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Hymen et amen

Chapitre 1

Divers
 Comme nous l’a demandé un sympathique coquin, voici la narration du dépucelage de ma chérie. Je n’interviens que pour la présentation de ce récit, elle va écrire son histoire elle-même.
Bonjour,  Tout d’abord je tiens à remercier la personne qui a créé ce site. Il permet à mon homme de compléter sa passion de me partager. Il le fait de manière réelle (et j’adore ! ), mais également maintenant de façon écrite comme vous le constatez.  Nous nous remémorons régulièrement nos (ou mes ou ses) rencontres d’un soir ou d’un weekend, cela entretient la flamme lors de nos périodes calmes. Je suis certaine que nombreux et nombreuses d’entre-vous qui vivez ensemble de manière libertine le font. Voici donc comment j’ai perdu ma virginité. En plusieurs étapes, comme vous le constaterez.

 Etudiante, j’avais de nombreux prétendants. En toute modestie féminine :-), j’étais plutôt ce qu’on appelle une belle jeune fille. Je me faisais draguer par mes condisciples du bahut, mais je sais que je ne laissais pas tous les profs indifférents. D’ailleurs j’ai eu droit de la part de certains (surtout le prof de maths) à quelques frôlements de mains qui n’étaient pas innocents. Mais jamais rien de plus ! Je n’étais pas une oie blanche, à l’athénée j’ai flirté avec beaucoup de copains. Je leur permettait de me peloter, mais aucun d’eux ne m’a fait l’amour. De mon côté j’en ai (ils sont tous les mêmes, très insistants) sucé quelques-uns. Surtout Fabian ! Fabian, peut-être le seul avec qui j’aurais accepté plus, mais il n’a jamais essayé. Par contre, lorsque nous allions ensemble au cinéma, il fallait à chaque fois que je m’occupe de son sexe. Sa méthode était toujours la même. Il m’embrassait et, pendant le baiser, sortait son engin de son pantalon. Ensuite il appuyait sur ma nuque pour me faire comprendre que je devais "descendre". Au début il se retenait, mais par la suite il éjaculait dans ma bouche. Moi je ne lui ai jamais permis que l’accès à ma poitrine, hors de question de "visiter" le bas. Depuis plusieurs années (après le décès de maman), j’allais à la messe tous les weekend, parfois le samedi fin d’après-midi, parfois le dimanche en matinée. Toujours avec mon oncle X, le frère de maman. Il était (et est toujours) d’une grande beauté. Plus d’un mètre quatre-vingt-cinq et un véritable corps de sportif. Certaines copines de classe que je voyais à l’église venaient toujours nous saluer, rien que pour faire leur cinéma devant lui.Personnellement, il m’arrivait certains soirs de me caresser en pensant à lui, mais lors de ces caresses je l’imaginais comme mon copain et pas en tant qu’oncle. Un jour, Cindy, la pimbêche de l’école avec laquelle je me disputait, m’a dit: "Et d’ailleurs je sais que tu couches avec ton oncle !". Je l’ai giflée !Elle a continué ses médisances en ajoutant que ça se voyait, qu’il me tenait toujours par la taille.Le soir, dans mon lit, j’ai repensé à ce qu’elle m’avait dit.C’est vrai qu’il me tenait toujours par la taille quand nous marchions et, en y repensant bien, je me suis souvenue qu’à quelques reprises sa main s’était égarée sur mes fesses.Jusque-là je n’y avais pas trop prêté attention, mais... Quelques semaines plus tard, alors que mon oncle et moi promenions Pogo (mon chien) et qu’il me tenait par la taille, sa main est descendue sur mes fesses. Je ne sais pas comment j’ai fait, mais spontanément je le lui ai fait remarqué.Il est devenu blême, arguant que c’était accidentel. 
