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Inceste et zoophilie à la ferme

Chapitre 9

Zoophilie
INCESTE ET ZOOPHILIE A LA FERME - 9
Mon séjour chez mon oncle et ma tante touchait à sa fin ; mes vacances se terminaient. J’étais heureux d’avoir retrouvé ma cousine Sonia avec qui je m’entends particulièrement bien, surtout sexuellement : je peux dire que cette jeune fille m’a appris beaucoup de choses…Dernièrement, elle a bien voulu m’expliquer comment elle était devenue accro et prenait énormément de plaisir à pratiquer dès que l’occasion se présentait la zoophilie, plus particulièrement avec les chiens.Lors de mon séjour à la ferme et après avoir fait l’amour avec toujours autant d’intensité, la belle m’avait dévoilé son attirance récente pour un petit cheval ; j’ai été très surpris de la voir sucer cet animal et s’enfiler un tel sexe dans son intimité.Ce jour-là, après le repas de midi, alors que tous sont partis aux champs, la coquine vient me rejoindre dans ma chambre ; nous discutons de choses et d’autres quand je lui demande comment elle en est arrivée à faire l’amour avec un cheval, même si celui-ci est d’un petit gabarit.
Elle me regarde en souriant, consulte sa montre en réfléchissant, saute du lit et me demande de la suivre en me prenant par la main. Nous pénétrons dans l’étable ; elle met son doigt devant sa bouche pour me faire comprendre de ne pas faire de bruit.Nous nous dirigeons silencieusement en direction du boxe du petit cheval qui, par moments, pousse des petits hennissements.Arrivés à une bonne vingtaine de mètres, je suis stupéfait : l’animal est bien là mais, sous son ventre, ma tante est à genoux sur une couverture en train de sucer le petit équidé qui semble apprécier ce traitement.Cette belle femme qu’est ma tante masturbe autant avec ses mains qu’avec sa bouche la belle tige bien bandée de l’animal ; par instants, une de ses mains passe sous sa jupe pour toucher et caresser son propre sexe qui – à n’en pas douter – doit être en effervescence.Ses mains coulissent lentement sur toute la longueur de cette queue tandis que sa bouche, et principalement sa langue, s’affaire sur l’extrémité en forme de champignon.Avec ma cousine, nous regardons les ébats de cette femelle, qui maintenant s’est positionnée à quatre pattes sous le ventre de la bête, son cul bien cambré, la tête à même le sol ; elle relève prestement sa jupe sur son dos.Je peux alors admirer ses belles fesses blanches ; l’absence de culotte me permet de détailler cette moule légèrement ouverte de par sa position. D’une main, elle saisit le sexe bien rigide du cheval et se l’enfile dans sa chatte toute luisante de mouille.Le spectacle que j’ai sous les yeux est très excitant ; mon sexe est à l’étroit dans mon boxer et me fait mal : je défais les boutons de la braguette pour le libérer et en profiter pour me le caresser en de lents va-et-vient tout en regardant la belle se faire tringler.Au moment où son sexe s’est inséré entre les cuisses et dans la minette de la femelle, le corps tout entier de l’animal s’est mis à trembler pendant quelques instants, sûrement en sentant la moiteur du vagin de la femelle.Ma cousine, également en transe, me regarde en train de m’astiquer ; elle se saisit de mon sexe pour le sucer. Mes mains partent sous sa jupette et s’immiscent dans sa petite culotte à la rencontre de son entrecuisse, qui est passablement humide.Je relève sa jupe, descends son string à mi-cuisses et fais coulisser un, puis deux doigts dans son abricot bien juteux : sous les caresses, la petite couine tout en me pompant.Ma tante encourage le petit étalon à bien la pénétrer ; je vois ce sexe de dimension plus que respectable s’insérer sur presque toute sa longueur dans le ventre de la belle femelle.Sous les assauts désordonnés mais pas très virulents du petit mâle, la belle femme, les cheveux ébouriffés, écarte un peu plus ses cuisses ; elle gesticule et transpire en poussant de petits cris.Après s’être fait ramoner la moule pendant quelques instants, la cochonne, la figure tout en sueur, se désaccouple de son amant. Saisissant le membre bien raide, elle entreprend de le masturber vigoureusement en lui demandant crûment de cracher son foutre, tout en ouvrant la bouche en grand devant la bite tendue.Nous ne verrons pas l’éjaculation, dis-je à ma cousine qui, elle aussi, aurait bien aimé voir l’animal envoyer son foutre sur sa mère…Un peu contrariée de voir ses efforts vains et surtout son envie de sperme non satisfaite, ma tante s’essuie, se rhabille et quitte l’étable précipitamment.Nous avons juste le temps de nous soustraire à sa vue en nous dissimulant derrière quelques bottes de paille.Pour nous calmer, j’entreprends de déshabiller entièrement ma cousine ; je mange ses petits seins en mordillant ses tétons.Je m’allonge dans la paille et lui demande de se positionner sur moi en soixante-neuf.Devant mes yeux, sa moulette coule légèrement. J’introduis ma langue dans sa grotte tandis qu’elle s’affaire avec sa bouche sur mon sexe dressé et prêt à exploser.Elle a dû le sentir, et ralentit le coulissement de ses lèvres sur ma tige, souhaitant parvenir à l’extase d’une autre façon…Sentant que je ne tiendrais pas très longtemps, je demande à la mignonne de se positionner à quatre pattes ; son petit cul est bien cambré… La saisissant aux hanches, je présente mon pénis à l’entrée de sa vulve toute luisante de désir.Je pousse légèrement ; mon sexe, happé, s’introduit au plus profond de la belle qui m’encourage à bien la baiser.Après quelques va-et-vient, j’explose dans le ventre de Sonia tout en m’excusant ; mais, après ce que je venais de voir et qui m’avait particulièrement excité, il m’aurait été très difficile de résister plus longtemps.Pour toute réponse, me saisissant par le cou, ma jolie cousine colle ses lèvres aux miennes dans un profond baiser. Nos langues s’enlacent, et nous restons un bon moment ainsi enlacés dans la paille à savourer cet instant. La tension étant retombée, Sonia me regarde et me dit : « Maintenant, tu as compris ! »Elle me raconte comment elle a surpris sa mère il y a environ six mois, alors qu’elle avait oublié son pull dans l’étable : étant venue le rechercher, elle avait bien sûr été très surprise de voir sa mère qui s’affairait sous le ventre de l’équidé, en train de le sucer et de se faire prendre par ce petit mâle.Devant le plaisir que sa mère avait pris sous ses yeux, et vu l’état dans lequel elle s’était mise, elle me dit qu’elle avait voulu essayer et qu’elle avait rapidement pris goût à cette forme d’accouplement un peu spécial.Dernièrement elle m’a raconté que son père avait décidé de se séparer de ce cheval qui ne lui servait pas, mais que sa mère s’était catégoriquement opposée à cette séparation ; et pour cause…
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