Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 19 J'aime
  • 6 Commentaires

Histoire honteuse

Chapitre 1

Divers
On a tous vécu ou provoqué des événements dont on n’est pas très fier. Ne soyez pas hypocrite et cherchez dans votre mémoire. Je suis sûr que vous allez trouver. En ce qui me concerne, il y a bien une anecdote dont j’ai particulièrement honte. Ce fut embarrassant … et aussi douloureux.
A l’époque, j’étais jeune mécanicien dans un garage. Plutôt beau gosse, je roulais des mécaniques auprès des filles …. Enfin bon, le genre de truc qu’on a tous fait pour leur vendre du rêve, les emballer et, au final, se les faire dans un plumard. J’avais la chance d’avoir un patron qui avait plein de véhicules de collection. Il était passionné (et l’est toujours) par les voitures américaines d’autrefois. Parfois, sous prétexte de les faire rouler, Il m’en prêtait une pour le weekend ou une soirée. Mon boss était loin d’être con. Il savait très bien que je le faisais pour épater les filles et croyez-moi, au volant de ces bolides, je n’hésitais pas à passer pour un riche playboy collectionneur de belles voitures et de conquêtes féminines.
Ce jour-là, il m’avait prêté une Cadillac décapotable de …. Oh et puis merde j’ai oublié l’année mais ce n’est pas important. Bref, j’avais dégotté une belle petite depuis quelques semaines : une superbe brune au physique de mannequin et une belle paire de …. Je vous laisse imaginer. Je lui avais proposé une ballade en bagnole sur les routes de campagne. Ça faisait un moment qu’on sortait ensemble et, au lit c’était une vraie tigresse. Bon sang, elle était bonne. Pour cette ballade on avait prévu de faire un câlin dans la bagnole en pleine campagne, puis passer la nuit dans une auberge de charme des environs.
On était dans la bagnole, moi au volant et elle à côté, à rouler à toutes bombes sur des routes de campagne. Ma copine, Maeva ou Noëlla je ne sais plus … enfin bref un nom en A (à l’époque y’en avait tellement que je ne pouvais pas me souvenir de tous leurs prénoms), avait préparé un panier piquenique et une bouteille millésimée qu’on avait commencé dans la voiture. On était joyeux. On rigolait bien puis elle s’est mise à ouvrir ma braguette alors que je conduisais et a commencé à me sucer. Ça se passait bien jusqu’à ce que je voie au loin deux gendarmes avec des jumelles, surement un radar. Sur le moment, je me suis dit « Putin chuis dans la merde ». J’ai demandé à ma copine de rester planquée le temps de passer, espérant qu’ils ne l’auraient pas vu à l’œuvre.
Comme je le craignais ils m’ont fait signe de m’arrêter. Le premier semblait avoir la trentaine, costaud, bodybuildé, blond, athlétique et la boule à zéro malgré un bouc finement taillé. L’autre, la quarantaine bien passée, imposant et bedonnant, rasé de près avec un regard dur. Tous les deux portaient leur uniforme : pantalon en toile noir, polo bleu ciel avec les chevrons aux épaules et casquette avec écrit dessus « Gendarmerie nationale ». On est passé devant eux et je me suis garé de manière à leur faire dos pour que ma copine se relève. J’ai alors coupé le moteur et c’est le plus vieux qui est arrivé.
— Messieurs-dames bonjour, gendarmerie nationale. Vous avez pourquoi je vous arrête ?— Dites toujours.— Vous avez été contrôlé à cent vingt kilomètre-heure sur une route à soixante-dix.— Ecoutez, je peux tout vous expliquer.— C’est quoi ça ? Mmmh on ne se refuse rien dites donc. Dit-il en récupérant la bouteille qu’on avait bien entamé.— Vous pensez-bien que je n’y aie pas touché. Vous par contre si vous voulez allez-y.— On va vérifier. Souffler là-dedans. Ordonna-t-il en me tendant un éthylotest
J’étais en train de soufflé mais je connaissais déjà le résultat. Il voyait que je n’y mettais pas du mien et me commandait de souffler plus fort (c’était les modèle à ballon à l’époque). A côté, son collègue regardait mes papiers et la carte grise. Il signala à son collègue que les noms étaient différents. Ils ont cru que j’avais volé la voiture et j’ai dû tout leur dire alors que ma copine, qui me prenait pour un riche playboy, écoutait.
