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L'inconnue du train de l'ouest

Chapitre 3

Divers
De retour dans la chambre d’hôtel, épuisés l’un et l’autre, Charles la laisse tranquille.... Il est encore sous le coup de ce qu’il vient de vivre, Virginie... quel dommage qu’elle ne soit pas parisienne.... Mathilde lui sourit.... « Vous ne m’avez pas touchée, mais en avez eu pour votre argent non ? ». Elle le choque, il s’agit bien d’argent.... Mais... oui, ça se comprend... : « Oui, et puis le week-end n’est pas fini.... ». « OK disons qu’il se termine demain à ..., je ne sais pas moi, à quelle heure est votre train... ? Disons fin du contrat à dix heures ? J’aurais dû poser la question plus tôt ».
La nuit est relativement calme, sauf pour Charles qui rêve de Virginie.... comme il aimerait redécouvrir avec elle les plaisirs de l’exploration des délices du sexe.... il se réveille avec les premières lumières du soleil d’hiver. Mathilde dort, lui tourne le dos. Il décale ses jambes, doucement, légèrement, pour accéder à sa fente, par derrière, y glisser ses doigts... la caresser doucement, et la sentir mouiller pendant son sommeil.... la pousser sur le ventre jusqu’à ce que, dans un demi sommeil elle se trouve en position pour qu’il puisse la pénétrer.... Il commence de lents mouvements de va et vient, enfonçant sa queue lentement, la laissant prendre conscience, se réveiller, ce n’est pas un rêve érotique.... Elle répond à moitié endormie, ses hanches roulent, plus ou moins complices, lui faisant sentir l’intérieur de son ventre, qui masse son membre qui durcit encore, il sent la chair gonflée qui roule autour de sa queue.... Elle est réveillée.... Elle projette sa croupe vers lui, et son membre heurte sa chair tout au fond.... « Attends, laisse moi me retourner... ». Tiens, elle le tutoie, il s’en aperçoit à peine, il commence à être très excité, l’aide à se mettre face à lui, la reprend.... Elle noue ses jambes derrière ses reins... collée contre son pubis, elle cherche la meilleure position, la trouve, se frotte sur le gland tout au fond.... Il commence à la baiser, de toutes ses forces, pour la dernière fois, il y va à fond.... de grands bruits de chairs qui se heurtent, des bruits de succion, humides, qui en disent beaucoup sur son excitation à elle.... Les yeux perdus, la tête qui se balance d’un côté à l’autre, elle jouit, si vite, son con se contracte, et emprisonne presque sa queue dans des spasmes d’une puissance inattendue.... « Encule-moi » elle soulève sa croupe, offre son petit trou sur lequel il place le bout de sa queue... « Mets-là, vite... » et elle crie lorsqu’il l’enfonce d’un coup brutal.... Elle l’encourage « Vas-y, encore, HEI ! HEI ! HEI ! » et elle se laisse encore aller dans un orgasme violent tandis qu’il continue de labourer son cul.... « VAS-Y !!! DEFONCE-MOI ».... Il se laisse emporter, baise son cul dans un état d’excitation incontrôlable.... Finalement il décharge, vide ses couilles.... se retire, aperçoit le réveil sur la table de nuit, 9h15.... MERDE !!!!!!!!!!!!!
Douche rapide, heureusement il n’a pas a soigner trop son apparence. Tenue de sport, collants contre le froid, gants, bonnet.... Bizou à sa petite comédienne.... Merci, je garde ton numéro.... oui, on se reverra peut-être.... J’ai passé de bons moments.... au revoir.... je dis à la réception que je paie en partant....
