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L'histoire de Marie Christine

Chapitre 2

Nouvelle expérience

SM / Fétichisme
Le téléphone de  « Clarisse Productions », studio spécialisé dans le fétichisme et le SM, sonna.Clarisse décrocha immédiatement :
— Allo, bonjour. Ici Clarisse.— Bonjour Clarisse. Nous ne nous connaissons pas mais sachez que je suis le maître de Marie Christine, que je vous ai envoyée il y a quelques temps pour un casting.— Oui je me souviens très bien !
Clarisse se remémora  immédiatement la cougar quinquagénaire brune et  pulpeuse avec laquelle elle avait tourné une scène lesbienne fort agréable.
— Que puis-je pour votre service ?— J’ai un scénario que je souhaiterais  vous voir réaliser avec ma soumise. Est-ce que cela peut vous intéresser ?Bien sûr, de quoi s’agit-il ?
L’homme expliqua alors avec force détails ce qu’il avait imaginé pour sa maîtresse. Clarisse prenait quelques notes tout en l’écoutant. Quand il eut fini, il lui demanda ce quelle en pensait. Clarisse lui répondit que c’était dans ses cordes. A ce moment- là, l’homme rajouta  qu’il ne souhaitait pas que le film soit diffusé,  mais que par contre il était prêt à payer la réalisatrice selon ses tarifs, pour un exemplaire unique qu’elle lui remettrait.
C’était assez inhabituel dans le milieu, mais,  à partir du moment où Clarisse rentrait dans ses frais, il n’y avait pas de raison de refuser. Ils négocièrent quelque peu et se quittèrent d’accord.
Une semaine plus tard Marie Christine débarquait au studio. Elle était toujours aussi charmante et enjouée. Petite, très mince avec une superbe poitrine elle était loin de faire son âge. Elle embrassa Clarisse sur les joues et s’assit en face d’elle. Elle portait à la demande de son maître des bottes de cuir noir assez hautes, une minijupe plissée noire également, plus un t-shirt rose moulant et un « Perfecto » noir. Pas de maquillage, à quoi bon ?
Clarisse lui demanda si elle était au courant de ce qui l’attendait. Ce à quoi la bombe brune lui répondit que non, son maître souhaitant lui faire une surprise. Simplement elle rajouta que ce serait , d’après les dires de son amant, une expérience nouvelle et un pas de plus dans son parcours de soumission.
Clarisse lui demanda de la suivre en prenant les clés de sa voiture. Le trajet les mena dans un faubourg assez délabré de la ville voisine, quartier que Marie Christine ne connaissait pas. La conductrice se gara et lui fit signe de la suivre dans une ruelle qui s’ouvrait à quelques mètres de là.
Au fond de ce qui se révéla être une impasse, La brune découvrit une ancienne échoppe, transformée en boite libertine. Elle était fermée vu l’heure mais quand Clarisse toqua à la porte, quelqu’un vint lui ouvrir. Les deux femmes entrèrent.
Le portier les salua puis les guida à l’intérieur des lieux. Un corridor assez long les mena dans une première salle, un bar avec un comptoir assez neutre, quelques tables et chaises bistrot, les murs peints en noir. La salle était vide. Au fond s’ouvrait une porte qui conduisait à une salle plus grande toujours sombre et toujours vide, entourée de lourds rideaux avec une piste de danse.
Marie Christine examinait  les lieux. Elle réalisa, en écartant une tenture, que chaque jeu de rideaux cachait une pièce plus petite, des alcôves privées, où les clients pouvaient s’isoler à leur guise. Clarisse la prit par la main et la guida vers l’une d’entre elles.
L’endroit était une cabine assez petite, rectangulaire. Des tentures tendues de part et d’autres de la pièce. Au fond un téléviseur plat  que Clarisse alluma. Les deux femme se retrouvèrent face à leur image. Ce qui surprit la brune, qui se mit à rire. Clarisse lui lâcha la main et disparut derrière un des deux rideaux.
Marie Christine se retrouva seule, debout face à l’écran qui diffusait la seule lumière du lieu en même temps que sa silhouette. Elle regardait fixement le moniteur. Son attention fut attirée par une tâche blanche, puis une autre. Elle réalisa qu’une dizaine de mains gantées de blanc émergeaient des tentures latérales par des trous ménagés à cet effet.
Les mains s’agitèrent, se rapprochant du corps de la fille. La cabine ne faisait pas plus d’un mètre de largeur, ce qui voulait dire qu’un bras tendu pouvait facilement atteindre la tenure en face de lui. Les marionnettistes invisibles se firent plus pressant. Marie Christine suivait à l’écran leurs mouvements. Deux gants commencèrent à ôter son blouson de cuir avec dextérité, tandis que deux autres mains dégrafaient sa jupette. En un instant, elle se retrouva en slip et t-shirt.  Il y avait une coordination silencieuse des mouvements, comme une chorégraphie savamment élaborée.
Marie Christine se retrouva de pied en cap,  frôlée, puis caressée, palpée pour une foultitude  de doigts, certains légers d’autres plus nerveux. Une main arracha soudainement son string de dentelle, tandis que deux grosses paluches s’attachaient à déchirer son t-shirt, heureusement fort léger. Maintenant nue, elle fut saisie aux quatre membres et  fermement maintenue ainsi immobile et écartée.
Le silence fut rompu par une bordée d’injures. « Salope ! » « vieille cochonne ! ». Des  voix mâles l’interpellaient: « Tu es une traînée, une sale  pute et tu vas avoir ce que tu mérites !» « On va te défoncer le cul, espèce de chienne ! » «On sait que tu aimes les bites, alors tu vas être servie, pouffiasse  ! »
Le changement d’ambiance était radical. Marie Christine fixait toujours l’écran.