— Bon bah c’est positif de chez positif. Résumons donc, conduite en état d’ivresse, excès de vitesse, vol de voiture,…— Ah non je ne l’ai pas volé. OK la voiture n’est pas à moi mais elle est à mon patron.— Comment ça ?— Je suis mécanicien et mon boss collectionne les bagnoles anciennes. De temps en temps, il m’en prête une et je m’en sers pour draguer. Vous savez ce que c’est quoi. Avec une belle bagnole, on drague plus facilement …. Ai-je dit en voyant ma copine dans la bagnole faire la tête comprenant que je lui avais menti.— On va vérifier ça. De toute façon rien qu’avec les deux premiers chefs d’accusation, vous êtes notre grand gagnant du jour, bravo.
— Et ça va se terminer comment ? ai-je répondu en voyant le visage de ma copine, déçue par la couardise dont je faisais preuve.— On va prendre votre permis et la voiture. On va trouver le propriétaire et la lui rendre ….— Vous n’allez pas faire ça ? S’il vous plait, sans mon permis je ne pourrais plus aller bosser et si mon boss apprend …— Ça fallait y réfléchir avant.— Ecoutez …. Y a pas un moyen de s’arranger, Entre mec ?— Comment ça ?— Y a personne pour regarder. On est isolés entre les champs. On pourrait trouver un terrain d’entente. Personne ne le saura.— Où voulez-vous en venir au juste ?— Bah … elle est belle la voiture ?— Oui.— Ma copine aussi ?— Aussi.— Vous pourriez … Je ne sais pas moi …. Essayer la voiture …. et ma copine.— ….. On va y réfléchir. Ont-ils dit avant de s’éloigner pour discuter.
Sur le moment, j’étais prêt à tout pour repartir sans ennui et donc à proposer n’importe quoi. C’est après avoir tout entendu que ma copine tira sur ma chemise pour attirer mon attention.
— He ! Ho monsieur le mytho, tu ne crois quand même pas que je vais me laisser faire quand même ?— Je t’en prie, s’il te plait.— Non mais même pas en rêve.— Ecoute, ils t’ont vu me tailler une pipe dans la voiture. T’es aussi mouillée que moi dans cette affaire. Promis, s’ils te filent une amende je te la paie mais s’il te plait joue le jeu.— Tu vas me le payer.
C’est après cette courte conversation que les deux gendarmes sont revenus.
— Ok C’est d’accord.— Ah super.— Je peux y aller ? Je peux essayer maintenant ?— Oui, oui bien sûr. On va s’éloigner et vous laisser seuls
C’est là que le plus vieux des gendarmes, surement le plus gradé, se présenta à celle dont j’ai oublié le prénom, s’est assis sur le siège conducteur et a commencé à lui parler de tout et de rien. De son coté, elle lui souriait, lui faisait son numéro de charme mais me regardait avec un regard assassin. De là où j’étais, après les avoir entendu discuter, j’ai entendu le zip de la braguette de celui qui avait pris ma place et ma copine s’est penché sur lui. J’ai alors commencé à parler avec l’autre gendarme, le plus jeune.
— Bon bah c’est parti. Vous allez voir. Ma copine … c’est vraie une bombe. Vous n’allez pas le regretter.— Bah en fait, moi je suis plutôt conducteur que conductrice en fait.— < Glurp > …. Comment ça ? ai-je demandé ayant eu peur de comprendre.— T’es plutôt mignon. T’es de quel signe ? me demanda-t-il en se rapprochant de moi avec le sourire et en me scrutant de haut en bas.— Euh …. Vierge pourquoi ?— Tu ne vas pas le rester longtemps. Tu viens ?— Comment ça je ne ….. Oh non pitié pas ça. Ai-je dit en comprenant réellement où il voulait en venir.
Dans quel guêpier je venais de me mettre ? Pas de bol j’étais tombé sur un flic homo et je devenais l’objet de ses convoitises. Je me suis retourné vers la voiture où l’autre gendarme, que j’entendais pousser des soupirs de satisfaction, commençait à caresser les fesses de celle qui lui taillait une pipe quand son collègue m’a fait signe de le suivre. « Bon, tu fais ce qu’il veut et c’est fini. C’est juste un mauvais moment à passer. Si tu veux t’en sortir va falloir y passer » me suis-je dit avant de le rejoindre à sa voiture.
