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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 9

Chapitre neuf – défilé

Trash
Quand ils ressortirent, elle avait pris soin de ramener quelques ensembles de lingerie.
— Ah, vous êtes là, je vous cherchais !— Et nous, nous cherchions des petites choses pour toi.— Mmmm, bien sûr.
Stéphanie souriait en coin, elle était amusée, et un peu excitée par la situation, elle se doutait bien de qui s’était passé. Victoria lui montra les ensembles.
— Oh... ok, c’est très très sexy.— Mais très joli, non ?— Oh oui ! Magnifique. Mais je ne sais pas... c’est vraiment sexy...— Pense à Mat. Le yacht de luxe, la croisière, l’ambiance sera sexy, tu dois être dans l’ambiance ma belle.— Allez, tu as raison.— Bon, donc essayages maillots et lingerie !— Tu ne vas pas rester là ?— Pourquoi pas ?— Parce que je ne préfère pas !— Quelle rabat-joie tu fais, j’en ai vu d’autres tu sais.— Ah ah, ça oui, je veux bien te croire. Mais quand même.— Ok, je vais faire un tour. Tu me passes une des cartes de Mat.— T’abuses !— On y prend goût, faut dire.— Eh eh c’est sûr. Allez tiens.
Karim s’est éloigné. Stéphanie est allée en cabine pour essayer le premier bikini, un motif léopard, modèle triangle maintenu en haut et en bas par des ficelles à nouer, vraiment très sexy et peu de tissu. Mais Stéphanie le trouvait très beau et avait cédé aux propositions de Karim. Elle adorait les bikinis et savait qu’elle était à tomber en maillot de bain. Elle sortit de la cabine, et se regarda dans le miroir, Victoria était là, et Stéphanie aperçut Karim dans le reflet. Elle se retourna très vite.
— Oh, Karim, t’abuses... encore... — Je ne pouvais pas rater ça, franchement. Magnifique.— C’est sûr, il vous va à merveille.— Oui, je trouve aussi. Celui-là je vais le prendre je pense.— Bon choix ma belle.— Allez, ne reste pas là.— Bon, ok. Mais tu ne râleras pas si je dépense l’argent de ton mec.— Promis. Je dirai que c’est de ma faute.
Cette fois Karim est parti. Stéphanie a essayé une dizaine de bikinis plus sexy les un que les autres, et décida d’écouter la petite voix de Karim dans sa tête et les prit tous. Ensuite la lingerie : nuisettes, porte-jarretelles, body, guêpières, string, ensembles string et soutien-gorge, bas, tout y passait. Que de la dentelle, elle ne portait que ça. Victoria lui avait aussi apporté un assortiment de chaussures pour essayer avec.
— Sérieusement ?— Oui, franchement, ça finit une tenue de lingerie, vous allez adorer.
Escarpins, sandales, bottines, bottes et cuissardes, là encore il y avait de tout, et comme Stéphanie l’avait précisé, que des talons hauts et si possible aiguilles. Victoria l’avait écoutée. Celle-ci ne manquait pas de complimenter Stéphanie sur sa plastique, il est vrai qu’elle avait vraiment un joli corps. Qui se prêtait à énormément de tenues.Pendant ce temps, Karim avait une idée en tête, ou plutôt deux. D’abord il acheta une caisse de champagne. Du Deutz, son préféré. Il adorait les pipes au champagne et comptait bien initier Julie à cette pratique, si tant est qu’elle ait besoin d’être initiée. Ensuite il retourna à l’étage des hommes, au rayon maillots de bain. Il n’en avait pas, et il lui en fallait un pour les bains.Il porta son choix sur deux slips de bain, vraiment moulant. Karim adorait les slips de bain, selon lui seul les vrais mâles pouvaient les assumer, et lui faisait plus que cela. Il trouvait que cela galbait ses cuisses puissantes, moulait parfaitement ses fesses fermes et rebondies, et on ne parle pas de son paquet. Il les essaya et décida de prendre les deux. Il allait rejoindre les filles, mais s’arrêta devant le rayon où il avait pris les maillots. Il sourit et prit les deux mêmes maillots que pour lui, mais dans la plus petite taille existante. Il paya le tout et mis tout dans un gros sac avec le carton de champagne. Il prit l’ascenseur pour l’étage des femmes. Stéphanie finissait ses essayages de lingerie. Karim resta en retrait pour en profiter un peu. Elle était sortie de la cabine en porte-jarretelles string et soutien gorge assortis, en dentelle noire et rose, les bas noirs très sobre, elle portait une paire d’escarpins noirs à talons aiguilles de 12 cm, et par dessus un déshabillé en soie noire et broderie rose en dentelle, court.
