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L'histoire de Marie Christine

Chapitre 5

Allons à Messine

Erotique
Fin janvier, mon maître reçut la réponse tant espérée. J’étais retenue pour le concours. Il était aux anges. Pour me récompenser, il prit rendez-vous pour moi chez mon tatoueur préféré. Ce dernier posa, non pas sur mais dans  mes grandes lèvres, de petits œillets d’argent, quatre de chaque côté. Mon maître pouvait désormais, à sa guise, fermer mon sexe en glissant une chaîne, tel un lacet, à l’intérieur des orifices que le tatoueur avait pratiqués.
L’invitation officielle arriva un peu plus tard. C’est à la date du printemps que le concours était programmé, sur deux jours, dans une ancienne abbaye louée à cet effet. Le premier jour auraient lieu les épreuves de beauté et les candidates restantes seraient ensuite départagées le lendemain, lors de quatre épreuves de travail.
Suivaient les détails du règlement concernant l’organisation générale et les conditions particulières de cet événement. Par exemple, le public serait composé  uniquement de l’ensemble des maîtres de la communauté. Aucune soumise non sélectionné n’était invité. Le jury, tiré au sort, comportait 5 membres et pour la première fois une maîtresse en faisait partie.
Il restait 7 semaines pour me préparer, avant la date fatidique. Mon maître me fit injecter du Botox, dans les lèvres, celles de ma bouche mais aussi légèrement dans celles de mon sexe, également dans mes fesses pour les raffermir. Je n’en avais pas franchement besoin, mais il ne voulait négliger aucun détail. J’étais au régime et affichait 48 kilos sur la balance.  Mes côtes commençaient  à saillir sous la peau, mettant encore plus en valeur ma poitrine avantageuse, mon ventre était parfaitement plat et ma taille on ne peut plus fine.
Enfin, je dus prendre quelques jours de congé au travail pour la réalisation de mon dernier tatouage.C’était un travail très complexe et minutieux. Seules les Geishas portaient ce genre d’ornement . Au bout de longues séances, je me retrouvai hôte d’un  dragon coloré et grimaçant serpentant  définitivement de mes  épaules à mes reins. Ce fut fort long, mais le résultat était superbe.
J’avais laissé pousser mes cheveux et les fit teindre couleur jais puis couper au carré la veille du départ, ce qui fit un rappel asiatique avec le magnifique serpent qui arpentait mon dos. J’étais parée avec un peu d’appréhension au fond de la gorge. Je ne voulais à aucun prix décevoir mon maître, après tous les efforts qu’il avait réalisés pour moi.
Le lieu était classé,  isolé dans les garrigues méditerranéennes. L’abbaye datait du douzième siècle et avait été patiemment restaurée. L’ancien monastère adjacent était lui reconverti en hôtel de luxe. Il y avait pas mal de monde à la réception, des maîtres seuls ou avec leur soumise. Une fois enregistrés nous prîmes quelques moments de répit avant le premier rendez vous de la journée qui était prévu pour 10 heures dans l’abbaye. J’en profitais pour prendre une douche  et vérifier ma présentation.
Les soumises rentraient par la sacristie, tandis que les maîtres s’installaient directement dans l’abbaye. Nous étions 23, d’âge et d’origines diverses. La plus jeune devait avoir dans les 25 ans et j’étais par mi les plus matures. Il y avait trois soumises noires et une asiatique dans le lot. Un intendant nous attendait pour nous briffer. Premier temps un défilé groupé ou chacune portait la tenue qu’elle avait choisie, puis un deuxième passage corps entièrement dénudé et enfin un troisième passage individuel, le tout dans l’ordre de nos matricules.
La salle était fortement éclairée par des spots et je plissais les yeux, surprise par la forte lumière de spots. J’observai la salle, par dessus l’épaule de la fille qui me précédait. Un podium occupait toute la longueur de la nef, des chaises disposées de part et d’autres pour accueillir le public. Il y avait bien deux cent personnes. Au fond se dressait une estrade un peu plus haute où siégeait le jury. Nous devions traverser la salle puis monter les trois marches qui conduisaient à l’estrade, faire demi tour là puis revenir.
Mon maître avait choisi pour ce premier passage une tenue nouvelle. Une cape rouge sur un bustier serre taille seins nus noir, un string à dentelle et des escarpins noirs.  Un loup de satin rouge et bien entendu mon collier de soumise avec mon matricule complétaient ma tenue.
Nous avancions lentement afin que chacun puisse nous admirer nous déhanchant à,chaque pas, comme la tradition l’exige. Un chant grégorien rythmait nos pas. La variété des couleurs des tenues composait un ensemble chatoyant en rupture totale avec l’austérité des lieux.
