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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Immoral

Chapitre 1

Hétéro
Salut, je dois dire que j’ai un peu honte de raconter cette histoire, et je ne sais pas si vous la publierez !
Voilà, j’étais allé rendre visite à ma soeur, comme souvent, et nous sommes allés nous balader en forêt. Malheureusement, nous avons été surpris par la pluie et sommes rentrés en courant et trempés. Je me suis assis devant la cheminée, pour me réchauffer et ma soeur est monté se changer dans la salle de bains. Elle est redescendu aussitôt car il faisait trop froid dans la salle de bain, elle a donc décidé de se changer devant la cheminée. Elle est venue près de moi et a commencé à s’essuyer. Moi, je regardais la télé sans préter attention à ce qu’elle faisait. Puis, elle a du se pencher pour attrapper sa serviette, et là, je l’ai vu ; ses seins nus et fermes dont les tetons se dressaient légèrement, ses belles hanches, ses épaules sur lesquelles tombaient ses cheveux mouillés. Je ne l’avais jamais vu autrement que comme ma soeur, et je me retrouvais soudain à l’admirer en sentant naître une érection que je ne pouvais empêcher. Je voyais la serviette frotter ses seins, doucement, ils roulaient entre ses mains alors que mon érection devenait de plus en plus forte. Elle m’a sourit et m’a dit ’ Qu’est ce qu’il t’arrive ? ’ Je revenais soudain à la réalité et réalisais que j’étais en train de désirer ma propre soeur. Je m’efforcais de me concentrer sur la télé, mais mes pensées me ramenaient sur elle: Nadège, ma soeur de 45 ans, mariée, deux enfants que j’ai toujours considéré comme ma meilleure amie, jamais comme une femme aussi exitante avec des seins magnifiques et fermes, des jambes superbes et ses yeux...! N’y tenant plus, je me retournais à nouveau vers elle: elle avait posé une jambe sur le rebord de la cheminée, tout près de moi. elle essuyait sa jambe et sa jupe se relevait petit à petit. La peau de sa jambe était à peine à quelques centimètres de ma bouche. Penchée, je pouvais voir ses seins bouger au rythme de ses gestes. Elle ne faisait pas du tout attention à moi, trouvant la situation très naturelle .Je ne pouvais plus décrocher mon regard de ce spectacle. L’atmosphère était bizarre ce jour-là .Elle m’a sourit de nouveau et m’a dit ’ dis donc, tu ferais mieux de regarder la télé ! au lieu de te rincer l’oeil ! ’ son sourire a achevé de me troubler, et j’ai totalement oublié qu’elle était ma soeur. Je lui ai pris la serviette des mains en disant ’ laisse, je vais t’aider ’ Je commencais alors à l’essuyer, très lentement, et à chacun de mes mouvements je faisais remonter sa jupe. mon regard allais de ses cuisses à ses seins puis a son visage. Ses cuisses s’écartaient un plus et je pouvais très bien voir son slip. ’ Qu’est ce que tu fais ? ’ son sourire avait disparu, mais elle me troublais toujours autant. Elle baissa son regard vers mon pantalon de survet et, comme je n’avais rien en dessous, elle n’a pas eu de mal à comprendre l’effet qu’elle me faisait tant mon érection était forte. ’ N’oublies pas que je suis ta soeur ! ’ la serviette avait glissé et c’étaient maintenant mes mains qui frôlaient la peau douce de ses cuisses. sa jupe était presque tout à fait retroussée et mes doigts glissaient dessous, sur ces fesses rondes, fermes et si douces. ’ Ne fais pas ca. Il ne faut pas ! ’ Je n’entendais plus. Ma joue frôlait maintenant ses cuisses, mes lèvres se délectaient de la peau sucrée et de la chaleur qui provenait de son slip. ’Non, arretes ! ’ J’écartais son slip et voyais sa belle toison déjà toute humide. Je savais que plus rien ne pourrais m’arreter, maintenant , et j’enfournais ma langue entre les lèvres de son sexe. J’aimais la sentir mouiller ! je la buvais carrément alors qu’elle n’arretait pas de répéter mon prénom en me disant d’arreter. Je sucais son clito avec un appétit féroce, pendant que mes mains écartaient ses fesses et que mes doigts s’enfoncaient dans son anus. Elle répètait toujours mon prénom, mais sa voix était plus douce et plus sacadée. Mon visage, blotti entre ses cuisses, était ruisselant de son plaisir. Je n’en pouvais plus ! j’avais l’impression que mon sexe allait exploser. je me relevais et plongeais mon regard dans ses yeux brillants de plaisir. Elle me dit une nouvelle fois