Et il trouve ses partenaires d’entrainement devant l’hôtel, juste comme ils arrivent. « L’heure juste ! ça fait plaisir de voir des gens ponctuels... Vous avez passé une bonne soirée ? ». Est-ce qu’il y a un sourire derrière cette question purement polie ?Ils partent, Ils ont le même niveau, pas de souci pour suivre, et il ne provoque pas, après son petit exercice matinal, on ne cherche pas les difficultés.... Course le long des quais, il fait frais, il y a un peu de vent, pas trop encore, même si ça se lève légèrement, ce n’est quand même pas chaud, question vêtements il a vu un peu juste.... Il laisse aller, il suit.... Il... frémit... son ordi, ses notes.... mes notes... nom de dieu mes notes, mon pc... il est protégé... MERDE... il suit... accélère un peu... « Ah tu veux jouer... » le plus athlétique de tous repasse devant lui, accélère..., on passe à un autre train.... merde le con... il suit, avec du mal.... Heureusement le premier tour est terminé, il arrête, s’excuse, ne se sent pas bien.... celui qui a accéléré en le reprenant sourit.... « Au revoir alors, See you ! » et ils repartent. Tout cela ne portera pas à conséquence c’est moins grave que son portable.... Il monte en courant dans sa chambre.... Elle est partie... la sacoche est là, l’ordi aussi, les papiers, ses notes.... OUF, tout est là... quand même il a été léger... il n’est pas passé loin.... Souviens-t’en....
Sa nouvelle réservation pour le voyage retour a été déposée à la réception. Il paie. « Si je pouvais avoir deux factures, une avec mon séjour seul, et une pour la personne qui m’accompagnait... ». « Bien monsieur.... ». Il paie en deux fois. Deux tickets de carte bancaire. Train, retour, moins de monde, tranquillement dans le wagon "salon" il reprend son ordi, ses notes.... Tout est là.... Sueurs froides rétrospectives.... prépare son compte rendu pour lundi, il finira dimanche....
Téléphone.... Un coup d’œil sur l’écran... son cœur bondit.... "Virginie, ma putain".... Il prend.... il est seul, ou presque, se lève malgré tout... « Virginie, une seconde, excuse-moi, je range mes papiers.... ». Tout est rangé quand il quitte sa place, sauf sa sacoche qu’il ne quitte pas des yeux.... Il se met dans un coin, le plus loin possible des autres passagers.... « Excuse-moi, quel plaisir de t’entendre... ». Elle a attendu. Une voix encore un peu ensommeillée... troublante... « J’ai pensé à toi toute la nuit... tu m’as donné tellement de plaisir, j’en suis encore toute mouillée.... ». Le sang lui monte aux joues... comme un collégien... Il avoue aussi « J’ai rêvé de toi... de notre rencontre ». « Pas seulement de notre rencontre n’est-ce pas ? Tu as rêvé comme moi.... tu m’aimais, tu me faisais l’amour dans ton rêve ? ». Mon dieu que cette fille est troublante.... « Oui, je te faisais l’amour.... ». « Raconte-moi...». « Virginie, .... C’est délicat... dans le train... on pourrait m’entendre... ». « Raconte-moi..., je t’en prie... je te dirai tout ce que j’ai fait cette nuit, tout ce que je fais en t’écoutant ». Il se sent des papillons dans l’estomac, le sexe qui réagit malgré les excès de ces derniers jours.... Elle le rendrait fou cette fille si elle habitait Paris.... Après tout il a le temps.... « Raconte-moi, comment tu me baisais, tes caresses, ta bouche.... peut-être que je te branlais.... ». Il va se mettre à bander encore, il est tout rouge, il en est sûr.... Comment peut-elle parler ainsi.... Le téléphone, il n’a jamais fait ça.... « Oui, je t’aimais, j’étais contre toi, j’ai enlevé ta robe sans vraiment te toucher, et tu étais nue contre moi, et mes lèvres tenaient un de tes tétons, ma langue le caressait... ».
