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l'histoire de Catherine

Chapitre 2

Erotique
Après cet après-midi de bonheur avec Loïc, je me sens complètement femme. Presque adolescente même, comme si je retrouvais un amour de jeunesse. Il est aux alentours de dix-huit heures trente. Je propose à mon bel amant de prendre une douche commune.
Nous nous passons le gel douche sur nos deux corps, dans un geste de tendresse, il me lave les cheveux, me prends dans ses bras. Je suis en extase, je n’avais plus ressenti ce sentiment de tendresse depuis de nombreuses années. À la fin de la douche, Loïc me propose d’aller dîner dans un restaurant qu’il connaît bien et qui se situe à une demi-heure de route de la maison en bord d’océan.
Un peu inquiète de rencontrer une connaissance de mon mari, j’hésite. Tout de suite, il me rassure en me disant que ce sont des amis à lui qui tiennent le restaurant. Je pars dans la chambre pour me trouver une tenue, Loïc fait de même. Je décide de porter une robe qui me met en valeur, elle est noire, m’arrive juste au-dessus du genou, je prends un ensemble de sous-vêtements noir en soie (petite surprise pour la fin de soirée), lui de son côté est habillé d’une chemise blanche et d’un pantalon noir.
Nous voilà partis au restaurant. Il se situe réellement sur le bord de l’eau. Le coucher de soleil reflète, la carte postale est magnifique. Le dîner se passe à merveille, le tout accompagner d’un vin blanc qui me fait un peu tourner la tête. En sortant du restaurant, nous décidons de faire une promenade sur le sable.
Il me prend régulièrement dans ses bras, m’embrasse. Je suis vraiment heureuse. Le soleil disparaît derrière les dunes. Il est l’heure de rentrer à la maison. Légèrement joyeuse dû aux effets de l’alcool, je lui fais quelques remarques sur son côté sexy, sur sa tenue, et je vois apparaître un grand sourire sur son visage.
Une fois de retour à la maison, nous partons dans la chambre. Je suis dos à lui, je commence par enlever mes chaussures quand tout à coup, je le sens me prendre par la taille.
Il fait passer ses mains sur l’ensemble de ma poitrine. Je le laisse faire, j’adore. Il descend petit à petit les bretelles de ma robe, qui laisse apparaître mon soutien-gorge de soie. Ne le laissant pas indifférent, je sens une bosse contre mes fesses. J’en profite pour me frotter à lui. Il continue de me déshabiller, ma robe tombe sur mes chevilles.
La douceur de ses caresses sur la soie me procure encore plus de sensation. Je finis par me retourner. Je lui enlève en douceur les boutons de sa chemise, ainsi que celui de son pantalon. Je vois sa bosse à travers son boxer, je le caresse, le vois fermer les yeux de plaisir.
Je lui enlève son dernier vêtement, ce soir, j’ai décidé de prendre les choses en main et de lui montrer mon savoir-faire. Je me mets à genou, commence à le prendre en bouche, lui caresse les bourses. Je le sens en extase. Il se penche légèrement pour me dégrafer le soutien-gorge, j’en profite pour faire passer son membre entre mes seins, je fais quelque va et vient. Il met sa main derrière ma tête pour que j’intensifie le mouvement, puis me soulève et me couche sur le lit, m’enlève ma culotte et commence à me dévorer l’entrecuisse.
Il joue avec mon clitoris, me pénètre avec sa langue, met ses doigts au plus profond de moi, je pousse des cris et jouis tout ce que je peux. Je le sens même glisser sur mon petit trou qu’il me lèche avec passion, qu’il me pénètre avec un doigt puis deux qui me procurent un énorme frisson en moi.
L’alcool aidant, je ne m’oppose même pas, je le laisse faire. Il se présente alors devant mon vagin, me prend par les hanches me soulèvent un tout petit peu et s’empale en moi. Commence alors les vas et vient, un vrai bonheur. Il est même plus virulent que tout à l’heure au bord de la piscine. Je dirais qu’il se lâche, qu’il est plus viril.
Ce qui n’est pas pour me déplaire. Le côté bestial me plaît. Ses va et vient sont plus rapide, puis il me met à genou, je me fais prendre en levrette, une position que j’adore, je sens mes fesses claquées fortement sur le bas de son ventre. Je sens en moi, un orgasme monté.
