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Histoire gay(e)

Chapitre 1

Gay
On se dit gay. Phonétiquement cela veut dire joyeux. Je dirai homme de joie, homosexuel. Voici une appellation curieuse. Un gay ou gai c’est-à-dire quelqu’un qui éprouve une attirance sexuelle pour une personne de même sexe peut-il assumer pleinement sa gayté? Et le bis-sexuel? Qu’est-ce qu’un bis-sexuel? A priori ce serait une personne qui à une fesse côté hétéros et une autre côté homos. Il affirme qu’il aime se faire mettre et je parle en connaissance de cause. Il y a une hypocrisie dans cette assertion. On ne veut pas s’afficher complètement homosexuel comme on ne peut pas revendiquer complètement son hétérosexualité. On garde un pied, que dirai-je, une fesse dans chaque camp. Or dès lors qu’on a goûté au sexe d’un mâle on ne peut qu’être marqué par cette expérience intense qui occulte la relation hétérosexuelle. De ce fait, on est homosexuel. Car on ne peut pas être gay par intermittence. En d’autres termes nous ne sommes pas des homosexuels de circonstance. Celui ou celle qui a fait l’expérience d’un amour homosexuel même une seule fois est catégoriquement homo. Donc un homo/gay assume son activité à plein temps. Il est certain, en ce qui me concerne que l’on est (et j’en suis) homo à partir du moment où a tenté une relation homo et ce, bien qu’on vit avec une femme. On remarque donc que ce sont généralement les hommes mariés qui s’affichent bis. J’ai rarement vu un homme marié se proclamer homosexuel. Il se dit gay et souvent bis. Ce dernier est donc éclectique. Il est ouvert. C’est le cas de le dire. Alors que l’homosexuel qui donne l’impression d’afficher une certaine féminité serait passif, le bis au contraire serait actif , enfin le gay pourrait être auto-reverse. Mais toutes ces catégories ont un point commun qui est la recherche de l’amour physique avec des hommes et la proximité avec les femmes. Ils ont la faculté de séduire une femme sans la toucher. Celui qui trahit ses penchants est rejeté par d’autres. Combien de fois a-t-on vu des gens intolérants manifester leur haine pour les homos, pourtant inoffensifs. Ces autres sont en général des homosexuels qui s’ignorent ou qui refoulent leurs penchants pour le même sexe. La peur de ceux qui jettent l’anathème sur les homos se manifestent par la violence verbale et physique. Ils sont ostracisés, honnis.Ma première expérience homosexuelle date de longtemps. Dès ma tendre enfance j’éprouvais une attirance pour les hommes. La première fois j’ai offert mon derrière à un invité qui dormait dans la même chambre que moi. Il essayait de me pénétrer bien qu’il ait lubrifié son sexe et ma rondelle avec la salive, de forcer le passage mais il ne parvint pas. Il me faisait mal. J’en criais de douleur. Prenant peur de me déchirer il s’abstint de me baiser. J’en fus frustré. Cela est devenue une obsession. Je cherchais la compagnie d’adultes qui avaient une très grosse bite pour satisfaire mes pulsions. Pour me défoncer. J’ai dû refouler mes instincts jusqu’à un âge mûr. Mes pulsions s’affirmèrent et je voulus les satisfaire en réalisant mon fantasme qui consistait à me faire mettre et jouir de plaisir. Je cherchais de grosses bites, celles qui m’avaient manquées des années durant. Je pus atteindre l’extase et je criais de plaisir. Je jouissais du cul. C’est le summum de l’extase. Enfin j’ai réglé le problème avec moi-même. En apparence. Car je vis avec une compagne. je ne la touche plus. Elle ne me fait pas envie. Du reste, les femmes ne m’attirent plus. Elles ne me font pas bander. par contre, un homme bouleverse mes sens. Alors qui suis-je, un homosexuel? Un gay ou un bis?Moi, cela ne me dérange pas de me faire traiter de pédé, pédale, folle, follasse, gomorrhéen, tafiole, sodomite, tapette, tante, tantouze, tarlouze...Ces appellations permettent à des frustrés de se défouler sur ceux qui n’ont pas les mêmes pratiques sexuelles qu’eux.
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