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Histoires d’un mari cocu, larbin, et heureux

Chapitre 10

Chapitre dix – une (très grosse) puce à l’oreille

Trash
Stéphanie est revenue quelques minutes, plus tard, cette fois, elle ne s’est pas arrêtée, elle est entrée dans le salon en mode défilé. Elle portait une robe noire, en cuir, moulante, col rond pas décolleté, sauf que toute la partie sur la poitrine était en voile transparent. On voyait une large partie de ses seins. La robe était courte. On apercevait qu’elle portait des bas, dont la couture arrivait pile en bas de la robe, du coup on les voyait à chacun de ses pas ou presque. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Aux pieds elle portait de nouveau une paire de Louboutin. Des sandales à talons aiguilles de 12 cm, semelles et talons couleur fuchsia, et deux brides au niveau des orteils en soie imprimé fleurs, motif répété sur le ruban qui enveloppait sa cheville.Je n’en revenais pas. Cette tenue était sans aucun doute moins vulgaire que juste le bikini précédant, mais elle était terriblement sexy. Et Stéphanie maintenant défilait comme une vraie pro, et n’hésitait pas à nous jeter à l’un comme à l’autre des regards provocants. Je jetais un coup d’œil discret à Karim, qui avait une de ses mains posée carrément sur son paquet, que je devinais gonflé. Je réalisais alors que je bandais dur et qu’il fallait absolument que je me contrôle pour ne pas me jouir dessus. Elle roulait encore du cul, elle quitta la pièce sans rien dire, et je me suis joui dessus ; je n’ai rien pu faire pour m’en empêcher. Et la tension et les mimiques sur mon visage, puis le relâchement de mon corps m’ont trahi, Karim a grillé.
— Putain, tu viens de te faire dessus là ?
Je n’ai rien dit j’étais honteux. J’ai voulu me lever pour aller me changer ou au moins nettoyer, mais il m’a retenu de sa main ferme.
— T’as vraiment pas changé lopette.
Son téléphone a sonné. Un sms. Il l’a lu, me maintenant de sa main assis dans le canapé.
— Putain, t’as de la chance que Julie arrive, parce que sinon, avec toi qui te jouit dessus, au prochain défilé, je me levais pour l’emballer cette petite salope ».
De nouveau je n’ai rien su ou pu dire. Je n’ai pas relevé le « salope », et je n’ai même pas réalisé qu’il venait de dire que Julie arrivait. Je paniquais un peu. Karim, depuis leur retour de shopping, avait clairement pris le contrôle de la situation. J’étais réduit au rôle de témoin.
— Allez fais pas la gueule, je déconne ; et puis Julie est là donc t’es tranquille. Ah ah.
Julie a effectivement sonné à la porte. Stéphanie n’a pas eu le temps de se changer et est donc réapparue dans le salon dans sa petite robe. Karim est allé ouvrir, je me suis rué aux toilettes pour au moins me nettoyer. Quand je suis revenu au salon, j’ai découvert Stéphanie toujours dans sa robe ultra sexy, qui servait à boire à Julie, du champagne qu’ils avaient acheté dans l’après-midi apparemment, les trois plaisantais déjà ensemble. Karim tenait Julie par la taille, telle sa femelle. Je suis entré.
— Ah te voilà mon chéri, tu étais passé où ?— Hein ? euh, non rien, suis là oui.— Voici Julie, Karim lui a proposé de venir ici— Je trouvais ça plus sympa.— C’est vrai que c’est sympa non ?
— Oui, oui, très. Enchanté, Matthieu.
On s’était fait la bise. Julie était mignonne. C’était une petite brune, un peu plus petite que Stéphanie, un peu ronde sans être grosse, elle a de jolis yeux bleus, vraiment, et des formes, notamment des seins qui me font penser à ceux de ma sœur. Elle est habillée en minijupe très très courte, bottines à talons, et un chemisier qui laisse deviner cette imposante poitrine. Stéphanie souligne :
— Heureusement que je ne me suis pas changée, j’aurais eu l’air bête en pantalon d’intérieur ah ah.— C’est vrai qu’on a de la chance, Mat, les deux femmes sont très sexy ce soir. Non ?— Euh oui oui, Karim.
On a pris un verre au salon tranquille. Julie était très sympa, plutôt marrante. On a bien ri. Dès que Stéphanie et mo nous absentions, ils se roulaient des pelles, leurs mains se faisaient baladeuses. Stéphanie a répondu à un appel, s’est éclipsé. Karim a embrassé direct Julie, qui était sur la retenue. Il a dit en se marrant :
— Te gêne pas pour Mat, il m’a déjà vu faire bien plus que ça.