Beaucoup d’animation dans la loge improvisée au retour.  Les filles se déshabillaient à toute l’heure puis s’examinaient attentivement dans les glaces disponibles. Bien sûr j’en fis de même. La plupart des soumises étaient fort belles, on voyait qu’elles s’étaient minutieusement préparées pour l’événement.
Le deuxième passage, toujours accompagné de chants liturgiques, fut plus lent. Sous mes yeux  ondulaient les croupes affûtées de la dizaine de filles qui me précédaient. Nous dûmes nous arrêter plusieurs fois et tourner sur nous même avant de repartir.
C’était l’heure du dernier passage. Le trac se lisait sur le visage de la plupart des soumises attendant leur tour. Celles qui revenaient semblaient fortement soulagée. Mon maître m’avait fait prendre un tranquillisant, mais je tremblais cependant un peu quand le maître de cérémonie annonça mon tour.
J’avançai lentement en fixant la table du jury droit devant moi. Une chaînette d’argent reliait les anneaux de mes seins. Celle qui était lacée entre  mes grandes lèvres se terminait par une sorte de grelot qui pendait entre mes cuisses. Le bijou oscillait à chacun de mes pas.  Arrivée au milieu de la piste, je tournai sur moi-même les mains placées derrière ma nuque, jambes écartées.
Je montai délicatement sur l’estrade et repris la même pose, puis je réalisai devant le jury les cinq autres figures obligatoires du concours : penchée en avant, croupe cambrée. Même pose avec présentation des seins, les mains les soulevant ; A genoux,  les pieds sous les fesses, bras tendus, paumes de la main ouverte. A quatre pattes, tête relevée, croupe tendue, cuisses ouvertes. Allongée sur le dos, jambes relevées et écartées, mains derrière la tête.
Soulagée, je retournai me blottir dans le confort relatif de la sacristie. Quand la dernière eut achevé sa prestation, nous fûmes autorisées à retourner dans la salle, dans le plus simple appareil. Un buffet était servi et chacun put se restaurer. Les maîtres observaient notre anatomie et nos spécificités tandis que nous déambulions au milieu d’eux. Le public participait au vote et je fis tout mon possible pour me mettre en valeur. De temps à autre je jetais un regard à mon maître qui m’évitait soigneusement à fin de ne pas m’influencer.
En début d’après-midi, nous reprîmes. Un assesseur nous attendait sur l’estrade, chacune à notre tour, pour prendre nos mensurations et vérifier notre plastique. Il annonça pour moi 110, 56 et 85. je n’avais pas bougé. 48 kilos et 1, 65m. Puis il compta mes piercings et les décrit au jury. Il me fit ouvrir la bouche et vérifia l’état de ma dentition puis me fit tirer le langue et la mesura. Suivirent le tour de mes bras, cuisses, mollets et chevilles. Il prit finalement l’écart entre mon anus et mon vagin, la longueur de ma vulve et celle de mes grandes lèvres.
J’en avais terminé. Restait à attendre le verdict. Il était fixé à 19 heures avant le repas. Mon maître et moi retournâmes à l’hôtel pour nous y reposer. Ce fut difficile pour moi. J’étais fort tendue, espérant que le dur labeur de mon maître ne serait pas vain. Il y avait tellement de filles plus jeunes et bien foutues. J’étais fort inquiète.
A l’heure dite nous rejoignîmes l’assemblée. Chacun était en tenue de soirée car il y avait un banquet servi après l’annonce des résultats. La seule consigne était que les soumises devaient se présenter dans des tenues fortement échancrées et ne devaient  porter de sous vêtements. Le jury s’installa. Il avait choisi de confier sa présidence à la seule maîtresse présente. Celle ci  déclara que chaque soumise retenue, devait à l’appel de son matricule monter sur l’estrade. Pression. Dix filles étaient concernées, les autres pouvaient rentrer chez elles après le repas.
Comme prévu le jury et le public avaient porté leur choix sur des soumises jeunes. Une superbe blonde de 25 ans, d’origine russe fut appelée la première, puis une black longiligne, que j’avais repérée. La présidente appelait les matricules, les filles montaient. Le public émettait un brouhaha de plus en plus important au fur et à mesure que le suspense augmentait. Il y avait déjà huit filles sur l’estrade, toutes aussi bien faites les unes que les autres, quand j’entendis le mot magique « S666 ». Je bondis littéralement sur le podium, si heureuse pour mon maître. Je le regardai, les yeux embués de larme. Il serra ses mains l’une dans l’autre pour me féliciter.
