Chapitre 1 Christine, 43 ans, la mère de Marc.Marc, 18 ans, le fils de Christine.Jeanne, 51 ans, amie de Christine et mère de François, 21 ans et l’épouse de jean. Christine est venue rendre visite à sa meilleure amie Jeanne : « Jeanne, comment vas-tu ? ‒ Oh Christine, ça fait plaisir de te voir ! » Les deux femmes s’installèrent dans le salon, Jeanne lui sert un thé. « Alors, Christine, depuis la dernière fois, quelles sont les nouvelles ? Ton fils va bien ?‒ Oui, tout va bien, Marc va sur ses 19 ans, il continue toujours ses études !‒ 19 ans déjà ! Ça passe vite, quand même ! Et Gérard, il a revu son père, au moins ?‒ Non, lui, il n’est jamais revenu et d’ailleurs, il ne manque pas à Marc, il ne veut pas lui parler, mais toi, ton mari, ça va ?‒ Oh ben, c’est toujours sur les routes en se moment, il a beaucoup de travail !‒ Il doit manquer à son fils ?‒ Oh, je ne crois pas, non !‒ Qu’est-ce qu’il y a ?‒ François ne parle plus ces dernier temps, il nous semblait bizarre, on a donc voulu le questionner, avec Jean on se posait des questions. Puis il nous a tout raconté... !‒ Il se drogue ?‒ Non..., il..., il est homosexuel !‒ Oh mon dieu, ma pauvre !
‒ Hé oui, Jean s’est engueulé avec François et il est parti vivre avec son mec, ça fait un mois, maintenant, je n’ai plus de nouvelles et c’est dur !‒ Je suis vraiment désolée !‒ T’inquiète pas..., et ton fils, lui, ça doit courir avec les nanas, non ?‒ Euh, ben non, d’ailleurs, je ne l’ai jamais vu avec une fille ! ‒ À 19 ans, tu ne l’as jamais vu avec une femme ! François avait déjà ramené une femme à la maison, même si depuis il a changé de bord !‒ Oui, c’est vrai que ça m’inquiète !‒ Attends, le téléphone sonne, je reviens ! » Pendant que Jeanne parle au téléphone, Christine est prise d’une certaine inquiétude.Elle ne peut pas s’empêcher de faire un rapprochement entre Marc et l’homosexualité de François. « Voilà, c’était Jean, il va arriver, il te passe le bonjour !‒ ....... !‒ Hou, ça te tracasse ce que je t’ai demandé tout à l’heure ?‒ Mais..., imagine-toi que..., enfin...‒ Que Marc soit pédé, c’est ça ? Tu sais, Christine, ton fils est peut-être timide, voilà tout !‒ Oui, mais quand-même, c’est moi qui fait sa chambre et je n’ai jamais réussi à trouver une seule revue porno..., comme tous les jeunes de son âge ! Je ne l’ai jamais vu avec une femme !‒ Ça veut rien dire !‒ Jeanne, je n’ai plus que mon fils et je ne veux pas le voir finir homo, désolée, j’aimerais juste savoir si il aime les femmes ou non !‒ Ben, je sais pas, parle-lui s’en !‒ Ah non, pas ça, imagine-toi qu’il le prenne mal !‒ Engage une pute ! Ahahah !‒ Jeanne, voyons, je suis sérieuse !‒ Alors, il va falloir vérifier par toi-même, je ne vois que ça !‒ Comment ça, par moi-même ? ‒ C’est simple, il va falloir que tu le dragues pour voir s’il s’ intéresse aux femmes !‒ Quoi ! Mais ça va pas ? Draguer mon fils, mais tu t’imagines ?‒ Pas draguer ouvertement, c’est sûr, mais essaye de faire en sorte de lui plaire..., du style, le laisser voir tes cuisses, avoir un joli décolleté…, si ton fils te regarde comme un pervers, tu seras fixée et tu arrêtes tout le manège, voilà tout !‒ Ah oui, pourquoi pas, tu as raison, je mettrai en pratique ceci dès ce soir, je serai fixée comme ça ! » Leur discussion dérive sur autre chose et c’est en faisant la bise à Jean, rentré du boulot, que Christine rentre chez elle.À la maison, elle finit le peu de ménage qui lui reste à faire, on est vendredi et il est bientôt l’heure d’aller chercher Marc à la gare.Elle se remémore ce que lui a conseillé Jeanne.Elle file dans sa chambre, se déshabille, c’est complètement nue qu’elle se regarde dans la glace.Christine, cette brune aux cheveux mi longs, avec des yeux marron, avec un physique en peu arrondi avec l’âge.Elle a de larges fesses bien pleines qui, malgré l’âge, n’ont pas une ride.Mais, c’est surtout ses seins qui ont toujours attiré le regard des autres.Des gros seins lourds, dont le tour de poitrine est de 100 c, tout ceci finit avec de larges aréoles et de gros tétons qui pointent