Karim n’en revenait pas. Victoria était avec Stéphanie. Elles la regardaient dans le miroir. Stéphanie souriait. Manifestement elle se plaisait. En même temps, Karim ne voyait pas dans quel monde elle ne pourrait pas se plaire ainsi. Elle était super bandante. Il prit son tel et lui envoya :
— Ca il faut absolument que tu le prennes c’est sublime.
Le portable sonna, Stéphanie le regarda, lut le message et se tourna, balaya autour d’elle du regard surprise. Quand ses yeux accrochèrent Karim qui lui souriait, elle sourit en retour, presque tendrement. Puis lui fit un signe de charmant mécontentement du doigt. Lui haussa les épaules, l’air de dire « je n’y peux rien, je passais par là ». Il tapota sur son sms :
— Prends tout. Profite.
Elle lut le message. Et répondit.
— Tu as raison, je n’ai pas envie de choisir de toutes façons ;-)
Karim s’éloigna, laissant Stéphanie finaliser ses choix. Puis ils se retrouvèrent, Victoria les fit passer en caisse, Stéphanie paya avec ma carte. Au moment de partir, Victoria salua Stéphanie, puis cette dernière s’éclipsant, elle se colla à Karim, discrètement l’embrassa et lui dit simplement : « appelle-moi, je n’en ai pas fini avec toi ».Karim partait tout sourire et retrouva Stéphanie, elle le charria sur Victoria, lui demanda, quelque peu curieuse si cela lui arrivait souvent.
— Souvent je ne sais pas. Tous les jours c’est souvent ?— Crâneur.— Tu ne me crois pas.— Je ne sais pas. De toute façon peu importe. En tout cas j’espère pour celle de ce soir que tu as gardé des forces.— Ah ah, oui t’en fais pas pour ça, il m’en faut plus.
Elle a cessé de relever, et Karim n’avait pas insisté, la légère curiosité de Stéphanie lui suffisait pour l’instant et entrait parfaitement dans le déroulement de son plan.Ils prirent un taxi, ils parlaient de tout et de rien, Karim lui demandait ce qu’elle avait finalement acheté, elle avait effectivement renoncé à choisir, et avait acheté une dizaine de robes et jupes et tops, six ou sept ensembles de lingerie et cinq nouveaux bikinis. Elle avait aussi acheté quatre paires de chaussures.
— Au fait tu as pu réfléchir à mon second prix ?— Non pas encore, il faut que j’affine la question, je ne te connais pas encore assez bien.— Tu m’as vue en bikini et lingerie.— Parce que j’ai vu effectivement ton corps de rêve en tenue légère ne veut pas dire que je te connais.— Merci... dit-elle en rougissant.
Sur un coup de tête de Karim, ils se sont finalement arrêtés prendre un café en route, puis ont repris un autre taxi pour rentrer, du coup un peu tard. J’étais déjà à la maison, je leur avais envoyé à chacun un sms, restés sans réponse. On a sonné à la porte, je pris peur, Stéphanie avait ses clefs. En ouvrant la porte et en les découvrant tous les deux hilares suite à une blague de Karim je me suis souvenu : il faisait toujours ce truc de sonner et de ne pas utiliser la clef, même quand il l’avait ou quand sa partenaire l’avait, juste pour faire se déplacer la personne à l’intérieur. Il l’avait fait avec Isabelle une fois qu’il venait chez moi avec elle, alors même qu’il avait la clef, il l’avait fait avec ma mère pour que mon père leur ouvre...Je les accueillis un peu froidement. Stéphanie m’embrassa tendrement, me regarda tendrement, puis dans un grand sourire :
— On prend un verre, ça m’a donné soif tout ça.— Quoi tout ça ?— Le shopping, je n’ai pas arrêté Mat. Je suis ravie.— Ah ok, je suis content pour toi.— Tu peux être content pour toi aussi Mat, crois moi.
Stéphanie a ri.
— Comment ça ?— Mais idiot, tu vas adorer ce qu’elle acheté !— Parce que tu sais ce qu’elle a acheté toi ?— Karim était avec moi mon chéri. Tu te rappelles ?
