Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 85 J'aime
  • 3 Commentaires

L’île aux cochons

Chapitre 2

Erotique
L’île aux cochons
Auteur : Alix - Publié en janvier 2018.
Episode 2
Mes jambes fléchirent. Ces animaux n’auraient aucun mal à me renverser sur le sol et satisfaire leurs bas instincts. Effarée à l’idée de perdre ma virginité pour un bout de viande, j’étais prête à m’enfuir à toutes jambes au moindre geste de leur part.
— Sauf votre respect, si vous n’avez rien à offrir, vous devriez rejoindre votre mari. Répondit Masura d’une voix sourde.
Je fus soulagée tant je craignais le pire, mais l’impudence de sa réponse me contraria. Pinçant sévèrement les lèvres, je tournais sèchement les talons et m’en allais en serrant les fesses. J’étais certaine qu’ils les regardaient.
N’ayant rien obtenu et certaine qu’Edouard n’approuverait pas ma démarche, je cachais mon escapade.
Un rôti grésillant sur la broche et des pénis en érection m’obsédèrent tout le reste de la journée et une partie de la nuit.
Allongée sous l’abri entre mes compagnons d’infortune, je ne trouvais pas le sommeil. Je méditais sur la vraie valeur des choses et la relativité de la richesse quand la main du garçon glissa sur mes hanches.
« Qu’est-ce qu’il a en tête, cet idiot ? »
Le mieux était encore de faire semblant de dormir. Encouragé par ma passivité, Fang passa maladroitement sa main sur mon ventre puis sur mes seins. Lorsqu’il commença à frotter son dur pénis contre mes fesses, une vague de chaleur m’envahit le ventre.
Le bassin du jeune homme se pressait contre moi à petits coups nerveux. Le contact du gland sur mon anus et sur ma raie me faisait mouiller. Sans réfléchir, j’écartais un peu les cuisses. C’était excitant de jouer avec ce gamin inoffensif alors que mon mari ronflait doucement contre moi.
Quel maladroit ! J’étais sans doute la première femme qu’il caressait. Impatiente et excitée, je décidais de le surprendre à mon tour. Je passais ma main entre mes cuisses et refermais mes doigts sur sa verge à la fois, rigide et douce.

« Mon Dieu ! » C’était la première bite vraiment dure que je touchais !
Prise d’une sorte d’excitation, je guidais le gland là où mon instinct l’exigeait. Satisfaite par le doux contact du bout dur frottant l’entrée de son vagin, je profitais de ce moment volé à la mauvaise fortune. Fang était moins timide qu’il ne le paraissait. Il lima l’entrée de mes chairs intimes en m’enlaçant de ses bras avec une autorité qui me surprit. La sensation était agréable. Je n’avais pas imaginé qu’il fut si fort.
Dérangé par nos mouvements, mon mari grommela quelque chose. Je me figeais en retenant mon souffle. Ce n’était pas le moment qu’il se réveille !
Aïe !
Une douleur fulgurante me traversa le ventre. Profitant de mon inattention, Fang, d’un coup de reins décisif, avait enfoncé son dur pénis dans mon vagin trempé de mouille, déchirant le fragile hymen au passage.
Cet idiot efféminé m’avait déflorée ! Je n’étais plus vierge !
Affolée par les conséquences de ma légèreté, je tentais de me dégager, mais Fang me tenait bien et poussait son avantage. Mes chairs intimes s’écartèrent douloureusement sous l’avancée de l’envahisseur.
Mon mari prononça quelques mots inintelligibles. Surtout, ne pas le réveiller maintenant que l’irréparable était accompli ! Qui sait comment il réagirait ? Je me figeais de nouveau et me mordis le poing pour ne pas crier une seconde fois.
Je suffoquais de désespoir et de honte.
Fang abusait sans pitié de la situation. Il assura son emprise et commença un lent et profond va et vient. Ce petit salaud me violait sans vergogne, juste à côté de mon mari !
Lorsque le souffle d’Edouard reprit sa régularité, je tentais une nouvelle fois d’échapper à l’étreinte virile, mais Fang m’emprisonna les bras et me pistonna sans pitié.
