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Inceste et zoophilie à la ferme

Chapitre 6

Zoophilie
Comme chaque soir, avant de m’endormir, je passe un bon moment à regarder par le trou du plancher de ma chambre, mes petites cousines dans leur chambre.Ce soir, les petites chahutent sur le lit, elles commencent par des chatouilles, la plus jeune, Sonia, qui est la plus coquine, et surtout la plus délurée, attrape Isabelle par le cou, et l’embrasse sur les lèvres en riant.Les deux sœurs, se regardent dans les yeux, leurs bouches se soudent, elles roulent sur le lit, ce n’est plus de la plaisanterie, je devine les langues qui s’entremêlent, les mains ne sont pas inactives, elles vont à la rencontre des jeunes et fermes poitrines, qui sont comme bien souvent nues sous leurs tee-shirt.Très vite, les sous-vêtements atterrissent sur le plancher, elles sont toutes deux en mini slip, pour l’une ajouré, pour l’autre entièrement transparent.Les bouches, puis les langues s’activent sur les nichons, en mordillant les tétons qui sont malmenés, les mignonnes poussent de petits cris aigus en se caressant.Les mains, caressent les cuisses qui s’écartent très vite pour laisser s’insérer les doigts qui se faufilent dans les petites culottes, pour venir s’échouer sur un endroit bien précis, les minettes, qui sont mises à rude épreuve.Les slips enlevés, les lèvres du vagin écartées, les doigts s’infiltrent dans les intimités, les petites cochonnes sont en transes, ce qui les fait transpirer abondamment.Elles se mettent en soixante neuf, les bouches se collent telles des ventouses sur les entre cuisses de ces grenouilles en chaleur.Elles adorent se mordiller le petit bouton, pendant que les doigts écartent les lèvres d’où perle une légère rosée, preuve que ces demoiselles, sont bien en train de s’envoyer en l’air.Les langues s’insèrent dans les profondeurs des vagins pour aller à la rencontre de leur jouissance, qui doit être abondante, les gamines transpirent et poussent des oh, des ah en s’encourageant par des mots assez crus.Les index, coulissent dans ces abricots bien ouverts et bien juteux, les petits trous sont également pénétrés, et écartés avec vigueur par des objets divers : bougies, cuillères en bois etc… qu’elles se servent pour s’exciter.Devant un tel spectacle, et sous l’emprise de ma main sur mon pénis, je ne suis pas bien long à exploser sur le plancher.
Brusquement, et contre tout attente, la porte de la chambre des coquines s’ouvre, c’est ma tante, qui vêtue d’une nuisette courte et transparente qui fait son entrée, sous son fin vêtement, elle est nue, elle a défait ses longs cheveux qui retombent sur ses épaules.Elle s’avance vers le lit, sans pour autant impressionner ses filles, qui poursuivent leurs masturbations assez bruyantes.Sous la parure de ma tante, je distingue un gode ceinture noir dont elle s’est parée, ce n’est pas vrai dis-je, elle vient pour embrocher ses filles avec ce gode aux dimensions qui sont assez imposantes.Elle s’avance vers la plus jeune Sonia, qui les fesses en l’air, offre une cible de choix, elle écarte les cuisses de la minette, fait coulisser son index dans cette chatte toute humide.La sentant prête à se faire mettre, elle positionne l’engin à l’entrée de la grotte de la femelle, et rentre lentement écartant au passage, les chairs intimes de la petite, qui sous la pénétration d’un tel morceau, ouvre la bouche, sans qu’un son n’en sorte.Cette belle femme, est entrain de fourrager, l’intimité de sa fille, qui apprécie cette baise, car son postérieur, se projette très vite au-devant de cette pique qui lui laboure son minou, qui coule de plaisir dans la bouche de sa sœur, qui se délecte de cette liqueur.Après l’avoir bien enfilée, elle se détache, fait positionner sa fille aînée Isabelle à quatre pattes, pour lui infliger semblable traitement.Après l’avoir bien fait se cambrer, elle lui écarte les cuisses, je vois son index disparaître dans la chatte de sa fille aînée, puis le faire coulisser dans son petit trou.Je suis stupéfait par ce que je vois, elle s’apprête maintenant à la sodomiser, surtout avec un tel calibre, elle va la déchirer, surtout que de ce côté, elle est encore assez étroite.Après l’avoir bien préparer, et avoir lubrifie la bête avec un gel, Caroline pointe la tige, sur l’œillet de sa fille qui ouvre grand ses fesses avec ses mains.Le gland s’insère avec peine dans l’étroit canal, Isabelle gesticule en criant, sous l’assaut du monstre, qui lentement en écartant les chairs sous la pression, se faufile puis disparaît dans les entrailles de ma cousine qui doit se sentir bien remplie avec un tel calibre.Une fois bien plantée dans ce petit cul, elle s’immobilise en claquant avec ses mains les fesses de sa partenaire qui rougissent rapidement.La prenant par les hanches, elle s’active par des allers retours, arrachant plusieurs cris à la belle, qui sont très vite remplacés par des plaintes de plaisir et des encouragements à l’encontre de sa mère, l’incitant à aller plus vite et plus profond.Pendant que la maman maltraite le fondement de sa progéniture, cette coquine de Sonia, s’est muni d’un gode en verre de belles dimensions, elle se positionnant derrière sa mère et lui enfile sans ménagement dans son anus.Ma tante vocifère, et tente de se soustraire à cette sodomie surprises, elle demande à sa fille d’arrêter, et la traite de salope et de petite putain.
Alors que ce trio est en pleine débauche, la porte s’ouvre de nouveau, c’est mon oncle qui entre à son tour, entièrement nu, son imposante queue bien à la verticale.Il se dirige vers les trois femelles en chaleur, son choix est fait, il va vers Sonia, il la positionne en levrette, insère un doigt de bonne dimension dans l’anus de la petite, il le fait coulisser plusieurs fois, puis se mettant à plat ventre, il boit à la source de sa fille qui glousse de plaisir, il insère profondément sa langue dans cette moulette toute gluante de sécrétions.Se relevant, il enfile son membre dans la vulve de celle-ci, qui encourage son père par des mots crus, à bien pistonner sa chatoune.Le mâle, la prend par les hanches, et la pénètre avec vigueur, arrachant un cri à chaque fois qu’il percute le fond de son utérus.Pendant ce temps, les deux autres femelles se sont mises en soixante neuf pour se manger leurs entre cuisses, elles font pénétrer langues et doigts dans les chairs intimes d’où coule un abondant plaisir.Mon oncle se positionne sur le dos, son mat bien dressé, il demande à Isabelle de venir s’empaler, la fille descend lentement, en ouvrant bien ses lèvres avec ses mains, la queue du mâle disparaît entièrement dans les profondeurs de la belle.Ainsi positionné, il demande à son épouse, de venir la prendre par derrière avec son gode ceinture.Ainsi prise en double, la jolie blonde gueule et gesticule de plaisir, sous les assauts incestueux de ses parents.Sonia, elle s’est positionnée en s’accroupissant, les cuisses bien écartées sur la figure de son père pour qu’il lui mange sa chatte toute dégoulinante de mouille.Mon oncle entouré de ces trois salopes, ne tarde pas à se vider dans l’intimité de sa fille.Quelle belle soirée de baise, durant un bon moment, j’ai pu regarder cette famille entrain de forniquer, ce soir là, j’ai été long à m’endormir, car les images de ces corps nus, s’emboîtant les uns dans les autres, tournaient en boucle dans ma tête.
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