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Histoire de soumission

Chapitre 2

SM / Fétichisme
En rentrant chez moi, je prends soudain conscience de l’énormité du geste que je viens de faire en donnant les clefs de la cage de chasteté à Vanessa. Jusqu’à ce jour, je pouvais enlever la cage quand je voulais et faire ma toilette, allez pisser ou toutes autres actions intimes sans la cage. Maintenant, je vais devoir passer une semaine en la gardant et en faisant tout avec. Sauf me branler. Et pourtant, ce cunnilingus était une énorme raison de me branler en rentrant chez moi. Mon premier sexe féminin vu de si près. Une ravissante chatte que j’ai léchée et j’ai adoré son goût.
Je rentre chez moi, plongé dans mes pensées. Je monte directement dans ma chambre répondant à peine aux questions de mes parents. Une fois la porte fermée, je baisse mon pantalons et je regarde mon entre-jambe encagé. Je n’en reviens toujours pas d’avoir accepté sans savoir à quoi je m’engageais. Mes parents m’appellent pour le repas et me demandent si ça va, je dois avoir une drôle de tête.Après le repas, première épreuve, je dois aller aux toilettes. Les autres fois, j’ouvrais l’attirail et j’allais pisser. Là, plus le choix, je dois faire avec. Je teste debout, mais avec les barres de métal dans tous les sens, ce n’est pas facile. Je dois donc pisser assis. Ça va faire plaisir aux filles et à ma mère si je dois m’asseoir. Non seulement je n’oublierai plus la lunette levée, mais en plus, je n’en mettrai plus à côté. Un des principaux reproches que font les femmes aux hommes. Ensuite, passage obligé au lavabo, pour rincer le tout et éviter les odeurs gênantes. Tout se passe bien.La nuit se passe bien aussi, j’avais déjà gardé la cage certaines nuits. Le lendemain, la douche est une nouvelle épreuve, il faut passer entre les barreaux de la cage pour laver la queue, puis sécher le tout.Les jours suivants se passent de la même façon : apprentissage de la vie avec mon oiseau en cage. Plus de possibilité de me branler et de fantasmer sur les jolies filles, sinon la cage me rappelle à l’ordre dès que mon sexe gonfle un peu trop. Je ne dois pas bander. J’ai acheté des lingettes pour bébé afin de pouvoir me nettoyer où que je sois.Le jeudi soir, le téléphone sonne peu de temps après le repas. Ma mère m’appelle et me dit que c’est pour moi, c’est une jeune femme nommée Vanessa. Ils ne savent toujours pas que j’ai changé de thérapeute, il faut vite que je trouve une excuse pour dire qui elle est. J’invente qu’elle est stagiaire et qu’elle devait m’appeler pour son mémoire. Et que j’avais oublié de prévenir que j’attendais son appel. Je prends le téléphone sans fil et je monte dans ma chambre.Vanessa, ayant entendu mon excuse pour son appel joue le jeu. Elle me pose quelques questions anodines pour éviter que si mes parents écoutent, ils sachent de quoi il s’agit. A mots couverts, je lui réponds que tout se passe pour le mieux et que nous nous reverrons lundi.
Le lundi suivant, elle m’attend encore dans l’entrée, toujours aussi belle. Cette fois, elle ne va pas dans son cabinet mais passe par une porte de son appartement que je ne connaissais pas. Elle était cachée dans le décor. Je découvre que son appartement est plus grand que je ne le pensais, en duplex et qu’elle y habite en réalité. Elle se dirige vers l’étage et j’y découvre sa chambre. Elle me rejoint quand je rentre, m’enlève mon pull et commence à m’embrasser en ouvrant ma chemise. Je répond à son baiser et entreprends d’ouvrir son chemisier à mon tour. Elle me laisse faire, visiblement ravie de mon initiative. Nous ôtons chacun le haut de l’autre en continuant notre baiser. Elle est nue sous son chemisier, ce qui me donne tout de suite accès à sa fabuleuse poitrine. Je la caresse, je joue avec ses tétons, laissant libre cour à mon instinct. Elle a l’air ravie et gémis en se tortillant sous mes attouchements. Après quelques minutes de ce traitement, j’entreprends de lui enlever sa jupe. Je trouve la fermeture facilement et la jupe tombe au sol. Pareil, elle ne porte rien dessous, elle attendait visiblement que je fasse ce que j’avais fait.A son tour, elle m’ouvre le pantalon et le descend avec mon caleçon. Ma queue me fait mal tellement elle est comprimée dans la cage. Elle sourit et prend les clefs sur le meuble à côté de la porte de sa chambre. Elle ouvre la cage et ma bite semble lui sauter au nez. Elle entame alors une fellation magistrale. N’ayant pas pu me branler pendant une semaine, je lui dit que si elle continue, je vais jouir trop vite. Elle continue à me pomper encore plus goulûment jusqu’à ce que j’éjacule dans sa bouche. Elle se relève et m’embrasse, partageant le fruit de ma jouissance. Loin d’être écœuré, je découvre le goût de ma semence mélangé à sa salive. Tout en