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L'histoire de Muriel

Chapitre 51

Lesbienne
Lorsque Lima revient avec son verre, Renée et moi sommes toujours enlacées et ma main s’aventure entre les cuisses de ma partenaire, cherchant à atteindre le bouton d’amour entre les poils pubiens. Mais je cherche en vain et finit par abandonner.
— Quelle toison tu as, Renée ! Finis-je par m’exclamer. Je n’arrive pas à trouver ton clitoris.— Tu cherchais trop haut, ma belle, me répond-t-elle. C’est vrai qu’avec Lima, tu n’as pas de mal à trouver son petit bouton.— Ma vulve épilée ne vous plaît pas ?— Au contraire Lima, réponds Renée, et je pense que je vais accepter la proposition que tu m’as faite cet après-midi.— Quelle proposition ? Demandé-je— Ah mystère ! Me répond Renée. Tu verras cela plus tard. Mais d’abord réchauffons notre repas. Je vous propose tout d’abord une soupe à l’oseille, bien de chez moi. Ensuite, un civet de lapin qui a mijoté tout l’après-midi. Il a même failli attacher, tellement Lima et moi étions bien occupées !
Renée s’approche de la gazinière pour faire réchauffer la soupe et le civet
— Et puis ensuite, nous terminerons par une salade et un crottin de chieuvre.— De quoi ? Fais-je.— De chieuvre ! Cela veut dire chèvre dans le patois de mon coin !— Il y a beaucoup de chèvres par chez toi ?— Pas mal, notamment pour faire des fromages, les fameux crottins.— Et j’imagine qu’il y a également beaucoup de légionnaires, dit Lima en riant.
Renée éclate également de rire. Je suis semble-t-il la seule à ne pas comprendre.
— Qu’est-ce qu’il y a de drôle ? Demandé-je.— Allons Muriel, il faut parfaire ton éducation. Tu devrais savoir que les meilleurs compagnons de jeux des chèvres sont les légionnaires, déclare Lima.— De jeux sexuels, précise Renée.— C’est malin !— Oh ! Ce sont tes règles qui te rendent susceptible ? Demande Renée
— Peut-être, excusez-moi. C’est idiot, mais je suis fâchée de ne pouvoir me mettre intégralement nue comme vous à cause de ces fichues règles.— Bois un peu, cela va te détendre, me dit Renée. La soupe sera chaude dans quelques minutes.
Lima s’approche de moi et m’enlace tendrement.
— Ne sois pas fâchée, Muriel. Il faut faire avec. Et puis ce n’est pas tes règles qui nous empêcheront de te câliner tu sais.
Un peu troublée, je porte ma main au pubis de Lima.
— Même là ? Demandé-je.— Même là ! Me répond Lima en portant sa main à mon entrejambe.— Mais c’est quand même sale !— Je t’ai montré hier soir que j’étais prête à tout, non ?
La feuille de rose que Lima m’avait offerte me revient à l’esprit. Mon trouble s’accentue.
— Qu’avez vous donc fait après mon départ ? S’enquiert Renée qui vient de vider son verre.— Je lui ai léché le cul, répond Lima.— Ah, ça, je ne sais pas si j’oserais, déclare Renée. La scatologie me dégoûte un peu. Tu as aimé Muriel ?
Je ne peux m’empêcher de rougir jusqu’aux oreilles.
— Oui, c’était très agréable et je suis redevable à Lima de m’avoir fait découvrir ce plaisir.
Je vois le visage de Renée esquisser un sourire légèrement pervers.
— Tu vois que cela t’excite, lui dis-je.— Pas vraiment en tant qu’actrice, mais j’aimerais bien vous voir faire en fait. Tu ne veux pas lui rendre la pareille avant que l’on se mette à table.
Je grimace un peu.
— Allons, tu faisais la fière tout à l’heure en nous racontant tes exploits au hammam, enchérit Renée.— Muriel, ne te crois pas obligée, indique Lima— Et bien si ! Je vais te faire une feuille de rose ! À une condition !— Laquelle ? Demande Lima.— Oui, laquelle ?— Renée m’offrira son ventre après le repas !
Renée et Lima se regarde un instant en souriant. Il y a anguille sous roche.
— Tu l’auras, me dit Renée, et mieux que tu ne le penses ! Bien et maintenant au travail. Comment procédez-vous ?— Le plus simple est que je me mette à quatre pattes déclare Lima. Je peux grimper sur ton lit, Renée ?— Bien sûr, tu y es comme chez toi. Tu dois commencer à le connaître, non ?
Mes deux amies ont bien du s’amuser aujourd’hui et sont devenus de parfaites complices dans la perversion. Mais je dois avouer que cela m’encourage à aller plus loin.
Dès que Lima est en place, je m’approche de sa croupe offerte. Je pose mes deux mains sur ses fesses afin de les écarter et d’élargir la raie culière. Son anus apparaît, sombre et plissé. Je ne sais comment commencer alors je pose un baiser sur une fesse puis sur l’autre avant de commencer à sortir ma langue pour venir goûter.
Toutefois, prudente, je commence par le périnée de mon amie, près de l’entrée de son vagin.
— Tu triches ! Déclare Renée. C’est l’anus que tu dois lui lécher, pas le sexe !— Laisse lui le temps, Renée. J’ai confiance en Muriel, je suis sûre qu’elle va me faire cela très bien.
Encouragée, je remonte ma langue par petites touches pour m’approcher du fondement de Lima.
— Vas-y, vas-y ! m’encourage Renée ! Bouffe-lui le cul !
Ma langue touche enfin cette zone qui me semblait interdite. Le goût n’est pas désagréable comme je le craignais. Je suis en fait surprise de la douceur de la peau, devrais-je dire de la muqueuse ? C’est la même sensation que si le léchait les lèvres d’une bouche. C’est fin et délicat.
Lima a réagi devant ma première approche. Elle a laissé échappé un soupir et son anus s’est contracté brusquement. Encouragée, je reviens à la charge en écartant plus les fesses de mon amie. Ma langue part à l’assaut de son trou du cul avec ferveur. Je me rappelle le sensations ressenties la veille et j’ai envie de les donner à mon tour. Cela palpite sous ma langue, et cela m’amuse d’entendre les soupirs de plaisirs de Lima. Que de soupirs je lui arrache avec ma seule langue ! Je tente de forcer son entrée car j’ai décidé d’aller le plus loin possible désormais. Mais son sphincter garde jalousement l’intimité de ses intestins.
Alors, inlassablement, je lèche et je frappe de ma langue cette porte qui ne veut pas s’ouvrir. Soudain, je sens le tremblement de l’orgasme qui saisit le corps de Lima. Son ventre devient incontrôlable et s’ouvre enfin à moi. J’enfonce ma langue au plus profond pendant un court instant car très vite le sphincter referme l’entrée convoitée. Le corps de Lima s’abat sur le lit alors que je me relève face à Renée.
— Et voilà le travail, lui dis-je fièrement.
Pour toute réponse, elle vient coller sa bouche à la mienne et sa langue vient pénétrer ma bouche.
Lorsque nous nous séparons, je vois le trouble s’emparer du visage de Renée.
— Tout à l’heure ce sera mon tour, me dit-elle. Je t’offrirai mon ventre et mon cul.— Et je les prendrais avec plaisir, lui réponds-je.
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