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Hot Plumbing

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
La journée tirait à sa fin. Le téléphone sonne, je décroche…
« Bonsoir, Hot Plumbing à votre service, que puis je pour vous »
Un homme me répond.
« Bonsoir, je vous appelle pour une urgence. »« Pas de problème, nous avons un service SOS dépannage 24/24, quel est votre problème? »« J’ai divers problème de plomberie à l’appartement, et j’aimerais savoir si vous pouviez passer y jeter un oeil. On m’a vivement conseillé vos services. »« Quel genre de problème? »« Classique, certaines des conduites d’évacuations et canalisations sont bouchées, et il y a des robinets qui fuient ou qui sont difficile à ouvrir. Le mieux est que vous veniez voir sur place, ma femme est actuellement à l’appartement et se ferra un plaisir de vous recevoir. Je rentrerai du boulot d’ici une heure, et je verrai aussi avec vous ce qui ne va pas. Mais vous pouvez y passer dès maintenant si possible, elle se mettra en quatre pour vous faciliter la tâche. »« Nous pouvons passer rapidement et voir ce qu’il en est. Faire un checkup général quoi. »« Ca serait en effet très aimable de votre part ».« Pensez vous qu’il nous faille intervenir à plusieurs? »« Je pense que ça serait préférable en effet… Il y a plusieurs conduites à vérifier, et je ne pense pas qu’une personne puisse le faire seul. Ca dépend aussi de vos outillage. »« Je vois, je vais venir personnellement avec deux de mes assistants. A nous trois, nous couvrons une bonne palette d’expertise et d’outillage et cela devrait nous permettre de nous partager les tâches et de vérifier l’état de votre installation en parallèle. »« Parfait, j’en ai parlé à ma femme, elle vous attend. N’hésitez pas à vous mettre à l’aise et à bien tout vérifier avec elle. J’arriverai d’ici peu. ».« Bien bien, nous allons faire de notre mieux. Qui vous a conseillé notre établissement? »« Un ami sur netech, qui semblait enchanté de la façon dont vous aviez vérifié l’installation de son épouse… heuh, je veux dire de son appart. »« Parfait, je pense que je vois le style de travail qui nous attend. »
Je griffonne l’adresse sur un papier avec un petit sourire, et je raccroche.J’appelle mes collègues qui commençaient à ranger le matos d’une journée somme toute assez calme, et les préviens de cette intervention sans doute un peu "spéciale" en urgence.
« Le type avait l’air d’insister pour qu’on s’occupe bien de sa femme. Comme le cocu, dont on a baisé la salope il y a deux semaines. On va aller voir, peut être un bon coup à jouer ou à tirer. »

Nous arrivons à l’adresse donnée, sonnette, escalier, et porte d’entrée… une charmante femme très coquine, superbe poitrine et habillée d’une courte jupe nous accueille… elle nous invite à entrer, et sa silhouette, accentuée par ses talons hauts est superbe… un cul et une poitrine à tomber… Elle porte des bas, qui mettent en valeur le galbe de ses jambes. Elle n’est clairement pas habillée pour aller jouer au bridge et son mari ne doit pas s’ennuyer tous les jours. Mais si on peut lui donner un coup de main, on ne va pas se gêner, le client est roi.
« Merci d’être venu aussi vite… Mon mari arrive bientôt, mais il m’a demandé de vous présenter les divers problèmes que nous avons. En n’oubliant absolument rien. »« Pas de problème, c’est notre métier. Montrez nous les conduites et les robinets qui vous semblent bouchés, durs à ouvrir ou qui posent problèmes »« Suivez moi s’il vous plait. »
Elle passe devant nous et avec une démarche parfaitement chaloupée, elle nous conduit à la salle de bain. Sa jupe est légère et assez courte.
« Voila, la salle de bain, si vous voulez y examiner la robinetterie et l’évacuation. »
Elle se met face nous et s’accroupit sous prétexte de nous indiquer un problème sous l’évier…
« Vous voyez, il y a peut être une fuite là… de temps en temps, on y voit perler quelques goutes »…« Oui, cela arrive lorsque l’atmosphère est un peu chaude, cela peut créer de la condensation. »
Chacun de nous ne regarde pas tant sous l’évier qu’entre ses jambes. Elle ne porte pas de petite culotte cette coquine et on aperçoit clairement son sexe lisse, et sa fente légèrement humide qui semble nous faire un clin d’oeil.
