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Infidélité au travail

Chapitre 4

Erotique
Pendant le week-end, l’odeur et le goût du sexe de Fabrice m’avaient obsédé. J’avais fait l’amour à mon mari, en lui offrant à chaque fois tous mes orifices, afin de satisfaire mon appétit sexuel. Il avait été très agréablement surpris que je sois aussi demandeuse.
Lundi matin, lorsque j’arrivais à l’usine, je me rendis directement sous le sapin de la cour de livraison. Il pleuvait abondamment, un camion quitta son stationnement en m’éblouissant. Fabrice me rejoignis quelques minutes plus tard. Son regard brûlant enflamma mes sens.
— Le week-end a été trop long, j’avais hâte de te revoir, dit-il en me serrant contre lui.
Il m’embrassa fougueusement, frottant sa langue contre la mienne. Sa main chercha la poche de mon jean.
— Il n’est pas coupé celui-ci, dis-je en souriant.
J’ouvris ma braguette, Fabrice caressa mon string, glissa ses doigts glacés à l’intérieur. Surprise, je gémis d’excitation alors qu’un filet de mouille s’écoula de ma minette. Je caressais le sexe de mon amant par-dessus son pantalon de travail. Je gémis de désir en le sentant gonfler et grandir dans ma main.
— J’ai très envie de toi, dit-il, la voix rauque.— Moi aussi.
Je lui tendis un préservatif, avant de lui tourner le dos. Baissant mon pantalon et mon string, je tendis mes fesses. Fabrice empoigna ma hanche gauche, s’enfonça profondément en moi. Il commença aussitôt à me donner des coups de rein à une allure soutenue. Son sexe me comblait, m’arrachant des gémissements. Des ondes électriques contractaient mon ventre, et des frissons de plaisir hérissaient ma peau.
« Comme il me baise bien ! », pensai-je.
Je resserrai mon vagin sur son membre pour le sentir plus intensément. Ses mains pressèrent mes hanches à me faire mal tandis qu’il soupirait fort. Ses va-et-vient devenaient irréguliers, des spasmes secouant son corps.
Fabrice se retira délicatement, me faisant gémir. De longs filets de mouille s’écoulèrent de ma minette, souillant mes cuisses. Je me rhabillais rapidement, tremblante de plaisir. Je me retournais, sortis de sous le sapin. La pluie avait trempé mes cheveux et mon visage. Fabrice était mouillé jusqu’aux os, sa frange formait des boucles serrées, plaquées sur son front. Ses cheveux étaient aplatis sur son crâne, et des perles de pluie brillaient sur sa barbe. Il paraissait sortir de la douche.
— Nous sommes dans un état, dis-je en riant.
Il rit avec moi. Nous nous embrassâmes langoureusement, avant de partir chacun de notre côté, lui une cigarette à la main.
Je me rendis dans les toilettes les plus proches pour inspecter mon reflet dans le miroir. Moi aussi, je paraissais sortir de la douche avec mes cheveux trempés, plaqués sur la tête.
Ma copine ayant rejoint mon équipe le matin-même, j’étais persuadée qu’elle serait surprise de me voir arriver dans ce piteux état, alors que j’étais sèche vingt minutes plus tôt. Je réfléchissais à une explication plausible en rejoignant ma zone de travail.
L’équipe était réunie autour du chef d’atelier. Je la rejoignis discrètement, en restant en retrait afin qu’il ne s’aperçoive pas de mon retard. Il décida que ma copine serait formée au mur qualité pour travailler en binôme avec moi. Ravies nous nous rendîmes à notre poste.Ma copine ne fit aucun commentaire sur mes cheveux comme si elle n’avait rien remarqué. Soulagée, je me mis sérieusement au travail. Nous discutions de nos familles et faisions des projets de sortie ensemble avec nos enfants. Comme elle ne tolérait pas l’infidélité dans un couple, je ne pouvais pas lui parler de Fabrice, ce qui me décevait.
Mon vagin se contractait et ma peau frissonnait lorsque je pensais en lui. Je désirais ardemment le sentir encore en moi.Pendant la pause d’une demi-heure, je me rendis dans la cour des livraisons. Fabrice empilait des palettes cassées. Son regard s’enflamma à ma vue, ma respiration devint profonde. Il me rejoignit, roula une cigarette.
— Comment ça va ? Demandai-je.— C’est la merde ! Le chef est en réunion, je dois encadrer les jeunes qui font n’importe quoi.
Fabrice était chef d’équipe et son supérieur chef de zone.
