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Hôtel du Vice

Chapitre 1

Gay
Hôtel du vice - 1ère partie
Cette histoire se déroule il y a deux ans alors que je suis à Bruxelles pour une formation logicielle en entreprise qui doit durer deux semaines. La société qui m’emploie à l’époque m’a logé dans un « grand hôtel » de la ville et je découvre avec excitation le contenu des chaînes payantes. Ça fait longtemps que j’ai des pulsions homosexuelles inassouvies et que je fantasme sur des scénarios ou je suis dominé et avili par des hommes autoritaires. Pour la galerie, j’affiche une hétérosexualité de bon ton avec mon amie – chacun dans nos appartements respectifs - et nos relations tiennent plus de la bonne camaraderie que du couple de mes rêves tant nos rares ébats restent sages.
Je suis devenu fébrile en découvrant que l’hôtel propose pas moins de six chaînes pornographiques. Pas de pauvres productions érotiques comme en Angleterre mais des vrais films selon mes goûts. L’un des canaux très justement baptisé « extrême » diffuse du contenu SM et « exotique » où jeux d’urine et fist ont la part belle. Un autre est consacré aux pratiques gays et travestis. Cerise sur le gâteau, c’est un système « intelligent » qui permet de sélectionner le ou les films dans une liste plus que conséquente et dont le lancement est laissé à la discrétion de chaque client avec pause, avance et retour disponibles.
En bon branleur pervers qui se respecte, je commence par regrouper le « matériel » qui me permettra de passer une bonne soirée : porte manteau à pinces « métal » normalement destiné aux costumes mais que j’utilise pour pincer cruellement mes mamelons et la peau de mes testicules, lotion pour le corps très lubrifiante pour garder ma queue à branler et ma « chatte de pédé » bien gluante, le fil de mon chargeur à mobile pour attacher la base de mes couilles le plus serré possible et mon petit déodorant de poche à l’embout arrondi si adapté pour me sodomiser comme une bonne petite salope refoulée.
Je me déshabille entièrement et m’installe confortablement sur le grand lit, mes accessoires à portée de main, et je prends connaissance des choix proposés. J’hésite un instant à prendre le forfait complet mais me rabat finalement juste sur le canal homo ou le titre « small blond dick for big black cock » me met « l’eau à la bouche ». Fébrilement, je renseigne mon numéro de chambre et je valide mon choix ce qui débloque le film.
Je ne suis pas déçu par le début. Un jeune blondinet habillé comme un policier pas vraiment crédible frappe à une porte. Un grand noir tondu et gras genre « mauvais garçon » ouvre la porte. S’en suit un dialogue idiot ou le « flic » explique qu’il va devoir verbaliser le black car les voisins se sont plaints du bruit. Le voyou s’écarte pour laisser entrer le blondinet qui se retrouve confronté à un trio de noirs visiblement peu impressionnés par son uniforme. Ma petite queue durcit un peu plus maintenant que les blacks s’emparent du « policier » et se mettent à le malmener. Il est rapidement délesté de la ceinture ou pendent son arme, sa matraque et ses menottes. Pendant qu’un des futurs violeurs ceinture le blond par derrière, un autre l’insulte et palpe méchamment ses parties. Le blondinet se débat et reçoit une paire de gifles qui le font gémir. J’adore ! Un peu plus loin, le troisième violeur sort une verge énorme mais encore molle de son pantalon et la palpe en souriant méchamment.
Tandis que le blondinet est déculotté puis contraint de s’agenouiller au milieu des trois blacks qui ont maintenant tous sortis leurs membres démesurés, j’attache la base de mes couilles avec le fil de la recharge à portable et serre le plus possible ce qui décalotte ma bite déjà gluante d’excitation. A l’écran, l’un des noirs baisse le slip du blondinet humilié et une petite verge bandée comparable à la mienne apparaît. Une grosse main noire écrase les ridicules testicules pendant que la seconde s’ouvre un chemin entre les fesses du soumis sans ménagement. Les deux autres voyous frappent le visage du blond en pleurs avec leurs lourdes queues molles en l’insultant.
J’en profite pour accrocher à mes mamelons les pinces d’un porte-manteau. La morsure du métal m’excite un peu plus encore et j’ajoute quatre nouvelles pinces sur mes couilles qui saillent comme une seule boule rougeâtre. Je lubrifie mon gode improvisé, ma bite et mon anus, les jambes ouvertes comme une grenouille et ramenées sur les cotés. Dans le film, le noir qui tripotait le blondinet est allé chercher les menottes et la lourde ceinture en cuir qu’il tient de façon menaçante pendant que ses deux acolytes tentent de faire entrer de force leurs glands énormes dans la bouche de leur victime suppliante.
C’est là que l’image se fige à l’écran !
