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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 8

Chapitre huit – déjeuner entre amis

Trash
Au réveil, Stéphanie s’est faite très tendre et câline avec moi, j’étais aux anges, tout roulait.
— C’était bien hier soir mon amour.— Oui. Je t’aime Stéphanie.— Moi aussi...
Un long silence, elle est dans mes bras. Puis sa voix claque, moins tendre.
— Ca ne te frustre pas trop quand même ?— De quoi ?— Et bien, disons, de ne pas me pénétrer souvent ou longtemps ?— Toi, ça te frustre ?— Non, non, je disais ça pour toi. Tu me donnes beaucoup de plaisir, hier avec ta langue, mmm....
On finit par se lever ; on n’avait jamais vraiment abordé le sujet, mais ça va, je m’en sors bien je pense. Stéphanie se prépare à la salle de bain, moi je prépare le petit déjeuner. Elle est arrivée dans la cuisine je finissais de tout installer pour nous trois, elle était superbe. Mais pas le temps de m’extasier, j’ai vu juste derrière elle apparaître Karim, qui matait son cul. Il était de nouveau en boxer. Juste derrière elle, elle ne l’avait pas vu.
— Mmmm j’adore cette odeur de café et de pain grillé.
Elle s’est approchée de la table et s’est assise. Karim, dans son dos, a mis ses mains sur ses yeux.
— Qui c’est ?
Stéphanie a poussé un petit cri de surprise, puis en souriant s’est redressée sur la chaise.
— Mmmmm, je ne reconnais pas ses mains.
— Oui elles sont sans doute plus grandes et plus fortes que celles dont tu as l’habitude.— Ah ah, oui c’est sûr... Bonjour Karim. — Bravo ! Tu as gagné.— Salut Karim.
Ils ne font pas attention à moi.
— Ah oui ? J’ai gagné quoi ?— Mmmm je ne sais pas, je vais y réfléchir.
En disant cela il est passé de l’autre côté de la table, j’ai vu alors qu’il bandait, putain la gaule matinale de fou. Et Stéphanie ne pouvait pas ne pas l’avoir vue. J’ai essayé de parler bas :
— Putain Karim tu déconnes, tu veux pas aller t’habiller ?!— Hein ? Oh, ah oui pardon. C’est juste que je n’ai pas l’habitude de devoir faire attention. D’habitude, la fille dans la cuisine est plutôt contente du spectacle matinal, ah ah.
Stéphanie a baissé les yeux dans son café, Karim s’est assis en face d’elle, et moi je n’ai rien ajouté, il m’avait ignoré, évidemment, je me suis assis entre eux. Le petit déjeuner s’est passé entre diverses banalités. Ce matin, Stéphanie partait au boulot, assez tôt. L’après-midi elle ne bossait pas, elle voulait faire du shopping en prévisions de nos vacances, une croisière sur un superbe yacht de luxe, deux semaines plus tard. Comme à son habitude, elle avait pris mes cb. J’adorais ça avec elle. Sur ce point elle n’hésitait pas, elle prenait mes cb dans mon portefeuille et me disait juste « je prends les cartes mon chéri », je ne sais pas pourquoi mais cela m’a toujours plus, beaucoup. Et ce matin elle n’avait pas manqué de le faire. Karim avait souri en l’entendant, mais n’avait pas relevé. Karim l’avait évidemment bien matée quand elle quittait la maison et nous avait dit au revoir, nous souhaitant une bonne journée et une bonne date à Karim ; il faut dire qu’elle était belle : mini jupe, bottes à talons aiguilles, petit top moulant, petit manteau cintré et court. Stéphanie avait vraiment renforcé mon côté fétichiste des pieds et des talons surtout, sans même s’en rendre compte. Elle en portait toujours et j’adorais cela, j’adorais les entendre claquer sur le parquet. Il m’arrivait très souvent de lui masser les pieds le soir, même de les embrasser, parfois durant nos « ébats » de les lécher ; elle aimait ça disons mais ne réclamait pas. Pour ses chaussures c’était plus délicat, j’en avais léché une paire une fois, elle avait fait une moue bizarre. En revanche elle me laissait volontiers les lui enfiler le matin et ôter le soir.A peine était elle partie que Karim m’avait dit :
— Tiens, tu me files le tel de Stéphanie.— Pourquoi ?— On ne sait jamais si je n’arrive pas à te joindre, c’est quand même plus sûr que j’ai le sien aussi.— Juste au cas où ?— Mais oui, juste au cas où. — Promis ? — Promis (il a ajouté un clin d’œil, qui ne me rassurait pas franchement, mais que pouvais-je faire).