Nous avons encore marché quelques pas puis il s’est arrêté." Pour te dire la vérité, c’est ta petite jupe qui te moule fort et qui m’a donné envie de te toucher. Mais promis je ne le ferais plus"." Je ne te crois pas, ce n’est pas la première fois que tu le fais" ai-je répondu.Il ne sut que dire, il est resté muet. Alors c’est moi qui, hardie, lui ai parlé." Je comprends que tu me touches, tu dois te sentir seul depuis que Anna t’a quitté. Mais je suis ta nièce et ça fait bizarre. De plus les filles de ma classe disent que je couche avec toi".Sans m’en rendre compte, tout en lui disant ça, nous nous étions assis sur un muret.Voyant son air triste et dépité je me suis empressée d’ajouter qu’il pouvait encore me tenir ainsi, mais pas devant les gens que je connaissais. Et à chaque fois que nous partions ensemble hors du quartier il s’empressait de me tenir.Presque tous les soirs, dans mon lit ou dans mon bain, je me caressais en y repensant. Et je me faisais un scénario dans lequel il m’embrassait, me caressait les seins et les fesses.Cela finit même par devenir obsédant et j’y pensais à chaque fois que j’étais avec lui. Même lorsque mon père ou d’autres personnes étaient là, je n’avais plus qu’une envie, qu’il me touche. Un soir, tandis que nous promenions Pogo, je lui ai demandé de prendre la laisse en main. Je vous décris la scène: il tenait la laisse de la main droite et m’enserrait la taille de la gauche. Regardant et constatant qu’il n’y avait personne, de ma main gauche j’ai attrapé la sienne et l’ai fait descendre sur mon postérieur. Il m’a regardé étonné et je lui ai souri en lui disant que ça me manquait qu’il ne le fasse plus, que je me sentais "femme" quand il avait ce geste.Nous avons encore marché quelques pas puis j’ai senti sa main bouger. De petits mouvements, de légères caresses. J’avais chaud, c’était excitant qu’un homme me porte ce style d’attention. Il s’est arrêté de marcher, a regardé aux alentours puis m’a plaquée contre lui et m’a embrassée. Je sais, ce n’était pas bien et j’aurais dû le repousser, mais c’était tellement bon.Après ce baiser nous sommes rentrés chez moi et avons regardé un film tous les 3 (avec papa). Ensuite il s’en est retourné chez lui. Je ne vous raconte pas le temps qu’il m’a fallu pour m’endormir !! De ce jour, à chaque fois que nous étions seuls lui et moi, ce n’était que baisers langoureux. Et de plus en plus ses mains voyageaient sur moi. Une fois, nous étions chez lui et assis dans le canapé tout en échangeant de chauds baisers, sa main s’est aventurée sous ma jupe et assez haut entre mes cuisses. Sans réfléchir je lui ai dit que j’étais encore vierge.J’ai senti sa main se glisser dans ma culotte et venir à la rencontre de mes lèvres qu’il caressa avec une infinie douceur." Ne te tracasse pas, je ne te pénétrerais pas " a-t-il dit." Ca ne me tracasse pas, au contraire " ai-je répondu.Il s’est redressé et m’a regardée en disant: " Au contraire ? "Je n’ai rien rétorqué, mais j’ai appuyé sur sa main baladeuse pour qu’il comprenne.Il a à nouveau uni sa bouche à la mienne et j’ai senti un doigt s’insinuer doucement en moi.J’avais l’impression d’être saoule, ma tête tournait légèrement et je transpirais.Entre les cuisses j’étais également toute mouillée, mais j’ai compris que ce n’était pas de la transpiration. Plusieurs soirées et/ou après-midi ce sont passées de cette façon, à chaque fois il insérait un doigt mais jamais très loin. Et moi je restais penaude car j’en désirais plus, beaucoup plus.Je fréquentais toujours Fabian pendant les cours, et régulièrement nous allions nous cacher dans un recoin et je le suçais en pensant à mon oncle.Ce jour-là, après avoir sucé Fabian, j’ai décidé que ça devait