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A l'hôtel

Chapitre 2

Gay
Nous sommes dans sa chambre, je sais que je vais y passer ce soir et bizarrement je n’ai qu’une appréhension, avoir mal et ne pas prendre de plaisir. L’envie est là, c’est le principal. Il ferme la porte derrière moi, vient vers moi, me sourit. Sans un mot, je m’agenouille et j’ouvre son jean— Ce soir, j’ai pas envie que tu me sodomises, je veux que tu me baises.Je descends son boxer, sa queue est déjà bien raide et je lèche sur toute la longueur cette bite que je veux bien dure en moi. Je le regarde dans les yeux et commence à le sucer, doucement. J’ai envie de prendre mon temps, d’être femelle pour une fois. Il enlève sa chemise, il est nu devant moi, je me relève et suce doucement chacun de ses tétons. Il gémit, enlève mon t-shirt.— Je te veux nu, enlève tout.Je m’exécute et me retrouve en tenue d’Adam devant lui. Il me retourne, se plaque contre mon dos. Je sens sa queue sur mes fesses, sa main se baladent sur mon ventre, palpe mes couilles, triture mes tétons. Il se frotte doucement contre moi. J’adore ce moment, il m’embrasse dans le cou, prend mon sexe en main et me branle doucement.— C’est bon, continue.— Tu aimes quand je te branle et que je frotte mon sexe sur tes fesses ?— J’adore ça, t’arrêtes pas.Je mets ma main derrière sa nuque et me sens offert complètement. Je ne réfléchis pas et je l’embrasse, il me rend mon baiser, fougueux, un baiser d’amants prêts à tout pour se faire du bien l’un à l’autre. C’est la première fois que j’embrasse un homme. Son gland est maintenant sur mon anus, et j’ondule pour exciter encore davantage mon partenaire. Je me sens dilaté et prêt à le recevoir. Le moment est ultra sensuel, il est contre mon trou, je le veux en moi,, je veux pousser mais il n’a pas encore enfilé de capote.— Penche-toi, me souffle-t-il en impulsant le mouvement.Je pose me mains sur le petit meuble qui est là, je me regarde dans la glace, et c’est à peine si je me reconnais, mon regard est différent. Il se met à genoux, je sens son souffle sur mes fesses et soudain sa langue sur ma rosette qu’il lèche doucement, presque amoureusement. Je ferme les yeux, et profite de ce moment divin. J’entends le bruit du préservatif que l’on sort de son étui, il le place sur son sexe et se remet contre moi. On se regarde dans le miroir, il place son gland sur mon trou et j’ondule comme plus tôt. Doucement je force pour laisser entrer son gland tout en le regardant dans la glace. Je mordille mes lèvres quand les premiers centimètres font leur entrée, sans douleur. — Empale toi doucement sur ma queue, vas-y baises-toi.Je veux ressentir le mieux possible cette pénétration et je descends doucement sur cette queue qui me remplit de plus en plus. Il est bientôt entier en moi, je n’ai pas ressenti la moindre douleur, et le regarder dans le miroir, nos regards extatiques tandis que je m’offre à lui est le plus beau moment de sexe que j’ai jamais vécu. Après quelques secondes sans bouger, je l’embrasse à nouveau puis ondule doucement, je sens son gland contre ma prostate et les sensations sont inouïes. Je commence alors des va-et-vient lents, de plus en plus amples et sa queue ressort presque lorsque je m’empresse de la remettre jusqu’au fond. J’accélère et me sert de sa queue comme d’un gode, il ne bouge pas, me laissant le branler avec mon trou tout serré.— C’est ça, baises-toi bien, tu aimes ma queue au fond de ton cul, hein ? Tu te remplis tout seulIl me prend alors les tétons et les pince tandis que je commence à franchement me défoncer avec son chibre. C’est le moment qu’il choisit pour commencer à bouger, il reprend le rythme là où je l’avais laissé, c’est à dire assez élevé et il me prend franchement. Il appuie sur ma nuque et me force à me pencher, j’ai les mains sur le meuble, le corps à 90 degrés. Il me prend par les hanches et me baise maintenant à grands coups de reins, enfonçant sa queue au plus profond de mon cul avec une rapidité qui me fait perdre la tête.