Je crie, je transpire, nos corps glissent. Je ressens alors la chaleur de sa langue sur mon petit trou qui s’écarte tout seul. Il présente son membre à l’entrée, fait tout doucement, et d’un coup entre en moi. Un peu douloureux, mais délicieux à la fois drôle de paradoxe. Je le sens en moi faire des va et vient. Il me fait aimer la sodomie, moi qui en avais peur, j’en suis fan. Sa façon de faire me plaît beaucoup. Il continue de me limer. Je lui demande alors de me mettre sur le dos, je le veux en moi pour jouir, j’adore sentir la chaleur du liquide se propager à l’intérieur de moi surtout en position du chandelier.
Je m’empale sur lui commence les vas et vient, j’accélère, je sens son membre grossir, et exploser en moi. Je m’allonge sur lui d’épuisement. Je suis heureuse de savoir que je vais passer ma nuit avec un homme comme lui. Loïc m’embrasse, éteint la lumière et me souhaite une bonne nuit. Il me prend dans ses bras. J’ai la tête dans les étoiles. Demain, j’espère que son travail ne lui prendra pas beaucoup de temps et que nous pourrons continuer à mélanger nos corps dans le plaisir du sexe et de la tendresse. Cette soirée est fabuleuse, je ferme les yeux et repense à ses moments inoubliables.
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Loïc s’est endormi comme un bébé. Demain, il doit quand même continuer à nettoyer la piscine et la terrasse afin que nous ayons plus de temps pour nous. Que va-t-il me réserver pour la suite ?
Il est tellement attentionné, tendre, gentil, fait bien l’amour. Je suis aux anges et dire que mon mari revient dans quarante-huit heures me désespère. Allons, passons.
Le réveil sonne, il est sept-heures trente, je palpe mes draps et je n’y retrouve plus Loïc. Où est-il passé ? Je n’entends pas les machines dehors, ni le bruit de la pompe de la piscine. Quand tout à coup, le portail s’ouvre. Je descends en vitesse avec une simple nuisette sur les épaules. Plus de peur que de mal, il était parti chercher des viennoiseries pour le petit-déjeuner. Il entre dans la maison, se dirige vers la cuisine, me fait un café puis nous discutons de tout et de rien.
À huit-heures, il décide de commencer son travail afin de terminer le plus rapidement possible. Il m’indique qu’aux alentours de 11h30, nous partirons en bord d’océan, pour profiter de la chaleur des vagues et du soleil. Je monte dans ma chambre, je me mets un paréo avec un maillot de bain plus classique.
Le bord de plage avec tous ces regards vicieux me désespèrent. Lui aussi se met en short. Nous partons en direction de l’océan, coup de chance, nous trouvons une place à proximité de l’entrée principale. Arrivé sur la plage, le monde n’est pas encore présent sur place.
Loïc me prend par la main et me dirige sur le côté de la plage, nous marchons environ dix minutes et nous voici dans un coin de nudiste. Il me dit que pour lui, c’est une habitude et qu’il aime la tranquillité de ce côté de la plage. Un bar avec une terrasse se situe dernière nous avec des chaises, des tables et une musique envoûtante faisant penser de suite aux vacances. Nous installons nos deux serviettes côte à côte, puis le parasol. Je décide de commencer par avoir juste les seins nus après tout qui ne le fait pas à la plage de nos jours, pendant que Loïc se met intégralement nu. Il se couche à mes côtés, m’embrasse et parfois me caresse le bout de mes tétons.
Je décide alors d’aller dans l’océan afin de calmer nos ardeurs, après tout, nous sommes sur une plage nudiste il y a des règles de bonne conduite à respecter. Nous sautons dans les vagues, nous nageons ensemble et bien sûr, nous nous faisons des câlins.
De retour sur la plage, qui en une demi-heure est un peu peuplé, je vois des femmes et des hommes entièrement nus. Je me lance le défi de faire comme eux. Me voilà sans vêtement sous le soleil, je sens parfois le vent glisser entre mes cuisses, une sensation très agréable d’ailleurs.
Loïc à mes côtés me félicite. Je suis heureuse avec cet homme, je me découvre de jour en jour. Je suis une nouvelle femme. Tout à coup, une jeune fille d’environ vingt ans s’approche de nous. C’est une serveuse du bar musical, qui est en haut de la plage. Je commande un cocktail sucré tout comme Loïc, plus un saut avec quelques glaçons, dit-’il.