La douleur disparut rapidement. Le membre dur et chaud, allait et venait régulièrement, glissant facilement dans le fourreau étroit lubrifié par ma mouille.
Que pouvais-je faire d’autre que subir ? De toute façon, c’était trop tard. L’irrémédiable était accompli. Je cessais de lutter.
C’était plus agréable que je ne l’imaginais, de plus en plus agréable, même.
Soudain, il accéléra le mouvement en me serrant très fort contre lui. Il gémit doucement contre mon oreille et s’immobilisa. Une chaude inondation envahit mon vagin. Je réalisais que c’était son sperme qui se répandait dans mon ventre ! Je n’avais pas prévu ça !
« Mon Dieu ! Cet idiot va m’engrosser ! » Je pensais, effarée.
Peut-être que si je me lavais rapidement de sa semence, j’éviterais le pire. Je dénouais nerveusement l’emprise de ses bras et me glissais rapidement hors de l’abri.
Accroupie dans l’eau fraîche du lagon, je nettoyais mon vagin avec mes doigts en crochet, expulsant le maximum de jus visqueux. Après m’être soigneusement lavée, j’allais m’étendre sur le sable sec, encore abasourdie par ce qui venait d’arriver.
« Au moins, je ne mourrai pas vierge ! » Je me consolais en regardant le merveilleux ciel étoilé.
La fraîcheur du petit matin me réveilla. Je regagnais l’abri et me glissais entre les deux corps endormis.
Quand mon mari et Fang se levèrent, je fis semblant de dormir jusqu’à ce qu’ils s’éloignent. Je ne voulais pas croiser leur regard, ni leur parler.
Lorsque le soleil monta plus haut dans le ciel, plus affamée encore que la veille, je retournais vers le camp des matelots avec le vague projet de profiter, au moins, de la bonne odeur de viande grillée.
Je me cachais prudemment derrière un arbre pour observer le camp. Rodrigo, le mécanicien, allait et venait nu près du foyer. Apparemment, il était seul. Les deux autres étaient peut-être à la chasse au cochon sauvage, à moins qu’ils ne se reposent dans l’obscurité de la cabane.
Le petit Philippin m’aperçut. Embarrassée d’être découverte, je m’accroupis derrière les hautes herbes, ne pouvant me résoudre à m’éloigner de la viande odorante.
Elle était là, à portée ! J’en avais tellement envie ! Tout mon corps exigeait que j’aille mordre dedans !
Rodrigo, le pénis courbe au gland pointu déjà dressé contre son ventre, regardait fixement dans ma direction, les yeux brillants.
« Il est aussi affamé que moi ! » Pensais-je bêtement.
Je réalisais que, chez ce mâle, l’impérieux besoin de monter une femelle était aussi puissant que le mien, de mordre à pleines dents dans la viande rôtie !
Chacun avait ce que l’autre désirait le plus. C’était la base même des échanges entre les peuples et des ententes cordiales. L’idée de conclure un marché me vint tout naturellement.
Aussitôt, je fus assaillie d’objections morales venant de mon autre vie, celle que j’avais avant de faire naufrage sur cette île déserte.N’avais-je pas été violée contre mon mari par un domestique efféminé et perdu ma précieuse virginité ! Que pouvait-il m’arriver de pire ?
Déterminée à satisfaire mon désir de viande, je fis le vide dans mon esprit et agitais une main vers Rodrigo. Il hésita, découpa un morceau de viande qu’il enveloppa dans une feuille de palme puis marcha vers moi.
Le souffle court, je l’entraînais dans la petite clairière herbeuse que j’avais traversée en venant. L’homme s’arrêta à la lisière et tendit la viande vers moi en me regardant intensément. Sans dire un mot, je laissais tomber mon habit de feuilles et saisis ce qu’il m’offrait en hochant la tête avec conviction.
Le marché était conclu !
Je plantais aussitôt les dents dans la chair grillée. La graisse coula sur mon menton. Je fermais les yeux et me concentrais sur ce moment d’intense satisfaction. J’avalais avec délectation, sans presque mâcher.
D’une enjambée, le matelot passa derrière moi en riant comme un enfant. Il se positionna à genoux contre mes fesses.
— Fais-le dans mon derrière, s’il te plaît ! Je ne veux pas que tu me fasses un bébé !
