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L'inconnu à l'encre verte

Chapitre 5

Erotique
Chapitre 5
Résumé du chapitre précédent : Elise suit les instructions d’un Inconnu qui lui envoie de mystérieuses lettres écrites à l’encre verte. La nouvelle lettre lui demande de s’exercer à l’art de la fellation sur son mari mais, pour être parfaite, cette fellation devra respecter un certain nombre de critères. En particulier, son mari devra ni prononcer un mot, ni toucher Elise.
Le premier soir suivant la réception de la lettre, Elise regarda étrangement son mari pendant le dîner. Elle ne l’avait jamais sucé, songea-t-elle. Elle avait bien eu quelques expériences de jeunesse lorsq’’elle découvrit la sexualité mais cela n’était jamais plus loin que quelques brefs baisers sur des sexes de garçons sans intérêt. Et elle n’en avait gardé qu’un vague et lointain souvenir mêlé d’incompréhension et de dégoût. D’une certaine manière, elle se sentait comme vierge à l’art de la fellation et, en lisant la lettre de l’Inconnu, elle était devenue terriblement excitée à l’idée d’essayer. Oui, elle voulait être capable de produire cette fellation parfaite. Elle voulait satisfaire son Inconnu. Et elle voulait jouir en lui offrant la plus parfaite des fantaisies érotiques.
Elise ne lâchait pas des yeux son mari qui commençait à s’inquiéter de voir sa femme le regarder aussi intensément sans parler :— Tout va bien, Elise ? dit-il timidement— Chéri, tu sais, il y a une coupure d’eau demain matin, mentit-elleLe mari ne s’attendait pas à ce que sa femme, les yeux grands ouverts posés sur lui, lui donne ce genre d’information, surtout avec un large sourire qui tutoyait l’extase. Les coupures d’eau ne se prêtaient pas généralement à ce type d’hébétude.— Ah, se contenta-t-il de répondre— Oui, une coupure d’eau, tu comprends ?— Oui, l’eau va être coupée, c’est ça ?Elise avait des images de fellation plein la tête et la conversation s’éternisait sur des problèmes de plomberie. Elle s’impatienta :— Eh bien, il serait mieux que tu prennes ta douche ce soir, OK ?Elise se rendit compte que sa voix avait tremblé bizarrement en prononçant cette phrase et, le « OK » laissait paraître une pointe de méchanceté. Elise s’en voulut. Elle désirait simplement que son mari soit bien propre et parfumé pour son exercice buccal, voilà tout.— Pardon, se reprit-elle. C’est juste que, si tu veux prendre ta douche comme d’habitude le matin, eh bien demain tu ne pourras pas, et donc ce soir serait mieux et…— Oui, oui, c’est une bonne idée. Merci, tu penses vraiment à tout !
Comment puis-je avoir trouvé un homme aussi gentil en toute circonstance, pensa-t-elle ? Elle culpabilisa. Elle ne pensait qu’à elle et à son Inconnu, elle ne songeait qu’à l’exploration de sa sexualité nouvelle et, malgré tout, son mari restait d’une gentillesse inoxydable. Sous le charme, et confuse par ses désirs enivrants de fellation, elle fut prise d’une envie sexuelle soudaine pour son gentil époux :— Excuse-moi, mon chéri, dit-elle d’une voix douce. Sois un tout petit peu patient, je vais me faire gentiment pardonner tout à l’heure, très très gentimentSa voix trop grave, sa tête bizarrement penchée et sa posture exagérément suggestive donnaient une drôle d’impression. Elle fit même un long clin d’œil et glissa la pointe de sa langue entre ses lèvres. Son mari, qui n’était pas habitué à ce type d’attitude chez sa femme attribua l’étrange comportement de son épouse au stress du travail. — Ne t’excuse pas, aucun problème.Cette réponse toute plate refroidit brutalement Elise. Quel con, pensa-t-elle. Il est gentil, certes, mais c’est vexant de me rembarrer comme ça alors que j’essaie de mettre un petit peu de fantaisie dans notre vie sexuelle. Elle se renfrogna et ne dit plus un mot jusqu’à la fin du repas. Son mari prit ensuite sa douche. Bon, au moins, tout se passe selon mes plans, se dit Elise et elle fila dans sa chambre pour relire attentivement la lettre.