Et ils s’embrassaient à pleine bouche devant moi, Karim lui pelotait ses mamelles à travers le chemisier, et elle malaxait le pantalon de Karim. Plus tard dans la soirée l’alcool aidant, je me suis assoupi. Quand je suis sorti de mes rêves, j’ouvrais les yeux, il n’y avait plus personne dans le salon. Après quelques secondes pour me réveiller complètement j’entendis des bruits venant du côté des chambres. Je pris peur, Stéphanie n’était pas là. Je me levais et me précipitait vers le couloir. Je m’arrêtais net en voyant Stéphanie, adossée au mur, près de la chambre d’ami qui était close. Quand elle m’a vu j’ai cru la voir sortir sa main de dessous sa robe mais je n’en suis pas certain, tout était un peu trouble, et dans l’obscurité. Je m’approchai d’elle. Les bruits venaient de la chambre, Julie ne se gênait pas pour exprimer le plaisir qu’apparemment Karim ne manquait pas de lui procurer.
— Tu fais quoi ?— Ecoute... Elle a l’air de prendre son pied en tout cas.— Allez viens on va se coucher.— Et ça dure depuis plus d’une demi-heure non stop !— Ok.
Je tentai une approche. Je me rapprochai d’elle.
— Et si on faisait pareil dans la chambre. Elle a ri.— Oui, enfin pareil, ça m’étonnerait, tu vois.— Tu comprends ce que je veux dire mon amour.
Elle comprenait, mais ça m’avait vexé cette remarque, ce n’était pas son genre. Karim devait défoncer Julien qui criait, on entendait des « encore », « vas-y », « baise-moi », « putain que tu es gros », « on m’a jamais baisé comme ça » etc... Je regardais Stéphanie qui se tenait debout, cambrée, son corps tout entier semblait en tension. Elle m’a regardé.
— Tu veux me faire plaisir ?— Oui bien sûr ma chérie, viens. Je vais te lécher comme jamais.— Ici, Mat.
Et elle a posé sa main sur mes cheveux et a appuyé dessus pour me faire m’agenouiller, à ses pieds. Elle a écarté les cuisses, j’ai glissé son string qui était littéralement trempé de mouille.
— Lèche moi s’il te plait, vite. J’en peux plus là.
J’ai obéi, je l’ai léché frénétiquement, elle mouillait tellement, elle a mis son string dans sa bouche pour ne pas faire trop de bruit. Elle a joui sous ma langue, mais sans doute plus grâce à ce qu’elle imaginait se passer dans la chambre d’amis que pour mes propres talents. Elle se cambrait à fond contre le mur, avait posé une jambe sur mon épaule, tantôt tendait les bras vers le haut, tantôt appuyait sur mon crane pour me presser contre sa chatte. Je me régalais. Je me suis évidemment jouis dessus. Encore. Mon cuni a quasiment duré une demi-heure. Et elle a joui de nouveau. Peu après on a entendu Julie vraiment hurler, puis Karim poussé des râles de plaisir. Finalement. Stéphanie m’a redressé et m’a attiré rapidement dans la chambre. On a refermé la chambre. Alors que je me remettais à peine de mes émotions et me déshabillait pour me mettre en caleçon pour la nuit, Stéphanie écoutait derrière la porte.
— C’est fou il l’a baisée plus d’une heure non stop avant de jouir. — On se couche mon amour.— C’est incroyable. Et elle a eu l’air d’aimer la Julie.
J’étais au lit, elle a finalement quitté la porte.
— J’ai envie de baiser Mat.— Mmmmm je veux bien essayer. Mais je viens de me jouir dessus je te préviens.
Je préférais être honnête, de toute façon Stéphanie savait que cela m’arrivait souvent.Elle a fait la moue, s’est déshabillée et est venu au lit. En soulevant son oreiller, on a trouvé un paquet, et juste un mot écrit dessus : « pour cette nuit ». J’ai reconnu l’écriture de Karim, mais trop tard, Stéphanie l’ouvrait déjà.
— Oh mon dieu !
J’eus la même réaction qu’elle, mais ne put sortir un mot. Stéphanie venait de sortir un gode, énorme. A l’œil comme ça, je l’évaluais à plus de 20cm de long et plus de 5 de large. Quand elle a tourné la boite, j’ai lu 21x6. Soit plus petit que la bite de Karim mais déjà très gros. Stéphanie l’a sorti. Elle souriait maintenant.
— Tu peux dormir mon chéri, je vais me débrouiller.
Je me suis écrasé, je n’ai rien dit, me suis couché. Je l’ai entendue prendre son portable et tapoter dessus. Je n’ai pas osé me retourner ou lui demander ce qu’elle faisait. Puis je l’ai entendu lécher le gode, et je me suis endormi de nouveau. Quand je me suis réveillé, je l’ai entendu gémir, je me suis retourné, elle était nue, sur le lit, et se godait à fond, elle enfonçait le gode vraiment bien profond en elle. Elle ne fit pas attention à moi, continuait à se baiser la chatte avec le gode, on entendait en fond, Karim qui baisait Julie de nouveau. Il me semblait qu’elle jouissant encore plus fort. Stéphanie s’est tournée vers moi : elle était comme en transe, elle me souriait, mais pas vraiment à moi.
— Ca a recommencé, de nouveau plus d’une heure là. Et moi je me gode pareil depuis deux heures presque, c’est trop bon.