Initiée par les doigts habiles de la douce Clara, la sodomie ne m’effrayait pas. De cette façon, je préservais l’essentiel de ma féminité. C’était un échange pas un rendez-vous amoureux.
— Tant mieux ! C’est ce que je préfère ! Il répondit.
Visiblement pressé de prendre son dû, il enduisit mon anus avec le gras de la viande puis guida son pénis contre mon œillet. Je frémis, mais ne me dérobais pas à exécuter ma part du contrat. Je me penchais en avant pour lui faciliter l’accès. Le gland pointu força le sphincter à s’ouvrir et entra en moi.
« Mon Dieu ! Qu’est-ce que j’étais en train de faire ! »
La honte me submergea, mais il était trop tard pour reculer. Le matelot enfonçait sa bite dans mes entrailles.
« Haut les cœurs ! »
Lorsqu’il fut bien installé, il s’activa, d’abord lentement, puis plus rapidement.
Si les premiers va-et-vient furent pénibles, la suite se révéla tout à fait supportable et me rappela les agréables sensations que les doigts de Clara me procuraient.
Le matelot me bourrait avec conviction. La queue glissait facilement et profondément.
C’était la deuxième fois que je cocufiais mon mari en quelques heures. Cette fois était plus animale qu’avec Fang. L’homme me montait comme un chien, sa chienne. Cette image saugrenue me fit frémir.
— Ooooh ! Je gémis.
Il me pilonna, encore et encore, donnant de grands coups de reins. C’était plus puissant et envahissant que les doigts fins de ma tendre amie. Un plaisir nerveux contracta mes entrailles. Instinctivement, je cambrais les reins pour que la bite s’enfonce plus profondément.
L’homme accéléra encore. C’était étonnamment jouissif. Ce qui me restait de dignité céda comme un barrage trop fragile sous la pression de l’eau.
— Ooooh ! Mon Diiieu !— Vous aimez être baisée par le cul, duchesse ?— Oooh ! Taisez-vous ! J’ai si honte !
Il me bourra encore une minute puis le corps du Philippin se tassa et trembla contre mes fesses. Il s’effondra sur moi en grognant. Je cédais sous son poids et m’écrasais sur l’herbe. Il m’immobilisa fermement et prit tout son temps pour se vider les bourses.
Mon cœur battait la chamade. Je haletais comme une chienne en chaleur alors que le sperme chaud inondait mes intestins.
Il se retira lentement. Son gland fit un « Pop ! » sonore en sortant de mon cul. C’était surréaliste et gênant.
Quelques minutes plus tard, assise nue sur l’herbe, je mâchais la dernière bouchée de viande face au Philippin dont le visage affichait un air de vainqueur.
— Promets-moi que tu ne diras rien aux autres. Ce sera notre secret.— D’accord ! Répondit-il en me caressant les seins avec un sourire satisfait.
Mon costume végétal en ruine à la main, je marchais nue vers la plage, la raie des fesses souillée de sperme gluant.
Je m’accroupis dans l’eau fraîche, me nettoyais l’anus et fis pipi.
J’avais quelques remords, mais pas de regrets. La morale est une notion très relative lorsqu’il faut survivre sur une île déserte. Inquiète à l’idée que mon mari s’aperçoive de quelque chose, je pris le chemin de l’abri.
Au détour d’une dune, je découvris une scène si invraisemblable que je mis quelques secondes à discerner le sens de ce que je voyais. Edouard, à genoux, tenant fermement les fesses musclées de Fang, suçait son pénis avec entrain.
— Mais.. Mais qu’est-ce que vous faites ?
Surpris, mon mari sursauta et tomba en arrière, sur le sable.
— Darling ! Euh.. Je.. Vous êtes là ? Il bégaya, la mine affolée et contrite.
J’étais abasourdie. Fang, le pénis, luisant de bave, dressé à l’horizontale, me regardait en souriant comme si tout cela était naturel. Je reportais mon attention sur mon mari qui ne trouvait pas ses mots.
— Oooh ! Qu’est-ce que j’ai été idiote ! C’était tellement évident !
Réalisant soudain l’absurdité de ce mariage, les larmes me montèrent aux yeux. Jetant l’habit de feuilles, je partis en courant, me réfugier dans l’abri.
