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L'inimaginable

Chapitre 2

Inceste
Je prépare le café, il est presque midi, il fait un temps splendide, je nous installe au bord de la piscine, après ma douche, nue, j’ai enfilé volontairement, un ancien débardeur de sport de Pierre, immense pour moi, de taille xxl , dans lequel je suis tellement à l’aise pour trainer à la maison. Il m’arrive en haut des cuisses, quand je m’assois, très indiscret, il remonte au niveau de ma chatte, et par les larges emmanchures, ma poitrine se ballade en totale liberté, parfois un de mes seins épris de vagabondage, pointe le bout d’un téton en dehors des ouvertures. Je sais que je suis totalement indécente, mais je m’en fous. Antoine pourra me mater à sa guise, en toute tranquillité, et rien que d’y penser, j’en ai déjà des frissons à l’intérieur du vagin.— Salut m’man— Bonjour chéri ! ça y est …. tu émerges ! j’espère que tu as bien dormi « lui dis-je avec un sourire coquin »— Oui ! … mais j’ai fait un rêve érotique… me dit-il en se marrant.— Alors ! … on a dû faire le même…. !Il vient vers moi, me soulève par la taille, et pose un baiser sur mes lèvres. Son geste relève automatiquement mon maillot trop large, j’ai aussitôt minette et fesses à l’air. En me reposant, il maintient quelques instant mon maigre vêtement relevé, à hauteur de mes hanches, il me regarde la chatte avec un sourire coquin. Humm.. ! j’adore son regard sur la fourche de mes jambes.— Très chouette ta petite tenue matinale maman j’adore ! tu sais que si tu te penches en avant je vais tout voire !— Il me semble que je n’ai plus beaucoup de secrets pour toi mon Amour ! Bon on arrête, et on redevient sérieux chéri.— Tu dis ça, mais tu me fais voire la moitié de tes nichons ! comment veux tu que je sois sérieux.Je suis heureuse, je redoutais tellement le moment ou nous nous retrouverions, peur de la gène, un peu de honte aussi, peur que nous soyons un peu figés, gauches et crispés, après une nuit qu’il faut bien qualifier d’incestueuse. Non … rien de tout ça, mon Antoine est hyper décontracté, joyeux. Je suis soulagée, il ne m’en faut pas plus pour que ma tête se remette à gamberger. J’aimerai tout lui donner, je désire le combler, et les convenances encore une fois on s’en fout, j’ai confiance en lui, je sais qu’il gardera notre secret.— Bon ! tu termines ton petit déje, et moi je mets quelque chose de plus décent, et je vais acheter de quoi déjeuner à ……allez 15 heures, on se la fait à l’espagnole ! si tu t’ennuies tu peux toujours passer un coup de tondeuse, ça m’arrangerai, puisque que Monsieur est maintenant le Maitre en ce lieu, et Maitre de sa toute nouvelle esclave sexuelle !!!il y a aussi quelques contraintes à devenir propriétaire de sa mère.. !Notre déjeuner se termine, délicieux magrets au barbecue, petite poêlée de ceps et de morilles, et deux … bouteilles de Bandol rosé. Nous avons beaucoup discuté, de ses études, de ses copains, et un peu de Sarah la lâcheuse, de son père et de sa jeunette, enfin un peu de tout dans une ambiance complice, propice aux confidences. J’avais remis mon débardeur pour voyeur en rentrant des courses, Antoine profite très allégrement de mes seins, qui apparaissent et disparaissent aussitôt, je crois qu’il apprécie particulièrement ce petit jeu de colin-maillard coquin. — Maman je vais te dire, quand j’ai eu envie de toi pour la première fois !— Qu’est ce que tu me dis, chéri …. pourquoi me dis tu ça ?— Tu sais ! je sais depuis plusieurs années que Papa et toi vous étiez un couple …. heu …comment dirais-je … un peu libre ! ce n’était un secret pour personne, et je voudrai te dire aujourd’hui que je n’en ai jamais souffert, bien au contraire, vous vous entendiez vachement bien, je n’ai manqué de rien, j’ai eu une enfance merveilleuse.