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Un inconnu dans la nuit

Chapitre 1

Gay
J’avais une trentaine d’années quand commença cette histoire. Je vivais dans une maison particulière, au milieu d’un jardin, dans un quartier réputé pour sa tranquillité. Comme la maison n’avait pas d’étage, je dormais au rez-de-chaussée. Cet été étant étouffant, un soir, je décidai de dormir fenêtre ouverte et volets mi-clos. Ca pouvait paraître un peu imprudent, mais le quartier était vraiment sûr. Et, bien évidemment, avec cette chaleur, je dormais à poil.
Une nuit où je ne pouvais trouver le sommeil, j’étais debout, derrière les volets à persienne mi-clos, et j’aperçus l’ombre d’un homme dans mon jardin. J’allumai les lumières dans ma chambre. L’ombre s’immobilisa, mais ne s’enfuit pas. Je réfléchis qu’un agresseur ou cambrioleur potentiel se serait enfui. J’ouvris les volets, et, nu dans la lumière, dit à haute voix :
« Qui êtes-vous et que voulez-vous ? »
Depuis l’obscurité presque totale, j’entendis une voix mâle me répondre
« Je te sais gay, et je veux juste t’enculer »
Interloqué, je ne sus d’abord quoi répondre. Ma bite répondit pour moi, en se dressant, vibrante, et je sentis une onde d’excitation au creux de mes reins. Je décidai de prendre le risque
« D’accord, je retourne sur mon lit »
Et, bien sûr, j’éteignis les lumières. Je m’allongeai sur le ventre, bras et jambes en croix. J’aperçus dans l’obscurité presque totale, l’homme s’introduire dans ma chambre.
« J’aimerais t’attacher poignets et chevilles »
Je grognai un « OK » et me laissai faire.
Bientôt je sentis des mains me massant les fesses et un doigt chatouillant mon trou. La voix reprit
« Ca va être encore mieux que je n’imaginais, non seulement je vais baiser un beau cul, mais en plus pénétrer un trou un peu étroit pour ma queue ; j’utiliserai du lubrifiant et un préservatif, et serai aussi doux que possible. »
Je le sentis lubrifier mon anus et l’entendis mettre un préservatif. Il exerça ensuite une pression sur mon orifice. Je me détendis le plus possible, et sa queue me pénétra. Nous eûmes en même temps un petit grognement