« Je me demande aussi, si des cheveux ou des poils ne bouchent pas non plus l’évacuation » dit elle en souriant… alors que son sexe semble pourtant lisse comme un abricot.« Possible, je ne vois rien a priori. Nous allons voir ça, quoi d’autre? »
Elle se relève un sourire au lèvre, repasse devant nous et nous conduit aux toilettes… elle en ouvre la porte et nous tournant le dos, les jambes tendues perchées sur ses talons hauts, elle se penche bien en avant pour tirer la chasse… Sans se relever, afin de nous laisser admirer ses fesses à moitié couverte de l’étoffe, elle tourne la tête vers nous et reprend:
« Je pense que cette canalisation est peut être bouchée, et je me demande s’il ne faut pas l’ouvrir un peu plus » dit elle en balançant doucement sa superbe paire de fesses au milieu desquelles on devine son petit trou sombre.« Souvent, ces conduites là sont plus étroites, et si on ne les utilise pas régulièrement, il y a en effet un risque que cela se bouche ou se rétrécisse. Mais de ce que je peux voir, on doit pouvoir doucement le lubrifier et ensuite l’ouvrir sans risque. »« Je fais confiance à votre lubrifiant et à votre doigté messieurs » dit-elle en écartant légèrement ses jambes et en se penchant encore plus sous prétexte de ranger un magazine qui se trouve là. La vue sur son cul est maintenant complète et superbe. Mes collègues me lancent des regards et leurs outils semblent se préparer au meilleur. Elle poursuit toujours penchée en écartant légèrement une de ses fesses sous prétexte de replacer le tissus de sa robe qui in fine ne couvre plus grand chose. Elle veut bien s’assurer que nous avons eu tout le loisir d’admirer son cul. On peut voir son petit orifice, plus sombre et bien serré… je suis maintenant certain que mes collègues tout comme moi doivent avoir une belle érection qui monte dans leur pantalon.« Nous faisons de notre mieux, mais généralement, les clientes sont entièrement satisfaites. De toutes façons, notre devise est « si vous êtes satisfaite de notre travail, alors nous facturons raisonnablement, mais si nous sommes aussi satisfaits, alors c’est gratuit ». Tout le monde est gagnant. »« Cela me semble raisonnable, je m’apprêtais à vous demander un devis, mais j’espère que vous serez aussi satisfaits. Mon mari est très à cheval sur le service des artisans. Il fait beaucoup appel à de la main d’oeuvre extérieure pour tout ce qui est bricolage et travail manuel. Ce n’est pas qu’il n’est pas doué, mais il apprécie un bon coup de main quand la situation le requiert… et puis c’est tellement mieux de travailler à plusieurs.»
Elle sourit et poursuit la visite, non sans remarquer les regards que nous avions sur sa croupe et les bosses qui sont apparues sous le tissus de nos pantalons. Son sourire, se fait de plus en plus coquin, et elle reprend sa visite, et nous conduit maintenant dans la cuisine.
« Voici l’évier, et la machine à laver la vaisselle. Là aussi, je crains que les conduites qui sont peu utilisées ne supportent pas la pression ou l’usage trop intensif, et ce robinet force beaucoup. » dit elle en s’asseyant près de l’évier sur le plan de travail.« Je n’y connais rien, mais ce que je crains aussi » reprend-elle avec un faux air d’ingénue, « c’est que si toutes ces canalisations sont utilisées en même temps, l’installation risque de ne pas suivre. »« Oui, vous avez raison, il faut que l’installation résiste au usages intensifs et simultanés »
Je m’approche et me penche pour examiner les robinets. Toujours assise près de l’évier, elle soulève une jambe tout en l’écartant pour poser son pied sur le plan de travail, me présentant son entre jambe ou chacun peut voir sa vulve déjà gonflée de l’excitation causée par ses provocations et notre échange…
« Vous pensez pouvoir faire quelque chose pour moi » dit elle lascive?« Oui, je pense que mes collègues et moi peuvent regarder tout ça, mais vous êtes sur que vous ne voulez pas que nous attendions votre mari. Il va peut être prendre ombrage de notre professionnalisme s’il aime aussi bricoler de temps à autre. »« Pas de problème, il me dit toujours, "bricoler c’est bien, mais il ne faut pas hésiter à faire appel à des pros quand c’est nécessaire. « Je vous assure qu’il appréciera que vous démarriez le travail, il pourra observer et prendre une leçon en rentrant tout à l’heure. Il me fait confiance sur le choix des artisans qui peuvent m’entreprendre. »
Sa réponse ne fait pas l’ombre d’un doute… cette salope nous chauffe pour qu’on la mette et son mari semble lui donner carte blanche sur la question. On va la lui ouvrir, et lui remplir de foutre ses orifices… quand il va rentrer, il va pouvoir constater le travail de pros.Je me retourne vers mes collègues:
« Messieurs, je pense qu’il nous faut intervenir sans tarder et aider cette charmante femme et son mari.»
Je m’approche de l’évier, et tout en posant ma main gauche sur le robinet, mon autre main se pose sur son pied… Ma main remonte alors doucement le long de son mollet et puis, plus hardi le long de sa cuisse… je la caresse doucement d’une main, en actionnant le robinet de l’autre… je la sens vibrer sous me doigts, et même accentuer l’écartement, qui laisse apparaitre de façon de plus en plus explicite, son sexe humide. Elle ne peut retenir un mouvement de sa main vers sa chatte, et de deux doigts habillement placée, elle écarte légèrement ses lèvres qui luisent déjà de mouille.Ma main se fait plus insistante et se dirige maintenant vers son sexe:
« Laisser moi regarder aussi vos canalisations… » dis je en posant ma main sur son sexe et le bout de mon majeur sur son anus exposé.« Qu’elles soient prêtes quand votre mari rentrera. »« Oui, je vous en pris, mon mari est très partageur, il ne verra aucun inconvénient à ce que vous lui prépariez le terrain, bien au contraire.»
