La voiture de Laurent est garée dans une rue adjacente, je le suis avec stupeur et appréhension. Je ne sais pas si c’est parce qu’il m’a fait prendre un pied d’enfer dans ce bar ou parce que ma curiosité a toujours été un très vilain défaut chez moi (ou une qualité!) mais je me surprendss à le suivre sans opposer la moindre résistance. Je monte dans la voiture, Laurent démarre. Pour dire vrai je suis toute excitée comme une enfant de ne pas savoir où tout cela va me mener, le mystère, la surprise, voilà ce que j’aime, voilà ce qui me fait vibrer ! La voiture déambule dans les rues de Rennes, Laurent a mis un fond de musique, nous restons muet pendant 5 bonnes minutes puis à un feu rouge Laurent me regarde et me demande : — « Ecartes les jambes Louise, fais moi voir ta belle petite chatte ».— « Tu es un vrai coquin, j’adore ça ».Je m’exécute en décroisant doucement mes jambes, la voiture redémarre et il prend soin d’allumer toutes les lumières intérieures de la voiture, j’aime me sentir comme cela offerte à cet homme. Nous arrivons alors sur la rocade et quittons par conséquent Rennes, décidément ce petit jeu m’émoustille de plus en plus.... où me conduit-il comme ça les jambes écartées, la minette à l’air libre ? Peut-être allons-nous à la campagne ou chez lui ? Oui c’est ça, il doit très surement m’amener chez lui pour y passer la nuit, ou bien....Mais plus le temps de réfléchir, Laurent m’interrompt dans mes songes !« Caresse ta chatte maintenant, tu es suffisamment exposée » Je ne réponds pas et passe avec un plaisir non dissimulé ma main sur ma fente en commençant à faire rouler mon petit bouton entre deux doigts. Je regarde Laurent en écartant mes petites lèvres soyeuses de deux doigts également pour lui montrer l’intérieur du vagin rosé mais pas encore humide. Il regarde avec parcimonie, dur d’être totalement attentif en conduisant. Mais la réalité rattrape vite mes fantasmes lorsque je tourne la tête de l’autre côté pour regarder la route ; nous sommes en pleine rocade un vendredi soir vers 20h, le trafic est dense, Laurent roule à gauche et nous doublons une multitude de voitures, une petite dose de stress s’empare alors de moi, et si quelqu’un que je connais me voyais comme ça, en train de me toucher la minette dans la voiture d’un homme mûr ? Mais j’oubliai : mon père emprunte cette rocade pour rentrer du travail à cette heure-ci en plus !Toutes ces hésitations fourmillent en moi et je retire furtivement ma main de ma chatte. Laurent le remarque et me rappelle. « Louise, souviens-toi de ce que je t’ai dis, si tu trouves que ça va trop loin, tu arrêtes tout de suite, je déteste forcer quelqu’un ».Mais quels incroyables regrets aurai-je si je cessai ce jeu maintenant ! Pour qui Laurent me prendrait-il ? Sans doute pour une gamine qui n’a que de la gueule sur le net et rien de plus. Et puis pour tout vous avouer, j’ai toujours souhaité au fond de moi m’exhiber comme ça, je ne l’ai jamais fait par peur et car je n’avais encore jamais rencontré quelqu’un fantasmant sur ce genre de délires mais aujourd’hui je le souhaite plus que tout, je le veux, je vais en mettre plein la vue à ces automobilistes ! « ne t’en fais pas Laurent, ça me plait, regarde bien » Je tourne ma tête du côté de la voie de droite et attends la personne propice tout en m’appliquant à faire glisser mes doigts sur mon clito et sur mes lèvres, nous doublons des voitures mais sans grand intérêt pour le moment (je ne souhaite surtout pas m’exhiber devant autre chose qu’un homme seul ou un couple.). C’est alors que, le trafic provoquant quelques minis bouchons , Laurent arrive au niveau de la voiture d’un homme seul, la cinquantaine. Laurent me dit alors « Il est pour toi celui là, met lui en plein la vue ». Inutile de me le dire deux fois ! Je l’avais repéré avant Laurent !Je passe un doigt dans ma bouche et le suce lascivement, presque vulgairement même, l’homme ne capte pas tout de suite et tourne la tête au bout de quelques secondes en me regardant les yeux grand ouvert, il n’en revient pas ! Je fais de bons mouvements avec mon bras pour lui faire comprendre que je me touche l’entre cuisses si il ne le voit pas avec la portière. L’homme sort sa langue et je lui réponds de la même sorte. « Bien Louise, montre lui à ce vieux cochon, qu’il n’oublie pas de sitôt cette soirée. ». La voiture repart et nous le laissons sur place, cette expérience