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Histoire alternative

Chapitre 5

Travesti / Trans
Le lendemain matin, mauvaise surprise. Je passe mes fringues de femme dans la machine, lorsque je me rend compte que le chemisier a trinqué lui aussi. Un bouton a déchiré le tissu. Et je n’ai plus de culotte ! Et constat sans doute très féminin,  j’ai plus rien à me mettre !
Une fois au labo, la solution m’apparaît toute simple : je dois me faire un garde-robe. Je passe un coup de portable à Julie et lui expose la situation.
— On peut se retrouver chez Z… vers dix-huit heures ? Je voudrai faire quelques achats, et j’aurai besoin de tes conseils.— Mais bien sur ma chérie, pas de problème. A ce soir.
Ma chérie… Ça me fait drôle. La journée se passe avec une lenteur désespérante. Et malgré moi, je soupire après ma tenue masculine ordinaire. Il me tarde de me travestir à nouveau. A dix-sept heure pétantes, je suis le premier à quitter la boite et me rue chez moi. En dix minutes, je passe sous la douche et me rase soigneusement de partout. Puis je met la perruque dans un sac de course et file vers la boutique. Julie y est déjà, et fait une moue volontairement taquine en me voyant dans mes habits masculins.
— Tu as perdu tout ton charme, çà ne te va pas du tout, c’est triste… (soupir).— C’est bien pour çà que j’ai besoin de tes conseils. Au boulot, il faut me relooker d’urgence. Tu as du maquillage avec toi j’espère ?— Bien sur ! On va s’occuper de toi. Tu te rappelles de Sophie ?
Sophie ; vendeuse du magasin avec laquelle j’ai sympathisé samedi dernier, est une bonne copine de Julie. Je leur expose mes intentions. Tout d’abord, une tenue pour tout de suite ! C’est à dire que je veux sortir du magasin en femme. Et quelques fringues pour faire le roulement. Les deux filles, si je peux m’exprimer ainsi, acceptent avec enthousiasme. Dans l’heure qui suit, elles jouent avec moi comme si j’étais une poupée, m’habillent, me déshabillent... Elles me font essayer des tenues, des jupes, des robes, des tee-shirt moulants, des pantalons -ouch!- serrés. Les sous-vêtements y passent aussi, et Sophie émet un petit sifflement admiratif en estimant la taille de mon matériel, plus ou moins en érection de surcroît tellement la situation m’excite. Au départ, çà file dans tous les azimuts, mais au fil de minutes, le choix s’affine, ma personnalité féminine de base apparaît, et les tenues adaptées s’imposent logiquement. Et en plus, j’ai droit à leurs félicitations pour mon physique naturel si peu masculin, c’est tellement plus facile.
Entre nous, je regrette de ne pas avoir au passage assouvi un vieux fantasme : faire l’amour dans une cabine d’essayage ! Mais Julie me répond en riant qu’ici on n’est pas dans un mauvais roman mais dans la vraie vie. C’est des choses qui n’arrivent pas en réalité !
Au bout du compte, nous sortons du magasin bien après l’heure de fermeture normale, mais tout le monde y a trouvé son compte. Je ressors avec une robe légère fleurie, des sandales avec un petit talon de quatre centimètres (commençons en douceur), soigneusement coiffée et maquillée, chargée de paquets, et la carte bancaire sinistrée… Et la première chose que je fais après quelques minutes dans les rues de Pau, c’est tout enlever pour me laisser aller aux caresses de Julie…
Les jours suivants se déroulent suivant le même schéma. Je piaffe d’impatience toute la journée, puis dés la sortie du boulot, je fonce chez moi et me travestit, avant d’aller rejoindre Julie. On se comporte comme de vieilles copines. On profite de la vie, on se fait un ciné, on se balade, on fait des boutiques, on squatte à l’ABC... Je commence à me maquiller seule suivant les consignes de Julie, et puis… on baise ensemble tous les soirs jusqu’à des heures avancées. Et j’ai souvent des petits yeux le matin, et parfois l’anus un peu sensible.
