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Inceste, la réalité est encore mieux que le rêve.

Chapitre 8

Inceste
JEUX INTERDITS, FANTASMES INAVOUES

Résumé des épisodes précédents: Michel et Claudine ont sauté le pas.Il l’a un peu forcée au début mais maintenant qu’elle a connu l’extase avec son fils, elle en redemande.La meilleure amie de Claudine, Patricia, a réussit la promesse qu’elle s’était faite, se faire sauter par l’énorme vit de Michel. Mais son fils les a surpris en pleine copulation et ça a fini un peu plus tard à trois.Michel s’est occupé de la mère et du fils trop content, c’est un homo et il a toujours été attiré par Michel mais n’avait jamais osé avec lui car c’est un copain d’enfance.
Chapitre 11 : Patricia, Claudine et Michel. La suite.

Il a sous son regard sa chatte. Une merveille ! Bien charnue avec des grandes lèvres épaisses et proéminentes séparant son sexe en deux quartiers d’orange sanguine, les petites lèvres sont roses et luisantes ouvertes sur sa grotte humide et sombre, il examine son clitoris de bonne taille, qui durcit comme un petit pénis.Elle offre sa vulve devant la bouche de son fils qui est assez ignorant de ce qu’elle attend de lui. Comprenant son hésitation, elle écarte avec ses deux mains sa vulve et vient l’appuyer sur les lèvres de Michel qui comprend soudain ce qu’elle désire. Maladroitement, il embrasse la chair tendre qu’il sent sur ses lèvres, puis s’enhardissant, il lèche l’intérieur du vagin, enfouissant sa langue dans les replis des grandes lèvres, arrachant un gémissement bref à sa mère.
— Oui ! Continue, lèche-moi, mordille un peu, mais vas-y doucement.Sous ses encouragements, il ne se fait pas prier, excité par les chairs qui s’offrent à lui, le vagin laisse suinter sa cyprine odorante et elle gémit de plus en plus quand il mordille doucement les grandes lèvres et le capuchon du clitoris le plus délicatement possible.Elle a des soubresauts, de plus en plus saccadés aux caresses linguales qui deviennent, de plus en plus adroites.Soudain il change de place pour cette fois-ci découvrir la vulve bombée de Patricia, sa fente est minuscule par rapport à celle de sa mère, à peine plus de la moitié, les grandes lèvres sont serrées ne laissant rien voir de son fourreau et il faut qu’il écarte son abricot de ses mains pour découvrir cet antre minuscule qui a avalé sa pine il y a quelques jours.Le sexe de la femme est heureusement très élastique, il titille son clitoris la faisant gigoter et s’ouvrir sous ses caresses puis entre deux doigts entre les grandes lèvres.
De son autre main, il enfonce deux doigts dans le vagin trempée de sa mère, un mouvement rapide de va et vient anime ses mains dans ces deux chattes si différentes.Il sent un liquide chaud poisser ses doigts et couler sur ses mains. Elles gémissent de concert. Patricia s’est saisit de sa main pour s’en servir comme d’un gode obligeant ses doigts à entrer le plus profondément possible dans son vagin et à entreprendre des allers-retours de plus en plus rapides. Patricia commente tout haut ce que lui fait subir Michel qui a collé sa bouche sur la chatte offerte.