Je lui ai donc donné. Je suis ensuite parti au boulot à mon tour. Karim lui restait chez nous, il n’avait en fait eu qu’un rendez-vous la veille, et était libre aujourd’hui, vendredi et bien sûr le samedi et dimanche. Son vol retour pour Paris n’était que lundi matin. J’étai troublé qu’il soit là, content de le revoir, mais immédiatement je m’étais de nouveau senti sous son emprise. Je n’osais pas lui dire de ne pas toucher à Stéphanie, pour ne pas lui mettre l’idée en tête. Mais l’idée était évidemment déjà dans sa tête. J’ai appris plus tard dans la journée qu’ils avaient discuté par sms dès mon départ. Voici leur échange de sms de la matinée :Karim : salut ma belleStéphanie : qui c’est ?Karim : devine ?
Stéphanie : je ne sais pasKarim : indice : c’est puissant comme un taureau, et doux comme une pâtisserie marocaineStéphanie : ahhhh Karim !Karim : encore gagné !Stéphanie : je te signale que ça fait deux fois, et que je ne sais toujours pas ce que j’ai gagné ce matin. Et au fait, comment t’as eu mon numéro ?Karim : je l’ai demandé
Stéphanie : tout simplement ?Karim : tout simplementStéphanie : et Matthieu te l’a donné ? Comme ça ?Karim : oui ! Il ne peut rien me refuserStéphanie : Ah bon ?Karim : de toutes façons, quand je veux quelque chose...
Stéphanie : mais bien sûr... et je gagne quoi alors?Karim : t’as gagné mon numéro déjàStéphanie : c’est tout ?Karim : t’es déçue ?Stéphanie : un peuKarim : et un déj ?
Stéphanie : c’est mieux. Mais ça ne compte que pour un ça, il me reste encore un prixKarim : oui ok. En plus t’as les cb de Mat, comme ça il peut nous inviter, ah ahStéphanie : ah oui t’es comme ça toi ?Karim : je suis pire que çaStéphanie : explique ?Karim : tu es sûre de vouloir savoir ?
Stéphanie : je suis curieuseKarim : pose moi toutes les questions que tu veux alors, je me sens d’humeur généreuse aujourd’hui, je réponds à toutStéphanie : vraiment à tout ?Karim : à tout ; mais juste pour toi, le dis pas à tes copines hein ?Stéphanie : pfff t’es conKarim : pose vite tes questions, sinon, moi je vais t’en poser, et je te préviens j’en ai plein
Stéphanie : ah oui ? Plein ? Toi aussi t’es curieux alors ?Karim : oh oui ! tu portes quoi aujourd’hui ?Stéphanie : t’as déjà oublié que tu m’as vue ce matin ? Je suis vexée...Karim : non je n’ai pas oublié, très joli d’ailleurs, mais en dessous ?Stéphanie : ça ne te regarde pas. Et toi tu portes quoi ?Karim : là ? Rien. Enfin juste un boxer.
Stéphanie : t’es encore en boxer là ?Karim : oui ! (Il a joint une photo de lui en boxer effectivement, où on voyait ses superbes abdos et pecs et son énorme paquet dans un boxer blanc, et ses cuisses puissantes)Stéphanie : je te croyais !Karim : c’était un petit cadeau en plus vu que je ne vais pas payer le resto ce midiStéphanie : ah ah, sympa, merciKarim : ça te plait ?
Stéphanie : hey, c’est moi qui pose les questions on a ditKarim : ok ma belle vas-y ?Stéphanie : tu fais quoi aujourd’hui ?Karim : je ne sais pas trop, à part me préparer pour le rendez vous de ce soir, mais sinon, pas grand chose de prévu et toi ?Stéphanie : boulot ce matin, enfin j’essaie, et shopping cet après-midi. Te préparer ?Karim : pourquoi t’essayes, tu n’y arrives pas ? Oui me préparer, me faire beau.
Stéphanie : c’est toutes ces douceurs marocaines qui m’empêchent de me concentrer. Te faire beau ah ah, une vraie fille ma parole.Karim : J’assume ! Et tu y vas toute seule faire du shopping ? C’es triste.Stéphanie : Oui. Et elle est vraiment bien alors ?Karim : pas mal oui, elle avait l’air d’avoir un superbe cul surtout. Je vais t’accompagner si tu veux, il faut que je me trouve deux trois trucs moi aussi. En plus si c’est Mat qui paie, c’est encore mieux ah ahStéphanie : t’es con. Un plus beau cul que le mien ? Karim : je ne sais pas je l’ai pas bien vu. Tu me montres ?