— Tu fais quoi demain soir ? Me demande t-elle un jour à brûle-pourpoint.— Demain soir ? Ce samedi ? Pourquoi, on ne soit pas ? Tu vas chez tes parents ?— Oui. Et justement, comment dire… Je leur ai parlé de toi et… ils aimeraient faire ta connaissance. Bref tu es invitée.— Tu leur a parlé de moi ? Mais comment çà ?
— Eh bien je leur ai dit que je m’étais trouvé… une copine trans. Et ils sont ravis pour moi. C’est pour çà qu’ils t’invitent.— Attends… Tu leur a dit que je suis un travesti, c’est çà ? Et tu veux que je sois en femme ?— Oui… Je n’aurai pas du ? Excuse-moi, j’ai fait une erreur. Tu es fâché ?— Non… Je ne suis pas fâché, je suis… surpris, voilà.— Et donc ?
Alors j’hésite. Je me sens anxieux, et je comprend vite pourquoi. Ça fait maintenant plusieurs jours que je m’habille en femme, mais je le fais anonymement. L’immense majorité des gens que je croise ne savent pas que je suis un travesti, et ceux qui s’en rendent compte disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus.  A part Julie, les filles de Z… et les habitués de l’ABC, personne ne connaît ma nature. Mais cette fois, c’est différent. Je vais me retrouver face à des gens que je ne connais pas, qui d’emblée sauront ce que je suis et avec lesquels je vais passer un moment… Et çà m’angoisse ! Julie me rassure gentiment.
— T’inquiète pas. Mes parents sont cool, mon frère aussi. Ça fait pas mal d’années maintenant que je suis une trans. Il y a longtemps qu’ils se sont fait une raison… et pour le reste aussi !
Son frère ? Le reste ? Alors Julie me raconte sa vie dans le détail. Outre un frère plus âgé, elle a aussi une sœur, l’aînée de la famille. Cette dernière habite loin, elle ne sera pas là. Quand « Julien » est né,  l’aînée qui voulait une petite sœur a été très déçue. Plus tard, dans leurs jeux de gosses, elle s’amusait à habiller Julien en fille lequel se laissait faire « pour être la petite sœur ». Son frère lui, refusait ce genre de jeu. Les parents laissaient faire, trouvant cet amusement bien anodin, sauf que Julien, enfin Julie, en grandissant préférait être une fille qu’un garçon. Et lorsque les parents ont pris conscience que c’était sérieux… il était trop tard. Ils se sont donc résignés à avoir deux filles, même si l’une est un peu spéciale…
— Quant à mon frère, il est vraiment super ! Il est très gentil, plutôt beau gosse. Et alors il a un organe ! Impressionnant… Il te plaira c’est sur. Moi j’ai fini par craquer. Mais alors je te dis pas, quand il m’a enculée pour la première fois, je l’ai senti passer !— Hein ? Tu… tu veux dire que tu as baisé avec ton frère ? Dis-je stupéfait. Mais çà ne se fait pas ???— Oui… Enfin non, bien sur, répond-elle gênée. Mais çà fait un bon moment que j’étais devenue trans, j’étais en manque… et j’ai toujours été admirative de son engin. Alors un soir ou on avait un peu poussé sur le jurançon… on s’est laissé aller. Bref, c’est comme çà… Tu es choquée ? Tu veux qu’on annule ?— Non… Choquée, un peu sans doute. C’est assez inattendu. Et non, n’annule rien. Je vais m’y faire, laisse moi juste digérer la chose. Et tes parents… ils sont au courant ? Autant que je  gaffe pas ?— Ils le sont. Faut dire qu’ils nous ont surpris ce soir là ! Ça a été chaud durant quelques jours ! Mais comme on a remis çà avec mon frère et qu’on le leur a dit, ils ont fini par s’y faire aussi.— Quelle famille…
On est samedi. On se prépare. Sur les conseils de Julie, j’ai choisi une robe croisée à la fois sobre et sage mais élégante. Elle me fait mettre des bas. Il va faire frais ce soir parait-il, mais je me demande si ce n’est pas pour que je sois encore plus féminine... C’est la première fois que j’en porte et j’éprouve des frissons lorsque le tissu glisse sur mes jambes, encore une sensation qu’un homme ne peut pas connaître tant qu’il n’a pas essayé, waw... Elle m’aide à fignoler mon maquillage. Je me débrouille assez bien maintenant, mais l’aide d’une experte est toujours la bienvenue.