— Je te remercie chéri, tu lèves des doutes que nous pourrions avoir ton père et moi, sur ton éducation, et sur le jugement que tu peux porter sur nous …. Mais que veux tu dire par « envie de toi pour le première fois » tu veux dire … envie de me baiser ?— Oui maman ! je t’explique, voilà, ça n’a plus d’importance maintenant. C’était l’année de mon bac, donc il y a cinq ans, c’était à l’époque où Papa commençait de fricotter avec sa stagiaire, il était à Barcelone, à un congrès pour quelques jours. Un matin au petit déje, tu me dis « Antoine ce soir je sors, je vais dîner avec les responsables d’UTH, il faut que nous nous nous mettions d’accord sur quelques points juridiques, avant la signature du contrat, c’est urgent et ton père est absent » Je ne sais pas si tu t’en rappelles ? Je t’ai répondu que ça n’avait pas d’importance parce que moi je faisais une teuf, avec mes potes et que je resterai dormir chez Sophie, tu te rappelles, ! ma copine de l’époque ! Seulement, la teuf en question a été annulée au dernier moment, et moi je suis tranquillement rentré à la maison. C’est sur les coups de deux heures du mat, que je vous ai entendu rentrer, pas très discrets votre arrivée, vous parliez fort, et tu disais en te marrant « allez ! un dernier coup de champagne, et on finalise notre accord » Je t’ai entendu aller dans le frigo, puis sortir des verres, brancher la stéréo. Alors comme je suis curieux j’étais intrigué, j’ai voulu voire avec qui tu étais. Tu te rappelles que ma chambre était prés du séjour, et qu’en entrebâillant la porte, je pouvais voire tout ce qui se passait dans la pièce. C’est ce que j’ai fait, et j’ai vu. Avec toi il y avait deux hommes, pas terribles d’ailleurs, je me rappelle que l’un était petit et plutôt replet, c’était le plus jeune, l’autre était plus grand, assez classe, mais je l’ai trouvé un peu vieux. J’ai tout vu, maman ! comment tu t’es faite draguer, comment tu les as allumés, je t’ai vu sur le canapé, sur fond de musique, assise entre eux, j’ai entendu votre conversation plein de sous-entendus, qui vous faisait rigoler, je vous ai vu boire, j’ai vu quand ils ont commencé à te tripoter, écarter les pans de ta longue robe rouge, tu as ouvert tes cuisses, tu riais , j’ai vu ta petite culotte rouge assortie à ta robe quand tu t’es laissée trousser plus haut ,tu t’es laissé faire, ils t’embrassaient , puis tu t’es levée, debout, haute perchée sur tes talons, l’un devant , l’autre derrière toi, ils ont fait glisser ta robe à tes pieds tu l’as enjambée, puis ils ont dégrafé ton soutien-gorge, ils ont peloté puis embrassé tes seins, tiré tes bouts, fait glisser ta petite culotte, et j’ai vu ta petite fente ,elle n’avait aucun poil autour, ce qui m’a sidéré, ils ont écarté tes fesses, touché ta chatte, ils ont baissé leurs pantalons. Alors tu as pris leurs sexes et tu les as mis chacun à leur tour dans ta bouches, j’étais effaré, mais bizarrement pas choqué, ensuite tu t’es penchée en avant, puis accroupie sur le canapé, agenouillée devant eux, tu as relevé tes reins, cambré tes fesses, et tu t’es faite prendre par derrière, chacun à leur tour, et je t’ai entendu. …— Arrête Antoine !! ce n’est pas drôle, oublie s’il te plait…— Mais écoute moi maman ,…. c’est vrai qu’au début j’ai été ahuri , et puis au fur et à mesure qu’ils te déshabillaient, je t’ai trouvé de plus en plus belle, nue sur tes talons,. Alors quelque chose de bizarre c’est passé en moi, je te jure maman ! j’étais subjugué par ton corps nue, par tes fesses par ton sexe que je n’avais jamais vus et que tu donnais à ces deux hommes, ma colère s’est estompée, j’aurai tant aimé venir te caresser moi aussi , mon sexe s’est mis à enfler je me suis mis à bander, autant