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Infidélité au travail

Chapitre 3

Moments coquins

Erotique
La semaine suivante, nos horaires étant d’après-midi, nous ne nous voyions que quelques minutes pendant ma pause de dix-neuf heures. Ses collègues caristes circulaient dans la petite cour où nous discutions. Fabrice et moi ne pouvions nous toucher, mais nos regards enflammés en disaient longs sur le rapprochement que nos corps réclamaient.

— Tu es plutôt ouverte ou de l’ancien temps ? Demanda Fabrice.
Les sourcils froncés, je me demandais s’il me parlait de l’ouverture de mes orifices avant de comprendre qu’il faisait allusion à mon ouverture d’esprit.
— Je suis ouverte, répondis-je, un sourire espiègle sur les lèvres.— C’est bien ça, dit-il le regard brûlant.— Qu’est-ce que tu voulais dire en parlant de l’ancien temps ?— Eh ben, un peu catholique, suivant un ordre des choses très précis.
Un rire surprit m’échappa.
— Oh non, non, non ! Sinon, je ne serais pas là et je ne t’aurais pas donné mon numéro.« Il croit que je fais l’amour après un certain nombre de rendez-vous ou que je raffole des longs préliminaires ? »— Pourquoi m’as-tu choisis, moi ? Demanda-t-il.— Parce que je ne voulais personne d’autre. Mais surtout à cause de tes regards. J’espérais que tu ferais le premier pas. J’attendais. Jusqu’au jour où le superviseur m’a fait comprendre que je pouvais me faire virer parce que je suis inapte sur mon poste. Je ne voulais pas partir sans avoir fait le premier pas. Je n’étais même pas sûre que tu y répondrais.— Qui ne tente rien n’a rien, dit-il le sourire aux lèvres et le regard brûlant. Ton mari ne te touche plus ?— Si, mais c’est la routine. Tu sais ce que sait…
Fabrice me dévisagea pensivement. Ma fille aînée et son fils ayant le même âge, il comprenait ce que je voulais dire.
Fabrice sortit un cigarillo d’une boîte métallique. Fascinée, le regard gourmand, je suivais des yeux la pointe de sa langue le lécher sur toute la longueur, le sucer à une extrémité jusqu’à la moitié, puis recommencer de l’autre côté. Son jeu sexy fit jaillir un feu brûlant dans mon ventre.
— Il va commencer à faire frais le matin pour faire l’amour dans la nature, dit-il.— On grelotera l’un contre l’autre, dis-je en riant.— Ma femme va bientôt commencer à bosser. Je serai plus libre.— C’est bien ça.— Oui, j’ai hâte de découvrir si la demoiselle est à la hauteur de tout ce qu’elle m’a dit jusqu’à maintenant.— Oh ça oui, rétorquai-je d’une voix sensuelle.
Je voulais sentir ses doigts caresser ma minette fraîchement épilée, qu’il y glisse son index dans mon intimité brûlante et trempée.
— Ça va être torride ! S’exclama-t-il.— Je l’espère bien.
Je ne voulais pas lui révéler tout ce j’aimais sexuellement, préférant le laisser me découvrir et prendre l’initiative de réaliser quelques uns de ses fantasmes.
D’expérience, je savais qu’à notre premier rendez-vous mon désir sera si puissant que je me jetterai sur lui avec gourmandise.
— J’ai envie d’une branlette espagnole entre tes beaux seins !
Sa voix sexy et son regard torride me firent mouiller mon tanga bleu en dentelle. Mon pied gratta subitement le sol comme un étalon excité. Je ne contrôlais plus mon corps qui s’exprimait d’une manière inhabituelle. Le visage en feu, je ne parvenais plus à soutenir son regard. Des visions de son sexe durcit entre mes seins les inondant de sperme me donnaient incroyablement chaud.
— Après, je te prendrais en levrette, continua-t-il.
Je m’imaginais aussitôt à quatre pattes, les orifices offerts, ses grosses mains empoignant mes hanches et son sexe au fond de mon ventre.
— Quoi ? Tu m’as dit que tu étais ouverte, non ?— Oui, répondis-je la bouche sèche.
Un sourire satisfait étira ses lèvres fines.
— Tu vas tuer ma routine, dis-je, excitée.— C’est ce que tu attends de moi, n’est-ce-pas ? Rétorqua-t-il, sûr de lui.
Je lus dans ses yeux qu’il ferait de moi sa proie, me soumettant à ses désirs les plus fous. Nous savions l’un comme l’autre que je n’en attendais pas moins.
Soudain, il se palpa le ventre, par-dessus son bleu de travail.
— Tu as trop mangé ?— Non, l’excitation me tend en bas, mais je suis trop poli pour me tenir devant une dame.Sa sensualité, dénuée de vulgarité, me séduisait.— J’ai hâte qu’on ait notre premier rendez-vous, déclarai-je.— Moi aussi.