« Tu es juste serré comme il faut, tu sais. Ca va être bon pour nous deux. Je sais comment enculer un mec. Bientôt tu en redemanderas »
Il progressa très lentement. A un moment, je frissonnai et je dus admettre que c’était un mélange d’excitation et de plaisir.
« C’est bon, mec, détends-toi et prends bien ton plaisir »
Il passa sa main sous moi, et sentit que mon sexe commençait à mouiller.
« C’est bien, le meilleur est à venir »
Il accéléra progressivement la cadence, je commençai à haleter. Quand il jouit, j’avais éjaculé sur les draps.
« Avant que tu ne partes, dis-moi au moins si je te connais, ou si tu me connais, ou si je suis simplement quelqu’un choisi au hasard. »
« Je te connais, mais toi tu ne me connais pas vraiment. Je pourrais être ton postier, un agent de nettoyage, ou même, qui sait, un de tes employés, n’importe qui .. Mais je te connais, et je t’ai choisi. »
Sur ce, après m’avoir détaché, il bondit par la fenêtre, et disparut dans la nuit.
Pendant quelque temps, je considérai soigneusement les mâles que je croisais. Etait ce celui-là, ou cet autre là-bas, ou plutôt celui-ci ? Et puis .. je m’habituai. Le temps passa, et je pensai, avec une pointe de regret, qu’il ne reviendrait plus.
Et une nuit, où je m’étais endormi tranquillement, je fus réveillé par le bruit des volets que l’on ouvrait. Je me positionnai, couché sur le dos, bras relevés vers la tête du lit. Il entra, dans l’obscurité, m’attacha les poignets à la tête du lit, et, s’agenouillant sur mon lit, me plaça les jambes sur ses épaules.
« Devine qui est de retour ? Le même que l’autre fois, et je vais te donner du plaisir »
Dans la position ou j’étais, son sexe était très près de mon trou du cul. Il le lubrifia et enfila une capote. Il appuya ensuite. Je m’y attendais et me décontractai. Il entra son gland. Je me détendis complètement pour faciliter la progression. Il fit le contraire et se retira. Puis appuya à nouveau et entra un peu … et se retira à nouveau. Il recommença son jeu. Frustré de ne pas être pénétré, je gueulai
« Tu vas me la mettre ou pas ? »
En ricanant, il recommença son petit jeu, encore et encore
« Putain, enfonces là-moi je t’en supplie ! »
« T’en as envie hein ? Petit vicieux »
« Oui, s’il te plait, bourres moi le cul ! »
Et il accepta enfin de me pénétrer, lentement et à fond. Je réalisai alors à quel point j’avais besoin de cette bite, douce et chaude, en moi. Il se retira très légèrement pour se faire un espace, et sa main se mit à caresser subtilement le dessous de mes couilles. Ma bite bandée, tressautait d’excitation.
« Encules moi à fond ! Je le veux ! J’en ai besoin ! »
Il satisfit enfin mes envies, d’abord lentement, puis accélérant le rythme, pour finir par plaquer brutalement son ventre contre moi. J’éjaculai sur mon ventre. Il le sentit
« Bon, maintenant, je vais y aller pour de bon »
Et il se mit à me bourrer le cul de façon frénétique. J’avais déjà joui, mais ça m’était égal. Je ne sais pourquoi, j’adorais être baisé brutalement, comme ça. Quand il se retira pour de bon, je le regrettais presque.
J’avais trop honte pour lui poser la question qui me brûlait les lèvres : allait-il revenir ?
« Je sais ce que tu penses. Ne t’inquiète pas, je reviendrai. Parce que je sais que ton cul a besoin de ma queue. Tu sais bien que tu es maintenant mon esclave à cause de ce désir au fond de toi. Je te traiterai toujours bien. Je te dis au revoir »
Et dès la semaine d’après, une nuit, j’entendis les volets s’ouvrir à nouveau. Il me fit mettre sur le ventre, mains attachées, genoux repliés sous moi, le cul bien en l’air. Il m’écarta les fesses, et éclaira le tout avec une lampe torche.
« Je voulais voir. Tu as une belle raie du cul, imberbe, et un mignon petit anus, tout plissé »
A ma surprise il commença à me lécher longuement la raie. Il passa ensuite à l’anus qu’il tenta de forer avec sa langue. Je bandais tellement, que ma bite tressautait. Mais j’en voulais plus
« Mets la moi ! Je veux ta bite ! S’il te plait, encules moi ! »
« Elle te manque ma queue, hein ? Je savais que tu allais en redemander. Tu es devenu une vraie petite pute ! »
Il appuya son gland et s’inséra d’un coup. Je sursautai de surprise et d’un peu de douleur. Il recommença à nouveau ses va et vient, lents au début, puis accélérant la cadence jusqu’à ce qu’il me sente haleter. Je jouis au moment précis où je sentis son sperme pénétrer mon cul.
Mais il était revenu vite, cette fois, donc, il n’allait pas tarder à revenir. La prochaine fois, j’en aurai encore trop envie et me livrerai à lui. Mais un jour, je résisterai, je ferai obstacle à son plaisir, rien que pour voir. Il faudrait un jour que je lui fasse sentir à quel point, lui aussi, avait besoin de moi !
La fois suivante, il entra, en portant une cagoule. Il ne se jeta pas sur moi. Il s’assit sur mon lit, et me tendit des liens. Je me levai, et il se déshabilla et se positionna, à plat ventre, bras et jambes en croix sur le lit. Je lui liai poignets et chevilles en contemplant son corps. Il avait un cul superbe. C’était un vrai mâle qui venait se livrer à moi après m’avoir possédé. J’allais essayer de faire de mon mieux !
Et ce jeu continua. Au gré de ses caprices, j’étais passif ou actif. Jamais je ne vis son visage. D’ailleurs, je ne le souhaitai plus. Je trouvai très excitant que ce soit, pour moi, un inconnu ... qui me connaissait ! Et, enfin, un jour, à la piscine, je trouvai que le maître-nageur me considérait d’un air goguenard. Je le regardai mieux. Physiquement, il me semblait avoir le même corps que mon « visiteur nocturne ». Je me jetai à l’eau (au sens figuré !)
« Tu viens cette nuit ? »
« Oui, mais pas la peine d’attendre le milieu de la nuit. Je viendrai en début de soirée, et ... sans cagoule ! Mais avec quelques accessoires dans lesquels tu pourras faire ton choix. »
Fin
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