que les deux mecs qui te baisaient comme des malades, alors quand tu t’es mise à jouir à geindre et à crier très fort, je me suis branlé , et quand j’ai juté, j’ai eu l’impression de jouir avec toi , en toi maman. Voilà,….il fallait que je le dise, il y a prescription maintenant, et je te jure que ça ne m’a jamais choqué, et puis je n’étais pas entièrement con, je pense que papa devait aussi en faire autant à Barcelone. Alors, ! tu vois, je n’ai pas eu besoin de psy, bien au contraire, au lieu d’être traumatisé, tu m’as fait avoir la plus belle jouissance d’adolescent. Je t’aime maman ! Tu es super et toujours aussi bandante, et …. je peux enfin assouvir ce vieux fantasme qui me hante depuis des années : Pouvoir te prendre comme ces deux salauds, il y a cinq ans … ce qui vaut toute les analyses du monde. Au fait ….. vous l’avez signé votre contrat ?— Oui ! bien sûr ! t’as une drôle de mère quand même  !— Oui, mais je l’aime comme ça ! et surtout je voudrai qu’elle ne change jamais !Après ces petites révélations, nous avons fini de siroter silencieusement notre rosé chacun dans nos pensées. Puisqu’il ne fallait rien changer, je ne changerai pas. Antoine me veut! … et bien il m’aura. Nous nous installons cote à cote sur des matelas de plages, pour faire une petite sieste-bronzette au bord de la piscine. La chose étant entendue, j’ôte mon débardeur, je suis complétement nue, mes seins étalés, mes deux petites fraises bien dressées et ma fente bien exposée au soleil printanier. Antoine comme moi s’est mis nu, il a enlevé son bermuda, comme ça je peux bien voire son long sexe étalé sur son ventre, la chaleur du soleil lui procure une demi-érection, je le contemple, son gland n’est pas encore complétement décalotté, il est trop beau, l’envie me gagne à nouveau , s’insinue en moi, gagne mon ventre, mon sexe s’humidifie et mes pointes se durcissent, j’ai envie de sa queue, besoin de la saisir , de la décalotter, de le caresser ,de la branler, de la sucer, de l’enfouir dans ma bouche. J’en mouille, mes cuises s’écartent sans que je m’en rende compte, le soleil chauffe voluptueusement mon entrejambes, en ouvrant largement mes cuisses, ma fente c’est elle aussi entrouverte, je complète l’ouverture des lèvres de ma vulve avec deux doigts, je dégage mon clitoris des nymphettes qui l’enfermaient, et tout doucement en décrivant des petits cercles concentriques avec mon index autour de mon bouton d’amour, je me caresse tout doucement, offerte au soleil et les yeux fixés sur le sexe de mon enfant.— Ca va pour toi maman ! Il me surprend, je croyais qu’il dormait, il m’a vu faire, il me regarde, avec un petit sourire moqueur, mais je vois aussi dans son regard bleu, une certaine concupiscence, ses yeux se fixent sur mon entre-jambes, sur ma chatte à demi ouverte. Pour qu’il me voit mieux, je m’écarte encore plus en relevant les jambes, je continue tranquillement de me caresser. Il me fixe, il y trouve son plaisir, car sa queue se gonfle, enfle et se dresse à la verticale de son ventre bronzé. Le gland bien rose et bien décalotté se détache sur la peau halée de son pubis. Je continue de me masturber, j’ai introduit un doigt dans ma fente complétement mouillée, il me regarde, ce qui multiplie mon plaisir et mon désir. J’avais promis de devenir sa pute, et bien je le suis totalement devenu maintenant. Je m’exhibe outrageusement, je veux qu’il me mate, me tripote, me baise, me fasse mal, et pourquoi pas ! qu’il me sodomise aussi, si c’est son plaisir. Les cuisses toujours ouvertes, je me tourne vers lui, d’une main je continue de me masturber, un doigts enfoncé dans la chatte, de mon autre main je saisi la verge d’Antoine, et je la branle tellement fort que je dois lui faire mal. Je suis tellement excitée !