La surprise et la frustration m’arrête alors que j’allais m’enfoncer un doigt profondément dans l’anus pour le lubrifier. Je bataille un peu avec la télécommande mais rien n’y fait. L’excitation est retombée. Je retire les pinces qui me lancent maintenant de façon désagréable et libère la base de mes couilles. Je ne désespère pas de faire repartir le film donc je laisse mon cul et ma queue lubrifiés. Agacé, je jongle entre les menus interactifs mais fini par me rendre à l’évidence : ça ne marche plus. J’éteins la télé, la rallume, navigue avec la télécommande et constate avec soulagement qu’à défaut d’avoir relancé le film, l’image du blondinet avec les queues sur la figure n’apparaît plus. Pour autant, impossible de relancer un film.
Il est 22h30. J’hésite un moment – vu mon choix initial – à appeler la réception. Puis je me dis qu’après tout ils proposent ces films aux clients et que je suis suffisamment loin de chez moi pour ne pas avoir à rougir de quoi que ce soit avant de composer le numéro. Une charmante demoiselle me répond et accuse réception de mon problème. Elle me signale que le soucis va être rapidement réglé. J’en profite pour achever de ranger correctement mes affaires. Je viens de finir de disposer mes affaires de toilettes quand à ma grande surprise, on frappe à ma porte. Je suis toujours nu donc c’est fébrilement que je lance un « j’arrive ! » et que je mets mon « matériel » sur le petit canapé qui compose le charmant « salon » de la mini-suite avant d’enfiler précipitamment un boxer et un T-shirt puis d’ouvrir la porte de la chambre.
Le type qui se tient à la porte doit avoir dans les 25 ans. Baraqué et typé arabe, il me lance :
— Bonsoir monsieur. Je m’appelle Nordin. Un problème avec la vidéo ?

J’explique que le film s’est bloqué d’un seul coup et il a un étrange sourire. Je m’écarte et il entre, regarde la chambre, arrête son regard un instant sur le contenu du canapé, me regarde à nouveau avec son étrange sourire. Je baisse les yeux et je m’assois sur le lit en feignant de lire le magazine de l’hôtel. Il trifouille le câblage derrière la télé, rallume et l’image apparaît toujours figée sur le blond en pleur avec les énormes bites noires en gros plan. Je dois être rouge pivoine. Il se dirige vers moi, toujours avec ce sourire accusateur et prend la télécommande sur la table de nuit. Je ne peux m’empêcher de regarder sa braguette à hauteur de mon visage et je distingue la forme d’une grosse bite lourde sous le tissu. Je peine à cacher ma propre érection. Toujours à coté de moi, il joue avec les menus de la télécommande et le film repart. Une main noire prend fermement le blond par les cheveux qui supplie puis ouvre docilement la bouche et se met à sucer la première queue à sa portée. Je sens le regard de l’arabe sur moi. Je n’ose pas relever les yeux. C’est lui qui rompt le silence :
— C’était bien ce film qui était bloqué ?— Oui.— Je vérifie quand même que l’accès au menu fonctionne.— Merci.
Il repart sur la liste de sélection, déroule les titres et s’arrête sur « Domination arabe ». Le synopsis est clair. Il s’agit des mésaventures d’un certain Vivian en vacances en Tunisie qui devient l’esclave sexuel de Maîtres maghrébins.
— Il est bien celui là… Je vous le conseille. Vous l’avez vu ?— Non. J’avais directement lancé le film qui s’est bloqué…
J’hésite et ajoute doucement :
— Mais le titre me plaît. Et l’histoire aussi.
Je lève les yeux, estomaqué par mon audace et probablement écarlate. Il me regarde toujours, moqueur. J’hésite. Il le sent et me désigne son bas ventre du regard. L’invitation est claire. Je comprends qu’il a été aussi loin qu’il pouvait de son coté. Je déglutis péniblement. Je sens que c’est l’occasion que j’ai toujours imaginé en me branlant. Il a remis le film. A l’écran, le blond est plaqué au sol et se retrouve avec un pied sur le visage tandis que les noirs achèvent de baiser son pantalon. Alors j’ose. Je me retourne lentement face à lui, me met à quatre pattes sur le lit, les cuisses écartées, et baisse mon boxer à mi-cuisses. A la télé, une verge de la taille d’un manche de pioche s’enfonce lentement entre les fesses du blondinet qui pousse une longue plainte. Comme mon visiteur reste toujours silencieux, je me cambre sans aucune retenue et murmure, conscient que j’ai franchi la ligne :
— S’il vous plaît…— C’est ça que tu veux, salope ? répond l’arabe en souriant méchamment après quelques secondes. Un vrai zob de mec dans ton cul de pédale ?— Oui… Tout ce que vous voulez…— Écarte tes fesses à deux mains, salope de français !