*******

Depuis que j’avais donné mon numéro à Fabrice, je vivais dans un état d’excitation quasi permanent. Lorsque je pensais à lui ou que je le voyais, ma minette se liquéfiait, mon vagin se dilatait, inondant ma lingerie. Comme il obsédait mes pensées, je me caressais plus souvent que d’ordinaire. Mon désir intense de Fabrice se transformait en manque. Mon besoin irrépressible rendait mes orgasmes plus difficiles à atteindre, laissant mes draps trempés de cyprine. Je me réveillais au milieu de la nuit avec une puissante envie de le toucher, le goûter, et qu’il me pénètre enfin.
Le lundi matin suivant, Fabrice et moi, nous réfugiâmes sous les branches accueillantes d’un sapin, en bordure de la petite cour des livraisons. Ses mains froides glissèrent sous mon t-shirt pendant que nous nous embrassions passionnément.
— J’adore tes seins, déclara-t-il d’une voix sensuelle.— J’ai une surprise pour toi dans ma poche, dis-je en guidant sa main.— Qu’est-ce que c’est ?
Sa main s’enfonçant dans l’ouverture, ses doigts frôlèrent mon string noir, en dentelle. Un filet de mouille s’écoula sous l’effet de la caresse.
— Oh ! S’exclama-t-il.
Ses doigts dessinaient des cercles sur mes lèvres gonflées de désir. Il gémissait pendant que nous nous embrassions. Je le pressais contre moi.
— J’ai envie de toi, murmura-t-il.— Moi aussi.
Excitée, je glissais ma main sur son entre-jambe, par-dessus son pantalon. Un soupir m’échappa en sentant son sexe érigé et ses testicules gonflés. J’avais très envie le prendre en bouche et de le sucer avec avidité jusqu’à le faire jouir sur ma langue.
Malheureusement, l’heure de nous séparer arriva. Le matin, nous n’avions que dix minutes pour profiter l’un de l’autre avant de commencer le travail. Le temps passait trop vite entre ses bras.
— La journée commence sur une très grosse envie, murmura-t-il déçu.
Je ne pensais qu’à lui sur mon poste de travail. J’avais tellement désiré sentir son doigt épais à l’intérieur de moi, mais il s’était contenté de me caresser sagement par-dessus mon string, sans même taquiner mon clito.
« Peut-être par timidité ou respect. », pensai-je. « Ou alors si sa femme est coincée dans les temps anciens, peut-être ne lui avait-elle pas apprit à lui donner du plaisir, si elle ne savait pas s’en donner. »
Je décidai de lui apprendre à me faire jouir à notre premier vrai rendez-vous. Étant très sensible au plaisir, j’avais des orgasmes multiples. Lorsque Fabrice aura ouvert ma Boîte de Pandore, il ne me lâchera plus. Je voulais qu’il devienne mon meilleur amant.
Cependant, j’avais conscience qu’il deviendrait aussi un excellent amant pour sa femme. S’il lui faisait plus régulièrement l’amour depuis le début de notre relation, elle en serait ravie.