Stéphanie : pfff.... tu la vois toujours ce soir donc ?Karim : oui, elle est impatiente.Stéphanie : ah okKarim : jalouse ?Stéphanie : mais bien sûr. J’ai un copain je te rappelle. Tu te rappelles ?Karim : oui enfin, il cuisine bien, il a un compte en banque bien fourni, il est gentil et drôle, mais sauf s’il a changé vraiment beaucoup, ce n’est pas franchement l’amant du siècle
Stéphanie : ... pas sympa avec ton amiKarim : ... dis moi que j’ai tort... je te retrouve à ton bureau ?Stéphanie : non, je ne préfère pasKarim : tu as peur que tes collègues veuillent me rencontrer ? Stéphanie : ah ah, oui c’est ça... non mais ils connaissent Matthieu...Karim : et ? Tu ne peux pas aller déj avec un pote ?
Stéphanie : un pote ? en plus j’ai pas encore dit oui au déj...Karim : ben oui, on déjeune entre potes et ensuite on se fait un peu de shopping, je te rappelle que j’ai une date moi ce soir ?Stéphanie : ah oui, une date ? Carrément ?Karim : et en plus je ne te laisse pas le choix, je te rappelle que c’est ce que tu as gagné le déj. Stéphanie : ok, va pour le déj entre potes...Karim : et pour ce soir, ne t’en fais pas Stéphanie, je ne rentrerai pas trop tard promis
Stéphanie : ah bon ? Je pensais que t’étais plutôt du genre à pas rentrer du toutKarim : on verra bien...Ils se sont donc retrouvés pour le déjeuner, Stéphanie lui avait donné rendez-vous devant un restaurant mais évidemment Karim l’attendait à la sortie de son bureau. Il m’a dit qu’apparemment, malgré la surprise, et un peu de crainte, vu le sourire qui a illuminé son visage quand elle l’a vu, elle était heureuse. Ils sont allés à pieds au restaurant, elle lui tenait le bras. De mon côté j’avais écris à Karim pour savoir s’il voulait déjeuner avec moi il m’avait juste répondu « occupé ». Ensuite j’ai écrit à Stéphanie qui m’a répondu « désolée mon amour, pas mal de boulot pour pouvoir faire du shopping cet après-midi ». J’ai réalisé ensuite que j’avais écrit à Karim avant Stéphanie... Bref...De ce que m’a raconté Stéphanie plus tard, leur déj s’est super bien passé. Karim s’est montré charmant, sympa, gentil, attentionné, et pas lourd. Elle avait peur qu’il la drague mais il n’en était rien. Ils avaient surtout parlé des vacances à venir, du boulot de Karim et... de ses conquêtes. Ce qui évidemment avait impressionné ma chérie. Jusqu’à ce qu’il lui confesse qu’il avait couché avec ma sœur et ma mère. Elle était apparemment mi choquée, mi troublée, mais surtout c’était l’aplomb de Karim, qui assumait totalement cela qui la troublait beaucoup. Elle m’a envoyé un sms alors que Karim passait un coup de fil pro.
— Je comprends mieux pourquoi tu ne voulais pas me parler de Karim...
Je l’ai appelé de suite :
— Que veux-tu dire ?— Il m’a raconté.— Raconté quoi ?— Pour lui et .... et ta sœur et puis ta... rien que le dire fait bizarre, et ta mère...— Merde ! Stéphanie... écoute...— Ne t’en fais pas Mat, ce n’est rien, ce n’est pas toi, ça ne change rien, ça ne te concerne pas. C’est de l’histoire ancienne. Et ça n’a rien à voir avec notre histoire. Mais tu dois me faire confiance ok ?— Oui ok mon amour.
Bon, cette fois j’avais eu chaud, mais ça passait. Manifestement il n’avait pas vraiment tout raconté, et lui avait dit que c’était fini. Résultat au lieu de lui en vouloir d’en avoir parlé, j’étais prêt à le remercier de ne pas avoir tout dit. Et je le faisais, je lui envoyais aussitôt un sms :
— Merci Karim, d’avoir gardé pour toi certains détails... — De rien ma petite lopette.
