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L'INCONNU DU CINEMA

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Au petit matin, j’étais déjà dans la cuisine à préparer le petit déjeuné. Je repensais aux aventures de la veille, encore toute retournée d’avoir autant joui dans les bras de mes amants et pour finir avec mon mari.
Ne serai-je pas allé trop loin et trop vite, mon comportement avait vraiment surpris mon mari et maintenant je craignais qu’il ne découvre mon secret.
De toutes les façons, dans l’état de manque que j’étais je ne pouvais pas me contrôler, ces découvertes sexuelles me rendaient folle.
Maintenant il me fallait gérer les choses avec tact, je n’imaginais pas comment il pourrait réagir en apprenant tout cela et je n’avais vraiment pas envie de le perdre.
J’étais néanmoins convaincue que j’arriverais à lui présenter comme si elles pouvaient être à son avantage, ou plutôt à notre avantage, on pourrait accepter la situation et en retirer beaucoup de plaisir réciproque.C’est avec cette conviction que j’ai fait couler le café.
— Bonjour mon amour.— Déjà levé, vient boire un bon café.Il ma prise par les anches et assise sur ses genoux— Vient là ma belle, hier tu as vraiment été merveilleuse, c’est quant qu’on recommence ?— Ho là, doucement… tu deviens trop gourmand, tu vois c’est peut être pour ça que j’évite la chose, car vous les hommes plus on vous en donne et plus vous en voulez.— Les hommes ? C’est de moi qu’il s’agit, les autres je m’en fous et d’ailleurs que sait tu des hommes, tu n’a connu que moi.— Oui… mais nous les femmes on sait bien comment vous êtes, tous les mêmes, vous ne pensez qu’a ça.— Tu écoute trop tes copines, nous ne sommes pas tous pareils, moi je suis exceptionnel, non ?— Mais si, mais si, allez boit ton café nous allons être en retard.
J’étais assez contente de moi, il ne se doutait de rien et tout ce passait pour le mieux.
Encore une belle journée en perspective, en ouvrant la boutique je me surprise à penser de nouveau à mon amant, allait il m’appeler et qu’allait il me préparer de nouveau, je sentais déjà d’agréables sensations dans mon ventre.Ce matin, je portais une robe courte et très vaporeuse avec un décolleté avantageux, un peut trop transparente à mon gout, mais elle était destinée à mon amant, et pour lui rien de trop beau.

J’avais laissé mes seins totalement libres avec les tétons qui pointaient au travers du tissu, mes cheveux étaient attachés ce qui m’était encore plus ma poitrine en valeur.
Coté intimité, je ne portais plus de culotte, mais pour changer j’avais complètement épilé mon petit minou, j’espérais ainsi qu’il prenne encore plus de plaisir à le caresser et à le lécher.
La matinée est passé, je suis partie déjeuner et toujours pas d’appel, j’étais comme énervé, anxieuse et presque inquiète, pourquoi n’appelait il pas, il lui était peut être arrivé quelque chose ?Il ne voulait plus de moi et s’amusait avec une autre, je l’avais peut être déçu ?
Vous le croyiez, je ressentais de la jalousie, moi la femme adultère qui prend plaisir à tromper son mari j’étais jalouse d’une éventuelle concurrence.
J’ai pris mon téléphone pour l’appeler à plusieurs reprises, mais toujours personne rien que le répondeur, malgré plusieurs messages il ne rappelait pas, du coup mon angoisse s’est encore accentué.J’ai repris mon travail mais le cœur n’y était pas, j’ai laissé ma vendeuse quasi toute seule toute l’après midi, enfermé dans mon bureau à ruminer mon état de manque.
Le soir venu il n’avait toujours pas donné signe de vie, j’en ai même ressentis de la tristesse, résignée je suis rentré à la maison convaincue qu’il ne m’appellerait plus, que cette belle aventure était terminé.
Comme à chaque fois, mon époux a été charmant avec moi, me voyant triste il cherchait à me remonter le moral par tous les moyens, bien entendu il ne se doutait pas une seconde du pourquoi et du comment.J’ai prétexté une mauvaise journée, des soucis avec la collection d’un fournisseur qui ne satisfaisait pas mes clientes, etc. Je me surprenais à devenir une bonne menteuse, une vraie comédienne à tel point qu’il m’a laissé m’endormir tendrement blottie entre ses bras, j’adore ces petits moments de tendresse où il nous semble que rien ne peut nous arriver.