Edouard me rejoignit un quart d’heure plus tard avec quelques débris de pulpe de noix de coco. Il s’assit, tout penaud, à côté de moi et me les offrit. J’avais repris mon sang-froid et réfléchi à la situation.
Voir son mari sucer le pénis du domestique qui m’avait dépucelée était perturbant. De mon côté, je venais juste d’échanger mon cul contre un morceau de viande. Je n’étais plus tout à fait une oie blanche.
— Je comprends votre déception, darling. Je suis vraiment désolé. J’aurai dû tout vous dire, plaida t-il.— Mais pourquoi m’avez-vous épousée ? Demandais-je, calmement.— Maman veut un héritier plus que tout, et puis, la pression sociale, les apparences… Vous connaissez notre monde aussi bien que moi, ma chère.— J’ai vraiment cru que vous m’aimiez.— Mais je vous aime… À ma façon. Vous êtes belle, racée, intelligente et cultivée. Vous êtes la seule femme dont j’apprécie la présence et la conversation. Sinon, je vous donne ma parole que nous n’aurions pas convolé.
Je saisis le plus petit bout de pulpe blanche entre le pouce et l’index, et le portais à ma bouche.
— Et Fang ? Il est comme vous ?— Ce n’est pas la même culture ! Dans son pays, personne n’est choqué lorsqu’un jeune homme rend service à un homme mûr en échange d’une protection. C’est un peu comme à l’époque de la Grèce antique. Ce pauvre Capitaine l’avait pris en affection et assurait son éducation.— Le capitaine aussi ! M’exclamais-je, surprise par cette nouvelle révélation.
Edouard rougit et baissa les yeux.
— Écoutez, Edouard ! C’est un miracle que nous soyons encore en vie. Vous êtes ce que vous êtes et il serait du dernier ridicule de vous faire la morale alors que nous sommes dans une situation plus que précaire.
Il me regarda avec surprise.
— J’avoue que votre largesse d’esprit me surprend, darling.— Disons que j’ai élargi mon horizon et que je ne vois plus les choses de la même façon. Les épreuves m’ont mûrie, je suppose. Je répondis en baissant les yeux.
Edouard parut soulagé d’un poids. Nous sortîmes de l’abri main dans la main sous les yeux de Fang, ravi de nous voir réconciliés.
Je n’avais plus de raison de jouer à l’épouse modèle. Je m’allongeais nue sur le sable. Mon mari me regarda avec des yeux ébahis.
— Mais darling ! Fang voit tout ! Protesta Edouard en faisant les gros yeux.— J’ai cru comprendre qu’il faisait pratiquement partie de la famille, non ? Je m’insurgeais, déterminée à défendre ma part de liberté.
Il ouvrit la bouche pour rétorquer puis renonça, se contentant de secouer la tête en prenant un air abattu, comme si j’étais devenue folle. Contrariée, j’insistais.
— Ne soyez pas si conventionnel, my Lord ! Je ne vais pas passer mes journées à porter ces feuilles qui me démangent sous prétexte d’épargner la pudeur de votre petit ami !— Regardez dans quel état, vous mettez ce garçon ! Protesta encore Edouard.Effectivement, le pénis de Fang se dressait à la verticale sur ses bourses rondes aussi dépourvues de poils que le reste de son corps, excepté un peu de duvet sur son pubis.
— Oh ! Le pauvre petit bonhomme ! Dis-je, d’un ton sarcastique.— Vous devenez cynique et cruelle, maintenant ! Lança t-il, avec colère.
Je n’avais aucune intention de me contraindre après avoir vu mon mari sucer le pénis de mon amant.
— Vous ne voudriez pas que je le calme en vous imitant ? C’est votre mignon, pas le mien ! Je répondis avec une provocante désinvolture.
Le duc le prit de haut.
— Vierge et salope ! Vous l’excitez en vous exhibant comme une putain, mais vous ne sauriez pas comment vous y prendre pour le satisfaire ! Me lança rageusement mon jaloux de mari.
Il sembla regretter aussitôt ce qu’il venait de dire, car il s’arrêta net et porta une main à sa bouche.
— Excusez-moi, darling. Dit-il, penaud. Vous me faites perdre mon sang-froid.