vers l’avant.Même habillée large, ses énormes seins ne peuvent pas passer inaperçus.Christine a fait son choix sur sa tenue vestimentaire.Elle portera une jupe de couleur rouge qui lui serre ses grosses fesses.En dessous, elle s’enfile une paire de bas dim up de couleur chair et un string rose à dentelle.En haut, un soutien-gorge en dentelle rose qui, malgré la taille, a du mal à contenir ses énormes appâts.Puis, une chemise blanche qui donne l’impression qu’elle va craquer sous la pression de ses nibards.Elle descend, se coiffe, se parfume et file au garage. En passant, elle se chausse de ses bottes en cuir à talons noirs et part chercher son fils.À la gare, Marc l’attend, il pleut beaucoup. Christine le klaxonne et son fils court vers la voiture.Pendant qu’il met son sac dans le coffre, Christine se rajuste sur son siège en faisant remonter sa jupe à la limite du convenable pour laisser voir un petit peu la lisière de ses bas.Marc rentre dans la voiture et fait un bisou à sa mère.Pendant la route, Marc parle de sa semaine.Pendant que sa mère parle, Marc regarde vers elle et est bloqué sur la nudité des cuisses de celle-ci.Christine n’apercevant pas son regard sur elle, elle se pose la question de savoir si elle doit aller plus loin.Voulant à tout prix savoir si les femmes intéressent Marc, elle fait mine d’écarter ses jambes, ce qui évidemment fait remonter sa jupe trop serrée.Le tissu remonte très haut, laissant voir entièrement la lisière de ses bas et son entrejambe.Marc n’en perd pas une miette, il peut voir le string en dentelle de sa mère avec les poils pubiens qui dépassent sur les côtés.Christine regarde son fils à ce moment-là et elle peut surprendre Marc en train de fixer son entrejambe, la bouche grande ouverte.Rassurée, elle essaye de lui parler, mais Marc ne change pas son regard, ce qui met Christine mal à l’aise. Ayant la jupe trop serrée, elle ne peut la rajuster. La vieille route de campagne ponctuée de trous fait des petites secousses à la voiture.Le frottement de la ceinture et le siège derrière elle font remonter la jupe juste au-dessus de ses larges hanches, laissant ainsi constater à son fils que c’est bien un string que sa mère porte.Arrivés à la maison, Christine, rouge de honte, sort vite de la voiture, la jupe remonte laissant voir ses grosses fesses nues séparées seulement par son string.Elle la rajuste rapidement.Durant la soirée, Marc range ses affaires. Ils mangent ensemble, puis crevé, il fait un bisou à sa mère et part se coucher.Christine, très satisfaite, en profite pour appeler Jeanne. « Allô, Jeanne ? Oui, c’est moi, je t’appelle par rapport à ce que tu m’as conseillé… » Pendant ce temps, Marc, dans sa chambre, se remémore la scène dans la voiture, il bande comme un fou.Il se calme quand il entend sa mère parler au téléphone et citer son prénom.Curieux, il sort de sa chambre et écoute la conversation. « Oui, je l’ai vu, si, il a regardé mes jambes, j’étais pas sûre au début, donc j’ai écarté encore plus les cuisses, il pouvait même voir mon string…, j’étais gênée, mais ça en valait le coup.Maintenant, je suis rassurée, je sais qu’il est attiré par les femmes ! » Marc reste bouche bée, il écoute sa mère et n’en croit pas ses oreilles.Le fait que sa mère l’ait fait exprès, le fait bander de nouveau et c’est en se caressant le sexe qu’il finit d’écouter la discussion.Christine raccroche et file dans sa chambre.Marc, sans un bruit, retourne dans la sienne.Il se pose dos à la porte en regardant le plafond, la bite à la main.Il réfléchit à voix haute, tout en se branlant : « Alors, comme ça, tu l’as fait exprès, hein ?--T’as voulu m’exciter pour savoir si j’étais pédé, j’y crois pas !--Toi ma mère..., ma mère aux gros nibards, qui m’a toujours excité, mais que j’ai jamais voulu faire quoi que ce soit, ni même posé un regard !--Tu n’aurais jamais dû jouer à ce jeu... !--Ça va être à moi de jouer maintenant !! » Marc éjacule sur le la moquette, regardant toujours le plafond, le sourire mesquin : « Je vais te montrer que je suis pas un homo, maman ! »
