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Humilié devant sa femme

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Je ne perdais plus maintenant une occasion d’afficher devant le groupe la soumission de la femme de l’ex patron à mes désirs, que ce soit en faisant des commentaires grivois, des allusions appuyées à nos rapports, des sous entendus de toutes sortes, qu’elle acceptait en rougissant, mais sans protestation. Il était clair qu’elle était à ma merci. Quant à son mari, de chute en dégringolade, je l’avais maintenant affecté aux photocopies et au service du café, comme ce jour où, recevant Bénédicte dans mon bureau, je lui avais ordonné d’aller nous chercher deux expressos. Bénédicte, installée face à moi, inutile de le préciser en mini jupe, escarpins et bas noirs, avait renversé un peu de café par terre. Avant qu’elle n’ait eu le temps de le ramasser, j’avais rappelé son mari « Paul, voyons, veuillez ramasser cela, que diable ». Le pauvre bougre s’était mis à genoux devant sa jeune épouse, frottant le sol avec une serviette en papier. Ce faisant, il était bien placé pour voir les longues jambes de Bénédicte, et l’ourlet de ses bas, à trente centimètres de lui, mais désormais inaccessibles à ses désirs. Le pauvre avait bien dû remarquer que depuis une quinzaine de jour, sa femme s’habillait comme une poule de luxe pour venir mendier mon attention, mes faveurs. Mais il semblait las et résigné. J’ajoutai « il y en a aussi sur les chaussures ». Bénédicte s’apprêtait à me répondre que non, les gouttes de café étaient tombées devant, mais elle comprît ce que je voulais et se tût. Bien au contraire, en me regardant dans le fond des yeux, elle avança le pied vers son mari et dit « en effet, ma chaussure est sale, essuie !». Elle se révélait une digne partenaire, à la hauteur de mes ambitions! Paul regagna son placard à balais, dont il s’apprêtait à fermer la porte, mais je le retins « laissez la porte ouverte, voyons, pas de secrets entre nous ». Le moment était venu, d’un geste impérieux, je fis venir Bénédicte entre mes cuisses. Sa timidité semblait bien maîtrisée, mais elle gardait un air grave et soumis. J’ai horreur des femmes qui sourient quand je les baise. Elle était parfaite. Soumise et grave. Comme j’aime. Elle exécuta une fellation trois étoiles. Comme d’habitude, je reluquais le bord de sa jupe, qui tandis qu’elle me suçait à genoux, remontait sur ses cuisses pour dévoiler le porte-jarretelles. De son siège, Paul ne pouvait voir ce qu’elle faisait, mais il ne pouvait ignorer les bruits que je tirais de la gorge chaude de sa femme chaque fois que je poussais mon sexe jusqu’à sentir mes couilles buter contre ses incisives. Lorsqu’elle eût terminé, j’appelai son mari, « Paul! Servez un autre expresso à votre charmante épouse, elle l’a bien mérité ». Il apparût dans l’encadrement de la porte alors que Bénédicte avait encore un genou à terre. Elle tourna la tête vers lui, et je m’aperçus qu’un filet de sperme coulait sur son menton. Il ne pût manquer de le voir, mais baissa les yeux et s’exécuta. Bénédicte était passée du statut de bourgeoise catho à celui de chienne en chaleur. Elle ne manquait pas un prétexte pour venir m’aguicher dans mon bureau, souvent en présence de son mari. Je lui avais bien sûr interdit d’avoir encore des relations sexuelles avec lui, mais elle m’avait assuré qu’il était au fond d’une noire dépression et n’essayait même plus de s’approcher d’elle. Il dormait dans la chambre d’amis. D’ailleurs, elle n’aurait plus supporté qu’elle se touche. Elle disait se réserver pour son étalon, en me lançant un sourire complice. Je la giflais immédiatement. Elle était hébétée, incrédule: il n’était pas pour moi question de grivoiserie ni de légèreté. Sa soumission était une chose sérieuse, et le désir était cousin de la souffrance et de la mort. Elle devait jouer dans une tragédie, pas dans un porno américain. Pas de sourires, saut honteux et contrits. Je crois qu’elle avait compris, car elle garda depuis se jour un air pudique et réservé, même dans les situations les plus extrêmes, ne le quittant que dans la jouissance, mais une jouissance que je voulais proche de la douleur. Il n’empêche, mon ex directeur avait cessé de représenter un challenge. Il était vaincu. Et que fait-on avec un vaincu? On l’écrase, on l’humilie, on le soumet jusqu’au plus profond de son âme.J’avais donc « suggéré » à Bénédicte de m’inviter chez elle, pour un souper intime. Elle m’avait demandé si je souhaitais envoyer Paul à l’extérieur. « Mais non, bien sûr », il fait partie de notre intimité, comme la table ou le cendrier » avais-je répondu.Le soir venu, je lui avais apporté des fleurs. Elle était plus belle et sexy que jamais. Elle m’aida à me débarrasser et m’installa confortablement dans le sofa. La table