J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir repensant sans cesse à cette mauvaise journée, cherchant tous les cas possible qui pourraient justifier son absence et ce terrible silence.Cela dura quelques jours qui m’ont paru une éternité et toujours aucune nouvelle de lui, je désespérais de le revoir un jour, petit à petit je tentais de me faire une raison.
Et puis un nouveau matin s’est présenté, petit déjeuné en amoureux et petite tape sur mes fesses avec le bisou pour me souhaiter une bonne journée, mon homme est parti travailler le premier.Pour ma part, étant un peut en avance sur l’horaire, je terminais quelques brins de ménage dans la cuisine lorsque la sonnette retentis.
— Ding-Dong.— Oui j’arrive, juste un instant.
J’ai ouvert la porte pensant à une livraison quelconque et là quelle ne fut pas ma surprise, il était là devant moi, toujours aussi beau et élégant au point que mes jambes se sont mises à trembloter.C’est la gorge sèche que j’ai réussi à balbutier :
— Bon... bonjour, vous... Vous êtes là ?— Cela ne vous fait pas plaisir de me voir ?— Si, bien sur mais… je croyais que…— Et bien vous me laissé entrer ?— Oui, vous voulez un petit café ?— Non merci,
Il me colla une main aux fesses pour me pousser vers l’intérieur, sans se soucier si quelqu’un aurait pu nous voir, il à refermé la porte et m’a plaqué contre le mur pour m’embrasser à pleine bouche.Ses mains ne restaient pas inactives car elles parcouraient déjà mon corps en passant sous ma robe qu’il avait relevé très facilement.
— C’est bien, je vois que vous êtes toujours bien disposée.
Je n’osais rien dire, trop heureuse de sa présence, je savourais le moment.Sa main passa doucement sur mon ventre en me procurant d’agréables frisons, puis il la glissa plus bas, et encore plus bas pour venir me caresser la vulve.Il sembla surpris et me chuchota à l’oreille.
— Hum… je constate que vous cherchez à me satisfaire.— Vous aimez ?— Qui n’aimerait pas ? Personne ne peut rester insensible à vos charmes.
J’étais de nouveau en transe, telle ces gamines qui rencontrent leur premier amour, mon cœur battait fort et ma respiration s’accélérait. J’avais déjà oublié qu’il m’a fait languir plusieurs jours, attendant que monsieur veuille bien me recontacter.Le salaud il savait y faire avec les femmes car là c’était moi qui n’en pouvait plus, lui était comme d’habitude, sur de lui et fier de sa conquête, de sa possession.
Il avait maintenant la garantie que je lui appartenais corps et âme, qu’il pouvait partir et revenir à sa guise et que je serais toujours là pour son bon plaisir.
Mon bassin ondulait sous sa caresse cherchant à approfondir le contact de sa main sur mon sexe, me tortillant pour espérer un doigt dans ma fente qui bavait déjà.Comme si il avait entendu mon supplice, d’un doigt agile il écarta mes lèvres et s’est glissé pour me malaxer le bouton, déclenchant ces fameuses petites décharges électriques dont raffoles les femmes.
— Vous aimez çà ? — Alors… j’ai rien entendu ?— Oui… j’aime… ne vous arrêtez pas s’il vous plait.
Mais le salaud a fait tout le contraire, il a stoppé sa caresse pour venir me saisir la gorge tout en me pelotant les fesses de son autre main, il a approché son visage du mien et ma dit :
— Vous savez, tout dépend de vous et de votre obéissance.— Vous obtenez déjà tout de moi, que voulez vous de plus ?
Comme pour m’amadouer, il reposa sa main sur ma chatte et fit vibrer ses doigts sur mon clito me provoquant des vagues de plaisir, j’ai aussitôt avancé mon bassin en écartant au maximum mes cuisses pour me frotter contre sa main.
— Doucement, vous êtes trop pressé, l’impatience est un vilain défaut, si vous continuez comme cela il va falloir que je vous punisse.
