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homoparentalité

Chapitre 1

Gay
Maman ne sait pas que je suce papa. C’est un secret soigneusement bien conservé qui nous excite au plus haut point. A 22 ans, je vis encore chez mes parents du fait de mes études supérieures prolongées. C’est mon paternel qui est le plus satisfait de cette situation familiale qui convient tout à fait à sa part d’ombre, à ses vices les plus cachés. Quand sa femme s’absente pour rejoindre son lieu de travail (elle est médecin dans un CHU), il se retrouve souvent célibataire pour la nuit et peut alors pleinement assouvir ses pulsions homosexuelles les plus dépravées, se goder l’anus, se masturber des heures en regardant des magazines gay ou encore partager sur le net avec des inconnus ce que sa moitié ne pourrait supporter s’il se décidait à tout lui avouer. Mais cela ne risque pas d’arriver car mon père tient trop à cette double vie.
  Complice déluré, j’adore lui téter son gros champignon suintant, lui soupeser ses volumineux testicules en ouvrant bien grand pour qu’il puisse voir, au moment souhaité, ses puissantes giclées de foutre me tapisser la langue et le pourtour des lèvres. On fait toujours ça en cachette et c’est un rituel auquel je me plie volontiers: je garde en bouche en attendant que mon vieux vienne me rouler des pelles toujours sensuelles, gourmandes et très baveuses. On s’enlace et on se caresse lascivement en s’embrassant à pleine gueule, on se bouffe mutuellement les orifices en se gobant les couilles, en se suçant le cul comme deux morts de faim. On fait parfois l’amour, lovés en 69, sur le couvre-lit de leur chambre à coucher. On se gode l’un l’autre. Je lui pompe la hampe épaisse à m’en décrocher la mâchoire et il me tient parfois par les tempes, surexcité, pour me baiser vigoureusement la face en prenant soin de m’insulter et de me dire combien c’est bien meilleur avec moi qu’avec qu’elle.
  J’aime l’idée de remplacer ma mère au pieu. Je m’épile les jambes et j’enfile ses petites culottes sales pour que l’illusion soit plus stimulante. Je vais même jusqu’à mettre de son parfum. Papa tire l’élastique, me doigte profondément le cul gélifié et m’enfile en levrette en prenant soin de renifler les senteurs intimes de son épouse. Alors, je mords l’oreiller et je me fais copieusement défoncer en regardant le portrait de mes parents, cadre posé en évidence sur la table de chevet. Si elle savait, la pauvre, ce que son mari me met ! J’aime également qu’il me prenne par devant, comme une vraie femelle offerte, cuisses relevées sur la poitrine, le sentir me labourer le bas-ventre de sa belle queue épaisse et puissante qui me remplit si bien. On fait l’amour comme deux amants épris de la même passion: cocufier maman .
  Le plus souvent, Papa se contente d’une bonne pipe de son fils servile et aimant, pour calmer de trop fortes érections, à table, sous la douche ou aux toilettes, mais il n’hésite pas à organiser de véritables partouzes entre mecs très membrés, au salon. A charge pour moi de tout nettoyer, une fois la fête terminée. Si j’ai bien travaillé, j’ai droit à son urine comme une récompense suprême et je me couche la panse pleine, de quoi tenir, jusqu’à la nuit prochaine....
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