On était derrière la voiture de police et je voyais qu’il avait un regard malsain. Il m’a alors saisi le menton pour tenter un baiser mais j’ai tourné la tête.
— Je ne te plais pas ? c’est ça ?— Pour ça il vous faudrait des nibards et une foufoune.— Arrête avec le « Vous ». Tu peux me dire « Tu ». Bon d’accord, tu ne veux pas m’embrasser, ok mais tu vas te mettre à genou.
Ce que je craignais était en train d’arriver : j’allais devoir sucer ce type. Je n’en avais aucune envie mais il allait falloir que je le fasse quand même. En même temps, ça sonnait aussi à mes oreilles comme une opportunité. Si j’arrivais à le faire jouir avec ma bouche, peut-être qu’il n’en voudrait pas à mes fesses. J’avais les yeux en face de son ceinturon qu’il commença à retirer. On est resté là, l’un en face de l’autre, moi à genou et lui en slip, durant quelques secondes avant qu’il ne me dise « Bah alors ? Va-z-y déballe le paquet ». Je lui ai descendu son slip sur les genoux et …. « Oh merde ! Ya bien vingt centimètres de barbaque là-dedans. Il s’est fait opéré ou quoi ? » Me suis-je dit en voyant le morceau. C’est à contre cœur que j’ai guidé le gourdin à l’entrée de ma bouche. Me voyant trop timoré, il m’empoigna la tête pour me guider et me donner lui-même la cadence.
C’est les yeux fermés que j’ai vécu ces quelques minutes à sentir ce morceau de chaire durcir et faire des allers-retours dans ma bouche. Au son de ses grognements, je me suis dit « c’est bon, il ne va pas tarder à lâcher la purée et ce sera fini » …. Raté ! Il s’est soudainement retiré de ma bouche et m’a demandé de me relever. Nous étions l’un en face de l’autre et je craignais pour la suite.
— Bon … c’était pas mal. Maintenant tu vas te tourner, retirer ton froc, te pencher en avant et prendre appuis sur la voiture pour que je puisse profiter des tes jolies fesses.— On est vraiment obligé d’en arriver là ?— Tu refuses d’obtempérer ? Tu préfères avoir ton amende ? OK ç’est toi qui vois. C’est bizarre c’est pourtant toi qui avait proposé du sexe contre l’oubli de tes infractions.— Non, non, c’était juste une question. Regarde je le fais voilà. Pas la peine de s’énerver.— Mmmh ! t’as la peau douce sur les fesses. J’espère que ton petit trou sera aussi accueillant et confortable.— Je n’en sais rien. C’est ma première fois comme ça et j’ai peur.— Il ne faut pas. Tu auras un peu mal au début mais t’auras qu’à serrer les dents. Et si ça peut te rassurer j’ai ça. Dit-il en sortant une capote et du gel.— Perso je préfèrerai ne pas avoir à le faire mais …. Bon aller qu’on en finisse.
C’était clair que je n’étais pas fier. Depuis là où j’étais, j’avais une vue sur l’autre voiture. Ma copine avait visiblement fini sa fellation et je la voyais retirer son haut pour se retrouver seins nus. Quand elle a vu que je la regardais elle m’a fait un sourire qui disait « Alors, tu t’en sors ? Bien fait pour ta gueule ». Elle a alors retiré sa culotte, s’est empalé sur le chibre de son amant du moment. Je la voyais, ses mains sur les épaules de son gendarme en train de se déhancher pendant que lui, lui plotait les seins et lui suçait les mamelons.
J’avais bien compris qu’elle se vengeait, qu’elle exerçait sur moi une sorte de torture ou de vengeance (appelez ça comme vous voulez), qu’elle voulait m’humilier mais je fus très vite rattrapé par ma réalité quand j’ai senti le gel lubrifiant sur ma rondelle.
— Attend stop— Qu’est-ce qu’il y a ? t’as encore changé d’avis c’est ça ?— Non je veux juste attraper mon portefeuille.— Pourquoi faire ?— Mordre dedans.— T’en fais pas un peu trop là ? Ce n’est pas si terrible que ça tu sais ?— Parle pour toi. Quand tu n’as pas ….. Aaahh !