La soirée fut douce mais courte. Demain, il y avait les épreuves de travail et il fallait être en forme.La plastique n’était plus de mise. Les compteurs étaient remis à zéro. Les épreuves de travail consacreraient la soumise la plus valeureuse, la plus investie dans son corps, dans sa mission.
La  disposition de salle avait été modifiée depuis la veille. Au centre se tenait un grand ring où les soumises devaient chacune passer les quatre épreuves à la suite. Une croix de bois y était dressée, de même qu’un pilori. Enfin s’y trouvait une poutre de gymnastique sur laquelle était fixée une série de godes de tailles différentes.
J’étais la quatrième en terme de passage.  
Nous attendions dans la sacristie. Ce fut assez long. Les trois filles qui me précédaient revinrent l’une après l’autre, un peignoir sur les épaules, en sueur, la mine défaite, rougie par les larmes. L’un d’entre elles, la jeune russe sanglotait sans pouvoir s’arrêter.
Mon tour arriva.
Le maître de cérémonie me guida tout d’abord face au jury. Il me fit placer dans la position d’attente de la soumise debout, puis attrapa une boite dans laquelle se trouvait différents poids. Il plaça un crochet en S dans chacun des anneaux de mes tétons et mon sexe. Je reçus initialement 50 grammes de  plomb par téton et 100 grammes pour chacune de mes grandes lèvres. Je dus m’accroupir, les mains toujours derrière la nuque, puis me redresser.
Il rajouta quatre plombs de 50 grammes. Mes auréoles se tendirent et mes lèvres dépassaient maintenant de tris centimètres de ma vulve. La séance continua jusqu’à 500 grammes par sein et un kilo et demi par grande lèvre. De peur que mes chairs ne se déchirent, je lui fis signe de s’en tenir là.Le public applaudit.
Je passai à la deuxième épreuve, celle de la poutre. Une fois réglée à la hauteur de mon entrecuisse je m’avançai à califourchon, mes mains toujours derrière la tête vers le premier des dix godes, tous  de taille identique mais de diamètres de plus en plus larges.. Je me hissai sur la pointe des pieds. Je me laissai redescendre les cuisse bien ouvertes sur le gland de caoutchouc, dés que je le sentis à la verticale de mon vagin.
L’objet fortement lubrifié rentra sans peine jusqu’à ce que mon entrecuisse touche la poutre. C’est à ce moment là  que le mouvement était validé. Tout se passa bien jusqu’au numéro 6. A partir de là, les  bites artificielles n’étaient plus graissées. La taille était déjà plus que raisonnable et il me fallut redoubler d’efforts pour que ma cavité accepte ce phallus.
Je lorgnais sur ce qui m’attendait et compris que la suite serait difficile.
Le reste de corps gras au fond de mon vagin me permit malgré tout de venir à bout du septième. Je restais là embrochée cherchant une solution. Elle me vint. Je me dégageai lentement pour ne pas risquer de déchirer ma matrice et, arrivée devant le huitième gode, je crachais abondamment dessus, bavant autant qu’il m’était possible afin de le rendre glissant. Ce stratagème me permit de franchir l’obstacle.
Au neuvième phallus je n’avais plus assez de glaire pour recommencer l’opération, je décidai donc de pisser dessus. Mais il y avait un autre problème, celui de la taille. On en était rendu à celle d’un poing fermé. Je me détendis autant que possible, mais l’intromission était périlleuse. Une partie du public m’encourageait ouvertement. Je ne pouvais m’aider de mes mains car ceci était disqualifiant.
Je fis aller et venir mon sexe sur l’objet tout en me vidant des dernières gouttes d’urine que ma vessie pouvait contenir. Laborieusement je me laissai aller sur le monstrueux braquemart. Au bout d’innombrables efforts je sentis le bois de la poutre contre mon sexe. J’étais terriblement distendue, probablement déchirée.
Quand j’eus évacué le gode en poussant sur mes pieds, je remarquai quelques gouttes de sang mêlées à l’urine le long de mes cuisses. Je décidai d’en rester là, le public applaudit à nouveau ma performance. Le médecin que je vis le lendemain dut me poser  cinq points pour fermer la blessure que mes derniers efforts avaient occasionnée.
Le pilori m’attendait pour la troisième épreuve. Je me rendis compte que je suais abondamment. Tête et poignets emprisonnés, penchée à 90° les jambes bien écartées,  des pinces crocodiles furent placées sur les anneaux de mes seins et de mes grandes lèvres. L’assesseur envoya un léger courant qui me fit tressaillir, pour vérifier la bonne marche du générateur électrique.