changer avec mon oncle !Et le lendemain je suis allée chez lui, prête à prendre l’initiative si il restait encore une fois "trop" sage.Baisers, caresses, mots tendres, j’avais droit à tout mais pas à ce que je désirais le plus.Tandis qu’il m’embrassait et jouait avec ma poitrine, je me suis mise à défaire les boutons de son pantalon. Je me suis aventurée à l’intérieur de son slip et ai empoigné son sexe qui était droit comme un "i". Il ne disait rien, continuant à m’embrasser et peloter. Je le branlais comme je le faisais à Fabian avant de le sucer. C’est lui qui, de sa main libre, a abaissé son pantalon et son slip sur ses jambes. Je me suis libérée, penchée sur son sexe et ma langue s’est promenée sur son gland tout en s’insinuant dans son méat urétral (et oui, je connais chaque partie d’un sexe masculin) comme Fabian me demandait souvent de faire. Ensuite je l’ai pris en bouche, montant et descendant sur toute la longueur avec mes lèvres l’enserrant. Il prononçait mon prénom en haletant, me disait comme il aimait ça, me complimentait.Sentant certainement qu’il allait jouir, il a voulu repousser ma tête. Mais j’ai continué et il a déversé sa semence que j’ai avalée.Quand je me suis redressée il était tout gêné, il avait été dépassé par les événements et ma témérité. Un silence s’est installé et je suis partie en lui donnant un petit baiser sur la bouche.Quand nous nous sommes revus il n’osait pas me regarder en face, il ne savait quelle attitude prendre. Alors que papa était dans la cuisine je me suis approchée de lui et ai déposé un baiser sur ses lèvres. Tout bas, à son oreille, je lui ai dit que j’irais chez lui samedi après-midi, que j’étais "prête". Il n’a pas réagi, prenant un air détaché car papa revenait avec les assiettes pour le repas. Samedi est enfin arrivé !!J’avais revêtu ma plus belle jupe et mes derniers sous-vêtements achetés le mercredi précédent. Pour le haut c’était simplement un top sur lequel il y avait l’inscription " LOVE " en paillettes.Je suis arrivée et il m’a prise directement dans ses bras. De longs baisers dans le couloir, nous n’arrivions pas à avancer. Nous avons flirté un certain temps, mêlant baisers et caresses avec une grande frénésie.Encore une fois il restait "sage" et c’est moi qui ...Lui prenant la main, je l’ai emmené au salon. Une fois là je lui ai demandé de fermer les yeux et de se tourner en prétextant que j’avais un cadeau pour lui.J’ai retiré mon top et ma jupe, ne gardant que ma lingerie. C’était une lingerie rouge avec de la dentelle, je l’avais choisie expressément pour ce jour.Je lui ai dit qu’il pouvait se retourner, mais qu’il devait garder les yeux fermés.Je me suis reculée d’un mètre et l’ai autorisé à regarder.Il resta sans voix ! Bien sûr il savait pourquoi j’étais là, je le lui avais bien fait comprendre l’autre jour. Mais il ne s’attendait pas à ce que je sois aussi délurée et espiègle !Il a regardé, ou plutôt "admiré" mon corps ainsi livré.Il s’est approché et m’a prise dans ses bras, me soulevant telle une plume. Il m’a portée jusqu’à la chambre et m’a déposée sur son lit.Quelle après-midi !!Avec toute l’expérience d’un homme, un vrai, il m’a possédée. Lors de la pénétration je n’ai ressenti aucune douleur, bien au contraire. Et pas une goutte de sang n’a taché les draps.Ce fut d’une sensualité sans égal, pas de rudesse, pas de gros mots, juste l’amour comme dans les films à l’eau de rose.C’est la seule fois où je me suis offerte à lui. Par la suite nous n’en n’avons jamais reparlé et une distance "physique" s’est créée.Je n’ai aucun regret, il m’a fait découvrir ce que j’aime le plus au monde (mis à part mon mari), LE SEXE.
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