai trop envie !
L’ABC fait restauration rapide. Nous nous restaurons rapidement. D’autres clients en font autant. C’est alors que dans un coin, nous remarquons deux hommes assez jeunes qui nous lancent des regards de plus en plus appuyés. Ils devisent, nous regardent, nous sourient… Ils ont des intentions, c’est clair.
— Tu les a vu ? Demande Julie.— Faudrait être aveugle !— Ils sont plutôt mignons…— Ma foi, s’ils disent oui, je ne dis pas non.— Attendons un peu de voir ?
On rigole. On se comporte comme deux femmes en quête d’aventure ! Et c’est un peu le cas… Julie commence alors à jouer les aguicheuses, envoyant des clins d’œil aux garçons, passant sa langue sur ses lèvres. Elle les provoque et j’admire en connaisseur : même moi, j’ai envie de lui sauter dessus ! Et l’effet ne se fait pas attendre. Après un dernier échange rapide, les deux garçons se lèvent et viennent à notre table.
— Salut les filles !— Bonjour mesdemoiselles, c’est comment vos noms ?— Moi c’est Julie et ma copine c’est… Danielle. Mais ne vous gourez pas les mecs, moi je suis trans et Danielle, travesti !— Oh ben c’est pas grave, de toute façon on se posait la question. On dirait jamais que vous êtes des mecs à la base.
On fait connaissance. Ils sont souriants, plutôt cool. L’un arbore un collier de barbe, l’autre semble sorti de « prison break ». et il est évident qu’ils sont là pour s’envoyer en l’air. Le barbu s’est installée à coté de moi, l’autre à coté de Julie. Il a passé son bras sur son épaule. Le mien me serre, pose sa main sur ma jupe. J’en ai des frissons ! Finalement, le copain à Julie saute le pas.
— On vous trouve super bandantes. Ça vous dirait de passer un moment… intime avec nous ?
Un coup d’œil entre Julie et moi. Tu parles qu’on est partantes ! Mon barbu a lancé sa main à l’aventure et commence à glisser vers mon genou. Julie se lève. « Je reviens » nous lance t-elle. Mon barbu ne perd pas de temps. Sa main toujours sur ma cuisse, il prend mon visage de l’autre, le tourne vers lui et m’embrasse sans autre formalités. Je lui rend son baiser, je suis aux anges. Ça pique un peu, mais d’une certaine façon, c’est le premier vrai baiser que je fait à un homme. Julie est une trans et le guérisseur… mieux vaut ne plus en parler… On se livre à un duel de langue, on mêle nos salives , il me fouille la bouche aussi loin qu’il peut, putain ! J’adore çà ! Julie revient après avoir échangé quelques mots avec le barman.
— Le patron nous prête un des petits salons. Vous me suivez ?
« L’évadé de prison » lui emboîte le pas. Nous les suivons avec mon barbu, lequel a passé son bras autour de ma taille, sa main sur mes fesses. Là vache, ils sont chauds ! Le petit salon est une pièce ou il y a tout ce qu’il faut pour une séance rapide : grands matelas en mousse vinylés, porte manteau dans un coin, un distributeur de capotes au mur, des kleenex, une poubelle dans un coin… Les deux garçons ne s’embarrassent pas de préliminaire. On reprend nos embrassades, des embrassades furieuses, à croire qu’ils sont en manque depuis dix ans au moins ! Du  coin de l’œil, je vois Julie masser fermement la bitte de son partenaire à travers son pantalon. J’en fais autant, ce qui semble lui faire mettre le turbo !
— Oh putain, viens me sucer ! Halète t-il, en sortant sa queue de son pantalon.
Je suis impressionné, elle est énorme, déjà raide comme un piquet.  Je tombe à genoux, et c’est à peine si j’ai le temps d’ouvrir la bouche. D’entrée, il l’enfonce jusqu’à la garde, force ma gorge. La vache ! C’est du viol ! J’ai un haut-le-cœur, mais je n’ai pas le temps de gamberger davantage. Il se sert de ma bouche comme d’une chatte, prenant ma tète à deux mains pour pousser son sexe aussi loin que possible à coups de rein rapides. J’ai des spasmes. Malgré moi je salive abondamment, des flots qui s’écoulent le long de son membre, glissent sur ses couilles. Julie n’est pas en reste, sauf que son partenaire va plus lentement, mais semble t-il plus profondément. Je vois sa gorge gonfler et se dilater à chaque poussée… Oh la pauvre !
— Oh les salopes ! Regarde comment elles nous avalent, tu crois çà ?— Tu avais raison, répond l’autre, de vraies putes, de vraies chiennes en chaleur. Quel pied ! Elle est bonne la tienne ?— Aaah, c’est comme une chatte bien baveuse, tu veux l’essayer ?— Ouais, passe là moi, je veux lui défoncer la gorge, comme à l’autre…
Ils échangent leur place. Je reprends mon souffle, mais je n’ai pas gagné au change, car Julie semble soulagée. Et je comprends vite. Mon évadé à une bitte plus fine, mais bien plus longue. Heureusement qu’il baise a un rythme plus lent, car je crois mourir lorsque sa queue force ma gorge et m’embroche sur une longueur impressionnante. Je suis à deux doigts de vomir… Chaque poussée me déchire la gorge, coupe ma respiration, d’autant plus qu’il reste appuyé quelques secondes pendant lesquelles je cherche de l’air…
— Allez, à genoux ! On va vous enculer, les lopettes !