« Tu sais je suis nue dans mon lit... bien au chaud... toute nue... et toute mouillée en pensant à toi... je vais pincer la pointe de mon sein droit... juste un peu... tu ne veux pas me faire mal hein ? ». « Non, je ne veux pas te faire de mal... juste les pincer un peu entre mes lèvres, l’un puis l’autre, puis les sucer... les lécher.... ».« Mes seins ne sont pas assez gros, je ne peux pas les lécher vraiment... je les pince un peu... » Elle gémit doucement.... Elle explique : « je me suis pincée jusqu’à ce que je me fasse un peu mal pour que tu entendes...., ça t’a plu de m’entendre ? ».« Oui, ça m’a rappelé tes soupirs, tes cris de cette soirée.... Je les entendais dans mon rêve.... ».« Tu m’entendais jouir ? C’est peut-être parce que je me caressais.... je l’ai fait si souvent dans la nuit, j’ai joui en pensant à toi, à ta.... tu sais... ta .... ton sexe... dans mon ventre... j’ai joui.... je me suis fait jouir en y pensant.... mes pensées sont venues dans ton sommeil.... Dis-moi encore ce que tu me fais....».« Ma bouche descend sur ton ventre... pour trouver ton sexe, lisse, si doux, et cette fente, si fine, et la chair rose que j’ai entrevue, que j’ai embrassée, léchée... sucée, ton sexe si mouillé, qui s’ouvrait sous mon baiser... que je fouillais avec ma langue ».« Tu me rends folle, je mouille comme... je ne sais pas quoi, je vais bientôt mouiller mes draps... tu veux que je me caresse ? J’en ai envie.... ».« Oui, caresse-toi, pense à ma bouche, collée à ton sexe... ta fente... ma langue qui glisse, t’ouvre, ma bouche qui suce, je buvais dans... dans ta chatte... c’était doux, et je suçais ton clitoris de temps en temps.... ».« MMMM Comme j’aimais ça.... tu étais le premier, d’autres m’avaient caressée, masturbée, mais tu étais le premier à embrasser ma.... ma chatte, mon minou... je l’avais rasé exprès pour ce soir. J’ai glissé un doigt dans mon minou en t’écoutant, profond. Je joue... tu entends ma voix... il y a du plaisir pour toi dedans, j’en mets un deuxième... ça te plait ? Je vais attendre avant de jouir, je vais rester sage, juste à jouer un peu avec mon minou.... ».« J’embrassais ta bouche avec ma bouche encore couverte de ce nectar qui coulait... tu aimais ça... tu suçais mes lèvres. ».
« Oui comme ce soir... dans mon rêve aussi je suçais tes lèvres pleines de mon jus... c’était pour dire j’accepte ça... je ne l’avais jamais fait.... j’accepte ça de toi... parce que les garçons quand je les ai sucés ils n’aiment pas que je les embrasse... toi, je l’ai accepté, et c’était bon.... Je fouille mon minou avec mes deux doigts tu sais... j’aime çà... c’est bon.... en t’écoutant... tout de suite, je le fais, je pense à ta ... à ta queue... c’était si bon... quand tu me l’as mise.... ».« Je te prenais, dans mon rêve, je te prenais... ma queue te pénétrait, et tu mettais tes jambes autour de mes reins, et je me mettais à te pilonner, à pousser ma... queue... aussi loin que je pouvais pour que tu la sentes au fond de... au fond de ton con... je te poussais, tu relevais ta croupe, pour en prendre autant que tu le pouvais, je poussais ma queue de plus en plus fort... »« MMMMMMMMMMMMMM !!!!!! OOOOOOOOOOO !!!!! OOOOO !!!!!!!! ................... oooooooo, tu as entendu ? J’ai joui, un vrai orgasme, fort, pour toi.... j’aime comme tu racontes...., dis-moi ce que tu me feras quand on se retrouvera.... ».« Virginie, j’ai entendu, c’est tellement troublant... »« Ça te fait de l’effet ?, tu bandes ? »« ........... »« Je t’ai dit que j’étais toute mouillée, tu sais j’ai mouillé mes draps.... dis-moi ? Tu bandes en me disant tout ça, en m’écoutant jouir ? ».« Oui, Virginie, je bande... je suis raide, je voudrais... je voudrais te la mettre encore... te baiser comme un fou... te faire l’amour, te couvrir de sperme... t’en donner à boire... »« Quand on se reverra je te caresserai, je te branlerai, comme j’ai branlé mes copains... j’aimais tellement le moment où ils déchargeaient... j’en avais plein les doigts... j’ai goûté... j’aimerais te branler... et goûter ton sperme...caresse-toi que je t’entende.... ».« Virginie, je suis dans le train.... »« Rires.... excuse... imagine, le contrôleur... ».Il rit aussi, ce voyage l’a complètement mis de travers....Elle jouit encore.... il écoute, ça l’excite : « Jouis ma belle, jouis, fouille ta chatte, pince ton clitoris, tes seins... jouis, je te baiserai toute la nuit... je prendrai ton cul, je te lècherai, je te mordrai, je te laisserai me branler... me sucer.... »Accrochée à son mobile elle explose.... il entend, écoute, elle lui parle dans son orgasme : « je jouis pour toi, je suis ta putain, tu me feras tout ce que tu voudras... ». Le tunnel, la communication est coupée.... Fin du tunnel il rappelle : « Virginie, ... non je n’ai pas coupé il y a eu un tunnel... je te rappelle dès que je suis chez moi... Oui, je le ferai pour toi... Oui, je bande... oui, promis, quand nous nous verrons je te promets que tu pourras me branler, me prendre dans ta bouche. Oui tu seras ma putain...».Il l’a rappelée... et elle l’a entendu... il a joui pour elle, il a goûté son sperme, lui en a décrit le goût... elle a décrit son minou béant et trempé, ses doigts qu’elle retire de sa fente, qu’elle suce.... Elle lui dit qu’elle conserve ses sous-vêtements rouge, intacts, qu’elle ne les lavera plus, qu’elle s’est essuyée avec, qu’elle les portera quand ils se retrouveront....