Ma main se fait plus pressante sur son sexe lisse, et le caresse doucement…
« L’extérieur me semble en parfait état… lisse et souple, une légère humidité peut être entre les lèvres… il que j’approfondisse l’examen et que j’identifie la teneur de cette humidité. »« Je vous en prie, examinez le à loisir. »
Mes doigts écartent légèrement ses lèvres déjà humides… et mon majeur se glisse doucement dans son con chaud et déjà gluant… il remonte humide vers son clitoris.. après quelques va-et-vient je la vois qui ferme doucement les yeux.
« Ces signes d’humidité sont quand même abondants, il doivent en effet être identifiés, et localisés… si vous me permettez? »« Oui, Je vous en prie… je ne sais vraiment pas pourquoi, mais j’ai l’impression qu’ils ont empirés depuis votre arrivée messieurs. » dit elle dans un soupir...
Mes doigts se glissent maintenant plus profondément dans sa chatte, et ma bouche s’en approche. Elle est assise maintenant sur le plan de travail, et a remonté l’autre jambe, ce qui fait qu’elle se tient là assise, l’entre-jambes bien écarté en l’air.
« Laissez mes collègues vous tenir pendant l’examen. »
Ils se sont approchés lui tiennent les jambes bien écartées, et sa chatte lisse m’est offerte… agenouillé face à elle, ma bouche s’en approche, et j’hume le parfum suave et musqué de son sexe.
« Pas d’odeur suspecte, bien au contraire… tout semble correcte. »
Ma bouche se pose dessus et ma langue se faufile entre ses lèvres humides… toujours avec un doigt qui va et vient doucement dans son vagin, tandis que mes acolytes lui caressent les cuisses et les fesses.Après quelques minutes de ce petit manège où elle semble gouter le plaisir que nous lui donnons, je me relève.
« Je pense que l’humidité est normal, et je ne trouve pas de point dur a priori, mais pour en avoir le coeur net, il faut faire un examen plus en profondeur… »« Vous pensez? avez vous les outils qui conviendraient? Mon mari a ce qu’il faut, mais je me dis qu’à vous trois, vous avez sans doute une meilleure panoplie. Enfin, c’est ce que je crois deviner.» dit elle en regardant nos bas ventres respectif.« Oui, je pense que mes collègues et moi avons là tout ce qu’il faut pour approfondir la question. »« Si vous le dites… Allons sur le canapé du salon, nous serons peut être plus à l’aise. »
Elle se relève, et se dirige nonchalamment en balançant son cul vers le salon. Mes collègues me lancent maintenant des regards lubriques… les couilles sans doute gonflées à bloc par cette allumeuse de première. Nous la suivons, et elle s’assied sur le canapé, face à nous, les fesses en avant, et les jambes relevées sans même que nous ne lui demandions.
« Comme cela? ça ira comme position d’examen? »« Oui, parfait. »
Mes deux assistants se positionnent à genoux sur le canapé de chaque coté et lui tienne les jambes en l’air bien écartées…
« Je vais proceder à l’examen, n’hésitez pas à vous tenir à mes collègues… ils ont tout ce qu’il faut pour cela, et se feront un plaisir de vous offrir de quoi vous accrocher. »
Elle a un sourire gourmand et sans se faire prier, entreprend de défaire leur braguette et en sort l’un après l’autre les deux sexes déjà bandés… elle les admire quelques secondes et les branle doucement. Elle considère avec envie leur taille… et leur forme. Elle les décalotte l’un et l’autre, et les presse doucement pour en faire gonfler le gland.
« Hum… de bien beaux outils messieurs. Mon mari adore les gros outillages, et surtout me voir jouer et jouir avec. »
Les deux sexes sont de belle taille, pas monstrueux, mais bien gros, et d’une bonne longueur. L’un de mes collègues a un gland énorme, comme un champignon posé sur un pied. Elle le regarde avec surprise mais aussi envie.
« Quelles queues… et ce gland, est de toute beauté. »« Oui, nous l’appelons entre nous le défonçoir… il est très efficace dans la réouverture d’orifices trop serrés »« Vous permettez que je les lubrifie? »« Bien sur, ils sont à votre service… et il est toujours préférable de les humidifier avant de les utiliser. »
Doucement, elle les prend et les enfourne dans sa bouche pulpeuse. D’abord le plus modeste, quoique déjà conséquent en taille… et qui ne faiblit pas dans sa bouche gourmande. Puis se tournant vers le beau gland, elle le regarde comme un fruit offert, et s’amuse à le branler pour voir jusqu’à quelle grosseur il va gonfler… n’y tenant plus, elle le prend dans sa bouche. Ses lèvres en entourent la base, et on voit bien qu’elle en a la bouche pleine, mais elle ne le lâcherait pour rien au monde. Sa bouche le pompe goulument, et elle le sent gonfler sous sa langue qui tourne autour. Elle les suce avec délectation chacun son tour. Mes collègues s’enhardissent et lui caresse les seins et l’entre cuisse, tout en imprimant des petits mouvements de va et vient dans sa bouche et sa main.Pendant ce temps, je reprends mon cunilingus, tout en la branlant avec un ou deux doigts… ma langue s’aventure de temps a autre sur son anus qui m’est aussi présenté et je la sens réagir de plaisir. Ses propos dans les toilettes étaient sans ambiguïté, il va nous falloir réouvrir ce petit bouton de rose… notre spécialité, et notre plus grand plaisir.