L’insulte m’avait fouetté le sang. Elle était plus méritée qu’il ne l’imaginait, mais je ne rompis pas. Je le regardais droit dans les yeux.
— Vous êtes mon seigneur et maître. Ma virginité vous appartient, my Lord. Si vous n’en voulez pas, donnez-la à qui vous voulez ! Dis-je, froidement.
Edouard me fixa d’un drôle d’air puis, sans me quitter des yeux, adressa un signe au jeune homme qui s’approcha timidement en tentant maladroitement de cacher son érection avec ses mains.
— J’aimerais bien voir ça ! Écartez donc les cuisses, ma chère ! Voyons si vous êtes aussi soumise à votre mari que vous le prétendez.
Il ne pouvait pas imaginer à quel point son injonction m’excitait.
— Je ne me déroberai pas. Comme je vous l’ai dit, vous êtes mon seigneur et maître ! Que votre volonté soit faite !
Ma voix était rauque d’un désir mal dissimulé. Je relevais les genoux et ouvris lentement les cuisses, offrant avec perversité, ma vulve humide à la vue du garçon,
Fang, bite droite à la main, regarda Edouard d’un air effaré. Mon mari fit un signe de tête.
— Et bien, vas-y ! Puisqu’elle t’excite tant que ça, baise-la ! Tu sais comment faire au moins ?
Fang s’allongea sur moi avec précaution comme s’il craignait de me briser, comme si c’était notre première fois, comme devait le croire mon mari. J’admirais sa faculté de s’adapter à la situation et de donner le change. Je savais, moi, quel amant fougueux et autoritaire, il était.
Il tourna la tête vers mon mari pour s’assurer une fois de plus de son accord.
— Fourre-là donc, idiot !
Je jouais l’indifférente, mais le sang bouillonnait dans mes veines.
Fang était si dur et moi si trempée de mouille et de sperme, que sa bite s’enfonça d’un coup jusqu’au fond de mon ventre. Je poussais un cri perçant pour officialiser mon dépucelage aux yeux de mon mari.
Intéressé par la chose, Edouard se mit à genoux pour mieux voir le phallus de son giton aller et venir frénétiquement dans ma chatte.
Mon clitoris, gonflé et sensible, écrasé à chaque coup de reins par le pubis de mon amant, me délivrait d’agréables sensations. J’étais excitée par la curiosité perverse de mon mari d’autant que ce qu’il prenait pour une punition, effaçait la culpabilité de mon abandon ancillaire et adultérin de la nuit dernière.
Fang accéléra. Il allait jouir. Cette fois, je me montrais vigilante.
— Dites-lui de se retirer ! Je ne veux pas qu’il m’engrosse ! Je lançais à mon mari, tout en tentant de repousser le garçon qui se laissait aller de tout son poids.— Qu’il reste ! Cria mon mari, en pressant, avec ses deux mains, sur les fesses contractées de notre amant, dont la chaude semence remplit mon vagin pour la seconde fois.
Edouard se leva et contempla son œuvre avec un sourire satisfait. C’était Pygmalion admirant sa Galaté, outragée par ses soins.
— Pourquoi avoir fait ça, Edouard ? Je lui demandais, interloquée par son initiative. Il y a un grand risque que je me retrouve enceinte ! Je suis féconde.— Au moins, l’un de nous deux l’est, n’est-ce pas. Et puis, c’est bien pour cela que Maman nous a offert cette funeste croisière, n’est ce pas ! Elle sera contente et nous fichera enfin la paix.
Je restais interloquée. Les voies du sang bleu sont impénétrables.
Nous allâmes nous baigner dans le petit lagon. La question de ma nudité ne se posa plus.
La nouvelle orientation que prenait notre couple me satisfaisait. Nous n’avions jamais été si proches et si complices. Mes appétits rassasiés, allongée sous l’abri, je m’endormis bien au chaud entre mon mari et notre amant.
Fang me réveilla au milieu de la nuit en me caressant le ventre et les seins. Son dur pénis frottait ma raie culière. J’avais chaud dans le ventre.
« Pourquoi pas ? Une fois de plus, une fois de moins… »
Mais pas ici, contre mon mari ! Je voulais en profiter pleinement, cette fois !