Je n’ai rien dit. Elle a sorti le gode de sa chatte et l’a tendu vers moi.
— Nettoie le un peu.
J’ai obéi. C’était la première fois qu’elle me faisait faire ça. Elle me fixait du regard, l’air un peu sévère. J’ai léché le gode.
— Allez applique toi, bébé, ensuite tu vas bien le lubrifier pour moi.
Elle l’a donc enfoncé dans ma bouche et m’a fait le sucer, comme une petite salope. Elle se doigtait en même temps. Puis elle m’a repoussé et l’a remis dans sa chatte, on a entendu Julie jouir comme une folle, et juste après, Stéphanie a joui aussi et cette fois ne s’est pas retenue, elle a aussi hurlé de plaisir. Elle m’a ensuite de nouveau fait nettoyer le gode dans ma bouche puis la laper et boire sa mouille. Elle se calmait. Son téléphone a sonné. Elle a lu et souri. Cette fois j’ai osé.
— C’est qui ?— Karim.
Je ne sais pas si je me félicitais qu’elle dise la vérité. Elle assumait complètement.
— Il veut quoi.
Sans me regarder elle m’a jeté son téléphone presque au visage s’est levé pour aller dans la salle de bain qui est dans notre chambre. J’ai pris son portable et lu l’échange de sms :
— je viens de trouver le cadeau... merci...— ton deuxième prix te plait ?— il faut que je l’essaie.— je me suis dit que j’allais faire un cadeau utile.— très !— surtout ce soir— j’en connais une qui n’en a pas besoin !— en effet, t’en fais pas je m’occupe bien d’elle— j’en ai l’impression oui— et je me suis dit que ce n’était pas Mat qui pourrait atteindre cette taille— ah ah
Puis à l’instant :
— apparemment ça fonctionne bien !— pas mal ;-) donc cette fois, merci !
Pffff.... je ne savais pas quoi dire ou faire, donc je n’ai rient dit. En revanche j’en ai profité pour lire leurs échanges de la journée.
— Alors ? T’apprends des trucs ?!
J’ai reposé le portable. Stéphanie s’est couché et s’est endormie. J’ai fait pareil. On a été réveillé quelques heures plus tard de nouveau par Julie qui hurlait.Stéphanie s’est levée, a juste mis une nuisette en soie et dentelle courte et décolletée. Moi j’ai mis un pyjama. On est allé dans la cuisine, elle était assise à la table, je sentais qu’elle tendait l’oreille. Moi je préparais. Karim et Julie sont finalement arrivés, Julie portait une chemise de Karim et Karim était en boxer. Il avait une bouteille de champagne à la main.
— Salut les amoureux, il a dit tout sourire.
Julie nous a salués aussi, on a répondu. Stéphanie ne les quittait pas des yeux.
— Merci Mat pour le champagne, après tout c’est toi qui l’as payé. Julie a adoré.— C’est vrai, excellent, merci.
Alors que je servais le café, Stéphanie n’a pu résister à la curiosité.
— Pas trop fatiguée Julie ?— Ah ah un peu. Mais j’ai cru comprendre que vous deux aussi vous devez l’être, on a entendu du bruit au milieu de la nuit.
J’allais répondre mais elle a coupé court.
— Oui, enfin c’était moi seule ça.
Julie devait aller bosser, donc elle a juste bu un café, est allée se doucher vite fait et est repartie, non sans nous avoir remercier, et embrassé goulument Karim. Karim l’a alors retenue et a dit à voix haute :
— T’as pas quelques minutes là avant de partir, j’ai envie de ta bouche.
Elle a souri et l’a entrainé dans la chambre d’amis. Elle l’a sucé et a tout avalé. Elle est partie. Stéphanie et moi on s’est préparés, Stéphanie était de nouveau gentille avec moi. Ça lui était passé. Le vendredi était férié on avait prévu d’aller à Annecy pour la journée. Une fois qu’il s’était douché, on a proposé à Karim, qui a accepté bien volontiers. Durant la journée, Karim a de nouveau été charmant, dragué un peu des filles que l’on croisait, s’est fait chauffer par quelques autres. Une serveuse au resto le midi, une vendeuse, deux filles dans la rue. Il échangeait par sms avec Victoria qui lui proposait d’aller danser le soir à Genève. Il nous en a parlé, et Stéphanie qui adore danser a de suite dit oui. On s’est promené au bar du lac, mangé au bord du lac, refait un peu de shopping, et finalement rentré pour retrouver et diner avec Victoria pour ensuite aller en boite. Au retour, Karim a insisté pour conduire ma nouvelle voiture, une Mercedes. Je n’ai pas pu dire non. Je me suis mis à l’arrière. Je me suis endormi. A mon réveil, à l’arrivée sur Genève, je n’ai rien remarqué, regardé ma montre, on avait mis le temps de trajet normal. Cela dit cela m’a rappelé le retour en voiture avec ma mère le lendemain de la soirée avec Isabelle. Karim avait raison, je n’avais pas vraiment changé.
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