— Oui, défonce-moi comme ça, plus fort.Il accélère encore le rythme, j’ai du mal à tenir debout. Soudain, il sort sa bite et me dit : — Mets-toi à 4 pattes sur le lit, je vais te baiser comme une chienne.Je me retourne, lui fais face, l’embrasse et me dirige vers le lit en lui prenant la bite : — Fais de moi ce que tu veux, baises-moi comme tu veux, fais-moi jouir.Je m’installe au bord du lit, il s’approche, caresse tendrement mon dos, présente son vit et me pénètre doucement, puis rapidement me défonce sans retenue, j’ai la tête dans la couette, je ne vois plus rien, je ressens juste tout le plaisir que me procure la pénétration. Au bout de quelques minutes, il avance sur le lit, me pousse à me mettre à plat ventre et continue à me prendre susurrant à mon oreille :— Ah ce cul, j’adore te défoncer. Tu sens comme je bande pour toi, comme je suis dur en toi. J’vais te baiser toute la nuit, te remplir de foutre et te reprendre encore et encore.Il se retire, s’allonge sur le dos, je m’empale sur lui.— Vas-y, fais-moi jouir avec ton cul, tu me rends dingue.
Je m’enfonce totalement son sexe et dessine de petits ronds dessus, il a les yeux fermés, il gémit, je pose mes pieds à plat sur le lit et m’encule comme une actrice porno, il prend mon sexe en main et me branle, je jouis comme jamais, envoyant de grandes salves de foutre jusqu’à son visage, en hurlant. Je suis chancelant quand il place ses mains sur me fesses et accélère quelques secondes puis jouis en hurlant lui aussi, remplissant la capote de sperme tandis que je sens les palpitations de son sexe en moi quand il décharge. Je me relève, retire la capote et nettoie son sexe qui mollit, effaçant toute trace de jouissance, me délectant de son sperme salé. Je ne me reconnais plus, je ne suis qu’une bête avide de sexe et de foutre. Je ressens déjà un vide au fond de moi.— Tu m’a épuisé, me dit-il, c’était génial.— Pour moi aussi, un pied incroyable.D’ailleurs, la sensation est telle que j’ai besoin de quelques minutes pour m’en remettre. J’ai envie de prendre une douche, je me dirige vers la salle de bains et Benoît me dit : — T’as une salle de bains dans ta chambre, tu ne vas pas squatter la mienne quand même ?— Et si, impossible de sortir comme ça !On rigole, et je me mets sous l’eau, quelques secondes plus tard, il est là aussi, nos sexes se touchent et recommencent à durcir. Benoît les prend ensemble et nous branle, nos queues l’une sur l’autre. C’est bon comme sensation de sentir à la fois le sexe dur d’un homme contre le sien et le mouvement de masturbation qui est le même. Il me regarde dans les yeux, avec un petit sourire. Il est doux et m’embrasse tout en continuant la masturbation. Il lâche nos sexes et se met à genoux, enfourne ma bite et me suce tendrement. Il avale lentement ma queue en entier, la retire de sa bouche, lèche mon gland, puis doucement ravale tout mon chibre, sensation divine, plaisir intense. Puis il se relève après quelques minutes, je lui rends la pareille, m’appliquant à entrer son sexe le plus possible dans ma bouche, lentement, il caresse mes cheveux, soupire, je le branle en léchant son gland et le regarde avec toute l’impudeur d’une chienne en chaleur. JE me relève, prend du gel douche et entame un nettoyage de ses parties, soupesant doucement ses bourses, enduisant son sexe de mousse, je fais de même avec tout son corps, il se tourne pour que je lui savonne le dos, je m’attarde sur ses fesses, passe ma main dans sa raie, puis continue à laver cet endroit jusqu’à enfoncer un doigt dans son antre, puis 2. J’attrape son sexe avec ma main libre et le masturbe en même temps, on n’entend que l’eau et sa respiration forte dans la douche. Il ne va pas tarder à jouir, j’arrête tout, sors mes doigts et lui dit : — Je suis encore sale moi.Il prend le gel douche