-Oouuiiii ! Goûte-moi, avale-moi… c’est si bon. N’arrête pas ! Continue, lèche-moi à fond, fais-moi couler ! Ta langue me lèche toute la chatte sans en oublier un recoin! Elle écarte encore plus les cuisses pour que sa tête puisse aller encore plus prêt, donnant un coup de bassin pour venir encore plus à sa rencontre.  La queue de Michel est redevenue toute raide depuis déjà un moment. Mais à défaut de sa queue, il se serre de ses doigts qui les fouillent avec agilité et font des va-et-vient tantôt rapides, tantôt lents. Elles sont au bord de la jouissance ! Mais, juste avant qu’elles n’y arrivent, il retire ses doigts. Claudine écarte impudiquement ses cuisses et supplie Michel de revenir à la charge.
-Allez ! Maman a très envie que tu lui lèches la chatte, oh si j’avais su que tu savais si bien le faire je te l’aurais demandé bien plus tôt !Michel change de sexe et se remet aussitôt à l’ouvrage excité par les paroles d’encouragement de sa mère.
-Oui, c’est ça, plus fort, suce-moi le clito, bois ma mouille, bouffe-moi la chatte, embrasse-la, lèche-la, bouffe-la, tu sais y faire, mon bébé, haaaaaa, haaaaaaaaaaaaa. !Il passe de plus en plus rapidement de l’une à l’autre, s’enfonçant le plus profondément possible entre leurs cuisses interrompant ses manœuvres quand il les sent prêtes à jouir.Elles n’en peuvent plus, halètent comme des bébés. Il sent tous leurs muscles tendus à l’extrême ; elles vont jouir.Il lèche, mord, suce encore si bien que sa mère a de multiples orgasmes presque ininterrompus sous l’effet de sa langue agile et insatiable. Dans un long râle profond elle déverse dans sa bouche un liquide abondant et chaud.Il repasse entre les cuisses de Patricia et en quelques coups de langues adroits déclenche à nouveau un geyser de cyprine.Il avait beau s’y attendre et avoir reculé vivement la tête, les jets d’une incroyable puissance lui noient le visage avant de s’élever dans les airs et de lui retomber dans le dos et couler sur ses fesses avant de finir au sol. Les deux femmes sont exsangues sur le lit et ne réagissent plus. Elles ont joui comme jamais.Fier du devoir accompli il se relève, épuisé, la bouche et la gorge rassasié, maculé de leurs jus mêlés. Mais les deux amantes en veulent plus. Elles se relèvent, se regardent d’un air complice, attirent Michel à son tour sur le lit et l’étendent sur le dos.
Patricia se met entre ses jambes et prend ses couilles à pleine bouche tenant son engin d’une main. Sa tête remonte jusqu’au gland qu’elle agace avec sa langue. Sa main monte et descend sur la hampe pour la rendre bien dur pendant qu’elle suce son gland. Il se laisse faire. Elle passe plusieurs fois le monumental gland sur ses lèvres et commence à le sucer, à l’enfoncer dans sa bouche, elle essaie comme une vraie malade d’en faire entrer le plus possible. Mais il y en a trop. Elle sent qu’il durcit encore, il a l’air d’apprécier. Elle l’enfonce dans sa gueule grande ouverte, en le branlant vigoureusement pendant que son autre main palpe son lourd paquet de couilles.
-Quelle masse de bite et de couilles tu as ! On pourrait se goinfrer à plusieurs là-dessus tellement t’es énorme ! Lui murmure Claudine regardant la scène.Michel geint de plaisir. Patricia l’enjambe, tenant sa queue bien droite qu’elle frotte sur sa vulve, elle place sa chatte humide et incroyablement excitée au-dessus de la teub énorme, abaisse son bassin au-dessus de l’organe épais et s’empale dessus en poussant un haaann de plaisir, faisant jouer les muscles de sont vagin. Elle a passé une main dans son dos pour atteindre ses testicules et les malaxer.
-Oh putain, ma queue est prise dans un étau tellement ta chatte me serre, s’exclame Michel après le premier contact du gros gland avec sa vulve. Que c’est divin.
Il ne peut en dire plus, Claudine vient de se mettre face à Patricia et chevauche sa tête, écrasant sa vulve sur les lèvres de son fils. Il lui prend la chatte à pleine bouche ne s’occupant plus de Patricia en pleine séance de rodéo bien empalée sur son axe, elle ne peut pas interrompre sa chevauchée et reposer ses fesses sur les cuisses de Michel car elle n’arrive pas à l’introduire en totalité dans sa grotte d’amour.Les deux femmes en profitent pour se caresser et s’embrasser à pleine bouche et sur des paroles qu’il ne comprend pas, assourdies par le fessier imposant qu’il a sur le visage, les deux femmes inversent leur place.Michel sent la chatte de sa mère glisser le long de son phallus et ne s’arrêter que quand ses fesses écrase les burnes gonflées, Patricia comme à son habitude, est une vraie fontaine et noie la bouche sous un flot de cyprine.Plusieurs fois de suite elles échangent leur place, ménageant Michel pour qu’il tienne le plus longtemps possible.