Je lui pose la question, à quoi vont servir les glaçons, c’est une surprise me dit-il. La fille revient avec les deux cocktails et donc ce fameux saut. Nous trinquons à ce moment de tranquillité, buvons notre boisson, quand soudain, je sens un froid intense me parcourir le corps.
Loïc avait fait glisser un glaçon le long de mon dos. Il me dit que c’est pour activer les sens de mon corps comme ce fut le cas autour de la piscine lorsqu’il m’avait passé la crème solaire. Il est vrai que la sensation m’a procuré beaucoup de frissons. Puis je me mets sur le dos légèrement relevé sur les mains, il en profite pour faire de même avec le glaçon, mais entre mes seins puis entre mes cuisses.
Le contact de la glace avec mon clitoris a eu un effet électrisant, j’en ai même poussé un cri. Pris dans un élan de jeu, je saisis une poignée de glaçon que je colle contre le membre de Loïc. Il se lève aussitôt, l’effet est destructeur, sa verge se dresse comme un soldat au garde-à-vous.
Nous entendons des rires de la part des gens qui nous entourent, puis la jeune serveuse s’approche de lui pour lui faire un compliment sur la taille de son membre. Un peu jalouse, je réplique aussitôt. Loïc me rassure en me disant que c’est une amie à lui. Il me propose même d’aller faire connaissance avec elle au bar.
Arriver devant le comptoir, nous commandons une bière fraîche. J’apprends que la jeune fille s’appelle Tatiana, elle a vingt ans, elle est brune, une poitrine qui est plus grosse que la mienne à coup sûr, et qu’elle connaissait le jeu du glaçon que Loïc m’a fait.
Un peu surprise, elle m’annonce que je suis la première à avoir pu le mettre en forme en le contrant dans son jeu. Elle m’offre une coupe de champagne. Loïc demande à la serveuse, si la pièce derrière le bar qui sert de couchette pour les soirées échangistes est disponible. Affirmatif.
Que va-t-il me préparer. Nous entrons dans la pièce avec la jeune serveuse. Le sexe au garde-à-vous, je le sens exciter comme un jeune puceau. C’est alors qu’il se rapproche de ma bouche et m’embrasse. Je n’hésite pas une seconde, je prends son membre en main, me mets à genou et lui fais une fellation.
À ce moment-là, je sens une main me toucher le bout des seins, et le bas du ventre. Tatiana veut aussi profiter du spectacle. Après tout, c’est une fille, pour moi il n’y a pas tromperie. Elle se met en soixante-neuf au-dessus de moi, pendant que Loïc le membre enfoncé dans ma bouche lèche le vagin de la jeune fille, qui ne tarde pas à me projeter un jet de mouille sur mon visage.
Moi-même la douceur de sa langue m’a procuré un plaisir énorme. Loïc avec son membre se dirige vers l’entrée de mon vagin, que j’écarte sans broncher, il s’enfonce d’un coup, je suis tellement mouillée qu’il n’a aucun mal à me pénétrer. Tatiana dans le même temps, se positionne au-dessus de ma bouche, et pose ses fesses sur mon visage. Je lèche sa petite chatte épilée et son petit trou. Loïc lui propose de se mettre à côté de moi. Il échange les vas et vient, un coup en moi l’autre dans Tatiana, il nous prend de plus en plus fort, il décide alors de nous mettre côte à côte sur un sofa, les fesses en l’air. Il me lèche le petit trou puis s’enfonce en douceur dans mes entrailles, maintenant que j’aime ça, je me laisse totalement faire. Tatiana semble plus habituer le membre de Loïc entre en elle.
Quelle scène idéale pour un homme deux femmes pour lui tout seul.
Il nous met donc à genou, nous ouvrons nos bouches pour recevoir le jus de cette partie de jambes en l’air. Nous partons ensuite nous doucher à proximité du comptoir.
De retour sur nos serviettes de plage, j’indique à Loïc que l’expérience m’a plu. C’est alors que Tatiana, nous rejoint et donne un carton d’invitation à mon compagnon. Il s’agit d’une invitation dans un hôtel proche de la plage.
Une soirée sera organisée, par un ami de Loïc...
Est-ce que l’événement de cette après-midi est un prélude à cette fameuse fête mystère?
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