Puis elle décide de me percher sur des sandales avec un talon qui cette fois fait sept centimètres. Là, j’ai un problème d’équilibre pendant quelques minutes. Je suis certain que je vais me casser la figure, ou a minima me tordre la cheville. Mais Julie me fait marcher de long en large plusieurs minutes jusqu’à ce que je trouve mon équilibre. Finalement, ce n’était pas si terrible ?
— Tu vois, tu y arrives super bien.— Si tu le dis… Mais je sais, pas… enfin, je suis obligé de me déhancher à chaque pas pour que ce soit naturel, tu ne trouves pas ?— Mais si, justement. C’est çà qui donne une démarche féminine, répond-elle en souriant. Tiens, dernier détail, passe çà.— Un string ? Euh… il n’est pas un peu petit ? Je vais avoir l’impression d’être cul nu avec çà ?— Tu vas être super sexy. Moi j’adore çà… et mon frère aussi !— Ah ? Parce que tu penses que ton frère… Et tu me dis çà comme çà ?— Qui peut savoir ? Répond-elle avec un sourire malicieux.
Me voilà bien… Je me demande dans quelle mesure Julie ne m’a pas tendu un piège. En tout cas, si son frère se comporte comme les deux crétins de l’autre jour, je lui fait remonter ses boules au niveau des amygdales d’un coup de genou. Juré ! Un petit gilet sur les épaules, on est partis.
Je suis tendu. J’ai peur. Mais ma peur va s’évanouir une fois au contact de la famille de Julie. Déjà tout le monde me claque la bise ! Son père m’accueille courtoisement. Sa mère chaleureusement : elle est tellement contente que sa fille ait une copine. Et puis il y a son frère Michel, un beau mec, il n’y a pas à dire : grand, élancé, une barbe courte qui pique un peu, très gentil… Quoique sur mes gardes, je ne peux m’empêcher de le trouver séduisant… Bref ; on verra bien.
Toute la soirée, l’aimable famille va me mettre en confiance. A aucun moment, ils ne me font sentir ma différence. Sans doute habitués à Julie, ils me parlent uniquement au féminin, ils ne m’appellent que « Danielle » et çà  fait marrer Julie de voir mes réactions. Du coup, j’essaie de répondre aussi « au féminin », et je m’empêtre dans les genres, je bafouille, je reprend mes mots. Bien entendu, je dois leur expliquer comment je suis devenue une trans. Je leur raconte alors mes pulsions. Je passe sous silence ma découverte avec le guérisseur, je ment et je brode un peu sur l’ancienneté, je relate ma rencontre avec Julie… Et plus je leur raconte mon histoire, réelle et virtuelle, et mieux je me sens dans ma peau. Je me sens femme, j’oublie ma masculinité, je SUIS femme. C’est çà être femme ? Alors si c’est çà…
Le repas s’est merveilleusement passé. Julie propose alors d’aller finir la soirée chez elle… Michel est d’accord, d’autant que c’est pratiquement sur le chemin de sa maison. Ah, donc Michel vient avec nous… Je me demande si… Mais il s’est vraiment comporté en gentleman toute la soirée. Oui, OK, j’avoue, il me plaît ! Suffisamment en tout cas pour tenter l’expérience. Ou pour dire autrement, s’il dit oui, je ne dirai pas non.
Une fois chez Julie, le jurançon et l’izarra aidant… Bon, on est un peu chauds, faites pas comme nous, ou alors avec modération… La conversation a dévié de façon coquine et Julie a commencé à raconter quelques anecdotes croustillantes entre son frère et elle ! Eh ben, les petits cochons… Si elle cherche à m’exciter, c’est gagné. J’ai des points durs du coté du service trois-pièces, et Michel a comme une énorme poutre sur le haut de son pantalon.