« Commençons par cette conduite… » dis je en revenant sur son con et son clitoris. Ma langue se fait de plus en plus insidieuse, et s’enfonce aussi loin que possible, tout en remontant le long de sa vallée de venus pour venir titiller du bout son clitoris maintenant dressé entre ses petites lèvres. Elle gémit de plaisir et passe d’un sexe à l’autre qu’elle suce et branle.
Apres quelques minutes, je me redresse sur les genoux, et je sors mon sexe déjà bandé.
« Si vous le permettez, je vais utiliser un autre outil pour aller plus loin dans mes recherches. Ma langue ne peut malheureusement pas vous fouiller aussi loin que ce que je voudrais pour considérer l’examen complet. »« hum hum mais faites, dit elle la bouche pleine, sans lâcher le sexe qu’elle suce et l’autre qu’elle branle »
Je sors mon sexe et vient le poser sur sa vulve… plus modeste que les deux autres, il sera parfait pour faire les ouvertures. Je fais quelques vas et viens en le frottant sur son clitoris… et doucement, j’écarte ses lèvres, et enfile mon gland dans son passage humide… il progresse a l’intérieur, et je sens les parois qui vibrent sous mes poussées successives… Elle gémit, la bouche pleine, de plaisir, et je poursuis mon va et vient jusqu’à ce que mon sexe disparaisse complètement dans son con.
« Je sens quelques points durs le long de parois, mais rien de grave, je pense que quelques minutes de massage en augmentant doucement la taille de nos outils vont résorber tout ça. »
Je la pénètre maintenant avec aisance… et je sens son sexe qui se détend sous l’excitation
« Maintenant que le passage semble dégagé, je pense que nous allons utiliser un engin plus conséquent » Je fais signe a mon collègue le mieux membré de venir la prendre, et prend sa place à coté d’elle… sur le canapé.
Nous lui tenons les jambes bien écartées et il présente son défonçoir sur sa chatte déjà ouverte. Elle a arrêté de nous sucer, et regarde excitée ce beau sexe qui va bientôt l’empaler.
« Vous croyez? il n’est pas trop gros pour ma petite chatte? »« Faites nous confiance Mme, vous allez voir dans un con aussi bien lubrifié et ouvert que le votre, il va faire des merveilles, et enlever ces derniers point durs qui subsistent. »
Juste à ce moment là, un bruit de clef se fait entendre sur la porte d’entrée qui s’ouvre.
« Bonsoir chéri, c’est moi. Les plombiers sont passés… »« Oui… enfin… ils sont en plein travail...il sont même en train de me passer dessus… rejoins nous, nous sommes dans le salon. »
Son mari apparait dans l’embrasure de la porte et contemple la scène: sa femme assise dans le canapé, les jambes écartées et en l’air, un homme au gland énorme posé sur sa chatte, et deux hommes de chaque coté, dont elle tient les sexes. Pendant quelques instants, je crains une réaction "négative" du cocu surprenant sa femme non pas avec un homme, pas deux… mais trois. Mais son sourire me rassure rapidement.Elle lui sourit:
« Viens voir comment il s’occupe bien de moi. »« he bien je vois que tu n’as pas perdu de temps ma cochonne… Il t’en faut trois maintenant. Messieurs, veuillez excuser ma femme, mais elle ne peut pas s’empêcher de se faire mettre par toutes les bites qui passent dans cet appartement. La semaine dernière elle s’est faite mettre par le facteur, puis les pompiers qui passaient pour le calendrier, et même le livreur de pizza. Pas un homme qui franchit cette porte ne ressort sans s’être vidé les couilles. Un vrai sac à foutre. Elle n’en a jamais assez. »« Le plaisir est pour nous, pas de problème. »« Bien bien, je vous en prie, poursuivez, baisez la bien, je quitte mon manteau et je vous rejoins pour observer tout ca. »« oui, viens voir comment ils m’enfilent à tour de role, je suis sur que tu as même envie de voir ça de très près… »« C’est une invitation que je ne peux pas refuser, j’arrive… »
Son mari va poser son manteau, et reviens près de nous… en voyant le sexe de mon collègue posé à l’entrée de son vagin il pâlît.
« ouaah… tu es sure que tu vas prendre cette bite? elle est énorme. Regarde ce gland! je vais me délecter de le voir t’enfiler. »« Oui… regarde ta chienne se faire mettre par le défonçoir comme il l’appelle. C’est sur qu’après ca, je vais avoir la chatte en feu… tu viendras jouer les pompiers… »« je t’adore ma petite salope… mais des fois tu me surprends »
Le gland de mon collègue se présente à la porte de sa chatte, et en écarte l’entrée maintenant dégoulinante avec une facilité et une aisance que nous n’aurions pas deviné au début de l’examen. Il la pénètre doucement en tenant son bassin, mais avec force et détermination… elle gémit en voyant le gland disparaitre petit à petit. Quand il est dans la place, elle entreprend de sucer mon sexe couvert de sa mouille, comme pour contenir le plaisir qu’elle voudrait crier.