EPILOGUE
Le lundi il retourne au travail, sérieux, redevenu d’équerre, sacoche, ordinateur, notes mises au propre, rapport, compte rendu moins formel... il est prêt. Il croise son supérieur dès son arrivée : « Charles bonjour, tu as cinq minutes que l’on parle avant la réunion de dix heures ? »Il entre dans le bureau, s’assied, attend deux minutes, et son patron entre, il est avec un autre homme inconnu. Inquiétude... tout d’un coup... quelque chose d’anormal dans cette présence... « Je te présente Richard, il fait partie des services de sécurité. ».« Bonjour Charles, ce que j’ai à dire n’est pas facile à entendre en général. Compte tenu de la mission qui allait vous être confiée, [qui allait ?] vous étiez sous surveillance et tout allait bien. Puis nous vous avons soumis à la tentation... Pouvez-vous regarder ces documents ? et me dire d’où ils viennent ? ».
Il a compris, rien qu’à l’allure des papiers qui lui étaient tendus, la configuration de ses notes.... LA GARCE !!!!« Nous craignons que vous ne tombiez dans les pièges habituels des concurrents.... Vous êtes désormais considéré comme inapte à certaines missions. ».« La "comédienne" ? »« Oui mais pas seulement, c’est un agent expérimenté, normal que vous tombiez dans le panneau, elle avait tous les atouts, et on aurait seulement fait quelques exercices et un bon débriefing... mais Virginie, là... elle vous mène par le bout du nez, et vous fait faire des choses... n’est-ce pas... je suis convaincu que vous retomberiez dans un panneau du même genre.... La décision est sans appel. ».Au fond, au fond il est soulagé, ne pas entrer dans ce jeu là... ça vaut mieux.... il conservera une conscience un peu plus tranquille....« J’ai demandé au lieutenant qui vous a surveillé de venir vous faire un compte rendu, cela pourra vous servir ». Il sortit son mobile, dit deux mots."Mathilde", enfin peut-être, entra, salua attendit qu’on la prie de s’assoir...
« Voilà, j’avais beaucoup d’atouts mais nos adversaires ont les mêmes. Je savais tout sur vous : votre santé, votre compte en banque, votre goût pour la course à pied.... Mais je sais aussi quels sites internet vous fréquentez... les plus innocents comme certains sites littéraires, culturels, sportifs ... et les autres... je connais vos goûts... vos curiosités... d’où la sortie dans le club "libertin" pour votre côté voyeur... malgré tout je ne pensais pas que vous tomberiez à ce point sous le charme de "Virginie". Elle n’est pour rien là-dedans, juste un peu manipulée pour l’amener dans la boîte, pour le reste, elle est comme elle est.... ».« Je n’ai rien à dire, sinon que j’admire la conscience professionnelle du lieutenant qui s’est dévouée avec beaucoup d’enthousiasme à sa mission, et a donné beaucoup d’elle même pour la réussite de ses entreprises.... »Comme il se levait, qu’il allait donner deux claques à Mathilde, Richard l’arrêta : « Mathilde est un officier du renseignement, elle peut vous jeter à terre avant que vous ayez eu le temps de préparer complètement votre geste.... Prenez quelques jours de congé... Virginie est vraiment folle de vous.... »Il ne lui restait plus qu’à sortir, après tout....
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