— Mets-leurs des fessées, je suis sûre qu’ils vont adorer, dis-je d’une voix langoureuse.— Je préférerais t’en mettre à toi, sur tes belles fesses.
Le compliment me fit sourire.
— C’était super ce matin, déclara-t-il, les yeux brillants.— Oui, j’ai adoré !— Je veux te voir derrière l’église, après le boulot.
Mon ventre se contracta, un filet de mouille chatouilla les lèvres lisses de ma minette.
— D’accord, répondis-je.— Tu peux te libérer le matin, la semaine prochaine ? Demanda-t-il.— Oui.— Ma femme commence à travailler cette semaine. Quand je connaitrais ses horaires on pourra se voir chez moi.— Oui, pourquoi pas.
Un jeune cariste vint nous rejoindre.
— T’es pas en train de bosser toi ? Lui demanda Fabrice. — Non, je suis venu te voir tu suces si bien, plaisanta l’autre.— Je te retourne le compliment, dit Fabrice en me regardant.
Je lui souris, les joues brûlantes. J’avais très envie de le sucer et de l’avaler.
— À bientôt, dis-je comme c’était la fin de ma pause.
Je rejoignis ma zone de travail en souriant bêtement, le doux visage souriant de Fabrice obsédant mes pensées.
— Toi, tu t’es fait draguer ! S’exclama une collègue.— Non, pas du tout !— Si, c’est sûr vu ton sourire ! Dit une autre. C’est qui ?— Mais personne !— Pourquoi tu n’étais pas avec nous à la pause alors ? Demanda la première.
Je passais toujours mes pauses avec elles d’habitude.
— J’étais au téléphone avec ma petite sœur, mentis-je.
Le chef d’équipe arrivant avec nos collègues fumeurs, nous regagnâmes nos postes de travail.
La dernière heure me paraissait toujours interminable, mais là plus encore tellement j’étais pressée de retrouver Fabrice.
Soudain, je l’aperçus réapprovisionner l’équipe d’à côté en caddies vides. Ils servaient à y entreposer les planches de bord terminées et contrôlées. Excitée de le voir, je m’efforçais de rester concentrée sur mon travail.
— Bonjour, alors c’est ça la qualité ? Demanda Fabrice.
Je me figeais, ma température corporelle augmentant considérablement.
— Oui, répondit ma copine.— Ça consiste en quoi ?— On contrôle le travail de nos collègues et la qualité de la planche, répondis-je.
Ma copine lui montra toutes les étapes de notre travail.
— Ça a l’air sympa, dit-il.
Cela me plaisait beaucoup que Fabrice s’intéresse à mon travail.
— Franchement, c’est le poste le plus cool de la chaîne, déclarai-je.— On est plus rapide que nos collègues, alors que le grand chef se plaint qu’on discute beaucoup, ajouta ma copine.
Le chef d’équipe nous rejoignit, Fabrice le salua. Ils discutèrent un moment, puis Fabrice s’en alla.
— Finissez vos pièces et nettoyez vos postes ! Ordonna le chef d’équipe.
Quand ce fût terminé nous nous dispersâmes pour partir.
— Tu peux badger pour moi pendant que je vais fumer ? Me demanda ma copine.— Oui, bien-sûr !
Je suivais mes deux collègues féminines jusqu’à la pointeuse, quand j’aperçus Fabrice qui arrivait. Nous échangeâmes un sourire, le regard brillant.
— A qui tu souris comme ça ? Demanda la collègue persuadée que je m’étais fait draguer pendant la pause.
— Chut ! Lui fis-je signe de se taire, excitée comme une gamine de quinze ans.
Fabrice rejoignit la file d’attente. Son regard brûlant de désir me fixait comme si rien d’autre n’avait d’importance, ses yeux brillants tel un phare en pleine nuit. Terriblement gênée, mais flattée, je m’efforçais de ne pas le regarder de peur d’être encore surprise par ma collègue.

La pluie avait cessé de tomber. L’air était chargé d’humidité et le ciel couvert de gros nuages gris.
Fabrice quitta le parking en premier. Impatiente et excitée, je le suivais discrètement. J’avais une terrible envie de glisser mes doigts dans mon string trempé de cyprine. Mon clitoris était gonflé et bien dur. Je m’amusais à serrer et relâcher mon vagin ce qui m’excitait davantage. J’adorais me sentir brûlante et humide.