« Elle prend bien ma salope… et sait se bien détendre et accueillir ses amants qui viennent la baiser.»« ouiiii, quelle sensation de sentir ce beau gland me ramoner la chatte…c’est divin. »
Mon collègue la pilonne maintenant et la fait gémir de plus belle.Elle ne peut contenir ses commentaires:
« Oui, encore, défonce moi le con… vas-y bien au fond… regarde chéri comme il me baise, comme une chienne en chaleur… et ce gland, hum, c’est incroyable, tu ne peux pas imaginer la sensation. C’est pas ta queue qui me fait le même effet. »
Le mari ne tient plus et a aussi sorti son engin qu’il branle en regardant la scène. Sa queue est de taille raisonnable, mais rien à voir avec le defoncoir de mon collègue, ou même la mienne.Apres quelques minutes de cette belle enfilade, mon collègue commente maintenant son travail:
« Je pense que le passage est maintenant bien ouvert, et humide… je sens bien encore un ou deux points qui résistent, mais il faut peut être les travailler par son cul. »
Je décide de passer alors à la phase suivante.
« Je pense que ca chatte est maintenant dégagée, et prête à l’emploi. Voyons voir cet autre conduit. Avancez vos fesses vers moi, mes assistants vont vous tenir les jambes en arrière et les fesses bien écartés, et je vais explorer cet endroit plus serré. »« Ca ne vous dérange pas Monsieur si on encule votre femme? Elle semble très ouverte sur la question. »« Mais je vous en prie, avec plaisir. J’adore la voir se faire enfiler par tous les trous… celui là en particulier qui est son pêché mignon. »
Je m’accroupis devant elle de nouveau, face a sa chatte dégoulinante et son petit trou sombre qui est resté bien serré jusqu’à présent.
« Cet orifice est beaucoup plus délicat… il demande beaucoup plus de doigté et de douceur… ensuite lorsqu’il est bien lubrifié et bien ouvert, alors on peut le prendre avec beaucoup plus de vigueur et avec de belles bites, mais il faut démarrer tout en douceur. Il est préférable de l’ouvrir avec la langue… ça a le mérite d’être plus doux et d’apporter une lubrification nécessaire… Monsieur, pourriez vous nous rendre ce service. »
Le mari, trop content d’être solicité, ne se fait pas prier, et vient de positionner à ma place.
« Oui mon chéri, vient m’ouvrir le cul avec la langue… le préparer pour mes amants. Il faut bien que tu serves à quelque chose… » dit elle avec un air coquin.
Son mari pose sa bouche sur sa petite rose et entreprend de la lécher. Sa langue vient l’effleurer, ce qui la fait gémir… Il le lave copieusement de salive qu’il laisse tomber à terre. Sa langue se fait maintenant plus insistante, et s’infiltre dans le plus serré de ses orifices… à chaque millimètre de terrain gagné, il lubrifie et nettoie son orifice qui s’assouplit… doucement, sa langue la pénètre et a force de salive et de coups de langue de plus en plus dur, entre complètement en elle. Je vois qu’elle fait un effort pour détendre son sphincter en poussant légèrement vers son mari.
« Oui, mon chéri, j’aime ta langue dans mon cul… nettoie le moi bien, et l’humidifie le aussi loin que tu peux, ouvre le pour mes invités. Tu es un bon lécheur… vas-y »
Après quelques minutes...
« Merci monsieur, je pense que cela suffit. Messieurs dis je a mes collègue, tenez lui les fesses bien écartées, mais donnez lui de nouveau quelque chose à sucer que ses gémissements restent sourds. Sans se faire prier, l’un d’eux lui présente sa queue et va et vient dans sa bouche gourmande. »« Monsieur son mari, regardez comment on va bien enculer votre salope sous vos yeux. » dit je en écartant le cocu.
Son anus est ouvert, et humide à souhait. J’y insère délicatement un doigt puis deux que j’ai copieusement humidifié et sonde les parois de son anus qui se ressert autour. Tout semble prêt pour la phase suivante.
« Si vous le permettez, je vais prendre un petit gode pour sonder le fond de cet orifice, voir si il est prêt à recevoir des bites plus conséquentes »« Bonne idée » répond le mari.« hummm, oui un gode doucement enfoncé dans mon cul… j’adore… » dit-elle.
Je prends un gode dans ma trousse a outil que j’humidifie copieusement de salive. Idem, je mets de la salive sur son bouton de rose, sur lequel je pose le gode… doucement, je l’enfile avec des mouvements de va et vient régulier. Il se détend de plus en plus et la progression régulière du gode, font qu’il y disparait complètement en quelques secondes.Elle a maintenant le gode dans le cul, et son anus s’est refermé sur la base, et le tient en elle, comme un cadeau dont elle ne voudrait plus se séparer.
« Tout cela me semble très prometteur »… je vais redétendre votre vagin si vous le voulez bien pendant que vous garderez ce gode en vous. »
J’approche ma queue, et l’enfile devant alors que le gode reste fiché dans son cul.
« Hum, c’est plus serré comme on pouvait s’y attendre, mais ça reste très praticable, et particulièrement agréable ».
Elle ferme les yeux de plaisir tout en suçant de plus en plus goulument les queues qui se présentent a elle. Le mari n’en loupe pas une miette, et a les yeux rivés sur la chatte et l’anus de sa femme.Je me retire de son con…J’entreprends de retirer son gode, tout doucement, et la prévient.