Sa main posé sur ma fesse se décolla et me claqua assez durement, puis elle recommença encore plus fort propagent le bruit dans toute la maison.
— Aïe… çà fait mal, je vous en prie.
Pour toute réponse il me pénétra brutalement avec deux doigts tout en appuyant fortement son pouce sur le clitoris, me serra fort la fesse pour m’asséner de nouveau une tape très intense qu’il a répétée plusieurs fois pendant qu’il me limait avec ses doigts et me branlait le clito.
— Et comme ça, vous supportez mieux la douleur ?
Il me prodiguait un savant mélange de douleur et de plaisir ce qui rendait la fessée plus que supportable voir même agréable, c’est avec les yeux clos que je laissais la jouissance monter en moi.
— Hum… oui… n’arrêtez pas… oui… plus fort.— C’est bon, hein…vous aimez ça les fessées ?— Oui…ho oui… c’est bon
C’est vrai que c’était bon, mais c’était plus cérébral que physique, le plaisir concentré sur le vagin était constant et montait très rapidement alors que la douleur sur les fesses était ponctuelle et venait refroidir la monté du plaisir, tout cela permettait d’atteindre un plaisir très intense et de le faire duré indéfiniment.
Sans la douleur j’aurais déjà jouis depuis longtemps, mais là non, j’avais l’impression de jouir en permanence entre chaque fessée la jouissance repartait de plus belle à m’en faire trembler les jambes et juste avant l’explosion fatale il m’assénait une nouvelle claque brutale qui faisait retomber l’extase.
J’étais en transe et lui continuait à m’envouter de mots crus
— Vous êtes trempé comme une petite pute, on dirait que vous aimez çà…— Voulez vous que j’arrête ?— Non…hum…oui continuez, je vous e prie— Alors vous allez être très, très obéissante, n’est-ce pas ?— hum…Oui… Tout ce que vous voudrez…Oui…— Alors, vous allez nous invitez chez vous, mon maître et moi, pour nous présenter votre mari.
Avais-je bien compris, l’esprit embrumé par les vagues de plaisir je n’avais pas saisie du premier coût.
— Hein… oui… vous voulez quoi ?— Vous avez bien compris ce que nous voulons.
En même temps qu’il me parlait ses mains redoublaient dans le labeur pour ne pas ralentir la cadence, il me maintenait au bord de la jouissance.Mais une mince lueur de lucidité ma permit de dire timidement :
— Hum… non… ce n’est pas bien…hum…je ne peu pas…— Ne discutez pas, vous devez obéir un point c’est tout.— Non…pas mon mari…je vous en prie…
Il redoubla d’efforts pour me faire jouir, il enfilait maintenant plusieurs doigts dans ma chatte avec de rapides vas et vient qui me faisaient couiner comme une pucelle.
— Alors je n’ai rien entendu ?— hum, oui…oui… tout ce que vous voudrez…— Quoi ?— Oui… mon mari…à la maison…oui…
Soudain la main fesseuse s’arrêta net et il la glissa entre mes fesses jusqu’à poser ses doigts sur ma rosette toute chaude, il glissa encore plus bas pour récupérer ma mouille baveuse et lubrifier mon petit trou qui se dilatait déjà.
Tout en me branlant il appuya fermement un doigt sur la corolle impudique, sans avoir à trop forcer la cavité s’est ouverte pour engouffrer un, puis deux doigts qui ont aussitôt cadencé un vas et vient sur ceux qui me pénétraient devant.
Sensation exquise que cette pénétration simultanée des deux orifices, les doigts coulissaient facilement dans chaque trou tellement j’étais lubrifiée.
— Alors qu’allez vous faire ?— Hum… vous invitez… à … la maison... pour mon…mon mari— Voilà, c’est bien on y arrive
Il accéléra la cadence de part et d’autre avec maintenant quatre doigts me pourfendant la moule et trois autres qui m’enculaient brutalement.
Je ne tenais presque plus sur mes jambes tellement c’était bon, écartant le plus possible mes cuisses pour lui faciliter la tache, je me sentais écartelée et fouillée de toute parts, j’ai même cherché son visage pour lui sucer la langue.
