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Humilié devant sa femme

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Les jours passaient et la situation se consolidait. Je gouvernais par la terreur, cassant tout ceux qui ne me léchaient pas les bottes. J’épargnais naturellement Bénédicte, la plaçant sur un piédestal, en dessous de moi, mais au dessus du reste du personnel. Elle prenait un soin nouveau à se maquiller et à s’habiller chic et juste assez sexy pour ne pas paraître vulgaire. Lors de nos conversations badines, (porte du « placard » toujours ouverte, pour que son mari puisse déguster) je lâchais sans avoir l’air d’y toucher de petits commentaires sur mon goût pour les tailleurs noirs, les porte jarretelles, les haut talons … et depuis lors, elle ne portait plus que des tenues noires, chemisiers blancs ouverts largement sur sa petite poitrine enserrée dans des soutiens en dentelle noire. Elle ne portait plus que des haut talons, elle qui détestait ça auparavant. Je décidais alors de passer à l’étape suivante. Je me mis à l’ignorer, à l’éviter. Quand nous devions nous voir, je me montrais plus froid. La réaction ne tarda pas, elle se mis à dépérir. Elle avait encore maigri. On voyait les os de ses genoux et de ses épaules saillir. Elle balbutiait lorsque je l’interrogeais. Elle finit par me demander un entretien que je lui accordais. Elle me demanda ce qui avait changé dans nos relations. Elle me sentait distant. Je lui expliquais que cela m’énervait de la savoir avec une lope comme Paul, et que j’aimais que mes collaborateurs soient loyaux (lisez: à mes bottes) et que sa situation de femme mariée avec quelqu’un qui m’enviait et complotait sûrement contre moi (le pauvre, il en était bien incapable, et je le savais) rendait la loyauté de Bénédicte suspecte. Elle protesta, mais je mis fin à l’entretien avec sécheresse. Le week-end passa, et je l’imaginais se morfondre après notre entrevue. Le lundi, nous devions nous rendre en province pour visiter un client. Nous prenions ma BMW. Avec satisfaction, je vis Bénédicte arriver avec un sourire gêné. Elle portait un chemisier en voile noir transparent, qui ne laissait rien ignorer de son soutien gorge aux balconnets très bas. Devant notre client, elle gardait la veste de son tailleur fermée, mais dès que nous fûmes seuls, elle s’arrangea pour que je jouisse du spectacle. Je constatais alors qu’elle portait également une chaînette à la cheville, et l’interrogeai à ce sujet. Elle me répondit que je n’ignorais certainement pas que c’était un signe de soumission. Je fis l’étonné. Honteuse et confuse, elle dût poursuivre: « tu sais, j’ai pensé tout le week-end à notre conversation de vendredi, tes soupçons de déloyauté m’ont ébranlée, et je veux t’exprimer tout mon … attachement. Je l’interrompis en feignant la mauvaise humeur et lui dis que j’étais un homme très autoritaire, qui dans la vie professionnelle et privée ne supportait pas la contradiction. La loyauté ne me suffisait pas, il me fallait la soumission inconditionnelle. Nous approchions d’une aire de parking. Je m’y engageais et trouvant un emplacement à l’écart, je coupais le contact. Elle avait la gorge serrée, et était blême. Je poursuivis « Je n’ai pas envie de perdre mon temps avec les états d’âme d’une irrésolue. Tu dois choisir entre ton mariage et notre relation professionnelle … et autre . Tu sais ce que j’attends de toi? ». -« Oui ».-« dis-le!»— « ma soumission »— « je veux que tu m’amènes ta soumission ET celle de ton mari »-« mais ce n’est pas possible » balbutia-telle « et puis, je croyais que tu voulais que je le quitte? »— « tu croyais mal, je veux que tu le fasses ramper devant moi »Elle ne répliqua pas, mais je voyais qu’elle était vaincue, et pensait déjà au moyen de me donner satisfaction. J’exigeais alors qu’elle me démontre sur le champ sa soumission. Elle avait les larmes aux yeux et les lèvres tremblantes, mais elle défit sa ceinture de sécurité, hésita encore un instant, puis elle se pencha sur moi et ouvrit ma braguette. Mon sexe était évidemment dur comme de la pierre et elle eut du mal à l’extraire de mon slip. Elle jeta un regard inquiet autour de nous, craignant l’arrivée inopportune d’un véhicule. « Ne t’occupe pas de ça », lui envoyai-je. Ses doigts tremblaient en s’emparant de mon sexe, elle se pencha à nouveau, et l’introduisit dans sa bouche exquise. Le grand moment était arrivé. Je tenais le début de ma vengeance. Je pensais au pauvre Paul en train de dépérir au moment même dans son placard, tandis que les lèvres de sa femme coulissaient le long de mon sexe, sa langue venant de temps en temps en mouvements lascifs titiller le bout de mon gland. Je lui ordonnais de saliver. Je voulait une bouche moite. Elle fit quelques mouvements des joues et de la langue pour m’obéir. Je sentis ma bite baigner dans une bonne bouche bien chaude et humide. Elle reprit sa succion. Je me remis à penser à son mari. Je me gardais bien de l’avertir lorsque je sentis la jouissance monter en moi. Elle se prit une grande giclée de sperme au fond de la gorge et voulut se retirer, mais je veillais au grain et lui maintins fermement la nuque. Elle dût avaler mon sperme intégralement. Je ne la relâchais que lorsqu’elle eût nettoyé complètement mon sexe avec sa langue. Alors elle put se redresser. Ses yeux étaient baignés de larmes et son ricil avait coulé. Je remis le contact et nous repartîmes. Elle sanglota une bonne partie du voyage retour.
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