— J’ai parlé de la taille de ta bite à Danielle, dit Julie dans le courant de la conversation. Tu lui fais voir ?— Julie ! C’est un peu gênant, répond Michel semble t-il sincèrement. Tu vas choquer Danielle ?— Non, ne t’inquiète pas, dis-je en riant, je crois que j’en ai vu d’autre. Et Julie m’en a tellement parlé que j’aimerai bien vérifier ses dires.— Bon… Dans ce cas…
Il se relève et dégrafe son pantalon…. Je suis médusé ! Quoiqu’au repos, l’engin lui tombe facilement à mi-cuisse ! Je suis sur qu’une fois en forme, il doit largement dépasser son nombril ! Et l’engin commence semble t-il à durcir. Julie se met à rire.
— Et encore tu n’as pas tout vu, me fait-elle.— Julie, non, tu ne vas pas….
Mais Julie n’a cure de la réflexion de son frère. Elle s’est mise à genoux et ouvrant largement la bouche, entame une fellation sur l’énorme organe qui prend rapidement des proportions dantesques… Michel laisse faire. J’y crois pas… Elle est obligée d’ouvrir grand sa bouche et n’arrive à en engloutir qu’une petite partie. Et même quand elle y rajoute sa main, il y en a quand même un bout qui dépasse. Elle interrompt juste sa fellation pour m’apostropher.
— Tu viens nous rejoindre ?
Ça fait un moment que sans m’en rendre compte j’ai commencé à me caresser à travers ma robe. Tant pis, au diable mes bonnes résolutions ! Je me met a coté d’elle et referme ma bouche sur la hampe de l’organe, Julie s’acharnant sur le gland. Puis elle me le prête. C’est énorme ! Je ne peux l’avaler, je peux juste comme elle lui sucer le gland pendant qu’à son tour elle noie la tige sous des flots de salive. Michel est doux. A aucun moment, il ne cherche à nous forcer et heureusement car sinon, je pense qu’il nous déchirerait la gorge ! Au contraire, il se conte de caresser nos cheveux en soupirant d’aise. Et puis Julie se retire.
— Tu vas voir, me dit-elle… Michel, vient m’enculer !
Non c’est pas possible, la bite de Michel fait bien cinq centimètres de diamètre, et je ne vous parle même pas de la longueur. Elle ne pourra jamais, du moins c’est ce que je crois. Elle s’est mis à quatre pattes. Je me suis assise sur mes talons, devant elle. Je veux voir çà… Michel se met derrière elle, descend son visage, lui lèche l’anus jusqu’à ce que Julie s’ouvre spontanément. Alors il se redresse, positionne son engin au contact de sa rondelle et exécute une poussée lente…
Pendant longtemps je garderai le souvenir du visage de Julie à ce moment là. Alors que je vois l’énorme gland s’enfoncer entre ses fesses, je vois sa bouche s’ouvrir comme pour pousser un cri qui ne sortira jamais, comme un appel muet. Ses yeux deviennent exorbités. Puis sur une nouvelle poussée de Michel, Julie capitule. Ses yeux se referment, elle laisse filtrer un long gémissement pendant que son frère disparaît progressivement dans ses fondements. Frénétiquement, elle m’attrape par l’épaule, elle m’embrasse furieusement. Il lui faut un dérivatif à la douleur. Ou au plaisir. Je ne sais pas. Michel a commencé ses allers-retour, lentement d’abord, puis plus vite. Julie gémit à chaque mouvements de son frère. Elle m’embrasse en même temps, tout en se branlant frénétiquement. Il la baise ainsi plusieurs minutes, jusqu’à ce que Julie se morde les lèvres et me regarde sauvagement.
— Michel ! Sort !
L’homme se retire arrachant un dernier soupir à Julie. Elle s’allonge, reprend sa respiration.
— Je n’aurai pas tenu dix secondes de plus, dit elle. Danielle, tu veux essayer ?— Je serai très doux, lance Michel à son tour. Si çà ne va pas, on arrête tout de suite. Ça te va ?
J’ai la trouille ! J’ai vu Julie prête à tourner de l’œil sous les assauts de son frère. J’ose à peine imaginer ce que je vais ressentir. Mais je suis encore plus excitée que terrifié. Alors, OK ! C’est mon tour… Comme Julie, je me met en levrette. Julie s’est mise en face de moi et me prend par les poignets.
— Pourquoi tu fais çà ?— Pour t’empêcher de t’échapper, me dit-elle en riant.