Il a répondu à mon baissé baveux, langue contre langue nous mélangions nos salives comme deux affamés.
— ouiii… c’est bon… vous me rendez… folle— C’est bon de se faire mettre comme une pute ?— oui…oui, c’est trop bon… faite moi jouir…je vous en prie.— ok pour cette fois, mais si vous me contrariez encore…— non, je… ferais... plus…hum…— Alors tenez ma belle régalez vous.
Soudain il coordonna les mouvements des deux mains pour que les pénétrations soient simultanés dans les deux cavités, les doigts pénétraient et ressortaient en même temps de chaque coté m’élargissant les chairs plus que nature.Les sensations ce sont décuplé, douleur intense et vive que masquait immédiatement les vagues de plaisir dévastatrices, il forçait la cadence et tapait de plus en plus fort contre mes organes libérant des flots de cyprine à chaque nouvelle pénétration.
J’entendais les bruits avilissants de ma mouille qui trahissaient mon état, ce qui rendait la scène encore plus perverse et participait largement à la monter de ma jouissance.
Tout en m’embrassant et me pilonnant les parties intimes, il me dit :
— Ne vous retenez pas, laissez vous partir
Mes jambes flageolaient sous les vagues de plaisir, j’ai perdue toute notion du temps et de la réalité pour me concentrer sur le plaisir, rien que le plaisir.Et elle est venue cette putain de jouissance, puissante et dévastatrice, j’ai joui du cul et de la chatte en même temps, inondée par des flots de vibrations qui m’ont presque fait perdre connaissance, j’ai jouis intensément pendant plusieurs minutes c’était physiquement épuisant.
— Et bien, heureusement que j’étais là pour vous retenir, vous ne faite pas semblant.
Cherchant à reprendre mon souffle et mes esprits, je me suis blottie contre lui en le tenant par le coup.
— Que me faite vous subir, vous êtes cruel avec moi— Si c’est cela la cruauté il me semble que vous aimez çà, non ?— Suis-je normale de jouir autant et si facilement ?— Je vous rassure toute à fait normale, mais vous n’avez encore rien vu car je compte bien utiliser tout votre potentiel et croyiez moi, il y en a.
Reprenant doucement mes esprits, je pris consciente de notre discussion pendant qu’il me faisait jouir, mon cœur si mit à battre plus fort et d’une voix presque timide je lui ai demandé :
— Tout a l’heure vous étiez sérieux… pour la maison et mon mari ?— Vous doutez de moi, bien sur que c’est sérieux, pervers mais sérieux.— Mais je ne peu pas, comprenez moi…c’est difficile, comment…— Le comment ne nous importe pas, c’est à vous de faire ce qu’il faut, nous gèrerons le reste.
Je vous donne une semaine au maximum pour organiser cette soirée particulière, entre-temps je vous souhaite une bonne journée.J’étais encore nue lorsque il a ouvert la porte pour repartir sans ce soucié si quelqu’un dans la rue aurait pu me voir, un claquement de portière et j’ai entendu sa voiture s’éloigner.
Je suis restez là, seule pensant à comment j’allais bien pouvoir me sortir de cette délicate situation, les inviter chez nous et leur présenter mon mari, mais ils étaient vraiment fous, c’était tout simplement impensable.Et puis qu’est-que cela pouvait bien leur apporter, où voulaient ils en venir, connaître mon mari pour quoi faire ?
Maintenant que je n’étais plus sous l’emprise du plaisir ma conscience reprenait sa lucidité naturelle et j’étais capable de mesurer les dangers d’une telle soirée il m’était donc impossible d’accepter leur volonté, il faudra bien qu’ils le comprennent.C’est avec cette idée rassurante que je suis partie au travail, déterminé à leur faire entendre raison, le plaisir oui mais pas avec des risques inconsidérés.
J’avais une semaine pour leur annoncer mon refus, au bout du troisième jour j’étais toujours sans nouvelle de mon amant, il attendait surement ma réponse, mais je me disais qu’il aurait pu venir pour que l’on prenne un peu de plaisir car j’étais de nouveau en manque.