Arrêtée à un stop, je frottais ma main sur mon entrejambe, mon jean était mouillé lui aussi. Quelques minutes plus tard, nous nous garâmes sur un parking visible depuis des habitations. D’autres voitures étaient garées près des nôtres. Ce n’était pas très discret comme endroit à treize heures.
« Fabrice est sûrement aussi coquin que moi pour aimer s’exhiber, sinon il ne m’aurait pas attiré ici. » pensai-je.
Il sortit de sa voiture, m’invita à le suivre, d’un signe de la main. Nous gravîmes la petite côte qui menait à l’arrière de l’église, l’étroit chemin goudronné nous obligeait à nous suivre. Fabrice avait une corpulence normale pourtant son bleu de travail était trop large pour lui, j’étais déçue de ne pouvoir admirer son fessier. Il me regarda par-dessus son épaule, me sourit, avant de s’enfoncer dans le petit bois. Les longs et fins brins d’herbe trempaient mes chaussures de sécurité et le bas de mon jean.
Fabrice me plaqua contre un arbre, m’embrassa fougueusement, une main pressant ma fesse gauche. Son sexe raidit s’appuya contre ma hanche. Mon amant s’empressa d’ouvrir ma braguette, glissa ses doigts glacés dans mon string.
— Mmmm tu es toujours mouillée, murmura-t-il d’une voix suave.
Je gémis lorsque son doigt me pénétra.
— Je vais voir si tu es aussi ouverte que tu le dis !
Fabrice me retourna face à l’arbre, baissa mon pantalon. Je m’agrippai à l’écorce rugueuse en tendant mes fesses. Il ouvrit sa braguette, claqua plusieurs ma peau nue avec son sexe gonflé et chaud. Mon amant écarta la ficelle de mon string, frotta sa verge dans ma raie en me tenant par les hanches. Je gémissais, terriblement excitée. Des filets de mouille s’écoulaient de mon vagin, rendant son sexe encore plus glissant.
Soudain, son gland pressa ma rosette. Les yeux fermés, je dilatais mon petit trou afin de lui faciliter le passage. Il s’enfonça lentement en moi jusqu’à la garde.
— J’adore ça ! Gémis-je.— C’est la première fois pour moi, confia-t-il.
Fabrice commença à onduler vivement du bassin. Son sexe tapait dans le fond, se retirant très peu. Sa cadence effrénée me procurait un plaisir inouï. Un feu brûlant me consumait de l’intérieur ; des ondes électriques parcouraient mon corps ; des frissons hérissaient ma peau. Mes tétons étaient durs comme des diamants. Mon esprit engourdit était focalisé sur les merveilleuses sensations que Fabrice me procurait.
Sa respiration devint profonde et haletante. Son sexe gonfla encore. Ses mains se crispèrent sur mes hanches. Il gémissait, sa bouche contre ma joue, son corps vibrant contre le mien. Il donna trois puissants coups de reins, puis se retira.
Je me retournais encore frissonnante de plaisir et les jambes tremblantes.
— C’était vraiment super ! Dit-il, les yeux brillants, en remontant sa braguette.— Oui, j’ai adoré ! Approuvai-je en me rhabillant.
Fabrice m’embrassa brièvement.
— Il faut que je file. Ma femme sait à quelle heure je rentre d’habitude, si j’ai cinq minutes de retard, elle va s’inquiéter.— D’accord.— Elle sent tout comme si elle avait un sixième sens.— L’intuition féminine, ironisai-je.— Peut-être bien ! Heureusement que tu es discrète, j’ai trop peur qu’elle tombe sur nos sms.— Ne t’inquiète pas.
Fabrice sourit puis s’en alla. Personne ne m’attendait chez moi à cette heure-ci, je pris le temps de me caresser à l’abri du sous-bois. Mes doigts experts s’agitaient sur mon clitoris gonflé et gluant de mouille. Me remémorant les plaisirs exquis que m’avaient procurés le beau sexe de Fabrice, mon corps, parcouru d’ondes électriques, s’enflamma. Des spasmes me faisaient trembler ; de doux gémissements franchissaient mes lèvres entrouvertes. Je guettais autour de moi, espérant presque être surprise par un promeneur. Un orgasme fulgurant me traversa alors que j’imaginais être épiée. Adossée à l’arbre, mon bassin ondulait frénétiquement. Des gouttelettes de pluie chutaient des feuilles agitées, m’arrosant.

Fabrice mit un terme à notre aventure quelques jours plus tard car il culpabilisait lorsqu’il retrouvait sa femme et commençait aussi à ressentir des sentiments amoureux. Je garderai de précieux souvenir de nos escapades coquines.
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