Je n’ai même pas pu finir ma phrase qu’il commençait déjà à entrer. Une fois au plus profond, il commença son manège et moi à subir. J’étais plier en deux, à subir ce traitement en me répétant « c’est bientôt fini, courage ». Ça me brulait et je soupirais de plus en plus fort. Je mordais tellement fort dans mon portefeuille que j’avais l’impression que mes dents allaient le traverser. C’est quelques minutes m’ont paru une éternité mais l’entendre jouir à la fin m’a fait lâcher mon portefeuille. Il s’est retiré, s’est rhabillé et a rejoint son collègue qui lui aussi remettait son froc en sortant de la voiture.
Pendant que je reprenais mes esprits, je voyais les deux hommes se marrer comme des baleines. Je me suis rhabillé et je les ai rejoints en observant ma copine qui me regardait avec un sourire satisfait qui disait « bah alors, t’as du mal à marcher ? Ça fait mal hein ? Bien fait c’est tout ce que tu mérites » me voyant marcher avec difficulté alors qu’elle se remaquillait.
— Bon alors on avait un accord ? Vous avez eu ce que vous vouliez ? leur ai-je voulu m’assuré.— Oui et t’avais raison elle est bonne ta copine Toutefois …— Toutefois quoi ? il y a un problème ? ai-je demandé la peur au ventre le voyant sortir son carnet à contravention.— Alors nous avions dit conduite en état d’ivresse et excès de vitesse ….. A cela nous rajoutons donc tentative de corruption de fonctionnaires de police en service.— Quoi ! Mais …. Espèce de salop.— Ok insulte à agent en plus, ne vous gênez pas continuez ….
Je n’en revenais pas. Ce type qui venait de s’envoyer en l’air avec ma copine était en train de me la mettre à l’envers. J’ai vite compris que protester aggraverait la situation. Une fois terminé, il m’a tendu ma contredanse mais j’ai remarqué qu’il l’avait arraché avec les copies carbones qu’ils étaient sensé garder. C’est là que j’ai compris qu’ils m’avaient fait une ultime blague. Ils voulaient me faire peur avant que je ne parte. Je les voyais s’esclaffer comme des baleines. Moi je l’avais un peu mal pris mais bon c’était réglé. Par contre j’ai été surpris de voir ma copine sortir de la voiture et retirer son sac du coffre.
— Mais Chéri, tu fais quoi ?— Je me casse. Tu vas devoir te finir à la main monsieur le mytho.— Mais …— Tu m’as littéralement vendu à un autre pour te sortir de la merde et sans mon avis. En plus tu m’as menti quand tu m’as dit être un golden boy, héritier d’une grande fortune.— Je suis désolé. Ai-je répondu tout honteux pendant que les deux flics se marraient.— Tu peux. Du coup j’ai demandé à ces messieurs de me raccompagner. Et puis je n’ai jamais pu résister au prestige de l’uniforme. Dit-elle alors en se blottissant contre celui qui l’avait sauté quelques minutes auparavant.
C’est là que j’ai vu ma copine partir avec les deux gendarmes dans leur voiture. En partant, celui qui avait eu mes fesses me fit un petit bisou et un clin d’œil. Je lui aurais bien répondu par une grimace mais ils auraient été foutu de me verbaliser.
Je suis donc reparti chez moi, j’ai rendu la voiture à mon patron qui fut surpris de me voir revenir si tôt. Je ne demandais qu’une chose, oublier tout ça. Par acquis de conscience, un soir, j’ai quand même tenu à m’expliquer, voir à m’excuser avec celle qui était ma copine mais quand je suis arrivé et que j’ai frappé, j’ai eu la mauvaise surprise de voir le gendarme m’ouvrir la porte. Il était à poil sous un peignoir. Je voyais dépasser de la poche de son peignoir une paire de menotte. J’ai vite compris que ce n’était plus la peine de rester.
Au final, cette anecdote m’a filé la pire honte de ma vie. Je me la suis fait mettre bien profond par mon ex et par ce flic qui a profité de ce moment pour chopper mon numéro. Jusqu’à ce que je change de téléphone, il n’a cessé de me harceler en me laissant des messages ou des SMS en m’appelant son petit lapin. Je ne pouvais pas porter plainte sinon j’aurais surement dû tout raconter et là, ça aurait été ma parole contre la sienne (avec des fortes chances que la police prenne parti pour lui et classe l’affaire).
Bon bah voilà pour moi, c’était mon histoire honteuse, en tout cas la plus marquante. Et vous ? Vous en avez une ? Aller vous pouvez y aller, je ne vous jugerais pas.
Diffuse en direct !
Regarder son live