D’un autre coté si je lui annonçais trop vite mon refus, il se mettrait peut être en colère et ne viendrait plus me voir, il m’avait semblé très catégorique sur ce point et je ne voulais pas courir ce risque.Il fallait que je trouve une excuse valable afin qu’ils comprennent que leur demande était déraisonnable et impossible à tenir.
Deux jours après, toujours aucun appel et ce depuis cinq jours. Je commençais à angoisser, il me fallait trouver une solution très rapidement.Et j’avais toujours cette envie de sexe qui me tiraillait de plus en plus, malgré mon mari qui me baissait presque chaque soir tellement je l’allumais, mais cela ne me suffisait pas, je voulais aussi les intenses émotions que seul lui savait me prodiguer.
Le septième jour, j’en étais toujours au même point et aucune solution en vue, mais j’étais tellement paniqué à l’idée d’accepter leur ultimatum, tellement peur que cela dérape et d’en perdre mon mari et ma famille que je ne pouvais que leur dire non.
Ma décision étais définitivement prise, tant pis pour moi je me résignais à penser que tous ces délicieux moments de plaisir étaient bel et bien terminés et que plus jamais une telle occasion de se représenterais.
Mais après tout, ce genre d’aventures étaient faits pour les jeunes filles et pas pour les femmes de mon âge, c’était surement exceptionnel de vivre cela à plus de quarante ans et je pense qu’autour de moi, dans toutes mes connaissances, je devais être la seule à avoir connu çà, du moins je le pensais et cela me permettait d’avoir moins de regrets.
Le lendemain après une très mauvaise nuit, j’étais resté sur ma décision et attendais avec beaucoup d’anxiété l’appel de mon amant qui ne tarda pas à venir.
— Bonjour Emilie, vous nous avez fait attendre, ce n’est pas bien de votre part.— oui, mais ce n’est pas de ma faute… il faut que vous compreniez…— Que l’on comprenne quoi ? Que vous désobéissez.— Oui, heu non… ce n’est pas comme ça qu’il faut le prendre
Le ton de sa voix est devenu très dur
— Je pense que vous n’avez pas compris ma chère, mais vous n’aurez pas le choix car nous avons de quoi vous faire changer d’avis très rapidement.— Comment cela ? Répondis-je d’une voix faible— Mon maître avait prévu votre réaction, heureusement il a toujours un coup d’avance, regardez votre boîte mail et dite moi ce que vous en pensez.
Mon cœur sait soudainement accélérez et mon sang me chauffait les tempes, j’ai donc ouvert ma boîte mail pro car il ne connaissait pas ma boite perso et passant tous les messages j’ai vu un mail nommé (Comment vous faire changer d’avis).
L’ordinateur à mis du temps à le charger à causes de plusieurs pièces jointes assez volumineuses, c’était des photos et il y en avait cinq, pendant ce temps mon amant s’impatientait au téléphone.
— Alors où en êtes vous ? Je n’ai pas que ça à faire, j’attends votre réponse.
J’ai cliqué sur la première photo pour l’apercevoir sur l’écran et là j’ai failli m’évanouir comprenant d’un seul coup que j’étais piégé et à leur merci.
La photo me montrait à l’arrière de la voiture, jambes ouvertes avec la main de notre inconnu qui me caressait, on distinguait très bien mon visage il m’était impossible de nier la scène.
J’ai rapidement affiché les autres photos, sur la deuxième on distinguait la pénétration de plusieurs doigts de ce pervers et le pire c’est que je présentais un visage radieux et satisfait.Sur la suivante j’avais carrément tout l’avant bras planté en moi, c’était vraiment obscène comment ses salauds avaient ils pu me faire çà.
La quatrième n’était pas mieux, j’étais à cheval cuises grandes ouvertes sur les jambes de ce salaud, les nichons à l’air et la bouche entre ouverte comme si je jouissais et en premier plan on distinguait sa grosse queue qui m’enculait à fond.
Et sur la dernière, c’était l’apothéose il m’enculait toujours mais je tenais des deux mains un gode énorme avec lequel je me défonçais la moule.Malgré cette trahison et ma rancune naissante la vue de ses photos très explicites m’avait néanmoins émoustillé, mon esprit se rappelant le fantastique plaisir que mon corps avait retiré de cette expérience.