était dressée pour deux. La porte de la cuisine s’ouvrit et Paul apparût, porteur d’un plateau, deux coupes, et une bouteille de champagne. Il fit le service et retourna à l’office. Je commençais à caresser sa femme. Elle portait un parfum très lourd, qui montait à la tête. Mais il fallait que je m’occupe d’abord de son mari. Utilisant une recette maintenant éprouvée, je renversais volontairement un peu de champagne sur mon soulier. Bénédicte comprît et appela son mari, qui devait attendre derrière la porte car il fut là en un instant. « Paul, Monsieur Eric a renversé du champagne ». Le larbin se préparait à retourner en cuisine chercher une serviette, mais je le retins. « Inutile de prendre un chiffon mon vieux, et d’ailleurs, vous avez bien mérité une goutte de champagne, servez vous donc » et je tendis mon pied vers lui. Il n’hésita que l’espace d’un instant, heureusement, car ma colère aurait été terrible. Il s’agenouilla et lécha ma chaussure. Je me retournais vers Bénédicte et commençais à l’embrasser, à lui caresser les seins à travers sa robe légère. Je dis à son mari de continuer tant que je ne lui dirais pas d’arrêter, et passer à l’autre chaussure quand il aurait complètement fini la première. Je sentais Bénédicte excitée comme jamais, et tandis que la langue de son mari léchait servilement mes pompes, elle posa sa main sur mon sexe, ouvrit ma braguette, et sortit mon pénis. Après un regard vers son mari humilié, elle se pencha sur moi et entreprît de me sucer. Je caressais son visage, j’admirais son collier de perles, les boucles d’oreilles précieuses, ses lèvres fines qui avalaient mon pénis bien dur. Se faire sucer par une bourgeoise devant son cocu était décidément une des meilleures choses possibles dans la vie. Mais j’avais faim. J’interrompis donc cette fellation pourtant si inspirée et m’installais à table. Paul retourna donc en cuisine et quelques minutes plus tard, revint avec l’entrée. Je me méfiais un peu. Le poison est l’arme des faibles. Je le priais donc de goûter le plat. Il prît une assiette en cuisine, mais regardait la table en ne sachant pas trop ou la poser, à côté de celle de sa femme, sur un des côtés de la table. Je lui fis remarquer que ça place était à un niveau … inférieur. Il dût donc manger dans son assiette – devrais-je dire, son écuelle, à même le sol, tandis que j’avais relevé la robe de sa femme et lui caressais les fesses. Le goûteur ayant fait son office, nous mangeâmes à notre tour, servis par le larbin. Je vous passe les détails du repas, mais c’était un dîner … presque parfait. Il fallait maintenant soigner notre coté « animation ». Bénédicte dût retirer sa robe, elle était maintenant en porte-jarretelles, hauts talons, culotte en dentelle et soutien-gorge, le tout en noir, inutile de le dire. Jamais une faute de goût chez cette bourgeoise. Elle était d’une maigreur sublime, longue, fine et souple comme un roseau. L’image de la fragilité face à ma brutalité et mon despotisme. Son mari dût baisser lui-même les bretelles du soutien gorge, juste pour laisser apparaître la pointe des petits seins, peu proéminents, puis se mettre à genoux pour retirer la culotte, découvrant ses petites fesses maigres, lui faisant passer les fines chevilles de sa femme, et avec plus de difficultés la pointe des très hauts talons-aiguille. Je la fis placer, les deux coudes sur la table, les fesses cambrées en arrière dans l’attente de ma pénétration. Mais j’avais encore un petit caprice à satisfaire. Le larbin de mari dût enduire de beurre l’anus de sa superbe épouse, ensuite, maintenant les petites fesses de Bénédicte écartées, je l’obligeais à guider le bout de mon gland vers l’orifice étroit de son épouse. Je m’y enfonçais avec difficulté, mais les cris de douleurs qu’elle poussait gonflaient mon sexe davantage, le rendant très dur et apte à une pénétration … bien en profondeur. Je lui demandais si elle était vierge, et elle me répondit que oui. Je regardais sa lopette de mari et lui dis « vous ne savez pas ce que vous avez perdu, mon pauvre vieux, cette petite gaine étroite et douce comme du satin, ce petit anneau musclé, bien serré, vous procurent une sensation … unique ». « Alors Bénédicte, petite salope cela te plaît de te faire enculer devant ton mari? ». Elle lâcha d’abord un petit oui assez faible, entre deux gémissements de douleur, mais je lui fis répéter entièrement « oui, j’aime que tu m’encules devant ma lopette de mari » et « je suis ta pute soumise » en boucle, entrecoupés de cris de douleur, car j’y allais de plus en plus brutalement. Je sentis une décharge électrique me parcourir tout le corps, tandis que mon sexe bien serré par l’anus de Bénédicte envoyait un puissant jet de sperme au fond des entrailles de ma soumise.
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