Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 36 J'aime
  • 9 Commentaires

L’horrible punition

Chapitre 4

Trash
Chapitre 4 et conclusionMichel et Christelle, la sentence de Tante Marion
-------------
Christelle était sur moi, ondulant du bassin sur mon sexe en feu, gémissante de plaisir. Quand on lui a dit de baiser avec moi, son propre frère, elle n’a pas manifesté de dégoût. L’inceste semblait donner du bonheur aux employés de tante Marion qui ne cessaient de se branler devant la scène. On m’avait poussé sur le lit, et elle a pris les devant. Elle était excitée par les saillies des employés de tante Marion, de plus en plus terrifiante chaque jour. Christelle s’était débattue au tout début, lorsque tante Marion avait ordonné qu’elle se fasse prendre devant nous, papa , Michel son ex amant et moi, son propre frère. Elle ne voulait pas être considérée comme une putain pour les employés de Tante Marion. Oui, au début ils avaient été obligés de se mettre à deux pour la maintenir sur le lit , tandis que le troisième lui broutait le minou. Elle résista au début, mais son corps ne put résister au plaisir procuré par la langue de son agresseur. Lentement, ils relâchèrent les membres de la jeune fille et commencèrent à lui faire son affaire avec son entière coopération. Les cris de Christelle changèrent et de cris d’appels au secours, passèrent à des cris de bonheurs. J’éprouvais aussi beaucoup de plaisir à me faire chevaucher par elle, cette superbe brune teinte en blonde au corps de strip-teaseuse. Je caressais en même temps ses magnifiques seins ronds qui ballottaient au dessus de moi. Je finis par juter en elle, de toutes mes forces et nous jouîmes en même temps. Ce fut ensuite le tour de Michel et la scène vira à la catastrophe car Christelle fut prise d’une rage incontrôlée et ce mit à le frapper violemment. Elle voulait lui faire payer sa trahison. Tante Marion esquissa un sourire de satisfaction. Ses yeux brillaient de plaisir. Voir son futur ex mari se faire tabasser par sa nièce, elle aussi trompée. Ils furent séparés et Christelle fut apaisée par deux gars qui la firent boire. Il y eut une pause. Christelle se mit à pleurer suite à sa crise de nerf et alla voir Tante Marion en sanglotant.-Je suis désolée de tout ça ! si je n’avais pas couché avec Michel, tu n’aurais pas eu le cœur brisé et tu n’aurais jamais eu à faire ça. -Il est un peu tard pour se repentir ! mais sache que je réserve un sort peu enviable à Michel…tout comme le tien petite traînée.-Je ferai ce que tu veux Tante Marion, je suis prête à payer.-Pour le moment, tu vas donner ton cul à mes employés et à ton frère. Je veux que tu te plies à leurs plus vils désirs. Tu vas commencer par sucer mon détective, qui a fait du très bon travail et qui brûle de te baiser.Le petit homme rondouillard était tout fébrile. Jamais il n’aurait imaginer se faire une fille aussi belle que Christelle. D’ailleurs, avec un certain dégoût , elle s’exécuta. Christelle savait y faire et fit tout pour le faire éjaculer le plus vite dans sa bouche. Une fois débarrassée de la corvée, elle alla s’affaler sur le lit où l’attendait déjà deux gars terriblement excités. -Ta fille sait y faire, hein ? ricana Tante Marion.Mon père n’avait pas dit un mot depuis le départ du serbe. -Je crois qu’elle est irrécupérable à la voir se faire prendre de la sorte. -ferme là, Marion, sale bonne femme frigide ! hurla Michel.Deux hommes se dirigèrent vers lui et le corrigèrent.-Tu manques pas de respect à la patronne, petite merde ! toi, qui a baisé sa belle sœur et sa nièce !Marion le gifla à son tour encore et encore sous les yeux de sa nièce qui se faisait enculer. Elle éclata d’un rire fou tout en gémissant de plaisir.-Continue, ma tante, continue, j’aime cela ! Ce traître, ce lâche. Il nous a trahi toute les deux. Punie le.Tante Marion allait frapper à nouveau mais elle croisa le regard fou de sa nièce.-Vous quatre, foutez le à poil, allongez le sur le lit et maintenez le.Ils se ruèrent sur Michel qui ne put se défendre. Il se retrouva sur le lit sans défense.-A ton tour Christelle, je te fais un sacré cadeau, venge toi sur lui.Ma sœur se rua au dessus de lui devant les rire des employés. Elle se mit à rire et lui griffa le torse puis entreprit de le sucer. Au lieu de cela, elle se mit à lui mordre le sexe puis les couilles arrachant des cris de douleur à son ex amant. Marion jubila. Sa nièce s’acharnait sérieusement sur lui et en particulier sur les couilles de son oncle. Puis elle se mit à le frapper à nouveau si bien que les employés durent intervenir. Michel était détruit, son moral anéantit par cette humiliation. Tante Marion fut agréablement surpris par la réaction de sa nièce.-Je te rappelle que c’est encore mon mari, dit elle en souriant, mais plus pour longtemps.
