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Un inconnue découvre un paria dans sa famille

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Elle m’avoue m’aimer dans une fellation dont elle a seule le secret, merveilleuse. Jamais, vous entendez, je vous prends à témoin, jamais plus je ne la torturerai comme ce samedi de mars. Son corps boursoufflé de partout me fait encore plus mal qu’elle ne souffre. Pourtant, je jouis dans sa bouche. Je la couche, la couvre de mon affection. Le corps ruiné, une fatigue excessive, elle s’endort.
À mon réveille, elle porte encore toutes les traces de ses supplices. Elle me porte mon appareil photo. Je la prends sous toutes les coutures. J’en fais un montage, une sorte de mini-film. Il n’y a que son visage que je n’ai pas touché et je m’en voudrais bien de le toucher, si ce n’est pour le caresser, l’embrasser. Dans ma salle de bain, en douceur, je lave son corps, le soigne encore, apaise ses douleurs encore bien présente.
Isabelle débarque, m’engueule comme du poisson pourri. Sidonie lui rendre dans le lard, bille en tête. Elle prend ma défense et elle la niaque pour clouer le bec de ma délicieuse petite sœur. Pour m’avoir insulté, grondé, elle connait le prix à payer, le martiner sur ses seins bien fermes encore. Elle se plie à notre loi, la même pour toutes mes clientes. Je me lâche encore, ne me retenant pas. Isabelle est debout devant moi, torse nu, ses mains dans son dos et compte. Elle compte jusqu’à vingt avant que je n’arrête, que je masse cette poitrine, masturbe son sexe par-dessus son pantalon. Ce pantalon dont elle sait que je déteste voir ça sur le corps d’une femme.
« La prochaine fois, j’ajoute une règle qui interdit le port du pantalon, un short court et moulant à la rigueur. Sinon, jupe et robe uniquement ! »
« Applique cette règle dès ce jour, mon grand frère, je l’accepte d’avance. »
« Moi aussi, Maître, je propose même que jupe et robe devront être très courte, mi-cuisse étant la longueur maximum. Pour les robes, qu’elles s’ouvrent que sur le devant et facilement. »
« Sidonie, tu me plais et mon frère a bien de la chance. Tu sais ce que j’attends de toi ? »
« Oui Maîtresse, ma plus grand dévotion. Je crois l’avoir prouvé hier soir. »
Ma sœur n’a pas de réponse, c’est assez rare pour que je souligne. Sur sa jolie petite bouche, je dépose mes lèvres. Malgré ses douleurs, elle m’enlace tendrement, ma petite nièce. Quand elle se libère de moi, c’est pour mettre un petit tablier rouge et nous servir une bonne bière. Nous allons sur le balcon quand on sonne à ma porte. Merde, je l’avais oublié, la folle de province, c’est elle !
Sans se démonter, Sidonie va ouvrir.
« Monsieur mon Maître est sur sa terrasse, veuillez me suivre. »
Elle m’épate ma petite Sidonie. Ma folle de province découvre le corps meurtri de Sidonie. Je ne sais pas ce qu’elle en pense, mais elle est tout pâle en se mettant à genou à mes pieds, ses mains sur le sol.
« Avoue tes péchés, salope ! »

La liste n’est pas longue, mais assez pour qu’elle mérite la cage. Ce n’est pas la même que pour Sidonie. Oh, elle est encore plus petite, tout juste la place pour se tenir accroupie. Nue, à coup de pied dans son cul, son très gros cul, elle rampe presque. Oui, elle ressemble plus à une contrebasse qu’à une femme, mais elle a son charme. Dans la cage, accroupie, elle passe sa tête et ses mains dans les orifices prévus. Je ferme tout, attachant ses genoux de chaque côté de la cage.