d’arreter, me rapellant qu’elle était ma soeur. Mon sexe dressé frottait sur le sien au travers de mon survetement. Je passais derrière elle et posais mes mains sur ses seins dont les tétons étaient durs. Ils se sont mis a durcir encore alors que je les faisais rouler entre mes doigts. Sa respiration était devenue très sacadée et sa tète tomba sur mon épaule. Je l’embrassais tendrement derrière ses lobes d’oreilles, dans son cou. Je sentis alors sa main glisser dans le pantalon de mon survet et ses doigts saisr mon sexe. Elle commencait a me masturber pendant que je carressais ses seins et son sexe. Ma bite glissait maintenat entre ses cuisses. doucement, elles s’entrouvraient. Puis elle posa une jambe sur le rebord de la cheminée et mon gland commenca a rentrer dans son anus. tout doucement, centimètre par centimètre. Je la sentais respirer de plus en plus vite, ses lèvres pincées, pour se retenir encore. Alors je la pénètrais tout à fait, d’un coup qui lui arrachais un cri. j’accèlérais mon va et vient alors qu’une de mes mains s’agrippait à ses seins et que l’autre écartait les lèvres de sa chatte. Elle relevait ses jambes et se penchait pour que je puisse m’enfoncer encore davantage. Ma bite entrait toute entière dans son cul. Elle poussait des râles de plus en plus fort. Je l’agrippais par les hanches et accélérais encore le mouvement. J’étais tellement exité que je ne pouvais plus retenir mon sperme plus longtemps. Mon jus giclait entre ses fesses, sur ses hanches. D’un mouvement, elle se retournait et se mit a genoux devant moi. Sa langue nettoyait le sperme qui coulait de mon sexe. Elle sucait mon gland pour ne pas perdre une goutte. Puis elle pris ma queue a pleine mains et se mit a me sucer gouluement. Je sentais mon sexe rouler sous sa langue, puis s’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge. Elle me sucait si fort que j’ai eu l’impression que ma bite allait imploser. Mes râles devenant de plus en plus fort, elle comprit que j’allais jouir une nouvelle fois. Alors elle se releva en me souriant ’ Doucement, petit frère. Pas encore... ’. Elle s’assit sur le canapé en me faisant signe d’approcher. Elle pris ma bite dans ses mains et m’attira vers elle. Je me retrouvais a califourchon sur elle et elle glissait ma queue entre ses deux seins superbes, gonflés et durs. Elle pressait ses seins sur mon sexe et je commencait a le faire glisser vers sa bouche. A chaque fois que ma bite s’approchait de sa bouche, je sentais sa langue carresser mon gland devenu hyper sensible. J’adorais sentir la peau de ses seins sur celle de mon sexe ! Elle me sourit et me dit ’ Maintenant , vas-y ! ’. J’accélèrais le mouvement jusqu’à ce que je jouisse à nouveau et que mon sperme aille gicler sur sa figure, ses seins, sa poitrine, ses cheveux. Elle étalait mon jus sur son corps puis se léchait les doigts. Comme elle écartait ses jambes, je ne pu m’empécher d’approcher mon sexe ’ Oui, prends-moi...Fais moi encore jouir... ’ A ce moment, je suis revenu à moi une fraction de seconde et je réalisais que je m’apprètais à baiser ma propre soeur, mais ses mains guidaient déjà ma queue vers son minou humide et mon désir repris le dessus: je me laissais guidé et la pénétrais d’un coup. Ses jambes venaient bloquer mes hanches comme pour ne pas me laisser ressortir. Mais mon intention était toute autre alors que ma langue lèchait ses seins encore imprégnés de mon sperme. Elle ne me disait plus d’arreter, maintenant, mais au contraire d’aller plus vite, plus profond. Je m’exècutais avec joie en mordillant ses tétons devenus extrèment durs. Elle remonta ses jambes et posa ses talons sur mes épaules, s’ouvrant totalement. Je la pénètrais entièrement et chaque fois que mes bourses venaient heurter sa chatte, elle poussait un cri qui m’exitait encore davantage. Finalement un flot de sperme jaillit de mon sexe alors que mon cri de plaisir se mêlait au sien.
Nous sommes restés un long moment comme ca, l’un dans l’autre, puis nous sommmes relevés. Une fois rhabillés, nous nous sommes longuement embrassés; elle m’a dit qu’elle avait rarement été aussi exitée puis m’a fait promettre de ne plus recommencer. Mais quelques temps après, c’est elle qui est venu me retrouver sous la douche et là..... Mais ceci est une autre histoire !
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