On a pris un verre, j’étais agacé, mais me suis détendu. Karim nous a dit qu’il avait le temps avant son rendez-vous. Les deux semblaient bien s’entendre, d’un côté cela me stressait, d’un autre j’étais content, cela voulait sans doute dire que Karim n’avait pas été lourd avec elle. Tant mieux. Et puis, s’il devait rester quelques jours avec nous, autant que cela se passe bien entre eux, sinon, ça aurait été l’enfer. Je me détends de plus en plus. On rit tous les trois. Dans mon esprit, tant que Stéphanie ne parle pas directement de Karim ou de ses exploits ou de ses conquêtes, je suis tranquille. Mais le couperet est tombé. A un moment, au milieu de la conversation, comme un cheveu sur la soupe, elle a lâché :
— En tout cas Mat, tu aurais vu la vendeuse qui s’est occupée de nous, elle est complètement tombée sous le charme de Karim.
J’ai tremblé.
— Pfff t’exagères Stéphanie.— Tu parles, et en deux minutes en plus. Un peu plus elle m’oubliait. Ils ont même disparu un moment....— Ah oui ?
Karim souriait, il était fier, Stéphanie le regardait. Moi je regardais l’un puis l’autre.
— Ben quoi, elle m’a sauté dessus, et tu me connais Mat, je peux difficilement résister à une jolie fille.
Il avait dit ça en regardant Stéphanie.
— Oui ça je sais. Bon Karim, faudrait pas que tu sois en retard quand même. — Ouais, t’inquiètes pas Mat. Je vais me préparer.
Il est parti dans sa chambre s’habiller. On est restés en silence Stéphanie et moi. Puis je suis allé dans la cuisine, Stéphanie est allée dans la salle de bain. Karim l’a rejointe, il avait mis sa tenue, acheté avec les conseils de ma copine.
— Alors ? Tu me trouves comment ?
Stéphanie s’est retournée, et est restée un peu scotchée.
— Euh.... très... tu es très bien Karim.— Très bien ? C’est tout ? Mais c’est toi qui m’a dit d’acheter ça.— Hein ? Euhhh.... oui, oui tu es très beau, vraiment. -Ah je préfère ça.
Karim a laissé le silence s’installer, pour laisse Stéphanie être troublée. Et elle l’était. Elle baissait les yeux. Il s’est approché d’elle doucement. Puis d’une voix légère :
— Bon j’y vais moi, tu sais ce que tu devrais faire ?— Hein ? Pardon ? ... Non, quoi ?— Mat a l’air un peu contrarié, par cette histoire de shopping, tu devrais lui faire un petit défilé. — Tu crois ? Je croyais que je devrais lui faire la surprise pendant les vacances.— Gardes en de côté pour les vacances, mais vu tout ce que tu as acheté tu peux lui proposer une jolie bande annonce je pense. — Ah ah, oui c’est clair. Ok, tu as raison. — Comme toujours, dit il en gonflant le torse.— T’es bête.— Je peux te donner un conseil ?— Oui ?— En fait j’en ai deux. Commence par un des bikinis, ça va tout de suite le détendre. — Mmmmm, je vais voir.— Crois-moi. — Et le second ?— Soigne ton entrée, fais un truc un peu sexy. — Ok, je pense que je peux faire ça, elle a dit en souriant.— Je pense aussi. Allez bonne soirée ma belle.— Bonne soirée Karim.
Il a regardé Stéphanie aller dans leur chambre, non sans s’être retournée pour regarder Karim, lui sourire et lui faire un petit signe de la main. Elle a refermé la porte. Karim est allé direct dans la cuisine.
— Viens dans le salon Mat.— Pourquoi ?— J’ai envie de trinquer avec toi mon vieux.— Tu vas pas à ton rendez-vous ?— Elle m’a dit qu’elle serait en retard, j’ai un peu de temps, allez viens, putain, ça fait longtemps.— Où est Stéphanie ?— Dans votre chambre, elle a dit qu’elle préparait un truc pour toi. Une surprise je pense, allez viens on se boit un verre tous les deux tranquille, vite fait.