l’embrassant, je la pousse vers son lit sur lequel je la fait tomber. Je commence à lécher ses seins en descendant vers sa chatte. Elle a le pubis taillé court, les lèvres épilées et gonflées de désir, me laissant tout loisir de les lui lécher sans entrave. Je lèche et mordille un peu tout ce que je trouve sous ma langue, savourant le goût du jus qui sort de sa grotte dégoulinante. N’ayant pas pu me branler de la semaine et malgré la jouissance récente, je sens ma queue reprendre de l’ampleur. Mes mains et ma bouche sont très occupées à caresser et lécher mon amante. Elle gémit de plus en plus, lâchant parfois un cri de plaisir. Je remonte l’embrasser quand elle se rend compte que ma bite a repris du volume. Elle se tortille et glisse sa main entre nous, me disant :— "Viens, prends moi, aime moi, baise moi… fais de moi ta femme."Je ne me fais pas prier et plonge mon vit dans sa chatte en chaleur, lui arrachant un feulement rauque. Je m’active en elle, alternant les rythme et la profondeur de pénétration. Avoir joui une première fois me permet de tenir beaucoup plus longtemps que je ne l’aurais jamais cru. Au bout d’un long moment, après avoir réussi à faire jouir mon amour une première fois, je sens que mon plaisir à moi remonte. J’en averti Vanessa qui me répond que je peux venir en elle, elle prend la pilule. Nous jouissons ensemble et je m’effondre sur elle en l’embrassant. Elle nous fait rouler et se retrouve au dessus de moi. Ma queue dégonfle et sort de son vagin, libérant le surplus de sperme que j’ai lâché en elle. Elle me caresse le visage et se penche à mon oreille :— "Tu es un amant intuitif, j’adore ça. Ta semaine d’abstinence s’est révélée efficace. Maintenant, tu as le choix. Nous allons nous doucher et après tu me répondras. Es-tu prêt à aller plus loin avec moi ? Si tu dis oui, tu t’engageras à porter la cage en permanence. Je garderai les clefs et ne te libérerai que pour notre plaisir à tous les deux. Tu m’appartiendras mais je ne te ferais jamais de mal. Je contrôlerai seulement tes pulsions sexuelles avec la cage."A peine a-t-elle fini de parler que je roule au dessus d’elle pour la bloquer et l’embrasser. Je lui réponds :— "Je t’aime depuis le premier jour où je t’ai vue. J’accepte d’être ton homme pour la vie et que tu gardes les clefs de mon plaisir."
Nous allons ensuite nous doucher rapidement et je dois hélas rentrer chez mes parents. Non sans avoir remis ma cage avant de partir.Nous continuons à faire l’amour tous les lundis soir pendant le reste de l’année scolaire et je passe le reste de la semaine avec mon sexe prisonnier.
Au mois de  juin, Vanessa devient officiellement ma fiancée, nous avons fait une grande fête à la maison. La "Vieille pie" déclare que je n’ai plus besoin d’être suivi pour mes perversions, j’apprends aussi qu’elle est la tante de Vanessa et qu’elle était au courant de tout depuis le début… La parfaite chrétienne en prend un coup. Grâce à ça et malgré l’éducation stricte et la visible réprobation de mes parents, je me suis installé dans l’appartement de Vanessa avec toutes mes affaires. Un an plus tard, nous nous sommes mariés et neuf mois plus tard est née notre première fille.
Depuis, nous avons eu 3 enfants, je passe mes journées avec une de mes cages de chasteté. J’en ai plusieurs, des lourdes, des légères, des plus ou moins volumineuse, d’autres en plastique pour voyager. Et Vanessa, ma chère épouse, choisit ma garniture tous les matins, me l’enfile et garde toujours les clefs sur elle. Je suis à sa disposition pour la baiser quand elle veut.Nous avons ouvert un cabinet de recrutement et de ressources humaines et travaillons toujours ensemble. Les enfants ont quitté la maison pour faire leurs études et n’ont jamais découvert que leur père vivait avec le sexe encagé. Maintenant que nous ne sommes plus que nous deux à la maison, nous passons nos soirées et week-ends seuls à profiter de la vie. Je suis soumis à ma chérie, mais uniquement pour notre plaisir.

Une dernière petite anecdote pour illustrer notre vie :Un jour, une jeune femme court vêtue a cru qu’elle pourrait obtenir de moi l’emploi qu’elle voulait en me sautant dessus. Elle avait ouvert son chemisier et son soutien gorge qui se dégrafait par devant et baissé son string aux chevilles. Elle est passée sous mon bureau sans que j’ai eu le temps de faire autre chose que d’allumer l’interphone me reliant au bureau de Vanessa. Quelle ne fut pas sa surprise quand elle a senti la cage sous mon pantalon. Ma chérie est entrée à ce moment là et lui a montré à qui j’appartenais en me faisant baisser mon pantalon, révélant mon sexe emprisonné. Elle l’a ensuite virée de mon bureau sans lui laisser le temps de se réajuster. Nous étions hilares.Vanessa mon amour, je t’aime tant.
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