commence à m’exciter au plus haut point, mon entrejambe suinte maintenant. Nous doublons plusieurs autres voitures, je sens plusieurs regards d’hommes ébahis me dévisager, scruter mon entrejambe pour tenter de mieux voir la scène. Nous arrivons à la hauteur d’un couple, le mari est au volant « Celui là Louise, donne lui envie d’en baiser une autre que sa femme ! »Je lui fais alors signe du doigt et lèche salacement ce même doigt, doigt que j’enfonce ensuite doucement entre mes lèvres en gémissant. L’homme n’en revient pas, il me scrute discrètement, c’est alors que sa femme le remarque, me regarde ébahit et ouvre grand la bouche en apostrophant son mari, ce que j’aime ça, je prends mon pied comme rarement à jouer avec ces hommes, je leur fait un au-revoir cynique de la main et nous les laissons sur place. Ce que j’aurai aimé entendre ce que lui dis sa femme ! La voiture quitte la rocade et s’engage sur l’autoroute direction le sud, je suis de plus en plus intriguée par la destination de notre escapade. En effet, Laurent, d’après ce qu’il m’a dit, habite à l’est de Rennes. Où allons-nous donc alors ?Je continue à caresser ma petite chatte entièrement épilée et à part quelques regards furtifs, il n’y a plus rien à signaler sur la suite de notre trajet. Plus rien jusqu’au moment où Laurent actionne son clignotant et s’engage dans la voie menant à ce qui semble être une aire d’autoroute. Je comprends tout maintenant ! Je le regarde satisfaite, un sourire malicieux aux lèvres.— « Et bien quoi Louise, ce n’est pas toi qui m’avait dit lors de nos discussions que c’était un lieu insolite qui te faisait fantasmer ? »— « Si, merci de m’offrir ce cadeau. » Laurent gare sa voiture derrière la station service, l’endroit où tout les routiers viennent garer leurs camions ! Il cale sa voiture entre deux camions sans personne à l’intérieur et stoppe le contact.
— « Et maintenant ?» lui dis-je— « Maintenant je vais goutter ta chatte sur la banquette arrière, les voyeurs arriveront tout seul ne t’en fais pas ! »— « Tu es sur que.... »— « Ne t’inquiète pas, il ne feront rien d’autre que mater » Laurent ouvre la portière, je le suis avec une certaine appréhension, je vois en effet plusieurs routiers et quelques automobilistes garés pas loin de nous. Je sens une boule me traverser la gorge et me demande si je vais oser faire ça ici, devant des inconnus et avec un quasi inconnu. Mais Laurent me rassure, même en ne le connaissant que très peu, ses airs bienveillants, presque paternalistes me poussent à continuer l’aventure avec lui. Et puis..... comme il l’a dit précédemment, le faire sur une aire d’autoroute fait partie de mes fantasmes, je n’avais juste pas imaginer qu’on puisse me voir. Nous nous retrouvons tout deux sur la banquette arrière, Laurent m’allonge et écarte mes cuisses, pendant que son nez renifle mon odeur intime je ne peux m’empêcher de regarder autour de moi, une partie de moi souhaite que personne ne nous remarque mais l’autre partie espère tellement que de vieux cochons nous surprennent... les doigts de Laurent tâtent mon terrain intime, il me regarde d’un air cochon, mon cœur bat la chamade, cet homme me rend folle. « A mon tour de te faire jouir Louise, je vais te manger la chatte »Je passe ma main sur sa nuque et le caresse, poussant pour l’attirer vers moi, je veux sentir sa langue experte sur mon abricot. Personne ne nous a encore remarqué, finalement je me dis que c’est dommage... Laurent commence à agiter la pointe de sa langue sur mon clitoris, mes petits gémissements de chatte en chaleur l’encouragent à poursuivre, il la fait tournoyer avec tant de tact ! Ce n’est pas un minet d’université ! Il descend sa langue sur mes lèvres en les humidifiant avec sa bave, la pointe de sa langue s’égare parfois sur mon oeillet, est-ce par accident ? Hmmmm je ne le crois pas, j’aime son audace ! Ce n’est pas donner à tout le monde de faire preuve d’un tel audace dés le premier soir... Je gémis de plus en plus plaintivement et commence à sentir mon nectar couler, bien que ma position actuelle, le dos collé à la portière et plus précisément à la poignée, est très inconfortable. Encouragé par mes gémissements de plaisir, Laurent m’introduit un doigt dans ma petite fente lisse, c’est à ce moment qu’un routier sort de la station service et se dirige vers nous. Mon cœur bat de plus en plus fort et je rigole nerveusement, ce rire que l’on a tous lorsqu’un certain stress nous envahit. Je montre du doigt à Laurent cette ombre qui se dirige vers nous, il se retourne et le regarde calmement tout en continuant à fourrer ma chatte en tournant son doigt à l’intérieur. Le routier s’avance inévitablement vers nous, Laurent s’écarte un peu comme pour lui exposer ma petite fente offerte, nous ne voyons qu’une ombre dans la nuit mais je sais que lui voit absolument tout car la lumière intérieure de la voiture est allumée. L’homme toque à la voiture !