*******

Fabrice et moi n’avions pas pu nous voir pendant les trois jours suivants. Je ne m’étais pas caressée, sachant que je serais frustrée de ne pas parvenir à l’orgasme. Mon mari ne m’avait pas fait l’amour, non plus.
Vendredi matin, mon bel amant arriva en même temps que moi. Son regard s’illumina à ma vue.
— Je te retrouve tout de suite, murmura-t-il discrètement à mon oreille, en me faisant la bise.
Sa barbe de trois jours piqua mes joues. Cela le rendait à la fois plus mystérieux et plus viril. Il partit en direction de la cour des livraisons, en passant par la remise accessible uniquement aux caristes. J’y accédais par une autre issue.
Me dirigeant vers notre sapin, un camion de livraisons était stationné à proximité. J’avais déjà repéré les habitudes du routier endormi dans sa cabine. Camouflée sous les branches épineuses du sapin, je guettais un coin discret que j’avais repéré deux jours plus tôt. Du mouvement dans la cabine du poids lourd attira mon attention, le routier prenait place au volant. Les feux s’allumèrent inondant le bitume et les bas-côtés de lumière éblouissante. Il démarra dans un bruit pétaradant. La longue remorque défila lentement devant mes yeux.
Soudain, la voix grave et l’accent vosgien de Fabrice me parvint. Une autre lui répondant, j’en conclus qu’il avait croisé quelqu’un qu’il connaissait. Tremblante de froid, j’étouffais le claquement de mes dents.
— Dépêche-toi de venir me réchauffer ! Chuchotai-je à son intention.
Je lui envoyais un message sur son portable :
— Je suis au sapin. J’ai découvert un coin discret.
Mon ouïe fine perçue des pas feutrés se rapprocher. Puis, je vis sa tenue de travail et son gilet jaune, reconnaissant sa silhouette, je me montrais.
— C’est ici que tu te caches ? Demanda-t-il d’une voix sensuelle.
Sa langue pénétrant soudainement ma bouche me surpris. Me serrant contre lui, il me faisait reculer. Les branches courbées dans mon dos, les épines se prenaient dans mes tresses.
— Je crois qu’on ne peut pas aller plus loin.
Fabrice m’embrassa encore, sa main se faufilant sous mon t-shirt. Ma peau se hérissa sous ses doigts frais enveloppant mon sein gauche. Un soupir m’échappa.
Sa main abandonna rapidement mon sein pour se glisser dans ma poche trouée. Ses doigts écartèrent le fin tissu en tulle blanc de mon shorty bordé de broderies. Mon clito gonfla et durcit sous la caresse experte.
— Humm, gémit Fabrice excité par la douceur de ma minette trempée d’envie.
Ses doigts exerçaient de petits cercles sur mon clito. Excitée par mon plaisir et mon désir, je craignais de ne pas atteindre l’orgasme et d’être encore frustrée.
« Je veux jouir pour lui ! », pensai-je, sentant mon nectar s’écouler sur ses doigts.
Avide de désir, j’ouvris discrètement mon pantalon, y guidais sa main. Plus libres de leurs mouvements, ses doigts reprirent leurs délicieuses caresses. Des soupirs franchissaient mes lèvres, alors que mon bassin ondulait instinctivement contre lui.
Ma main gauche dans ses cheveux soyeux, de la droite, je le plaquais contre moi, alors que les spasmes de l’orgasme secouaient mon corps tout entier. Sa langue caressant la mienne étouffait mes gémissements.
Ses doigts très habiles glissaient sur mon clito gonflé me portant plusieurs fois de suite au septième ciel.
Je caressais son sexe au gland gonflé par-dessus son pantalon. Désirant le sentir profondément en moi, je guidais ses doigts à l’entrée de mon vagin. Fabrice soupira de désir entre mes lèvres. Il exerça un cercle à l’entrée brûlante et humide, puis y enfonça son doigt. Un gémissement grave s’échappa de ses lèvres.
— Ça glisse bien, chuchotai-je.— Oh ouais, j’adore !
La douce caresse de ses va-et-vient contre la paroi de mon ventre me faisait gémir. Mon bassin ondulait contre sa cuisse.
— Je veux sentir ta chaleur, déclara-t-il d’une voix rauque en ouvrant son pantalon.
Son sexe tendu et soyeux frôla ma main.
— Tu veux ma bouche ? Demandai-je, le caressant.— Si tu veux.
M’agenouillant aussitôt à ses pieds, j’admirai son beau sexe de taille respectable, puis l’engloutis dans ma bouche avec gourmandise. Le râle de plaisir de Fabrice m’encouragea à lui montrer mon désir. L’aspirant, j’effectuais de longs va-et-vient. Mes lèvres épousaient la forme de son gland et le relief de ses veines. Son membre semblait tailler pour ma bouche, juste pour moi. Sa main caressa mes cheveux, sa respiration devint profonde, ses gémissements plus audibles. Adorant l’odeur de sa peau et le goût de son sexe, je ne voulais pas le lâcher.
Une giclée de sperme chaude et épaisse jaillit sur ma langue. Agréablement surprise, je ralentis ma vitesse de succion et la puissance pendant qu’il remplissait ma bouche. Ses gémissements se turent, le silence nous enveloppant. J’avalais son sperme, les lèvres en contact avec son gland. Je le repris en bouche, le suçais doucement pour le nettoyer.
Il se rhabilla pendant que je me relevais.
— Tu es délicieux, murmurai-je à son oreille.
Fabrice déposa un doux baiser sur mes lèvres. Nous repartîmes discrètement chacun de notre côté. Je ne pouvais m’empêcher de lécher mes lèvres imprégnées du goût de sperme avec gourmandise.
Je fis la bise à mes collègues féminines et masculins, en me demandant avec espièglerie s’ils pouvaient détecter l’odeur sur mon visage.
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