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Hugo et Juliette

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Juliette se réveilla au lever du soleil en sursaut. Elle se mit à repenser à sa soirée avec angoisse. Comment pouvait-elle s’expliquer d’avoir répondu aux ordres de Hugo avec une telle soumission ? Devait-elle partir sans prévenir et laisser derrière elle cette mauvaise histoire ?Après tout, Juliette cherchait de la tendresse depuis assez longtemps, elle pouvait bien attendre un peu plus. Et ce n’est pas un fou de cette espèce qui allait la faire céder. Pourtant, Juliette n’avait pas retenu que des mauvaises choses de cette expérience. La peur, qui l’habite dès que Hugo pose son regard sur elle, lui éprouvait de doux picotements dans le bas ventre sans qu’elle puisse se l’expliquer. Et dès que Hugo avait approché les zones érogènes de son corps, une excitation puissante l’avait gagnée. Juliette découvrait des sensations jusqu’alors inconnues. Elle n’avait jamais été rabaissée de la sorte de toute sa vie mais le peu d’attention que lui avait prêté Hugo l’empêchait de partir. Elle savait qu’un tendre baiser pouvait se reproduire si elle se montrait obéissante. Sa décision fut prise : elle décida de rester.
En attendant le réveil de Hugo, elle préféra rester allongée sans rien faire. Une demi-heure plus tard, Hugo se réveilla. En voyant que Juliette était toujours présente et éveillée, il cacha sa bonne humeur en déclarant :— Fais moi un petit déjeuner. Faut vraiment tout t’expliquer…— D’accord.— Et dorénavant, appelles moi Monsieur. Ça ne te fera pas de mal un peu de politesse.— Oui, monsieur.— Bien.Totalement nue, Juliette prépara le meilleur petit déjeuner possible. Puis elle l’apporta à Hugo qui mangea de bon cœur son petit déjeuner. A peine sa dernière bouchée terminé il ajouta :— Toi, en tout cas, tu n’as jamais été en manque de p’tit déj vu le gros cul que tu te trimbales !Cette phrase avait blessé Juliette. Mais elle essaya de ne pas le prendre pour elle. Son tint devint un peu rouge et elle baissa les yeux.— Viens donc te mettre à quatre pattes dans le coin ! Et les mains dans le dos.Hugo prit direction de la cuisine. Juliette ne pouvait rien observer car ses yeux devaient rester rivés sur le coin de la pièce. Cinq minutes plus tard, Hugo posa une assiette par terre. — Voilà ta gamelle. On est une chienne ou on ne l’est pas.Juliette se rendit compte que Hugo était loin d’être à court d’idée et que sa soumission ne faisait que commencer. Son repas du matin ressemblait à un véritable pâté pour chien. Il lui avait mélangé des céréales à un yaourt ce qui rendait le repas peu appétissant. Une fessée fit sortir Juliette de ses pensées :— Tu n’as pas oublié de dire quelque chose par hasard ?— Euh… Pardon. Merci. Merci beaucoup.— Merci qui ? lui dit-il en accompagnant ses propos d’une tape sur l’autre fesse.— Merci Monsieur.— Tu es une vrai saloperie, il y a vraiment du travail. Manges maintenant.Les mains dans le dos, Juliette abaissa son visage pour s’emparer d’une partie de son repas. Elle avait honte et peur mais son sexe la trahissait. Elle sentait son sexe s’humidifier. Et la position dégradante qu’elle devait prendre en mangeant décuplait son excitation. Son vagin et son anus était à la merci de Hugo. Il pouvait faire ce qu’il voulait sans que Juliette, les yeux rivés sur son assiette, ne puisse anticiper quoique ce soit. Les tétons de sa lourde poitrine, eux, fleureraient avec le sol. Lorsque son repas fut fini, Hugo lui demanda :— As-tu de quoi acheté de nouveaux vêtement, je n’aime pas comment tu t’habilles