D’une paire de ciseau, je coupe ses cheveux, c’est son vice, se faire tondre. Devant elle, et elle est gâtée, elle a deux spectatrice pour bien l’humilier. Bien assise, j’encourage mes deux spectatrices à bien se moquer de ma folle de province. Les cheveux tombent sur ses épaules, les insultes fusent, la folle est humiliée et cela la fait mouiller. Une tondeuse, je retire tout ce que je peux avant de la raser intégralement en prenant mon temps. Son cul est ma cible préférée, je le garnis de petites aiguilles, elle pousse de petits gloussement à chaque fois que l’une d’entre elles pénètre très lentement ses fesses. D’une petite baguette de bambou, je frappe ses mains, le creux de ses mains renversées. Elle ne peut les refermer, ses doigts sont solidement attachés à la cage. J’étale la mousse, rase un peu, plante quelques aiguilles, agace ses seins de mon petit bambou pendant que deux femmes superbes devisent sur elle en se moquant encore plus. Ma folle n’est pas une masochiste, cependant, elle ne déteste pas mes sévices. Elle, c’est une sale, oui, chez moi, elle remplace mes WC pour soulager ma vesse et elle remplace avantageusement le rouleau de papier hygiénique. Elle aussi mon vide ordure, mangeant mes restes de repas dans sa gamelle.
Son crâne lisse comme la peau d’un bébé, je relie ses mains à son cou. Dehors de la cage, je l’entraine dans ma salle à manger, sous ma table spéciale. Encore accroupie, les chevilles attachées à ses cuisses écartées, on ne voit que sa tête sortir sur la table, ainsi que ses mains. Sur son crâne, je coule un peu de cire chaude, y pose une bougie allumée, de celle en cire pure. Dans le creux de ses main, c’est deux bougies, bien large. Déjà, la cire coule sur sa tête, ses mains. J’invite Sidonie et Isabelle à s’assoir, boire un verre, toute lumière éteinte. Un apéro à la lueur de bougies, c’est très agréable. Déjà le visage se garnit de cire rouge. Par de petits trous sur la table, je passe de la ficelle avec des nœuds de pendu à l’extrémité de chacune. Je masse ses tétons, y fixe les nœuds que je serre juste ce qu’il faut. Sidonie nous prépare de quoi souper. Isabelle met la table, je soulève les seins de ma folle. Ses tétons viennent à fleur, sur la plateau de la table.
« Tu es prête ? Je sais que tu en rêve comme ces aiguilles dans ton gros cul de salope ! »
« Monsieur, j’en ai envie cette fois. »
« Oui, seulement cette fois. Tu te souviens du mot magique ? »
« Oui monsieur. »
Sur ses tétons que j’étire encore, je les traverse de deux aiguilles en croix. Elle serre les dents, se mord les lèvres. Le tout devant mes deux gourgandines. C’est la première fois que j’ai des spectatrices qui m’observe, me regarde, me juge. Cependant, si critique il y a, elles m’encouragent à persévérer dans ma ligne de conduite. Ma folle ne plus parler, sa langue est recouverte de cire. Je chausse mes pantoufles spéciales, celle avec des punaises sur l’avant. Je me mets à griffer ses fesses. Elle grimace, elle connait le code, comme Sidonie, elle encaisse, souffre, mais je sais qu’elle aime trop ça. Aussi, comme récompense, j’oblige Sidonie à se gaver de son sexe.
Attachée, presque punaisée, elle ne peut que subir cette langue qui se comble de cyprine. Il ne faut guère de temps pour voir ma folle de province jouir enfin. Moment de délivrance que de jouir avec ma permission. Je souffle les bougies, retire les aiguilles, mais sans prendre de précaution. Ma queue sortie, je trempe mon auriculaire dans de l’eau glacée. Déjà sa bouche pompe mon sexe, boit mon urine qui coule en abondance. Ça lui coule sur le corps. Si on peut encore me surprendre, je ne pensais pas à ma sœur, émoustillée, elle va lécher cette poitrine et des plus goulument qui soi. Ma folle est particulièrement gâtée cette fois. Il ne me reste qu’à enculer son gros cul et en force. Elle connait ma façon de précéder et se met déjà en position, écartant ses grosses fesses. Son cul est plein quand mon sexe s’enfonce inexorablement à l’intérieur. Je vais et viens, je fesse copieusement. Sa chair remue comme de la gélatine, un pudding. Derrière moi, deux mains caressent mes fessent avant qu’une langue s’insinue dans mon anus. Je reconnais bien vite Sidonie. Je prie Isabelle de s’assoir sur le dos de ma folle. Ma bouche s’empresse de venir lécher cette chatte tout mouillée.