« Laurent... »« T’en fais pas Louise, laisse moi gérer ça »Je ne me sens plus très rassurée, le doute m’envahit, que va-t-il se passer maintenant ? Laurent ouvre partiellement la vitre, je vois alors l’homme apparaître dans la pénombre, il est grand et rondouillard, les épaules carrés, une moustache rustique, les traits marqués par l’âge, une grosse doudoune bleue et un jean un peu trop large. Un vrai physique de routier en somme! Les âmes bien-pensantes me trouveront probablement méprisante, peu m’en importe ! L’homme s’adresse à Laurent.— « Salut, alors on se fait pas chier là dedans ? »— « Effectivement mon ami, nous prenons du bon temps, désolé si cela vous dérange, dans ce cas nous pouvons aller nous garer ailleurs. »— « Ah mais nan, au contraire, ça me fait bien bander ce que vous faites et puis elle a les cuisses bien écartées votre copine là, il y a moyen de participer. »— « Non désolé, vous pouvez mater mais c’est tout, c’est notre règle. »— « Bon ok »— « Et faites passer le message si jamais il y a d’autres amateurs » La classe de Laurent contraste tant avec la rusticité et soyons franc, la beaufitude de cet homme que cette scène m’amuse, elle m’amuse et me rassure lorsque Laurent lui demande de rester dehors. Il referme alors la vitre devant le visage un peu gauche et déçu de Monsieur Bidochon ! Laurent me remet un doigt dans le vagin en regardant ce routier, l’homme passe sa main sur son entrejambe et commence à se caresser en le regardant faire. Laurent se met à me doigter frénétiquement, cette situation me rend folle, je couine, je ne me sens plus, j’aime voir ce type me mater avec envie sans pouvoir rien faire de plus ! « Regarde le bien Louise, fais le bander ce gros cochon ». Je me palpe les seins en le regardant, ce cochon a sorti sa queue et la branle doucement, je la devine petite même dans la pénombre... Ma chatte perle de plus en plus, je trempe les doigts de Laurent qu’il crochète dans ma chatte. Je me sens venir, mon bas ventre est prêt à exploser, j’alterne mes regards entre les doigts de Laurent et notre ami du soir se secouant la queue. Je viens, je n’en peux plus « haaaaaaaaaaaa hoooooooo ouiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiii ».Laurent continue à me secouer, des jets de mouille viennent tremper la plage arrière. Il retire ensuite ses doigts et me les colle dans la bouche, je les lèche langoureusement en le regardant comme une chienne, que j’aime ce petit goût salé de ma cyprine. Laurent se redresse alors et à ce moment je vois deux autres hommes arriver, semblant un peu plus jeunes que l’autre, Laurent les remarque aussi, ils nous matent, discutent avec le premier larron et se postent devant la vitre comprenant sans doute qu’ils ne pourront pas faire mieux. Laurent baisse alors son pantalon puis son boxer et me présente sa queue déjà bien bandée. « Suce moi un peu pitchoune avant que je te prenne. »Je me met à 4 pattes sur la banquette, je vois alors que les trois poltrons faire le tour de la voiture pour mieux contempler ma croupe. Je redresse ma robe pour leur en donner plein les yeux, offrant mes deux petits trous à leurs regards excitant de pervers. Je prends la queue de Laurent dans ma main et la secoue en suçant son gland, puis les contours de la verge. J’entend Laurent me dire que « Ces trois gars se branlent en matant ton cul avec délectation, tu vas leur vider les couilles à eux aussi Louise ».Je suce la queue de Laurent avec délectation, le plaisir redoublé par cette situation insolite, je remue doucement mon cul en direction de nos voyeurs. Je sens leurs regards se fixer sur ma raie, mon petit trou, mon bel abricot. Je lève les yeux vers Laurent en commençant à le pomper, à tenir sa queue entre mes lèvres pour bien la faire coulisser en moi, je le vois faire un signe du pouce aux routiers pour leur dire que c’est divin ! Je suce sa queue du gland jusqu’aux couilles, le gland de Laurent vient toucher mes amygdales et me fait parfois toussoter, j’humidifie autant que je peux son membre à l’intérieur de ma bouche. Je fais glisser son gland sur l’intérieur de mes joues tout en ne le quittant pas du regard.