Michel fut dégagé du lit les couilles ravagées. Christelle haletait puis se retourna vers les hommes et entreprit d’en sucer un qui recula…au début. Ce fut le début d’une partouze mémorable où ma sœur se surpassa en sexe. Elle donnait du plaisir et en recevait. De temps en temps, on avait droit à un strip-tease. Elle savait y faire à onduler son corps, exhiber son cul, ses seins adorables et nous aguicher tous. Puis inévitablement, les mecs finissaient par lui sauter dessus pour son plus grand plaisir et surtout celui de son anus très sollicité. Tout sembla se dérouler sur un air de fête sauf pour mon père et le pauvre Michel victime de la haine de Tante Marion et de Christelle. Mais toute bonne chose à une fin et il était temps de connaître notre sort à chacun.

Le dernier jour arriva donc, et toute la famille fut réunie exceptée Laurence partie expier ses fautes loin.Alors, Tante Marion, ouvrit grand les yeux et proclama la sentence. La sentence de Tante Marion :Mon père-Tu as refusé de voir la vérité en face, tu as délaissé ta femme et elle t’a fait cocu d’innombrables fois. Pourtant tu n’es pas responsable véritablement de mon malheur, tu es juste une pauvre larve. Tu n’as pas levé le petit doigt, lorsque je l’ai faite violée ainsi que ta fille, par mes employés.. Tu n’as pas levé le petit doigt lorsque je l’ai vendu au serbe, sachant que cet homme est effectivement une personne malade malgré son incroyable talent de metteur en scène. Tu n’as pas même pas levé le petit doigt lorsque l’on est venu s’emparer de ta femme qui se débattait désespérée et terrorisée Maintenant, sache le, tu ne la reverras plus jamais de toute façon, plus jamais. Ta femme était une putain mais tu ne la méritais pas. Maintenant, il ne te reste plus qu’à te faire oublier, de t’effacer comme l’homme inexistant que tu es.Mon père baissa la tête, comme à son habitude.
Ce fut mon tour.
-Tu es le moins impliqué dans cette histoire, innocent même. Ceci dit tu as baisé ta mère et ta sœur sans hésitation, je t’ai vu avoir une érection en les voyant se faire malmener. Tu es un pervers et un lâche mais pas une personne mauvaise. Tu as prouvé également que tu avais une admiration sans borne pour ta mère malgré ses actes. Tu peux donc continuer ta vie, mais tu seras constamment miné par l’inévitable sort de ta génitrice aux mains du serbe.-Je veux la sauver.-Il est d’ores et déjà trop tard. Tout est en place et irréversible. Si l’on avait fait quoi que ce soit qui allait à l’encontre de la transaction, c’était toute la famille qui partait avec lui partager le sort de Laurence et crois moi, je n’y tient pas. Je ne dis rien non plus…comme mon père.
Châtiment pour Michel et Christelle.
-Deux amants, ma nièce et mon mari. Puis ma nièce , trompée par son amant avec sa propre mère. L’idée est terrible et ton attitude d’aliénée à prouvé que tu as souffert de cette tromperie et donc vécu ma terrible souffrance. Je met cela sur le compte de la stupidité mais ton acte ne peut rester impuni. Tu restes une putain à mes yeux et ne peux te soustraire au châtiment. De même que mon cher mari. Tu disais m’aimer. Je voulais le croire mais je savais que c’était mon argent que tu adorais. Tu m’as brisé le cœur et fait de moi le monstre que je suis. Ainsi, nous allons divorcer et tu n’exigeras pas de pension de ma part sous peine de mort de la part de mes employés. Mais ce n’est pas tout, tu vas épouser ma nièce et lui faire d’innombrables enfants pour la combler. Tu iras travailler pour gagner ta vie et tu veilleras à ce que tes enfants ne manquent de rien. Mes hommes seront sans pitié si tu ne respectes pas tes engagements. Il protesta et ils le rossèrent sous les yeux de Christelle hilare. Elle était devenue folle sous le verdict. Désormais, la voilà reléguée au rôle de pondeuse et obligée de baiser avec un homme que maintenant elle déteste. Mais la connaissant, elle trouverait sans doute un moyen de s’en accommoder. Oh que oui.
Les sentences étant données, notre présence ici n’était plus nécessaire.