Au lit, son mari s’était finalement, fort heureusement, rapidement endormi. Elle alluma une petite veilleuse pour y voir un peu quelque chose. Elle fit glisser lentement le caleçon de son époux et contempla le petit morceau de chair qui était couché paisiblement sur le côté. Elle le prit entre ses lèvres et commença à le téter lentement. Ce n’était pas désagréable, finalement, se dit-elle. Elle commençait à sentir qu’il se passait quelque chose. Le petit bout de chair prenait de l’ampleur dans sa bouche, il devenait également plus ferme. Elle continua à s’amuser tendrement avec ce sexe mi-dur et doux à la fois. C’est à peu près à ce moment que son mari se réveilla. Il sentait sa bite dans un écrin chaud et humide. Sans bouger, il observa autour de lui et vit sa femme à genoux, la tête plongé sur son bas-ventre. Les cheveux mi-longs de sa femme lui cachaient le visage et il mit quelques instants à analyser cette situation insolite. En recoupant tous ces éléments, il semblait que sa femme était bien en train de lui tailler une pipe. Il n’en était tout de même pas très sûr. Il aimait sa femme mais il l’avait toujours trouvée un petit peu ennuyeuse au lit. Elle râlait s’il lui touchait les seins ou les fesses alors qu’il adorait ça, elle était très passive et n’acceptait qu’une ou deux positions très classiques. Il la voyait pour la première fois être entreprenante et, en plus, pas de n’importe quelle manière. Il avait toujours rêvé secrètement d’une fellation et voilà qu’elle se produisait ! Ne voulant pas interrompre le petit miracle, il ne dit rien et feignit de continuer à dormir. La sensation était très douce, il sentait sa bite grossir. Sa femme commença alors à accélérer les va-et-vient de sa bouche de manière un peu exagéré. Cela devenait un peu moins agréable mais il ne dit rien. La tête de sa femme devint frénétique et se mit à s’agiter de manière convulsive. Il commençait à sentir les dents râper dangereusement sa tige quand, soudain, une douleur inouïe le foudroya. Elise venait, sans s’en apercevoir, de mordre son époux qui lâcha, dans la chambre d’amour, un cri terrifiant. Elise s’arrêta nette.— Quoi ?— Waouh, tu m’as sacrément mordu, dit-il, les larmes aux yeux tout en souriant.Elise était pétrifiée. Sa première tentative avait lamentablement échouée. Elle avait la figure toute décoiffée au-dessus de la bite rougie de son mari qui la regardait en souriant. Elle éteignit la petite veilleuse et se réfugia le plus loin possible de son mari. — Bonne nuit, lança-t-elle. Et laisse-moi.
La nuit aidant, Elise s’était calmée. Elle avait compris qu’elle était débutante et qu’il fallait simplement qu’elle s’entraîne calmement. Le lendemain soir, elle reprit donc la routine. Le mari, qui se doutait de quelque chose, prétendit dormir depuis le début. Mais il n’arrivait pas à s’empêcher de bander. Elise s’en rendit compte et ne broncha pas. Elle commença à prendre tendrement le sexe dans sa bouche, comme il lui était demandé. Puis elle se mit à le sucer calmement, et avec beaucoup d’amour. Son mari commença à gémir.— Chut, dit-elle une première fois.Le mari prit ce petit mot comme un signe d’affection et, même, d’encouragement complice. Il ne se retint pas de gémir à nouveau et plus intensément, avec beaucoup de sincérité.— Chut, répéta Elise— Oh, Lili, oui, c’est bon, dit-il en glissant sa main dans les cheveux d’Elise— Putain, mais ta gueule, je t’ai dit !Elise s’était relevée d’un coup en rejetant violemment la main masculine de ses cheveux. — Mais, ma chérie…— Tais-toi, tu m’énerves. Bonne nuit.Le mari ne comprenait pas très bien ce qui se passait mais il ne voulait pas trop chercher à en savoir plus. Deux soirs de suite, sa femme avait commencé à le sucer. S’il faisait ce qu’il fallait, peut-être finirait-il par obtenir une vraie et bonne fellation de la part de son épouse. Bon, soyons patient, se dit-il.
Le lendemain soir, avant de se mettre en position, Elise prévint son mari. Elle était calme et motivée.— Ecoute, chéri, tu vois, je vais te sucer. C’est comme ça, j’ai besoin de le faire. Mais tu vas être bien gentil. Je demande que tu ne me touches pas, d’accord, à aucun moment. Et puis, ne dis rien. OK ? Si tu es bien gentil et si tu fais ce que je te demande, je te sucerai jusqu’au bout et ce sera très bon pour tout le monde. D’accord ?— Oui, répondit le mari sans hésiter.La manière dont sa femme prenait les commandes l’intriguait et l’excitait. Il trouvait très agréable d’être commandé ainsi. Il n’avait jamais pu lâcher prise et se laisser aller. Sa femme lui en donnait enfin l’occasion. Il était bouillonnant de désir et fut pris d’une violente érection.— Eh bien mon cochon !, dit Elise, en voyant le sexe de son mari dressé comme un arbre— Vas-y, suce-moi, Lili !Elle le giffla spontanément. Ils furent aussi surpris l’un que l’autre puis ils éclatèrent d’un rire bref qui réchauffa l’atmosphère.— Tais-toi, imbécile. Et arrête de m’appeler Lili.— D’accord Madame, pardonnez-moi.Le vouvoiement, le « Madame » lui était sorti spontanément. Elise fut agréablement surprise. Ils ne dirent rien mais ils comprirent que quelque chose venait de se produire.
A suivre...
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