Dans ma tête, une foule de nouveaux scénarios se font jour. J’y vois Sidonie me servir d’aide en plus de sa soumission. Putain que sa bouche est bonne entre mes fesses. Jamais clientes ne m’avaient tant donné sans rien attendre en retour que mes coups. Sidonie est parfaite, docile, servante sans faille, si une, une certaine maladresse avec mes pauvres tasses. Je vais jouir plus vite que je ne le voulais, la bouche de ma nièce y est pour beaucoup, mais je ne peux lui en vouloir. Dans ce cul gros et gras, je me répands. Ma folle jouit à son tour d’être ainsi enculée, le cul plein, mon sperme en plus.
Elle hésite un instant, se retire, se retourne, sa bouche hésite, je la gifle avec violence, sa tête part à droite, je la guide sur ma queue, elle me la lave. Isabelle, perverse comme j’aime en profite pour enfoncer sa main dans le cul de ma folle. La belle hurle de douleur, la pénétration est brutal, sans à-coup, direct jusqu’au fond. Pendant un moment, j’ai bien cru qu’elle me bouffer ma queue avec ses dents. Très vite ma petite sœur se rend compte de son erreur en retirant un peu sa main. Son visage affiche le dégout, pas le mien, je suis blindé. Sidonie ne semble pas beaucoup apprécier la chose malodorante.
Ma queue propre, j’entraine ma folle dans la petite salle de bain pour lui infliger un lavement complet. Une fois bien vidée, je l’oblige à tout nettoyer de ses seules mains. Sidonie l’observe, comme si elle apprenait comment faire. Elle devine bien qu’elle passera aussi par cette étape. Pendant qu’elle lave, ma sœur tente de se débarrasser de cette odeur immonde. Je souris, me marre même. Je crois que je l’ai vexée, j’adore.
Dans le salon, un verre à la main, je regarde Sidonie. Elle semble captivée par cette folle de province. Nue, en rampant, elle vient baiser mes pieds. Je la fais se dresser, j’ai encore envie de pisser, mais sur son crâne, sous le regard brillant de Sidonie. Je ne la quitte pas des yeux du temps que je pisse. La langue tirée, ma folle essaie de me boire encore. Sidonie s’approche, prend ma queue pour mieux asperger cette femme gironde. Sa bouche sur la mienne, nous nous embrassons.
« Me faudra-t-il en passer par là, Maître ? »
« Seulement si en éprouve le besoin, comme quand tu me léchais mon cul. »
« La totale donc ! »
« Je ne fais pas dans le compromit. Avec moi, c’est tout ou rien, je préfère tout. »
« Moi aussi, monsieur. »
Je l’embrasse encore, ces aveux donnent ce gout si particulier à ma belle que je n’ai qu’une envie, la baiser sans compromit. Nous libérons ma folle, la nuit est tombée, comme à chaque visite, elle n’a plus de train pour rentrer, c’est dans la cage de Sidonie qu’elle passera la nuit. Isabelle, enfin propre, nous délaisse pour de coupables plaisirs solitaires dans sa chambre à coucher. Dans mon lit, Sidonie est baisée comme la petite pute adorable qu’elle désire être et qu’elle est.
Au matin, après avoir tout nettoyé, tout rangé, ma folle me donne mon enveloppe, je n’ai pas besoin de contrôler. Elle aurait trop à perdre si ce n’était pas la somme convenue. Après son départ, Sidonie à genou devant moi, je lui donne mes instructions. Pour commencer, mettre de la pommade sur son corps trois fois par jour, elle fait merveille sur les hématomes. Ensuite, dans l’entrée, je lui installe une chaise peu confortable près du téléphone, un carnet et un crayon.