Je sens  la langue de Michel contre mon anus. Il me lubrifie, me force légèrement. Je cède … Sa langue vient aussi loin qu’il le peut, il veut me lubrifier le plus possible. Puis je sens le contact de son membre entre mes fesses…
Je crois mourir ! Cette fois, c’est moi qui cherche ma respiration. J’ai cédé à la première pression, je suis déchiré, ouvert en deux, quelque chose comme çà. La dilatation est affolante, j’ai l’impression de la ressentir jusque dans mon estomac. Michel a stoppé sa progression… Il attend que je me détende, ce qui finit par arriver par l’action conjuguée de ses mains sur mes fesses et des embrassades de Julie. Alors cette dernière en souriant me dit :
— Détends-toi ; maintenant, il va te pénétrer…
Quoi ? Il ne m’a pas vraiment ? Il avait à peine ouvert mon anus ? Ooooh………. Sous une nouvelle poussée, je le sens venir en moi centimètre par centimètre. J’ai un mouvement de dérobade, c’est horrible ! Mais Julie m’a bloqué ! Michel alterne les poussées et les temps d’arrêt, me laissant le temps de m’habituer à son monstrueux engin. Il continue ainsi jusqu’à ce que je sente les poils de son pubis effleurer mes fesses…
Puis commence réellement ma baise. Lentement il se retire avant de replonger au plus profond de moi. C’est pas possible… Mon cul a accepté un engin pareil ! La douleur fait progressivement place à un plaisir qui se fait de plus en plus insistant au fil des minutes. Profitant de ma bouche ouverte, Julie a fourré sa queue dans ma bouche. Je sais plus ou j’en suis, partagé entre la baise que m’inflige Michel et les délices de la fellation que je fais à Julie. Soudain, je la sens se raidir, et des giclées de sperme me remplissent la bouche. Pauvre Julie, c’était trop pour elle, elle n’a pas tenu ! Et moi, je ne vais pas durer bien longtemps. Je veux me masturber moi aussi, pour en finir, j’en peux plus. Mais Julie m’attrape les mains.
— Non Danielle, cette fois, c’est sans les mains !— Quoi ?
Elle veut que je jouisse du cul sans aide ? Mais j’en peux plus ! Il est en feu ! Michel me baise maintenant à forte cadence. Ses boules frappent les miennes, son pubis claque contre mes fesses ! Mon anus se crispe de plus en plus souvent de plus en plus fort, de plus en plus longtemps. Je veux me branler ! Et Julie qui me coince les poignets. Insoutenable ! Et cette crispation qui n’en finit plus, je crie, je capitule, je me vide en un long écoulement continu, oh mon Dieu, je jouis du cul !
Je m’écroule sur le sol. Julie me retourne m’embrasse langoureusement… Je distingue Michel au-dessus de nous, se branlant frénétiquement de ses deux mains. Son sperme s’écrase sur nos visage, se mêle à nos baisers, tout tourne, je sais plus ou j’en suis, mais quel pied !!! Oh Michel, Julie n’avait pas menti : non seulement tu es un super baiseur, mais tu t’es comporté vraiment en gentleman. Tu m’as réconcilié avec la gent masculine...
 Michel est rentré chez lui. On s’est promis de se revoir souvent. Je passe la nuit chez Julie, dans les bras l’une de l’autre. Je revis cette journée en boucle. Un pur bonheur ! Bien sur, j’ai l’anus douloureux encore pour un bon moment, mais quel bonheur d’avoir été traité ainsi, d’un bout à l’autre comme une femme…
A notre réveil, Julie remarque mon air pensif…
— Çà ne va pas ma chérie ?— Oh si Julie, çà n’a jamais été aussi bien. J’ai juste pris une grande décision et plus que jamais tu vas m’aider. J’ai décidé de changer de genre. Dorénavant, je veux vivre en permanence en femme !
Elle me fait un énorme sourire, la bouche fendue jusqu’aux oreilles.
— Alors au boulot ma chérie, on va faire de toi la femme la plus sexy de la Terre. Et d’abord, tu vas oublier ton coté masculin et tu vas parler désormais uniquement au féminin !
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