— Doucement ! maman !Pour me faire pardonner ma brusquerie, je plonge sa queue tout au fond de ma gorge, je la pompe comme une pute du bois de Boulogne, je me suis mise à genoux mon cul bien relevé, comme une chatte en chaleur qui attend de se faire couvrir par un mâle. Je suce mon fils, un moment qui dure une éternité, je suis tellement bien. Antoine se laisse faire en ondulant légèrement du bassin pour mieux enfoncer sa queue dans ma bouche._ Maman ! Fais voire ton cul ! Au ton de sa voix, je sais que ce n’est pas une faveur qu’il me demande, mais un ordre que je dois exécuter. Je jouis d’entendre enfin cet ordre humiliant que j’attends depuis si longtemps. Lui ne bouge pas, il reste allongé à plat dos sur le matelas, c’est moi qui, à quatre pattes, me place à l’envers au dessus de lui, à genoux, mon entrejambes au dessus de son visage.— Remonte toi plus, penche toi plus et écarte bien tes fesses ! Je prends appui sur une main, bras tendu, et de mon autre main, avec mes doigts en éventail, j’écarte le plus possible une de mes fesses, de mon clitoris à mon anus.— Écarte toi plus maman ! c’est pas suffisant.Cet ordre m’électrise, m’embrase du plus profond de mon vagin jusqu’à la pointes de mes seins, la cyprine coule de mon trou, inonde mes cuisses. Docilement je pose mon buste et mes seins entre ses jambes sur le matelas, mon visage sur un côté, et là, de mes deux mains libérées, doigts bien ouverts, je m’écarte complètement, je tire sur les deux lobes de mes fesses, mes indexes distendent le plus possible le trou de mon vagin, mes deux petits doigts au plus prés de mon anus tentent de le faire s’entrouvrir, sans y parvenir, je suis trop serrée.— Tu es trop belle comme ça maman ! tu es une superbe belle putain que j’adore, dis moi que tus es ma pute ! — Oui chéri je suis ta pute ! rien qu’à toi— Alors je peux faire ce que je veux de toi ?— Oui amour ! ce que tu veux, je t’appartiens— Alors t’aimerai, si je te donnais à baiser ? comme papa le faisait— Si ça te fait plaisir ! bien sûr Antoine, que j’aimerai, tu fais ce que tu veux je suis d’accordJ’ai le souffle court, le cœur qui bat à cent à l’heure, j’arrive a peine à lui répondre, mais chaque question qu’il me pose me transporte dans univers de phantasme, de jouissance, je ne suis plus moi, je suis une autre, une pute qui se donne, une esclave qui se soumet. J’aimerai aussi être à la place de mon garçon, pour me voire grande ouverte.— Antoine dis moi comment je suis ? que vois-tu de moi ?— Complètement offerte maman, tu es très belle comme ça ! reste sans bouger comme ça tant que je voudrais !— Oui chéri ! est ce que tu aimes me voire toute ouverte, je te plais comme ça ? tu me regardes complétement, dis moi.?— Tout ! maman, je vois tout de toi, ta chatte toute rose que tu écartes bien, je vois ton trou bien ouvert en triangle, je vois tes lèvres complètement distendues, et même je peux voir à l’intérieur, ton petit méat et son petit trou par où tu fais pipi, maman, ton clitoris est bien dégagé, je vois aussi ton anus un peu plus brun, mais lui, il n’est pas assez ouvert !— Oui chéri ! regarde moi encore, profite de moi tant que tu veux, fais ce que tu veux ! mais il faut que tu me baises aussi après, que tu me prennes, j’ai le feu partout, baise moi chéri, je n’en peux plus !