« L’un des trois vient de gicler Louise, tu l’as vidé »« Hmmmm super » je tourne ma tête et vois l’un des 3 hommes remettre sa braguette, il vient en effet de se finir. Laurent tire un peu sur mes épaules pour me faire signe de me relever, je comprend ce qu’il veut et me tourne en positionnant mes petites fesses à 4 pattes devant lui, je suis désormais face aux deux hommes restant. Laurent sort une capote de sa poche, je l’entend retirer le plastique de protection et la mettre sur sa queue. Les deux hommes secouent leurs sexes en me regardant avec une envie irrépressible de pouvoir me baiser eux aussi. Je les aguiche en passant ma langue sur les contours de mes lèvres. Laurent pousse sa queue si expérimenté dans ma jeune petite chatte encore frêle. Quel bonheur de sentir son manche s’enfoncer doucement et progressivement dans ma fente, je m’accroche au siège et Laurent me fouille la fente avec son sexe en accélérant doucement, son gland vient caresser mon col, il coulisse du gland jusqu’aux couilles la ressortant presque à chaque fois. L’un des deux hommes restant craque et jouit à son tour, son sperme coule de son gland et perle le long de sa queue, quelle satisfaction de réussir à faire jouir ces hommes sans même les toucher, cette vision décuple mes sensations et me fait ressentir encore plus intensément la queue de Laurent en moi. Je tourne un peu mon visage et regarde Laurent, nous échangeons des regards complices. Il me met quelques petites fessées et s’amuse à sortir et à rerentrer sa queue en moi. « Tu as une bonne petite chatte toute serrée, ça faisait longtemps que je n’en avais pas pénétré une aussi bonne ».Laurent est génial, il pénètre à merveille, coulissant de tout son long sans taper trop fort ni trop lentement, il remue sa queue par des mouvements circulaires et sait faire varier les plaisirs. Je ne me préoccupe plus de l’homme se tenant face à moi, passe ma main sous mon ventre et stimule de nouveau mon bourgeon. Il est vrai que je suis assez étroite mais ma bonne lubrification naturelle donne à Laurent tout le loisir d’aller et venir en moi à sa guise. C’est le moment que choisit Laurent pour augmenter le tempo en m’attrapant par les cheveux, il ne se retient plus et me donne de grands coups de reins. Le dernier survivant du groupe craque alors et éjacule par de grandes giclées saccadées. Je sens que Laurent va venir aussi.— « Tu aimes ça Louise ? Te faire prendre en levrette face à des voyeurs hein ? »— « Ça me fait tellement mouiller, c’est génial, merci Laurent ! »— « Tu vas me faire jouir encore petite putain »— « Oui, gicle sur mon cul » Laurent se retire, enlève la capote et d’un coup d’un seul me recouvre les fesses de son sperme chaud et crémeux, la première salve recouvre ma fesse droite, la seconde vient s’écraser sur mon anus et mes lèvres, Laurent râle, grogne, se soulage, j’aime la sensation du sperme s’étalant sur ma peau, c’est si agréable et excitant ! Il finit en essuyant sa queue sur ma fesse gauche « Hmmm ta peau est douce ma jolie Louise », je le regarde de façon complice en gémissant et en dandinant mon petit cul devant lui.Laurent essuie mes fesses et me dis « Bien, maintenant il est l’heure de te ramener chez toi »Nous remontons à nos places, Laurent démarre et nous partîmes. Le retour se passa sans évènements notables aux yeux du lecteur, Laurent me déposa en bas de chez moi et de son plus beau sourire vint déposer un baiser sur mon front « Bonne nuit Louise, cette première expérience va au-delà de mes espérances. »— « C’était génial Laurent, merci de m’avoir fait découvrir ce genre de petits jeux si excitant. »— « Mais de rien, le plaisir se partage Louise et tu sais que je t’estime beaucoup, je ne ferais rien qui puisse te déplaire ou te faire te sentir dégradée. »— « A bientôt alors ? »— « J’espère bien, on se retrouve sur skype prochainement en tout cas ! » Je monta les escaliers pour atteindre mon appartement lorsque je sentis une sensation bizarre entre mes jambes et je me rappela alors que je n’avais plus rien sous ma robe.Il va falloir que je revois Laurent si je veux récupérer mon tanga ! À suivre.