— Vous êtes des salauds…— Oui ma chère, mais c’est pour cela que l’on vous manque — Vous comprenez bien que nous avons un tas d’autres photos de vos exploits et que nous mourons d’envie de les partager avec… Votre époux.
A ces mots j’ai eu comme un malaise, mes mains se sont mises à trembler et j’étais paralysé par cette hypothèse que je redoutais tant.
— Non, ne faite pas çà, je vous en prie.— Je pense qu’il est déjà trop tard, nous vous avions donné sept jours et pas un de plus, aussi je pense qu’a cette heure ci votre mari ne reçoive quelques exemplaires bien sélectionnés pour leur, comment dire… leur perversité.— Non, non je vous en supplie…arrêté tout…j’accepte vos moindres désirs, je vous en prie ne faite pas çà.
Un long silence ma permis d’espérer que cela soit encore possible, que je pouvais encore sauver les apparences et mon couple, que tout çà n’était qu’un mauvais rêve.
— Bon, je vais voir avec mon maître ce qu’il est encore possible de faire et je vous rappel, pendant ce temps, vous allez imaginer cette fameuse soirée qui nous tient à cœur aux uns et aux autres.Il a raccroché et j’ai éclaté en sanglots sur mon bureau avec toujours la dernière photo affichée sur l’écran de l’ordinateur.
Mon dieu, si mon mari voyait çà il tomberait surement en syncope, il ne me le pardonnerait jamais, tout en pensant à mes craintes mes yeux ne quittaient plus l’image et mes pensées virevoltaient entre le plaisir naissant et la colère encore présente.
Après tout la scène était plutôt excitante, c’était très chaud et dégageait une perversité torride, comme dise les hommes, c’était bandant et mes tétons qui pointaient ne si trompaient pas.
Perdue pour perdue, il me fallait maintenant assumer ma faute, ça passe ou sa casse, ma seule chance était d’abdiquer et de me soumettre à leur volonté.
Ils ne seraient peut être pas si ingrats que çà, même en rencontrant mon mari ils n’avaient aucun intérêt à faire capoter notre couple, c’était surement encore un jeu pervers pour m’exciter d’avantage, alors pourquoi pas.
Le soir venu au dîner alors que nous discutions mon mari et moi, j’ai abordé le sujet de mon travail comme si de rien n’était.
— Tu sais chérie, un de ces soirs j’aimerais bien te présenter un de mes fournisseur.— Pourquoi pas, qui c’est ?— Tu ne les connais pas, c’est une entreprise de lingerie avec laquelle j’ai de bons résultats sur mes ventes.— De la lingerie, waouh… j’espère qu’elle est sexy…cette lingerie.— Ne soit pas bête, bien sur quelle est sexy mais il y a de tout — D’accord mais pourquoi veut tu me les présenter ? C’est bien la première fois que tu veux me présenter une relation de travail.— Oui c’est vrai…mais là je veux jouer la carte amitié pour réussir à négocier au mieux de mes intérêts les futures collections, tu sais ça ce fait beaucoup dans notre milieu.— Écoute ma chérie, si ça te fait plaisir… après tout cela peut être une soirée sympa et ça me permettra enfin de pénétrer ton milieu, si tu vois ce que je veux dire.— Et voilà, tu te moque encore de moi avec tes idées polissonnes.— Pas du tout mon amour je ne suis pas comme çà.
Nous partîmes sur un fou rire bien agréable, j’en étais d’autant plus contente que mon stratagème était passé comme une lettre à la poste, mon anxiété venait subitement de retomber et je me sentais beaucoup plus détendue.
Il me restait maintenant à organiser cette soirée au plus vite pour que je puisse me débarrasser rapidement de cette contrainte.
Dès le lendemain à la première heure mon portable vibra, nous étions encore mon mari et moi au petit déjeuné, jetant un œil discret sur l’écran j’ai aperçu (numéro masqué) ce ne pouvait être que mon amant et je faisais celle qui ne la pas remarqué.
— Chérie, tu ne réponds pas ?— Oui…si, bien sur, qui peut m’appeler à cette heure ?