— Oui, mon maître. Voici ma carte. Mon code est le 5637 et je dispose de 550 € à peu près— Ça fera l’affaire. Pendant que je vais t’acheter des vêtements, fais la vaisselle et rends cet appartement un peu plus propre. Compris ?— Oui monsieur. Je le ferais. — Tu ferais mieux. Hugo quitta les lieux sans un au revoir. Juliette se demandait ce que Hugo comptait lui acheter. Surement pas des habits qui passeraient inaperçus. Encore une fois, on ne lui demandait pas son avis. Le fait de ne pas savoir la rendait impatiente du retour de Hugo. Elle s’attacha tout de même à bien faire ce qu’on lui avait demandé.En fin de matinée, un bruit de clés mit fin à l’attente de Juliette. Hugo était de retour, chargé de sacs.— Et voila ! s’écria-t-il en jetant les sacs sur le canapé. Ta nouvelle garde robe. Je te laisse regarder un petit peu. En attendant je vais me prendre une bonne douche.Hugo garda tout de même un des sacs qu’il alla cacher dans l’appartement. Il ne souhaitait pas que Juliette ne le découvre tout de suite. A peine la porte de la salle de bain fermée, Juliette se précipita sur les sacs. Voici ce qu’elle découvrit :— 7 strings— 2 mini-jupes— 2 shorts en toile blanche— 1 maillot de bain deux pièces— 5 t-shirts décolletés— 1 paire de talons hautsLorsque Hugo en eut terminé, il lança à Juliette :— Files donc te laver pendant que je choisis ta tenue du jour. Et cette fois ci, laves toi partout !— Bien monsieur.A sa sortie de la douche, Hugo avait rangé la plupart des nouveaux habits. Ceux restant seraient sa tenue du jour. Elle enfila le string turquoise en dentelle que Hugo lui avait laissé. La face du vêtement était transparente ce qui laissait deviner son sexe fraichement rasé. Elle se vêtit ensuite d’une mini-jupe verte qui cachait tout juste son fessier.— Monsieur, je n’ai trouvé aucun soutien-gorge dans les sacs.— C’est normale, tu n’en aura pas besoin.— Ah. Euh… très bienElle s’empara donc d’un t-shirt décolleté jaune moutarde. Elle eut du mal à l’enfila. Il lui paressait très petit. Après ce temps d’effort, Hugo s’exclama :— Parfait !Le décolleté était extravagant. La petite taille du t-shirt accentuait la poitrine, déjà imposante de Juliette. La pression du tissu sur ses seins dessinait nettement la forme de ses tétons. Juliette se sentait très vulgaire. Pour la déstabiliser un peu plus, il lui conseilla de chausser la paire de talons hauts. Juliette n’aimait pas ce mot, mais elle ressemblait à présent à une vraie putain. — Comment tu te sens ? demanda Hugo.— Je me sens pas très à l’aise.— Pourtant tu es dans une tenue parfaite pour te faire aguicher et te faire baiser, comme tu le souhaites.— Ce n’est pas vrai. Je ne suis pas une fille facile.— C’est moi qui décide si tu es facile ou non. — Bien…Bien, monsieur.— Enfin bref. Moi j’en suis convaincu, après tout. Voyons ce que les autres en pensent.— Les autres ?— Oui, les gens. Tu ne pensais pas qu’on allait rester tout le weekend chez moi, tout de même.— Mais, mais je ne peux pas sortir avec cette tenue. C’est… c’est trop pour moi.— Ne dis pas de bêtises. Sois un peu docile, tu veux ?— D’acc..d’accord.Juliette n’avait jamais senti son cœur battre son cœur si fort. Son appréhension était à son paroxysme. Elle avait choisi après réflexion de se soumettre à Hugo mais le fait de l’exposer au monde entier était la dernière chose qu’elle souhaitait faire. Et si elle croisait des gens qu’elle connaissait, ses amis ou des membres de sa famille ? Sa vie s’arrêterait.— Suis-moi. Déclara Hugo
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