J’obéis en gémissant. Ma queue est bandée à exploser. Je peine à respirer tellement je suis excité et je sens mon anus qui s’ouvre et se referme au même rythme que mon souffle saccadé.
— On dirait que tu t’es graissé le trou, cochonne ?— Oui…— Tu avais prévu de te défoncer, c’est ça ?— Oui… Avec le déodorant sur le canapé.— Et les autres objets, c’est pour quoi ? demande-t il en découvrant mon matériel étrange.
Pendant que je lui explique par le menu, il ricane méchamment et ses mains se pose sur mes fesses. Il tâte mon anus du pouce et serre mes couilles douloureusement. Je pousse un petit cri quand il prend ma queue à pleine main. Puis il se met à la presser jusqu’à ce que supplie une seconde fois :
— S’il vous plaît…— C’est ça que tu aimes, hein pédé ? Quand ça fait mal ! C’est comme ça que tu fais cracher ta petite bite molle ?— Oui…— Tu as du fric, salope ?
Comme j’hésite, il prend ma verge gluante d’excitation à pleine main et serre :
— Tu vas me donner du fric et je vais te faire juter. C’est comme ça chez nous avec les pédés de français dans ton genre ! Tu crois pas que c’est gratos, gros porc, hein !— Tout ce que vous voulez… Mais n’arrêtez pas…
Il rit, satisfait, et me pelote les fesses sans douceur maintenant. En les ouvrant bien à deux mains, balançant par surprise de temps en temps une grosse claque sèche qui m’arrache une plainte gourmande. Un doigt s’enfonce d’un trait dans mon rectum.
— Ooooh…— C’est bon ça hein… C’est bon de te faire travailler ta chatte de pédé… Là j’ai pas le temps de t’enculer mais ça va te changer de ton déo quand je vais te la mettre !
Un second doigt vient coulisser profondément. Je sens mon trou qui s’ouvre et je pousse mes reins sur sa main. Dans le film, un des noirs vient de retirer son membre d’ébène et l’orifice du soumis reste béant. Un second violeur oblige le jeune homme à s’asseoir sur lui où il s’empale d’une seule poussée brutale. Je respire de plus en plus fort. Nordin s’est assis sur le lit dos aux oreillers. Il retire son doigt et me lance :
— Viens là sur moi les mains dans le dos et écarte bien les cuisses, salope. Je vais te faire cracher et je reviendrai plus tard quand j’aurai une pause pour te casser les fesses !
Je m’adosse à lui, les jambes ouvertes comme une grenouille. A l’écran, un des noirs torture les couilles et la queue du blond qui continue à se défoncer en pleurant. Je sens la bite de Nordin dans mon dos et elle a l’air énorme. Une des ses mains se pose sur mes seins gras et commence à les tordre tandis que l’autre serre mes testicules jusqu’à ce que je pousse un râle d’encouragement.
— T’as des tétines de truie ! Je vais te les étirer jusqu’à ce qu’elles pendent ! Et regarde ça ! Comment je te doigte la queue là ! En forçant bien, je suis sur que je peux faire entrer un doigt dedans ! T’aimerai ça que je te doigte la queue, pédale ? Déjà là, tu mouilles assez pour que ça s’écarte ! Quand t’auras juté, ça sera tout graissé là dedans ! Ça rentrera comme dans du beurre…
Je constate qu’effectivement la première phalange de son auriculaire est presque entièrement fichée dans mon méat gluant. C’est douloureux mais la vision m’excite à un point incroyable. J’imagine son doigt entièrement enfoncé et coulissant dans mon urètre et je pousse mon bassin sur son doigt qui me maltraite. Ca suffit à ce que je jouisse. Il en profite pour pousser encore plus loin son doigt qui s’oppose à mon jus tentant de sortir. La sensation m’arrache une nouvelle plainte et il relâche mes tétons pour me planter fermement deux doigts dans l’anus. Je jouis comme je n’ai jamais joui, le cul rempli et l’urètre distendu. J’ai l’impression que je n’en fini pas de me vider tellement l’orgasme est intense. Quand je reprends mes esprits, les jambes ouvertes de façon obscène, il s’essuie les mains sur mon visage et mes cheveux puis se lève et me balance :
— Le fric, grosse salope ! T’es ma pute maintenant ! Tu donnes du fric à ton homme pour qu’il te fasse jouir.
La tête encore fébrile, je me lève avec peine et farfouille dans mon porte-feuille puis lui tends 70 euros. Il me prend par la nuque et me gifle juste ce qu’il faut pour que ce soit excitant :
— Demain, tu m’en donneras encore ! Ok pédale ?