« C’est ta place en dehors de toutes les tâches ménagères. Ici, tu prends tous mes appels, gère mes rendez-vous. Devant toi, le dossier de chacune de mes clientes, la liste de mes tarifs. Mais avant, tu vas quitter ce monde, démissionné de ton emploi ou de tes études pour ne plus vivre qu’avec et pour moi. Tu me donneras tous tes papiers que je les enferme dans mon coffre. Ta seule liberté, dès ton retour, c’est moi, uniquement moi. Suis-je assez clair ? »
« Oui monsieur mon Maître. C’est aussi ce que je désire le plus. Comment dois-je annoncer cela à mon père, Votre frère ? »
« Pas un mot, le silence. Du reste, tu ne prends rien, sauf tes souvenirs, ceux dans ta tête. »
« Bien monsieur mon Maître ! »
Je la renvoie chez elle en lui donnant la semaine pour tout faire. Elle sait que la prochaine fois qu’elle franchira ma porte, ce sera comme entrer dans un couvent avec pour seul but de me servir et me subir.
Je profite de ma semaine pour faire un meilleur aménagement de mon temps. Je commence par gérer mes rendez-vous mieux, je réserve le vendredi pour recevoir jusqu’à deux clientes maximum. C’est assez pout me faire mon ménage. C’est aussi le seul jour durant Sidonie sera la gardienne et la peau de vache de ces soumises. Son jour de congé, si vous préférez. J’en profite aussi pour me renseigner sur de nouveaux outils de travail, plus vicieux et pervers. Dans mon courrier, je reçois régulièrement des catalogues, des demandes. Pour les demandes, il faut qu’une me quitte pour qu’une nouvelle vienne la remplacer. Oh, je peux bien me débarrasser de l’une ou l’autre, cependant, j’aime à mettre les formes. Ma grosse contrebasse, ma folle de province. C’était sa dernière fois, d’où cette séance spécialement douloureuse et humiliante. Elle part sous d’autres cieux, rejoindre son compagnon.
Ce matin, parmi les demandes, il en est une qui attire mon attention. Nue, elle ne manque pas de charme, mais c’est surtout ses piercings qui m’intéressent. Un, plus particulièrement, celui dans sa cloison nasale. Aussi, j’attends le retour de Sidonie pour la convoquer. Je sais déjà ce qu’elle recherche, être prise pour une méchante petite fille. 25 ans, petite, cheveux à la garçonne, je la vois déjà le crâne rasé, promenée en laisse dans les magasins et la rue. Et puis zut, je lui écris une réponse, disant mes exigences, mes attentes en fonction de ses demandes. Et hop, dans la boite de la poste. Un petit tour chez la frangine, zut, personne. Mais j’ai ma clef. Personne, un mot sur le frigo, je suis allé rejoindre Paul en Égypte. Tout ça me dit que je ne suis pas parti en vacances, des vraies depuis bien longtemps, deux ans je crois.
La semaine s’écoule, je ne suis jamais seul. Deux clientes par jours, mon appartement brille comme au premier jour, ma lessive est repassée, rangée. C’est Sidonie qui va être déçue. Pas grave, je pourrais mieux m’occuper de son poids. 72 kilos, je compte bien la faire fondre jusqu’à 50 et au plus vite. J’ai de quoi, vélo d’appartement, tapis, rameur, c’est en haut, dans mon petit fitness. Ben oui, elle n’a pas encore tout vu.
Samedi matin, un bref coup de sonnette, j’ouvre et me prends poing dans ma gueule. Merde, mon frangin ! Il n’a pas le temps de répéter l’opération qu’il s’étale sur le sol, mon pied sur ses couilles.