« L’anus se referme très vite lorsqu’il n’est pas maintenu ouvert par une queue ou un gode… Avant même qu’il ne se referme et se resserre, je vais y placer mon gland afin de le garder entrouvert, et ensuite vous pénétrer plus profondément. »« bien, je vous y attend, bien au fond »
Le gode finit par sortir, et je la branle légèrement avec. Je le retire complètement, et immédiatement je pose mon gland sur son bouton de rose et le presse dans son cul qui ne résiste que peu. Mon gland y disparait, et je m’arrête la quelques instants. Un de mes collègues à posé sa main sur son sexe, et caresse en même temps son clitoris.
« Voila, je suis dans la place, le plus dur est fait, maintenant , il faut masser ce petit trou de mouvements de plus en plus amples, larges et profonds »« Dis donc, ils savent vraiment y faire nos plombiers… je sens que tu va en redemander ma salope » dit le mari.
Je vois mon sexe à moitié enfoncé dans son cul, et sa chatte béante que caressent mes collègues et qui montre l’excitation qu’elle ne peut plus retenir.
« Oui, mettez la moi bien au fond, j’adore… Regarde chéri, je ne me suis pas fait défoncer le cul depuis longtemps, et j’apprécie particulièrement qu’ils me le rouvrent avec autant de délicatesse… c’est un plaisir. »« Bien ma chérie, offre leur ton cul… laisse toi prendre. »
Ma queue reprend sa progression par petite touche… j’ajoute de la salive à chaque coup de rein pour ne pas blesser son anus bien rond autour de ma queue… elle se détend de plus en plus et après quelques minutes, ma queue y est complètement, tout au fond.
« Je crois que ça ne se passe pas si mal, je suis bien dans le cul de votre femme, je vais laisser la place à un de mes collègues. Levez vous s’il vous plait, et appuyez vous sur l’accoudoir du canapé, le cul bien en l’air, il va vous le prendre en levrette, pendant que nous lui tiendrons vos fesses bien ouvertes. »
Elle ne se fait pas prier et se positionne en souriant à son mari.
« Regarde les me prendre en levrette… hum »
Mon collègue se présente derrière elle, pendant que je viens me positionner devant pour lui donner à sucer mon sexe encore chaud de lui avoir défoncé le cul. Il pose son gland sur son petit trou. Nous lui tenons les fesses écartes. Son mari s’approche aussi, et saisit la queue de mon collègue, et la présente bien en face de son anus qu’il tient écarté de l’autre main.
« Allez-y, enculez ma salope, je vous indique le chemin, je vous guide. »
Mon collègue s’avance, et son mari l’aide a prendre place en guidant bien le gland dans son anus… Doucement, il appuie, et aidé des doigts du cocu qui le guide, commence à s’enfoncer dans son anus qui s’ouvre doucement de nouveau sous la pression. Petit à petit, il y disparait comme avalé par son orifice gourmand. Elle brame de plaisir à l’introduction virile mais douce qu’il fait de son petit cul bien écarté. Des que son gland a passé la barrière anale, ll joue avec elle sans aller plus profond et fait des mouvements de bassin qui, on l’imagine, font bouger sa queue dans son cul. Elle gémit avec une telle force malgré la queue qu’elle a dans la bouche que mon collègue redouble de plaisir. Apres quelques minutes que son cul s’habituent à l’insertion d’une queue aussi belle, il reprend sa progression. A chaque progression, elle pousse un râle de plaisir. Le mari encourage maintenant mon collègue.
« Allez-y défoncez lui le cul, ramonez la moi bien… Débouche la bien cette salope qu’elle en ait pour son argent de vous avoir chauffé de la sorte. »« oh oui, qu’est ce qu’il me remplit bien le cul… regarde mon chéri, oh le salaud, oui oui, plus loin, plus gros, encore »
Il lui mets des maintenant des coups de butoir et de claques sur les fesses de plus en plus virils… après quelques minutes. Elle sent ses couilles qui viennent taper sur sa chatte.
« Je pense que c’est bon pour les ouvertures, nous allons pouvoir procéder au graissage des conduites. »
Mon collègue se retire doucement. La femme, presque déçue ajoute:
« Messieurs, je sais ce qui va plaire à mon mari… » dit elle en se relevant, et en nous entrainant tous dans la chambre à coucher.« Il aime par dessus tout être au premières loges. On va le contenter pour le graissage… et il pourra juger sur pièce. »
Le mari sourit et suit tout le monde dans la chambre.Dans la chambre, la femme reprend:
« Allonge toi sur le lit mon chéri, installe toi confortablement, prends un oreiller et rince toi l’oeil, je vais te faire profiter de la meilleure vue… sur mon con et mon cul en train de se faire prendre et graisser… »
Ce faisant, elle se met à quatre pattes au dessus de lui, sa chatte à hauteur de sa tête.
« Allez y messieurs, prenez moi à la chaine, et remplissez moi de foutre pour le plaisir de mon mari. »
Cette salope mets alors bien son cul en l’air et nous invite à venir la prendre en levrette sous les yeux de son mari qui se trouve juste sous elle. Mes collègues ne se font pas prier… Le défonçoir vient se placer derrière elle, et le mari peut admirer le gland énorme reprendre place dans son con.