— C’est moi qui décide ! et c’est quand je voudrai maman ! Je sens sa langue, lécher mon humidité, il m’aide à m’écarter davantage, je sens ses doigts aider les miens à ouvrir mon anus, son pouce cherche à entrer, mon trou s’ouvre avec difficulté,— Doucement chéri, tu me fais mal ! mouille moi !Il crache un peu de salive entre mes fesses, c’est chaud c’est doux, ça coule dans ma raie, du coup c’est son index plus fin qui ouvre doucement mon trou interdit. J’halète de plaisir, comment aurais-je pu imaginer qu’Antoine, mon garçon me donnerai tant de plaisir ! et surtout qu’aucune gène, aucune honte ne me freineraient .En changeant de position, Antoine s’est placé derrière moi, il s’est agenouillé sur le matelas, je sais que maintenant il va enfin me prendre, me prendre en levrette, comme un chien qui couvre sa chienne. Je suis prête à l’accueillir, je coule, mon sexe est trempé. Il m’enfonce violemment, les lèvres de mon abricot s’ouvrent sans aucune difficulté pour le laisser entrer. Je suis heureuse, son sexe va et vient, rempli mon vagin, mes halètements se transforment en douces plaintes. Il me tient par les hanches, c’est moi maintenant qui seule, écarte mes fesses, mes ongles bien enfoncés dans la chaire de mon cul. Sa bite en allant et venant me donne de plus en plus de plaisir, d’abord il l’enfonce, tout au fond de moi, puis il la retire complétement, je sens alors mon trou se refermer, puis de nouveau elle plonge en moi, m’écartant à nouveau . J’aimerai que cette jouissance soit éternelle, que mon sexe puisse s’ouvrir et se refermer indéfiniment, je me retiens de me lâcher, je sais qu’Antoine se maîtrise complétement et que de cette façon il me maitrise aussi. Une dernière fois son sexe sort de mon trou devenu béant à force de pénétrations, il le place maintenant à l’entrée de mon anus, je sens le gland d’Antoine chercher le passage de mon intimité. Mais ce sexe est bien plus gros que le doigt qu’Antoine à introduit dans mon cul quelques minutes plus tôt.— Chéri, tu me fais mal, t’es trop gros !— Dis-moi ! ma petite putain de maman, tu t’es déjà fait enculer ?— Oui chéri, — Beaucoup de fois ?— Oui bien sûr !— Tu m’as dis que tu étais ma pute maman, je peux faire ce que je veux, alors je vais t’enculer et tu vas te laisser faire !Ces paroles me mettent le feu au ventre, mon cul s’irise comme si un courant électrique le parcourait, mon con coule comme une fontaine, je vais me faire sodomiser par mon fils, je n’en éprouve aucune honte, mais plutôt un immense bonheur, une jouissance qui me paralyse.— Oui chéri fais ce que tu veux, mais prends moi doucement.Avec mes doigts je continue de m’ouvrir le plus possible. Au dessus de mes fesses, Antoine fait encore couler de sa salive qui irrigue mon petit trou. Alors lui libérant le passage, je me cambre autant que je le peux, je remonte mes fesses soumise comme le sont les femelles singes, et j’attends que mon mâle puisse s’introduire plus facilement en moi. Je pousse malgré moi un petit cri, quand le gland d’Antoine, en une forte poussée, s’enfonce dans mon derrière, mon anus s’ouvre, s’élargit, j’ accepte sans trop de douleur la longue queue qui me perfore. Doucement Antoine enfonce la totalité de son membre, je sens ses couilles buter contre ma vulve, qui elle, s’est refermée, mes deux orifices ne pouvant être dilatés en même temps, quel dommage !alors glissant une main entre mes cuisses, je branle mon clitoris, ça augmente mon plaisir. Antoine va et vient dans mon cul, et je n’ai plus de douleur, la douceur de cette pénétration est tellement bienfaisante que je me mets à jouir de plus en plus fort, et surtout à crier de plus en plus fort, ce ne sont plus de douces plaintes de jouissance, ni des halètements de femmes prise, mais un long feulement rauque de femelle en chaleur qui s’échappe de ma gorge, en reprenant mon souffle, je m’entends lui murmurer,— Viens chéri, viens avec moi, encore, baise moi plus fort, … encore… encore… je suis ta chienne, je suis ta pute, encule moi !!