Nous nous retrouvons en levrette en quelques secondes. Les deux gars ne sont pas là pour perdre leur temps. Juste l’espace d’un instant pour mettre leur matériel sous plastique, puis d’un geste rapide, mon partenaire, relève ma jupe, fait violemment tomber ma culotte sur mes genoux. J’ai à peine le temps de prendre une inspiration que sans ménagement ni la moindre progressivité, il m’encule à fond. Je pousse un cri de surprise. Je ne m’attendais pas à ce que ce soit si violent. Il m’encule a un rythme assez lent, mais avec des mouvements de grande ampleur, sortant presque de mon anus avant de replonger jusqu’à taper dans mes fondements. Julie n’est pas plus à la fête. Son partenaire est en mode turbo : mouvements moins profonds, mais bien plus rapide. Alors que je gémis sous les coups de boutoir de mon enculeur, je la plains sincèrement !
Je sursaute lorsqu’une claque sonore me cingle mes fesses. Et un adepte de la fessée en plus ! Il m’en envoie d’autres, au fur à mesure que ses mouvements s’accélèrent. Je gémis sous le mélange de douleur et de plaisir. Julie mêle ses râles à mes gémissements, les deux hommes halètent de plus en plus. C’est le barbu qui craque le premier. Plusieurs mouvements violents et amples  font claquer son pubis contre les fesses de Julie et il laisse échapper un râle de jouissance. Cela a t-il suffit pour mon repris de justice ? Il se dégage complètement. Je vois sa capote voler dans un coin, je l’entend en train de se masturber violemment et je sens un jet de liquide taper mes fesses, et un écoulement chaud descendre le long de mon anus et de mon sexe. Oh putain…
Je me suis écroulé sur le matelas. Julie n’est pas en meilleur état. Les deux hommes sont déjà en train de finir de se rhabiller. Non ? Ils ne vont tout de même pas nous laisser comme çà ? Eh bien si !
— Merci les filles ! C’était super. A un de ces quatre…
Julie s’allonge à coté de moi. Eh ben çà alors, comme manque de savoir vivre, c’est pas mal !
— Ça va Danielle ?— Oui, mais je suis frustré. C’était rapide, non ?— Des lapins. Ils étaient juste là pour se vider les couilles.— Supers baiseurs quand même ?— Techniquement oui, de belles bittes, mais fondamentalement de vrais cons !
On se regarde, on éclate de rire. De vrais cons, c’est le mot. Sauf que je n’ai absolument pas envie d’en rester là. Et Julie visiblement est en manque elle aussi.
— On pense à nous maintenant ?— Pas par derrière s’il te plaît, dis-je. J’ai le cul en feu !
En souriant, elle se laisse glisser sur le coté, prend ma queue en bouche et entame une fellation toute en douceur. Punaise c’est trop bon ! Je veux lui rendre la pareille. J’en fais autant… Pendant quelques minutes, nous nous livrons à une sorte de soixante-neuf tout en douceur, comme pour effacer la violence des instants précédents. Je suis le premier à capituler. J’ai juste le temps de dire « Julie, je vais... ». Elle enfonce ma queue aussi loin qu’elle peut au fond de sa gorge. Je jouis. Je me vide. Je lâche plusieurs jets qu’elle avale au fur et à mesure. Oh misère…
J’en ai interrompu ma fellation. Elle me sourit. Elle est heureuse de m’avoir donné ce plaisir. Je ne peux pas être en reste, je dois lui rendre ce moment… Je la bascule sur le dos, plonge entre ses jambes, reprend ma fellation. Elle est femme, alors je décide de lui faire comme si elle était une femme. Je ne lui fait aucune violence. Je la suce, je la lèche comme s’il s’agissait d’un clitoris, je veux la faire frémir à coup de caresses et c’est ce qui arrive. Je la sens se raidir progressivement, je sens sa queue palpiter. Elle gémit un peu plus fort et un peu plus longtemps, et sa queue laisse échapper un flot de sperme en écoulement continu pendant plusieurs secondes. J’avale tout, jusqu’à la dernière goutte, puis je remonte m’allonger sur elle. Je l’embrasse. Oh ! Ce goût de sperme mêlé de salive. Qu’est-ce que je t’aime Julie, t’es vraiment trop géniale !
On se rhabille. Enfin, pas moi… Si Julie s’en sort assez bien, moi je ne suis plus sortable. Ma jupe et mon chemisier sont tachés de sperme, et l’autre con a déchiré ma culotte ! La mort dans l’âme, je me résous à remettre mes fringues de mec que Julie a ramené. Le sac accueille mes affaires de femme. Je suis furieux !
— T’inquiètes pas, me dit Julie. Un coup de lave-linge et ce sera au poil. On se revoit demain ?— Après le boulot ? Avec plaisir. Mais… ne me parle plus de ces deux crétins !
A suivre...
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