« oh putain, j’avais déjà oublié comme il est gros celui la. Tu te rinces l’oeil mon chéri… lèche moi le clitoris aussi, et aide le à entrer dans ma petite chatte. » et elle le branle en même temps. Nous venons nous positionner aussi devant elle, et offrons nos queues à sa bouche gourmande.« vas-y défoncez moi le con, et videz vous les couilles, je veux sentir le foutre me remplir et dégouliner dans la bouche de mon mari… »
Le mari peut voir à quelques centimètre de ses yeux la queue qui va et vient, sa femme mouiller, les lèvres de son sexe qui gonflées laissent aller et venir le pieu luisant de mouille.Mon collègue n’en peut plus et décharge sa semence en plusieurs coups de reins, ponctués de bruits de succion qui ne laisse aucun doute sur l’abondance de la décharge.
« Je sens le foutre qui me remplit, oh oui… j’adore. »
Il se retire doucement, le sexe plus flasque, humide de mouille et de sperme mêlés, laissant la chatte de la salope béante, couverte de foutre qui ruisselle sur le cocu.
« Tiens mon coeur, lèche moi la chatte, et nettoie la bien avec ta langue du foutre de notre ami plombier qui prend si bien soin de ta salope. » Ce faisant, elle se relève légèrement, elle écarte ses lèvres et vient coller sa chatte sur la bouche du cocu qui ne se fait pas prier.« C’est ça, nettoie bien jusqu’au fond, je veux sentir ta langue, fais moi une chatte nickel comme un sou. » dit elle en bougeant son bassin pour bien lui offrir tout ce qu’elle a en elle. L’erection du cocu est telle qu’il n’y a pas de doute sur le plaisir qu’il y prend. Après quelques minutes, elle reprend une position plus allongée.« Et maintenant, tu vas continuer à me lécher la chatte, pendant que l’un d’eux m’encule. ».
J’invite mon collègue à reprendre la place dans son cul. De nouveau, le mari, dessous, ne perd rien, et guide de nouveau le sexe dans le cul de sa femme dont il tient les fesses bien écartées. Elle pousse de nouveau des petits gémissement de salope qu’on fait saillir par un étalon.
« Ma chérie tu devrait voir comme ton petit trou est superbement bien ouvert et rond… et sa queue qui va et vient sans difficulté. »« Oui, regarde mon chéri, il me prend bien le cul, regarde ce qu’il me met… oh oui, j’en veux, j’aime ça, c’est trop bon. Il va me faire jouir du cul ce cochon. » elle est maintenant déchainée, et son mari lui tient les fesses qui remuent sous les coups de butoir. En quelques minutes, il arrive aussi à sa jouissance et lui décharge bien au fond du cul, ponctué de 4 coups de reins puissants. »
Il se retire, et suivant le même manège, elle se redresse et invite son mari à lui nettoyer maintenant le cul.
« Tiens mon coeur, voilà ta récompense pour être un délicieux mari qui laisse sa femme se faire mettre à loisir. »
et elle lui écarte ses fesses, qui laisse apparaitre son bouton de rose entrouvert et couvert de foutre, et vient le poser sur la bouche du cocu. Ce dernier lèche son anus et elle semble l’inviter à glisser sa langue au plus profond. Elle s’est même accroupi au dessus de lui, et se positionne parfaitement en tenant ses fesses bien écartées.
« Oui, viens recueillir le foutre de mon amant qu’il m’a mis bien profond… Tu sens comme il me l’a bien graissé ce salaud. Va le chercher avec ta langue bien au fond… c’est ta récompense pour être un bon mari qui offre sa salope aux hommes qui lui plaisent. »
L’homme la bouche trop occupé ne peut pas répondre, mais il bande comme un taureau, et semble prêt à exploser.Satisfaite, elle se relève.
« Bien mon coeur, tu as eu ta récompense. Nous allons laisser ses messieurs poursuivre leur travail. »
Je reprends toujours interloqué par cette sacrée salope qui après nous avoir fait son numéro de charme, semble aussi mener son mari à sa guise, par le bout de sa queue.
« Madame, tout ça me semble parfait, les orifices semblent tous rouverts, nous allons peut être essayer une pénétration simultanée. Si vous pouvez prendre plusieurs queues en même temps dans chacun des vos orifices, alors il n’y a plus d’inquiétude a avoir pour votre installation. »
Elle sourit malicieusement.
« Hum… une double… une triple… j’adore »« Mes collègues ont déjà donné de leur personne, si vous permettez, je vais personnellement m’occuper de ça avec votre mari, s’il veut bien se joindre à nous »
Son sourire et son sexe bandé valent toutes les réponses.
« Venez vous empaler le con sur le sexe de votre mari qui va m’aider à vous enculer. »
Elle monte à califourchon sur lui, et s’empale sur son sexe sans difficultés, tant le sien est humide. Son mari en profite pour embrasser et caresser ses superbes seins qu’il a saisit à pleine main. Elle fait des mouvement de bas en haut, et doucement, il lui écarte les fesses afin de m’offrir son petit trou rose et entrebâillé après les assauts dont il a fait l’objet.