« Alors, on veut violer sa propre fille et tu viens me flâner chez moi parce qu’elle désire vivre avec moi, selon mes règles, pauvre con ! Ça ne t’as pas suffi de foutre ton ménage en l’air, la famille, tu aimes détruire autour de toi. Seulement, tu vois, ici, chez moi, ce n’est pas toi qui vas faire la loi. Ici c’est moi qui dicte mes règles. »
Il veut se relever, mon pied lui frappe le crâne, il perd connaissance. Je l’enferme dans ma cage la plus solide après l’avoir soigneusement menotté. Dans ma bagnole, je fonce chez lui. Dans sa cave, après avoir mis sa maison sans dessus-dessous, je la trouve, nue, le corps encore plus meurtri que si s’avait été moi. Le fumier, il va payer !
Je pose Sidonie dans la voiture, efface mes traces méticuleusement avant de créer un accident bien involontaire. Ça a du bon l’armée ou comment foutre le bordel sans que personne ne sait comment s‘est arrivé.
Je regarde ma montre, profite un peu pour prendre tout ce qui était à moi et ma sœur. Il a tout gardé ce con, je subodore qu’il se branlait dans les culottes d’Isabelle quand elle était petite. Il ne perd rien pour attendre.
« ça va ? »
« Mieux quand je suis près de vous. Il m’a fouetté jusqu’au sang parce que je ne voulais rien dire. »
J’en rage, je fulmine, j’ai des envies de meurtres. Je roule vite avant qua la main de Sidonie ne se pose sur mon bras. Son sourire me calme. Je m’arrête, l’embrasse en lui caressant sa petite chatte. Si elle ne peut jouir, cela va la détendre, lui faire un peu oublier. Mais s’il l’a baisée, il va crever à petit feu. Dans sa cage, cette pauvre cloche de frangin n’en mène pas large. Il ne peut bouger sans avoir très mal. Nous croisons les pompiers, les flics et même une ambulance. Je souris, mon truc a fonctionné. Ils ne trouveront rien que des cendres à leur arrivée. Dans ma pièce hard, je couche Sidonie, l’embrasse tendrement. Le frérot ne peut que nous regarder. La radio annonce une maison qui à bruler à une cinquantaine de kilomètres. Il comprend vite qu’il s’agit de la sienne, de cette de notre enfance, le frangin. J’appelle Isabelle, lui annonce la nouvelle. Elle sera de retour dans deux jours.
« Tu vois, il ne fallait pas te mettre entre elle et moi ! T’es qu’un salaud doublé d’un fumier encore plus pervers que moi. Seulement avec moi, on vient me trouver, toi, tu veux prendre, jouir et ç ne fonctionne pas. Sinon, ta mâchoire, ça va ? Oui, mieux ! Bon, écoute, j’ai un truc à te proposer, un seul. Tu vas mettre les voiles, foutre le camp à l’autre bout du monde et je ne veux plus rien savoir de celui qui était notre frère. J’ai 25 000 en liquide dans mon coffre. Je te les donne et tu disparais sur l’heure. J’ai ton passeport et un coup de fil pour te réserver un billet d’avion pour où tu veux pourvu que cela soit très loin de nous et de nos vies. Oui, Sidonie ? »
« Je peux lui mettre mon pied où je pense, monsieur mon Maître, mon amour de Maître ? »
« Ma belle, dans les histoires de famille, il n’y a ni dieu, ni Maître. Voilà la clef, tu ouvres, tu frappes et tu refermes. Ça te va, ma douce colombe ? »
Et comment que ça lui va. Le pauvre frangin perd encore connaissance. En riant, je gronde Sidonie qui se tortille comme une enfant ayant fait une gaffe. Je l’embrasse amoureusement, l’envoyant prendre sa pommade que je soigne son corps. Ce con, il me prive d’elle pendant au moins une semaine.
Je profite de son évanouissement pour le mettre sur le ventre sur ma table spéciale sodomie. Sidonie est prise d’un fou rire ne voyant son père ainsi plié en deux. Je retire le bâillon de sa bouche pour le laisser nous insulter. Ce qu’il ne se gêne pas de faire. Derrière lui, Sidonie a déjà mon gode spécial et s’apprête à …
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