Nous fûmes raccompagnés chez nous. Le silence était insoutenable. Mais qu’avions nous à nous dire. Notre famille était détruite et le pire, c’est que je n’arrivais pas à en vouloir à Tante Marion. Seul le sort de ma mère était trop épouvantable.
Deux ans ont passé après les faits.
Mon père a vendu son affaire et après nous avoir donné une partie de l’argent à Christelle et moi, est parti à Madagascar ou, selon ses rares appels, il serait avec une jeune fille de là bas appâtée par son argent . Ecœuré, il a décidé de couper les ponts avec sa famille et maintenant sombre dans la déchéance aux bras d’une superbe noire de 25 ans sa cadette.
Christelle et Michel : Les ordres de Marion ont été exécuté. Michel, sous la surveillance d’hommes de mains de ma tante, est obligé de travailler en usine. Il est souvent fatigué, lui qui n’a jamais rien fait de sa vie et qui espérait vivre aux crochets de Tante Marion. Ma sœur et lui sont mariés et elle attend son deuxième enfant. Mais est il de Michel ? tout comme leur premier né. Outrée par sa trahison et aussi par amour du sexe, Christelle n’a qu’une chose en tête : le faire cocu dés qu’elle le peut et l’humilier en s’habillant comme une pute, allumant les hommes en sa présence. Comme elle est jolie et adore s’habiller très provocant, les occasions sont nombreuses et même enceinte jusqu’aux narines, elle continue de plus belle ses parties de jambe en l’air dans des lieux sordides avec d’innombrables inconnus dont la plupart suintent la perversité. Elle semble aimer ça et aussi de se mettre en danger. C’est triste. A croire que son énorme ventre qu’elle n’hésite pas à exhiber nu, est loin de rebuter certains.
Pour ma part, avec l’argent donné par mon père, j’ai dans un premier temps tenté de retrouver ma mère malgré les allusions de tante Marion sur son éventuelle mort aux mains du serbe et de ses acolytes. Cela me paraissait impossible. Je l’imaginais prisonnière quelque part et qu’un jour tante Marion aurait pitié et la ferait revenir. Mais en vain et tante Marion ainsi que Christelle ne m’aident pas et semblent contentes de ne plus avoir de nouvelle d’elle. Aucune trace, rien, elle a disparu. Le détective rondouillard me fuit comme la peste et semble terrorisé. J’ai un terrible pressentiment surtout depuis que j’ai reçu plusieurs mails anonymes avec des photos horribles des seins ravagées de Laurence afin de me dissuader de continuer mes recherches. Mais elles étaient forcément truquées, du maquillage, pour me faire peur. J’en veux à ma sœur d’avoir baissé les bras mais elle a décidé de vivre sa vie de dépravée sexuelle. Désespéré, je me lâche dans les soirées, l’alcool, la drogue et les filles défilent, mais rien ne pourra jamais guérir de l’horrible punition.Fin.
L’horrible fantasme de Tante Marion. (bonus)
Tante Marion, vêtue d’un peignoir noir et tenant un verre de whisky à la main, se dirigea vers le fauteuil orienté vers une énorme télé. Il y avait sur la table basse un dvd où l’ on voyait sur la pochette, une belle femme nue aux seins énormes entourée de trois hommes encagoulés munis de pinces et de couteaux, rien de rassurant . Elle était en larmes et toute en sueur, la cinquantaine, les bras attachés à un anneau suspendu au plafond. Il y avait sur son corps de nombreuses petites estafilades sanglantes et en particulier sa grosse poitrine. Il y avait aussi une lettre qu’ elle avait lue et relue. C’était une lettre du serbe. Il la remerciait mille fois encore de lui avoir vendu ce corps plantureux et que cette transaction lui avait fait faire d’énormes bénéfices. Hélas, il lui faudrait trouver une autre personne comme elle, pour la remplacer dans ce rôle unique. Afin de la remercier , il lui offrait ce dvd qui normalement, pour son contenu, était illégal et donc hors de prix Tante Marion sourit avec perversion. Elle ôta son peignoir, introduisit le dvd dans le lecteur et s’assit nue sur son fauteuil en sirotant son whisky. Elle commença rapidement à se masturber devant ce qu’elle voyait. Cris, terreur, douleurs et images insoutenables semblaient lui procurer d’immenses sensations de plaisirs. Telle était le genre de fantasme épouvantable de Tante Marion devenu sans limite suite à la trahison de sa famille et de son cœur brisé. Son plaisir était encore plus renforcé du fait qu’elle connaissait en personne la malheureuse actrice. Oui, cette femme au funeste destin n’était autre que Laurence, sa propre belle sœur…
Diffuse en direct !
Regarder son live