Puis il approcha de mes fesses un gode long et souple, qui, curieusement, était gradué. Il réussit à enfoncer dans mon cul ouvert les soixante centimètres de l’engin. Ce qui suscita quelques bravos dans l’assistance. Ma gorge accepta ensuite 35 centimètres du même engin, avant que je commence à régurgiter douloureusement.
Le courant était envoyé par séquences de 5 secondes avec une pause de trente secondes et un voltage qui augmentait ensuite. Je résistai longtemps jusqu’à ce que les brûlures m’obligent à stopper le processus. J’avais la chatte en feu et mes tétons en fusion étaient raides et violacés. J’aurais sans doute pissé de douleur mais je n’avais plus de liquide à évacuer.
J’avais supporté ses épreuves sans un mot, car je savais que le moindre cri était éliminatoire.Je savais aussi que la dernière épreuve était la plus rude.
Je fus attachée, face tournée vers le public, à la grande croix de Saint André, pieds et poings liés, ouverte et offerte au fouet.
L’assesseur commença par  me cravacher les seins. Je devais compter à haute voix chaque coup. Seuls les coups qui atteignaient les mamelons comptaient. Je reçus la série de dix sans broncher. A l’avant dernier le type recula et, au lieu de tomber à plat sur ma poitrine, le fouet trop court ouvrit de son extrémité mon téton gauche qui se mit à rougir sérieusement.
Suivit ensuite la série réglementaire sur le ventre et les cuisses. Je  brûlais littéralement, des zébrures profondes formaient de petits bourrelets successifs sur ma peau tendre. Certains des coups redoublaient sur des zones déjà touchées . Je tremblai de tous mes membres.
J’avais envie d’abandonner. Je me mis à penser alors à mon maître, qui me regardait, dans l’ombre de la salle au milieu des autres maîtres. Je n’avais pas le droit de le décevoir. Je ne pouvais pas, par un égoïsme stupide ruiner tous les espoirs qu’il avait placés en moi.
C’est le sourire aux lèvres, le regard fièrement posé sur mon tourmenteur que je reçus sur le sexe les derniers coups. C’était maintenant un fouet qui, de sa méchante langue, déchirait mon entrecuisse,  ma vulve et mon clitoris.
Les spectateurs me firent une ovation pendant que mon bourreau me détachait et me tendait le fameux peignoir. Il dut m’aider à l’enfiler et me raccompagner jusqu’à la sacristie, car mes jambes ne me portaient plus. Là, une fois assise sur une chaise, on mit su mon corps des vessies remplies de glace, pour atténuer la douleur et réduire le volume des  boursouflures multiples qui zébraient mon épiderme.
Le concours s’acheva.
J’eus le droit de m’asseoir en attendant l’annonce du jury. Dans ce classement par épreuve, j’avais fini cinquième à l’épreuve des poids, deuxième ex æquo avec deux autres filles pour la poutre, une seule ayant réussi l’exercice dans sa totalité, la black. Troisième pour l’électricité. Les lauréates étaient à chaque fois différentes, ce qui fait qu’avant le résultat du fouet, celui qui donnait le plus de points, nous étions trois à pouvoir l’emporter. La black, une superbe rousse d’une trentaine d’année et moi-même.
Le jury nous fit monter sur l’estrade et annonça le résultat de la dernière épreuve. S498, la rousse était troisième, elle avait craqué sur le fouet. Restaient la black et moi, mous mous regardions du coin de l’oeil dans l’attente de l’annonce. Deux soumises pour le titre suprême.
Le jury annonça un score  très serré. Il avait dû avoir recours au décompte des poins pour nous départager. S745 , ma rivale avait obtenu  452 points sur 500, pour l’ensemble  des quatre épreuves, la dernière comptant à elle seule pour 200 points. C’était énorme. Le fait d’être allée au bout de la poutre lui donnait un avantage de 25 points sur moi.
La présidente se tourna vers moi. « S666  a obtenu finalement la note de  85 points au premier test, de 86 points pour le second, 93 pour le troisième et … 190 points pour le dernier. Avec un score total de 454 points, elle remporte finalement ce concours. Toutes nos félicitations a son maître pour son excellent travail! Les trois lauréates accèdent par ailleurs à la certification de troisième catégorie ».
Je me mis à pleurer puis à rire nerveusement.
Mon maître vint me rejoindre, sur le plateau. Fort modeste il répondait aux compliments de la salle par des mercis polis. Mais je sentais qu’il était ravi. Il resta dîner avec le jury pendant que je me reposai à l’hôtel. Il reçut un trophée avec son titre officiel. Cette distinction lui offrait le droit de participer à tous les jurys et toutes les manifestations de la communauté et surtout d’accueillir quand et autant qu’il le souhaitait n’importe quelle soumise certifiée de deuxième et même de troisième catégorie.
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