et me lave tout le corps, s’attardant longuement sur mon gland, puis mes fesses, 2 doigts entrent directement dans mon rectum, mais il les retire à peine je commence à souffler de plaisir, il se colle à moi, et nous profitons de l’eau qui coule, son sexe contre mes fesses. Il tend le bras hors de la douche, prend un préservatif, l’enfile et se remet en position. Son gland rentre sans effort en moi. Il fait de petits mouvements doux, je sens son sexe au fond de mon corps mais je n’ai pas envie de me faire défoncer, juste de le sentir en moi. J’ondule doucement, il accompagne mes mouvements, la pénétration est incroyable, sensuelle et douce. Il se retire, cherche un autre préservatif et me le tend. Je l’enfile, et nous échangeons nos places, il vient dos à moi, et doucement se frotte et mon sexe entre en lui : — Depuis mon réveil ce matin, j’ai envie de te sentir en moi.Je le laisse bouger, il va lentement, sors mon sexe, le remet en lui, accélère petit à petit, puis se penche en avant :— Prends-moi bien s’il te plaît.Je commence les va-et-vient tout doucement, je fais claquer mes couilles contre les siennes, m’enfonce le plus loin possible et petit à petit me déchaîne dans son cul.— Attends, me dit-il, vient.Il sort de la douche, se place face au miroir, enlève la buée : — Je veux que tu me baises dans cette position mais je veux te voir.Je me remets en lui, et je le prends de plus en plus fort, le regardant dans les yeux, son visage est beau quand il prend du plaisir anal, et j’alterne les accélérations et les moments calmes pour admirer ses différents faciès de plaisir. La jouissance monte, je sens que je ne vais pas tarder, je lui dis, il se relève, se retourne, enlève ma capote et me branle : — Jouis sur moi, donne-moi ton plaisir.Il me branle, me suce et rapidement, je lui envoie des giclées sur la langue, le visage et le torse. Il nettoie mon sexe, se relève et m’embrasse goulûment. Nous retournons sous l’eau, je le suce et le fais jouir dans ma bouche, puis nous nous lavons en rigolant. D’un coup, on a l’impression d’être deux amis de longue date qui discutent alors que 5 minutes avant, je l’enculais. On rigole, pensant à nos femmes, à notre vie sexuelle qui est bouleversée, au plaisir immense pris.Une fois séchés, rhabillés, on n’a pas envie de se quitter, on regarde un film ensemble puis, dès la fin de celui-ci, une envie irrésistible nous pousse à un 69 endiablé, durant lequel nous savons que c’est le dernier attouchement ensemble. On se doigte, se suce, se lèche. Les mots crus fusent : — Vas-y bouffe moi les couilles.— Donne-moi ton foutre, je veux te boire une dernière fois.— Tu sens mes doigts comme ils te remplissent.Je me mets à quatre pattes : — Prend-moi, baises moi une dernière foisIl met un préservatif et me prends fort, sans retenue, comme une salope que je suis, je lui dis que je suis sa pute, il me défonce, puis il veut que je l’encule, une nouvelle fois je le pénètre, en levrette, férocement. La jouissance arrive, il s’allonge sur le dos, je le chevauche, lui plaçant mon gland dans la bouche et il me branle jusqu’à me boire entièrement, tout mon sperme terminant dans sa bouche. Je lui demande comment il veut jouir, il me met allongé sur le dos, se place entre mes jambes et se masturbe, inondant bientôt mon ventre de semence chaude. On se croise une dernière fois le lendemain matin, on échange nos numéros en espérant se revoir bientôt. J’ai le cœur serré car j’ai encore envie de prendre du plaisir avec lui et en même temps, je sens comme un soulagement car je ne sais pas si j’ai envie de vivre une aventure sur le long terme avec un homme.Je rentre chez moi le soir, ma femme est là, radieuse, je tente de lui faire l’amour mais elle a mal au dos, le lendemain mal au ventre, etc. Et je regrette de plus en plus Benoît et la simplicité et la fougue de nos rapports.
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