Ça faisait longtemps....A la fin de la conversation Stéphanie m’avait donc confié qu’elle déjeunait avec Karim, m’avait dit qu’il était irréprochable, et qu’ils allaient faire du shopping ensemble. Elle me disait que c’était pour elle pour nos vacances et pour lui pour sa date du soir, ce qui me rassurait quelque peu. La dernière séance shopping à laquelle j’avais assisté avec Karim n’avait pas franchement abouti qu’à du bon... Mais là c’était différent. Je ne relevais même pas le fait qu’et elle et Karim m’avaient menti sur cette histoire de déjeuner. En raccrochant, je réalisais que je bandais. Et merde !Ils ont payé le déj avec ma carte, et sont partis dans un centre commercial de luxe de Genève, où le principe est qu’un ou une conseiller (ère) vous guide dans l’intégralité de votre shopping. La personne en question s’appelait Victoria, était blonde, grande, d’origine russe, les avait chaleureusement accueillie, et après leur avoir demandé qu’elles étaient leurs attentes et recherches leur avait dit qu’elle s’occuperait du shopping des deux. Par qui voulaient-ils commencer. Karim avait laissé Stéphanie répondre :
— Par Mr, cela ira sans doute plus vite que pour moi.
Victoria avait acquiescé. Et en les regardant :
— En tout cas, c’est un plaisir pour moi de vous accompagner cet après-midi, vous êtes vraiment un joli couple. C’est rare.
Karim a souri. Stéphanie a protesté, un peu gênée.
— Pardon ? Ah, non, en fait, nous sommes justes amis.— Ah, pardonnez-moi, a-t-elle répondu souriant à Stéphanie, puis se jetant du regard sur Karim.
Stéphanie releva le regard mais ne dit rien. Karim jubilait intérieurement. Victoria les mena à l’étage « hommes ». Les essayages se passèrent tranquillement, Karim demandait son avis à Stéphanie, mais c’est surtout la vendeuse qui l’intéressait. Et l’intérêt était manifestement réciproque : Victoria ne perdait pas une occasion pour poser ses mains sur le corps ferme de Karim, le complimentait, flirtait gentiment. Karim hésitait entre trois tenues et décida de défiler avec les trois sous le regard des deux femmes.
— Stéphanie, si c’était pour un rendez-vous avec toi, tu préfèrerais que ton homme porte laquelle des trois.
Stéphanie avait donné son avis, Victoria était d’accord. Pantalon gris à carreaux, chemise blanche cintrée, petite veste cintrée et courte. Chaussures marron pointues. Ceinture marron. Il était beau comme une gravure de mode. Victoria était hypnotisée, à tel point qu’elle avait oublié Stéphanie et pensant que c’était fini, avait laissé sa carte à Karim avec son tel et écrit dessus « appelle moi ».
— On passe à mon amie ?— Ah oui oui, bien sûr, je suis bête. Allons-y.
Stéphanie s’amusait de cette situation. Malgré tout, Karim l’impressionnait, elle sentait qu’il électrisait l’atmosphère et attirait les regards, les envies, les désirs, les fantasmes. Cela la troublait malgré tout. Et son corps... Ils se rendirent à l’étage des femmes. Stéphanie avait fait une liste de ses envies : quelques robes légères, une ou deux tenues de soirée, quelques maillots de bain. Karim lui avait fait ajouter de la lingerie.
— T’es en croisière de luxe avec ton mec, il va adorer si tu as quelques ensembles sexy ;
Victoria avait confirmé. Stéphanie avait accepté. Elle se prêtait au jeu des défilés. Victoria et Karim continuaient à flirter gentiment. Mais Karim ne perdait pas une miette des défilés. Il encourageait Stéphanie à essayer des choses sexy. Il lui proposait des robes très très sexy, maxi décolletés, dos nus, très courtes, très moulantes. Et les chaussures qui allaient bien avec. Pour les maillots de bain, idem. Stéphanie faisait son choix. Karim l’encourageait à ne pas choisir et à tout prendre. Elle céda, assez facilement. Entre deux essayages, Victoria entraina Karim dans « l’arrière boutique », alors que Stéphanie était en cabine d’essayage. Elle se jeta sur lui, s’accroupit sans qu’il ne puisse rien dire ou faire et sortit son sexe, elle ne put retenir un cri. Et enfourna telle une chienne en chaleur la queue de Karim dans sa bouche. Elle le pompa très fort et vite, enchaina les gorges profondes, lui dit de lui mettre des biffles, frotta son visage sur ce chibre gonflé. Puis le fit jouir dans sa bouche et s’appliqua à tout bien avaler, à ne pas en laisser une goutte.
Puis elle nettoya la queue de Karim, encore une fois avec une grande application. Karim la félicita. Il aimait tant être sucé.
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