Je me levais, saisis la main du garçon et l’entraînais vers la plage d’autant plus facilement qu’une grosse lune brillait dans le ciel nocturne.
Allongés sur le sable, nous nous sommes embrassés tendrement. Une chose en entraînant une autre, je lui apprenais à se servir de sa langue sur mon petit bouton et ma chatte, comme le faisait Clara. Il se montra avide d’apprendre et délicieusement persévérant.
Frémissante, je le remerciais du plaisir qu’il m’avait donné en prenant sa bite dans la bouche. Je suçais la tige comme j’avais vu mon mari le faire. Le premier jet chaud arrivant dans ma gorge, me surprit. J’avalais par réflexe. Le goût était étrange, ni salé, ni sucré, ni amer, plutôt fade. Je crachais tout ce qui arriva ensuite.
Fang était jeune et endurant. Il ne débanda pas. J’ouvris les cuisses et l’attirais sur mon ventre. Ce fut doux et agréable. Blottie dans ses bras, essoufflée et apaisée, je réalisais à quel point j’avais eu besoin d’être pénétrée par son membre viril.
Le lendemain, Edouard et son disciple s’éloignèrent à la recherche de nourriture.
J’avais une faim de louve ! Je repris le chemin du campement des matelots.
Rodrigo était allongé près du foyer. Un cochon sauvage à la chair dorée fumait sur la broche. Préférant rester hors du camp pour ne pas risquer tomber sur le gros Mongol et l’autre Philippin, je lui fis signe de la lisière. Il coupa un morceau de viande, l’enveloppa et vint me rejoindre, le pénis arqué vers le ciel.
— Bonjour duchesse ! Vous avez faim ?— Tu crois que je serais revenue sinon ! Je lui lançais, mi-figue, mi-raisin.
Il rit, content du bon moment qu’il allait passer avec moi.
Je me laissais caresser les fesses sur le chemin qui menait à la clairière herbeuse. J’avais honte d’être aussi excitée à la perspective de me faire sodomiser par le matelot.
Je mangeais tranquillement près de Rodrigo qui attendait patiemment le moment de passer à l’action. Les échanges fructueux étant basés sur la confiance, rassasiée, je me disposais à genoux et sans faire de manières, tendit mes fesses vers lui.
Lorsqu’il se colla contre moi, je cambrais les reins en frissonnant.
Je poussais un discret soupir d’aise et fermais les yeux lorsque la bite glissa profondément dans mon cul.
Rodrigo me bourrait avec régularité et j’avoue que j’y prenais un certain plaisir quand un craquement de bois sec m’alerta. Ouvrant les yeux, je découvris le sumo et l’autre matelot. Immobiles, ils me regardaient, leur bite dressée devant leur ventre.
Depuis combien de temps étaient-ils là ?
La honte d’être surprise dans cette position humiliante, me bouleversa. Je tentais de me libérer, mais Rodrigo affermit sa prise. Pire, il me souleva, fit passer mes jambes devant moi et écarta mes cuisses avec ses mains, tout en continuant à me sodomiser sans répit.
Ma vulve humide était crûment exposé à la vue du cuisinier et de son acolyte, ainsi que mon anus, transpercé par le membre viril en action.
— Ooooh, mon Dieu ! Ne regardez pas, s’il vous plaît !— On dirait que la duchesse aime notre cuisine ! Qu’est-ce que t’en pense, Honesto ? Lança le sumo avec ironie.— J’en pense qu’il serait juste qu’elle nous donne notre part.— Et qu’est-ce qu’en pense sa Grâce ? Demanda Masaru d’un air faussement bonhomme, en caressant son énorme phallus.
Je gémis de honte et de peur. La certitude de me faire violer, tour à tour, par ces hommes vulgaires me révulsait, mais je n’étais pas en position de négocier.
Rodrigo accéléra et jouit dans mon cul. Ce fut sordide. Le plaisir s’était enfui avec l’arrivée des deux hommes. Lorsqu’il se retira en faisant le même « Pop ! » que la veille, je me recroquevillais sur l’herbe, honteuse et résignée à payer ma dette augmentée de juteux intérêts.
Diffuse en direct !
Regarder son live