Une première gifle lui frappa un sein. Ce fut comme un signal. Elle reçut une bordée de claques sur la poitrine , le dos, le ventre, les cuisses, la croupe.. La cougar se mit à se tortiller pour échapper aux coups. Elle gémissait mais rien n’y fit. Les claques continuèrent à pleuvoir en abondance.  Ses seins opulents constituaient une cible privilégiée. Ses mamelles tressautaient au rythme que leur imposait ses agresseurs.
Le déluge s’arrêta pour faire place à un pelotage général. Tout son corps fut palpé, malaxé, ses tétons pincés, tordus, ses orifices fouillés sans aucun ménagement. Les injures les plus diverses continuaient à fuser. Elle continuer à gigoter, à crier quand les geste devenaient trop violents
Puis les gants disparurent et le silence se fit. Clarisse réapparut, l’air souriant. Marie Christine tentait de reprendre son souffle, repliée sur elle même, les mains sur les hanches. Elle avait pleuré et suait à grosses gouttes. « On continue ? » demanda la vieille. La cougar la regarda et lui fit signe de la tête. « Suivez moi! » fit Clarisse
Marie Christine emboîta le pas de sa guide qui pénétra dans une nouvelle alcôve. Celle-ci était plus spacieuse. Assis dans des fauteuils installés en rond autour de la pièce, une dizaine de type attendaient là, nus et encagoulés la suite des événements. Au centre de la pièce se trouvait un harnais de cuir complexe, suspendu au plafond par une chaîne.
Clarisse l’emmena à la verticale de la chaîne puis lentement commença à l’équiper. La cougar brune, docile, la laissa faire. Sa taille fut emprisonnée dans une sorte de corset assez étroit qui remontait sous les seins, les repoussant vers la gorge de la quinquagénaire. Puis elle fixa les différents éléments avec minutie ; tant et si bien qu’a la fin, sa captive se retrouva pendue à un mètre du sol, le corps à l’horizontale, face contre terre, les cuisses et les bras écartés, la tête penchée en avant.
Son travail terminé, Clarisse s’écarta et fit signe aux types que leur tour était venu. Tout en se branlochant,  ils n’avaient rien loupé du spectacle, ce qui fait que la plupart d’eux étaient maintenant dans d’excellentes disposition. Impuissante, la brune attendit la suite qu’elle devinait avec quelque inquiétude.
Une des types  la saisit par un pied et le harnais se mit à tourner sur lui-même. Chacun put ainsi se rincer l’œil et découvrir l’intégralité de la morphologie de la mature. Plus d’injures maintenant, mais des commentaires : « Elle a un joli cul pour son âge, cette pute ! » « Moi j’aime bien ses mamelles, ça pend un peu mais ça a l’air encore assez ferme » « Vise un peu cette belle chatte, elle a dû en prendre des bites ».
Bref, on avait  affaire à des connaisseurs. La position de la fille permettant des actions simultanées, le spectacle pouvait commencer.
Un des gars vérifia la bonne hauteur de l’installation en positionnant sa verge tendue devant le visage de la captive. Il lui mit un, puis deux doigts dans la bouche et l’obligea à les lécher. Un autre agit de même avec son entrecuisse, crachant sur la vulve offerte pour la lubrifier, avant d’enfiler son  index et son majeur dans le vagin de la mature.
Estimant l’un et l’autre les préparatifs suffisants,  ils enfilèrent simultanément leurs membres, l’un dans la gorge et l’autre dans la chatte de la cougar. Elle se trémoussait, le type qui la baisait avait un membre épais qui  pénétrait durement son sexe, pas assez lubrifié. Elle bavait sur la bite qui allait et venait maintenant sans ménagement dans sa gorge.
Les spectateurs ne restaient pas passifs. Ils commentaient toujours, encourageaient leurs équipiers et bien sûr tripotaient avidement ce qui leur passait sous la main, sein, fesse, cuisse... Celui qui la baisait partit le premier envoyant une rasade de sperme sur ses reins. La voie ne resta pas libre longtemps, une deuxième queue vint se ficher dans le ventre vacant ;
Pendant ce temps le type que Marie Christine suçait lui avait pris la tête entre les mains pour pouvoir enfoncer son dard le plus possible dans la gorge. Elle vomit de la bile en même temps que le foutre de ce dernier. D’autres virent se faire lécher et sucer à tour de rôle. La soumise suait à grosses gouttes sous leurs étreintes. La prolifération des coïts la mettait dans un état second.
Elle reprit quelque conscience quand un type après avoir léché son anus, se mit en devoir de l’enculer. Son intimité fut déchirée sans plus de forme, lui arrachant un cri de douleur, ce dernier fut noyé par une nouvelle fellation. Son visage, ses cheveux étaient dégoulinant de sperme, son cul également . Le dernier zèbre la prit par le cul,  profitant de l’élargissement de l’orifice, largement  ouvert par  ses camarades.
Ils prit son  temps, déculant régulièrement, accélérant puis stoppant ses mouvements, le ventre collé contre la croupe de la femme jusqu’à ce que la nature l’emporte. Un jet épais au plus profond des entrailles de la cougar clôtura la séance. Elle recouvra lentement ses esprits et reprit, pantelante, appui sur le sol ferme, en cela aidée par Clarisse qui la débarrassait de  ses liens.
Il lui fallut bien plus qu’une bonne douche pour émerger de la séquence voulue par son maître. Elle n’avait pas eu d’orgasme, en tout cas pas dans l’instant. Par contre, la projection privée de ses ébats qui suivit, agrémentée des commentaires et caresses perverses de son maître, fut plus jouissive. Mais ceci est une autre histoire.
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