Il m’a entrainé dans le salon, on s’est pris un whisky, tous les deux dans le canapé. On a parlé de choses et d’autres, il m’a parlé de Victoria qui l’avait sucé comme une reine cet après-midi, moi je pensais à Stéphanie et cette surprise, tout allait bien. J’étais con de m’être agacé. On se marrait dans le canapé, quand elle est entrée. Karim a de suite levé la tête, moi j’ai mis quelques secondes à réaliser qu’elle était là. Et pour soigner son entrée, elle l’avait soignée. Jusqu’à ce qu’elle réalise que Karim était encore là. Stéphanie portait un bikini string motif léopard, sur le soutien-gorge et le string, au milieu il y avait des œillets et un laçage qui laissait voir son entre seins et le haut de sa chatte. C’était incroyable, et évidemment réservé à l’intimité. Elle portait aux pieds des sandales Louboutin à talons fins de 10cm, avec une lanière sur le devant au milieu, verticale, ornée de petites pointes type clous. Je connaissais toute sa collection de chaussures, il m’arrivait de les admirer seul chez nous, et celles-là étaient neuves. Et mes yeux n’arrivaient pas à s’en détacher. Elle était entrée doucement, lascive, et s’était arrêtée à l’entrée du salon, appuyant son épaule sur le pan de mur. Tout cela était parfait évidemment en supposant que j’eus été seul au salon. La présence de Karim à mes côtés dans le canapé était tellement inattendue et irréelle, que Stéphanie mit de (très) longues secondes à réaliser que si moi je matais ses sandales, lui ne ratait rien du spectacle de son corps de rêve, mis en valeur par ce bikini carrément osé.
— Karim ?!!!
Ce seul mot, lâché fortement par Stéphanie me sortit de ma torpeur, et sembla elle aussi la sortir de sa surprise.Lui ne dit rien. Stéphanie n’eut même pas le réflexe de partir ou de cacher ce qu’elle aurait du lui cacher. Moi j’étais tétanisé. Et la voix de Karim a rempli l’espace.
— Je vois que tu as suivi mes conseils. — Qu’est-ce que tu fais là ?— Sympa. Dites le si vous voulez que je dégage, il a dit en se marrant.— T’abuses, tu m’as dit que tu partais.— Oh, ça va, c’est drôle. J’en ai vu d’autres tu te rappelles.
J’étais complètement exclu de leur échange. Stéphanie me dit que ce défilé était l’idée de Karim pour moi. J’en étais flatté, et heureux qu’elle ait décidé de se jeter à l’eau. Je ne pensais même pas à Karim. Et Stéphanie se tenait toujours devant nous, à moitié nue.
— Bon, allez, maintenant que tu es là, défile.
Il ne reculait devant rien. Stéphanie me regarda, m’implorant de dire quelque chose. J’étais très excité par elle, et je ne pus que répondre :
— Oui, ma chérie, défile, tu es magnifique.
En disant cela, je réalisais ce que je venais de faire, mais je ne pouvais plus reculer, j’aurais vraiment eu l’air débile.
-Euh... tu es sûre ?— (j’essayais d’assumer) Oui, oui vas y. Tu es splendide.
Stéphanie eut comme un déclic, elle me sourit, et sembla se détendre complètement, elle se mit à avancer vers nous, lentement, posant un pied devant l’autre, comme sur un podium, arrivé à 1 mètre du canapé elle nous fixa l’un après l’autre, puis se tourna en un demi-tour sensuel. Son cul était ferme, rebondi, à tomber, le string était vraiment petit, et rendait ses fesses encore plus magnifiques. Elle fit le trajet retour, roulant du cul comme jamais, les sandales lui faisaient une cambrure de fou. Je bavais. Karim la reluquait. Arrivée à son point de départ, nouveau demi-tour, pour nous faire face. Elle souriait.
— Alors ? Ca vous plait les garçons ?— Oh oui, tu es incroyable ma chérie, c’est un nouveau de cet après-midi.— Oui, il te plait.— Oui oui, beaucoup. Et les sandales.— Aussi. J’étais sûr que tu les aimerais.— Beaucoup aussi.— Et toi Karim ?— Pas mal. J’attends la suite pour livrer mon verdict.
Stéphanie le fusilla du regard, mais pour rigoler.
— La suite ?
Je ne savais pas de quoi ils parlaient.
— Oui, la suite, dit Karim— Non, je ne sais pas, tu ne devais pas être là Karim, je l’ai fait là mais c’est tout.— Vas mettre une des robes, je suis sûr que Mat sera ravi. En plus si tu mets une autre paire de chaussures, il sera aux anges, pas vrai ?— Une autre ? Oh oui, allez mon amour, s’il te plait.— Bon, ok.
Elle s’est retournée et a quitté le salon encore en roulant du cul. On est restés silencieux tous les deux, moi j’étais perdu, Karim lui buvait tranquillement son whisky, serein. Il maitrisait la situation.
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