Je devais être toute rouge car je ne m’attendais pas à ce qu’il m’appelle dès le petit déjeuné et surtout avec mon mari à coté.
— Oui, allo ?— Bonjour, comment allez-vous ce matin ?
Prenant une voix surprise, j’ai fin un tout autre dialogue.
— A bonjour Martine, que me vaut votre appel ?— Je comprends que votre époux n’est pas loin, c’est plutôt excitant.— oui effectivement, cela peut l’être, si vous le dite.— Alors où en sommes nous de notre petite affaire ?— Tout est ok, je vous rappellerais dans la matinée.— Tout est ok, vous en êtes sur ou devons nous contacter votre mari ?— non, je vous assure que tout le monde est d’accord.
Et j’ai vite raccroché pour que m’a gène ne soit pas trop visible.
— C’était qui cet appel ?— Ma comptable… j’attendais quelle puisse me faire le point sur le stock, tu sais par rapport à ce fournisseur de lingerie.— Il me semble qu’il te pose de vrais soucis ce fournisseur, pour que tu sois perturbé à ce point, j’espère qu’il n’y à rien de grave, tu ne me cache rien ?— Mais non, il n’y à rien de grave, que va tu penser… c’est juste que ça représente beaucoup d’argent et le commerce n’est pas fameux en ce moment.— C’est donc pour çà que tu veux les amadouer en les invitant à la maison, c’est çà ?— Oui, tu vois qu’en tu veux, tu pourrais être un bon commercial— Et bien organise cela au plus vite, nous allons les épater, tu va les éblouir, les hypnotiser, ils vont carrément tomber amoureux de toi tellement tu va les faire fantasmer.— Ho la, doucement, ce n’est pas de la drague, ce n’est pas ce que je veux faire.— Mon amour, tu n’y connais rien, si ce sont des hommes, tout puissant qu’ils soient ils ne peuvent pas rester insensibles aux charmes d’une belle femme, une fois qu’ils seront sous le charme tu pourras obtenir tout ce que tu veux de leur part, baisse de prix et bien d’autre choses.
Si tu le dis, alors nous allons les surprendre.
J’ai eu le sentiment qu’un piège sournois venait de se refermer sur moi, mon propre mari était entré tête-bêche dans leur stratagème, c’était impossible qu’ils puissent prévoir les réactions humaines à un tel point.Connaissant mon époux il allait leur préparer le grand jeu et rien ne pourra l’arrêter, je vois déjà à l’avance le tableau, il va falloir que je soit le plus sexy possible, la plus accueillante possible, souriante et très agréable avec nos hôtes.
Mon pauvre chérie si tu savais, tu ne peux pas imaginer à quel point j’ai été accueillante avec ces hommes plus pervers l’un que l’autre, je ne sais pas ce qu’ils nous réservent mais si tu en rajoute de ton coté, je crains le pire.
Une fois mon mari parti au travail, j’ai rapidement rappelé :
— Allo ?— oui c’est moi, je vous rappelle comme convenu— C’est très bien, je n’en attendais pas moins de vous, alors comment cela se présente ?— Plutôt bien, j’ai réussi à le convaincre, il croit que vous êtes des fournisseurs de lingerie pour ma boutique.— Oui c’est bien çà, très bonne idée et plutôt excitante.— Je dois vous inviter un soir à la maison pour les présentations— Bien, alors organisez cela au plus vite car j’en connais un qui s’impatiente.— Que diriez-vous de ce mercredi soir ?— Nous préférons le samedi soir, nous serons ainsi plus détendus les uns et les autres, c’est le week-end et la soirée peut s’éterniser tard dans la nuit, qu’en dite vous ma chère ?— Ben… d’accord pour samedi soir, vingt heure, çà vous va ?— Bon pour vingt heures, à très bientôt…madame— S’il vous plait, ne faite rien de…mal, je ne veux pas le perdre.— Jusqu’à ce jour, est ce que nous vous avons fait le moindre mal ?— Non…mais…— plutôt du plaisir, beaucoup de plaisir, cela fait partie de votre éducation et vous avez encore beaucoup d’étapes à franchir, laissez vous aller et faite nous confiance.— Oui…d’accord, alors… à samedi.
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