Je suis réduis à payer pour assumer mes pulsions. Rien que cette idée faitt que je bande à nouveau. J’ai envie d’être humilié et défoncé. C’est avec une voix qui me dégoutte que je réponds :
— Oui Nordin…— Bien… Je dois y aller maintenant mais je vais revenir. Pour t’enculer ! Je veux que tu te nettoie le trou, cochonne ! Je sentais ta merde sous mes doigts et j’aime pas ça ! Tu suceras ma bite après donc t’as intérêt à bien te vidanger le cul…— J’utiliserai la douche…— Je vois que t’es habitué, pouffiasse ! Ah et réfléchis à ce que tu as envie que je te fasse en attendant. Regarde « Domination Arabe », ça te donnera des idées. Mais t’as pas le droit de jouir salope, ok ?— C’est promis !— C’est promis « qui » ?— C’est promis, monsieur Nordin !— Bien… J’aime ça « monsieur » ! Mais Maître c’est encore mieux, hein pédé !— Oui Maître Nordin…— C’est bien, salope ! J’essaie de revenir dans une ou deux heures mais c’est pas sûr du tout, ok ? J’avais pas prévu de tomber sur une chiennasse comme toi… Je te passe un coup de fil avant si j’arrive à me libérer. Sinon ce sera demain, t’inquiète pas, ma pute. Et t’en aura pour ton argent…
Il frotte son sexe à travers le tissu en me regardant avec mépris puis quitte la chambre avec un dernier clin d’œil. J’ai la tête lourde. Comment ai-je pu oser ? Me voilà transformé en esclave sexuel et je paie pour ça en plus. En repensant à ce qui vient de se passer, je suis à nouveau en érection. Je passe dans la salle de bain et passe un bon moment à me « vider ». Puis je dévisse l’embout de la douche, règle la température de l’eau jusqu’à ce qu’elle soit tiède et m’administre un lavement jusqu’à ce que l’eau qui sort de mon anus gonflé soit claire. Une fois que j’ai évacué l’eau, je me nettoie soigneusement les fesses. Les muscles de mon sphincter sont sensibles et mous sous mes doigts. J’ai envie comme jamais d’être sodomisé brutalement. Je retourne dans la chambre ou l’odeur tenace de sueur et de sperme me prend à la gorge, ajoutant à mon émoi.
Je sélectionne « Domination Arabe » et le lance quand on frappe à la porte. Pareil à une chienne en chaleur, je vais pour me précipiter quand je me reprends au dernier moment : « mon Maître » avait dit qu’il téléphonerait. Je lance mon « j’arrive ! » de rigueur, mets un peu d’ordre dans la pièce et dans ma tenue puis plonge la pièce dans la pénombre comme si j’étais au lit avant d’ouvrir sans oublier de mettre la chaîne de sûreté.
C’est André, notre hôte. Le directeur de la division Belge du groupe a l’air embêté :
— Je suis navré de vous réveiller mais j’essaie de vous joindre depuis une heure et ça sonnait occupé !
Je m’aperçois que j’ai oublié de raccrocher le combiné après mon appel pour faire réparer la vidéo et je balbutie une réponse creuse en écoutant André m’expliquer que des aménagements doivent être faits pour la présentation de demain matin. Il me fixe un rendez-vous plus matinal pour régler ça et va pour ma saluer quand un une voix autoritaire retentit dans ma chambre :
— A quatre pattes, esclave ! T’es un bon chien ! Viens là… Viens sucer le gros os que j’ai pour toi !
La vidéo ! Le générique est terminé et elle est en français en plus !!! Je suis écarlate quand André me lance, goguenard :
— Je ne voulais pas vous déranger ! Si j’avais su à quel point vous étiez « occupé »…— C’est la télévision… je tente, au supplice.
« Pousse tes fesses sur ma main, salope !!! » reprend la voix au lourd accent arabe. Je n’ose plus faire un geste et le regard de André me cloue sur place. « Oh oui Maître… » répond une voix stylée et servile incontestablement masculine elle aussi avant de pousser un grondement bestial. Je me décompose littéralement. « Pousse ! » encourage le « Maître arabe », « que je te l’enfonce jusqu’au coude, grosse pédale blanche ! ».Je parviens à réagir enfin : je referme la porte et me précipite vers le téléviseur que j’éteins en tremblant sans pouvoir empêcher un dernier « Pousse plus fort, tapette !!! » suivi d’un hurlement. Je reste immobile, le cœur battant à tout rompre. André reste devant la porte quelques secondes puis je l’entends s’éloigner. Cet incident a eu l’effet d’une douche froide et le moins qu’on puisse dire c’est que je ne suis plus excité du tout. Je range la chambre comme si ça pouvait changer quelque chose, prenant soin de bien remettre mes « ustensiles » dans mon sac, aère la chambre et me couche, le corps trempé d’une mauvaise sueur. Heureusement, Nordin n’appelle pas et je trouve enfin le sommeil, épuisé, alors que l’aube pointe sous les rideaux.
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