« Allez-y monsieur, enculez ma salope, je vous tiens ses fesses bien écartées. Avec tout ce qu’elle a pris, ça devrait entrer comme dans du beurre. J’ai envie de sentir votre gland la prendre. »
Il stoppe le mouvement de bassin de sa femme, et lui demande de bien s’allonger sur lui pour offrir son anus en écartant autant que ce peut les deux demi lunes de sa femme, il serre ses jambes pour me permettre de me placer et Il m’invite à l’enfiler par son petit trou libre, pendant que mes deux autres collègues qui ont repris un peu de vigueur viennent se glisser à tour de role dans sa bouche. Je ne me fait pas prier, je viens me positionner derrière à califourchon des jambes du cocu, je prends mon sexe en main, et le dirige sur son anus qui n’attend que ça. Le mari a ses mains sur les fesses de la salope et guide même ma queue vers le trou libre qui attend. Mon gland se presse sur elle, et j’y entre en sentant les spasmes de son cul sur ma queue, je progresse surement et durement.
« Oh putain, qu’est ce que c’est bon… de sentir ce sexe se joindre au mien… ton con est bien plus serré de te faire emplir le cul. » dit le mari.
Il sent mon sexe qui la sodomise remonter dans son anus à travers la paroi qui sépare son con de son cul… je l’entreprend maintenant vigoureusement, et ma queue bien raide branle la sienne que je sens plantée là dans son con.
« Oui, deux bites en moi… quel délice… et ces deux autres à sucer… et branler. »
Elle semble aux anges… et son mari semble se faire branler par mon gland qui va et vient à quelques millimètres du sien. Je réalise au bout de quelques secondes que je ne bouge presque pas, c’est elle qui dans d’amples mouvement de son bassin s’empale sur nos deux queues qu’elle a bien au fond d’elle… nous l’aidons dans le rythme qu’elle imprime à cette position si excitante en en accentuant la portée. Mais c’est elle qui donne le rythme, à la recherche de sa jouissance.
« Le secret d’une bonne préparation, ce n’est pas uniquement les massages, les enfilades, ou le ramonage des conduites, nous allons vous remplir les trois orifices de foutre tiède… » dis je« Oui, remplissez moi bien tous les trous de foutre… J’en veux. Déchargez tout! »
Je ne sais si c’est la perspective de se faire remplir de foutre simultanément par tous ses trous, mais elle se déchaîne complètement…Elle accélère… on sent qu’elle fait monter un orgasme, vient-il de son clitoris, de son vagin, de son cul ou des trois en même temps… soudain, elle se déchaine complètement, elle a un spasme suivi d’à coups qui la font presque trembler, chacun de nous prêt à décharger comprend le signal, et lui balance son foutre qui dans le fond de son con, qui dans le fond de son cul, qui dans sa gorge chaude et le dernier en se branlant sur son dos. Elle pousse un râle final à la sensation de ces giclées de sperme tiède au plus profond d’elle même et sur elle, et se laisse tomber sur mari, haletante, repus de plaisir.Quelques minutes passent, sans qu’aucun ne bouge....
« Ah messieurs, et mon chéri merci, quel pied j’ai pris… quelle jouissance… je suis complètement remplie, de vos queues et de votre foutre. »
Nous la laissons récupérer ses esprits… et chacun se retire doucement de ses orifices. Nous nous relevons et nous rhabillons lentement. Elle reste là sur son mari, qu’elle embrasse doucement… sans doute lui fait elle aussi partager la semence qu’elle avait dans la bouche, mais ils semblent heureux l’un et l’autre. Le cocu et sa salope satisfaits.
« Je pense que notre visite était justifiée, il y avait quelques conduites à reprendre, et à ré assouplir. Mais rien de grave… Nous ne saurions trop vous conseiller un entretien régulier, si vous le désirez, nous avons un forfait mensuel, ou quinzaine pour nos clientes les plus exigeantes. N’hésitez pas! Vous connaissez nos conditions, la satisfaction totale de la cliente, et si nous sommes aussi satisfait, alors c’est gratuit… et clairement, aujourd’hui, c’est satisfaction totale en ce qui nous concerne. Bien sur, avec l’accord de votre mari. »« Ecoutez, je vais y réfléchir, mais compte tenu de votre professionnalisme, c’est très tentant. Il faut que j’en parle à mon mari, je ne fais jamais rien sans son accord. »
Dit-elle en se réajustant.
« Normalement la semaine prochaine, mon mari m’a promis de faire ramoner la cheminée, la suivante, nous avons la vérification des combles, puis le gaz et la chaudière, les parquets, les peintres, mais la plomberie, c’est important… »
Son mari reprend.
« Allons chéri, n’embête pas ces messieurs avec ton calendrier de salope qui se fait mettre par tout ce qui passe notre porte. Tu as la carte de ces messieurs, je suis sur qu’ils reviendront dès que tu en auras envie et s’il te reste un "trou" dans ton emploi du temps. »
Se tournant vers nous:
« Je vous remercie encore de vous être déplacés en urgence, je vous raccompagne à la porte. Bonne soirée… et à bientôt messieurs? »
Plus bas il ajoute.
« Revoici mon numéro et celui de ma femme. N’hésitez pas à l’appeler quand vous avec une envie pressante de vous vider les couilles, ma salope est à disposition, et se fait mettre à tous moments de la journée, appelez la, ou moi. On vous dira si vous pouvez passer la prendre. »
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