Patricia n’en peut plus de la bouche qui la broute et une énième fois se met à califourchon sur la verge énorme, écarte le plus possible sa vulve et s’introduit le membre si imposant. Perdant toute prudence, elle s’assoit sur le gourdin, s’empalant sur la hampe épaisse qui repousse ses entrailles. Elle a perdu la raison et laisse l’engin dévaster ses muqueuses criant de douleur, mais elle ne veut plus essayer de se retirer, trop épuisée par ce qu’elle est en train d’accomplir. La queue de Michel pénètre inexorablement cette chair qui s’offre à lui, et soudain elle s’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur ce boutefeu qui envoie son foutre par saccades interminables au fond de sa grotte.
Elle hurle et sanglote d’un atroce mais merveilleux plaisir, son corps se contorsionne frénétiquement sur cet énorme pal. Son corps convulse, une jouissance phénoménale et continue de tout son corps supplicié par elle-même, jusqu’à l’évanouissement lâche des flots de cyprine qui se mélangent à l’abondante semence, et tel un lavement s’écoule entre leurs deux corps.Elle s’écroule pantelante contre le corps du jeune homme dans un gémissement à peine audible. Michel se retire avec difficulté de cette chatte qui telle une sangsue continue à compresser sa verge et étend sur le lit avec douceur Patricia qui s’est évanouie de bonheur.
Claudine est un peu déçue car elle va devoir attendre pour elle aussi connaître le 7ème ciel, mais elle comprend vite son erreur en voyant le bélier toujours dressé.Soudain, Michel l’attrape par les hanches et la soulève comme une poupée la reposant face à lui assit au bord du lit. Il écarte ses jambes de chaque côté des siennes. Lui suce les tétons avec passion. Il est devant elle, avec son pieu géant encore raide qui pointe en l’air. Elle ne peut détacher son regard de son gourdin totalement obnubilée par une seule chose, s’en emparer, le peser, le tâter, le branler, faire sortir cet énorme gland du prépuce, prendre sa queue de cheval dans ses mains, cette verge si énorme, si raide et frotter son sexe dur contre ses fesses.Puis Michel la soulève à nouveau, Patricia qui vient de reprendre ses esprits prévient Claudine.
— Fais attention, ma chère, il a une queue d’âne !Il éclate de rire.
Puis il fait redescendre lentement le corps de sa mère, l’empalant sur son énorme queue. Son corps se raidit sous l’envahissement de ce jonc titanesque, les parois vaginales se contractant autour de la formidable pine de son fils. Il ne cesse ses allers retours de son sexe toujours dur. Cela fait une espèce de bruit de succion obscène et humide, elle est étonnée qu’il n’ait pas débandé après ses deux jouissances rapprochées. Elle se sent chaude et mouillée à l’intérieur avant que sa chatte n’explose dans un formidable orgasme, faisant jaillir de la mouille autour de son mât massif.
Elle se colle contre sa poitrine, l’embrasse à pleine bouche, ses seins aux bouts très gros et très sensibles s’écrasent sur son torse. Claudine ressent toujours la présence de ce boutefeu en elle et essaie de le faire ressortir, avant de le remboîter bien en elle. Elle repense à mon mari, à son sexe ridicule comparé à celui de Michel qui se recroquevillait comme un escargot dans sa coquille après l’acte qui ne durait que quelques minutes.Elle contracte ses muscles vaginaux compressant son gland abouté au col de l’utérus à chaque pénétration. Il essaie de bouger, mais sa position le prive de la conduite de l’amour alors il la couche sur le côté lui soulevant une jambe et il entreprend un pilonnage dément la pénétrant en force. Il la baise mécaniquement à grands coups de reins, avec une régularité de métronome.
 Le troisième chargement de sperme jaillit hors de sa bite. Michel se répand à l’intérieur de sa mère, elle le sent gicler puissamment, inondant les profondeurs de sa grotte, son utérus est noyé sous un chargement chaud et libérateur de liquide séminal.Elle relâche ses muscles épuisés autour du manche juteux, l’aidant à se vider complètement les burnes jusqu’à la dernière goutte dans son ventre. Claudine n’a même plus le sentiment de culpabilité, ni honte ni dégoût ne viennent à son esprit depuis qu’elle a succombé pour la première fois son propre fils.Elle l’implorerait plutôt pour qu’il la tringle. Elle sera toujours prête à soulager son propre fils à chaque fois qu’il bande et que son énorme chibre cherche un sexe accueillant ……
Michel vient de se retirer de la chatte en feu qui se vide du surplus de sa semence.  Il débande enfin mais sa bite reste toujours aussi imposante même au repos. Il prend la parole.
-Les filles, vous m’avez vidé les burnes, si vous voulez encore jouer avec mon engin, il va falloir que je recharge un peu les accus et que je reprenne des forces. Voue êtes d’accord pour qu’on reprenne ça dans la soirée ?Les deux femmes se demandent comment elles vont pouvoir attendre jusqu’à ce soir pour goûter à nouveau au plaisir.
Et vous ? Vous aller pouvoir patienter pour savoir ce que vont subir ces deux couguars ?
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