— Oui maman, je te baise je t’encule.Il va en moi, comme ça, pendant de longues minutes, je me suis légèrement relevée, aussitôt mes seins libérés gigotent en cadence, à la même mesure que les coups de reins qui enfoncent le sexe de mon de mon fils dans mon cul. Je suis folle d’excitation, de jouissance, sans m’en rendre compte je pousse mon anus au devant de la queue qui m’encule. Dans un déchainement partagé, un immense spasme me fait trembler, derrière moi Antoine crie son bonheur, son sperme gicle tout au fond de moi inondant mon rectum, lubrifiant mon anus.dilaté Je jouis je suis folle et je m’écroule.Petit à petit, je reprends mon souffle, je tremble, est ce de froid ? est-ce d’épuisement ? Je suis allongée à plat ventre, le corps chaud d’Antoine me recouvre, je suis sans vie, sans ressource, je sens des larmes couler doucement sur mes joues. Antoine les remarque.— Pardon, je t’ai fais mal maman ? tu pleures— Non, pas du tout chéri !, c’est de bonheur, comment aurais-je pu imaginer un jour, chose si inimaginable ? imaginer une telle jouissance, tu ne peux pas savoir la joie que tu m’apportes chéri, je suis si bien avec toi, tu es le plus bel amant que je n’aurai jamais, Antoine, je t’aime, je me donne à toi sans aucune retenue, je t’appartiens désormais, tu pourras me demander ce que tu veux, tu auras toujours mon accord, ces instants sont pures merveilles, j’aime tellement me donner me faire prendre. Merci amour !Tendrement, mon garçon, lèche mes larmes, et pose de délicats baisers sur mes paupières. Je suis bien, et puis tendrement il caresse mes seins, ceux qui lui ont donné la vie. Comme un enfant il porte ses lèvres sur mes aréoles, et doucement aspire la pointe d’un de mes seins, comme s’il voulait en extraire mon lait nourricier. Quoi de plus beau que cet instant de douceur, après l’explosion de nos passions. Nous restons comme ça, collés l’un à l’autre. Les lèvres d’Antoine sur les bouts de mes nichons, font vibrer doucement mes mamelons qui se crispent et durcissent à nouveau. Je dois devenir folle ! Je viens de jouir comme une malade, et le désir me reprend déjà. Sur ma cuisse le sexe d’Antoine prend le même chemin, sans être dur, je sens son sexe qui regonfle doucement. Je suis effarée !— Antoine ne me dit pas que tu veux encore me baiser!— Pourquoi pas ! quand on choisit un jeune amant, il faut assurer ! je te signale que tu as tes bouts de nichons qui deviennent tout durs !En disant ça, il s’est écarté de moi, il est assis sur un matelas les genoux relevés, je vois entre ses jambes, ses testicules qui pendent, on dirait deux belles figues gorgées de soleil, et son jeune sexe déjà à demi bandé.Je suis dingue, je crois que je me referai bien baiser encore, mais dans ma chatte cette foi. De toute façon je suis prête à tout pour lui faire plaisir. Je dois devenir nympho ! Alors je ne me pose plus de question, foin de philosophie, de sociologie, plus de convenance, je m’empare de la queue de mon garçon et en quelques mouvements de va et vient, rapides, elle regonfle, elle s’allonge, enfle, grossie, il bande de nouveau comme un âne mon Antoine. Alors lâchant à regrets une si belle bite, je m’allonge à plat dos sur un matelas, je relève bien haut mes jambes, Antoine se place au-dessus de moi, entre mes cuisses grandes ouvertes. Je reprends sa pine dans une main et je l’introduis directement dans mon trou, je suis tellement mouillée que ce sexe glisse sans aucun effort entre les muqueuses de mon vagin. Antoine me prend, me baise longtemps calmement, sans relâche, ses coups de reins font gigoter mes seins, ses couilles tapent en cadence le bas de mes fesses. Je sens à nouveau le plaisir renaitre, prendre possession de mon ventre, la bite de mon fils continue son va et vient infernal dans mon vagin, ma jouissance monte enfle, se transforme en orgasme puissant rauque. Quand je sens enfin le sperme de mon garçon gicler tout au fond de ma chatte. Je suis bien je suis heureuse, je suis repue, je suis rompue.— Maman ! — Oui chéri !— Tu prends bien la pilule ?— Évidement ! imbécile, tu me vois enceinte de mon fils à 45 ans ?Et là ! nous pouffons de rire !!!
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