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L'inimaginable

Chapitre 4

Inceste
Pour faciliter les caresses d’Antoine à l’intérieure de ma chatte, j’ai reculé le siège et posé mes pieds sur le tableau de bord, de cette façon, cuisses remontées et sexe largement ouvert, les doigts de mon enfant en écartant les fines lanières de mon string, s’enfoncent plus profondément dans mon trou. Ils vont et viennent en moi, me masturbent doucement. Je sens que je ne pourrais pas résister longtemps, les doigts de mon garçon glissent avec plus en plus de facilité, je me transforme en fontaine. Comme j’ai le bassin relevé, ma cyprine coule entre mes fesses, s’insinue entre mon string et mon anus, je tire mes bouts de seins jusqu’à la limite de la douleur, je suis tellement bien je suis tellement heureuse, je suis folle de mon enfant de ce qu’il me fait, je suis vraiment devenue sa femme et sa pute , cette pensée fulgurante me transporte au zénith, je m’envole dans un orgasme puissant, je jouis, ouverte et écartée, en haletant très fort, le souffle court, la tête dans les étoiles. J’ai besoin de reprendre mon souffle, après la fulgurance de cet orgasme. Tout en conduisant, Antoine me regarde avec une immense tendresse.- Je t’aime maman, tu es si belle quand tu jouis !— Quand toi, tu me fais jouir chéri ! … J’aimerai tellement être à toi pour toujours. Reprenant une position plus adéquate, mais toujours troussée et seins nus, j’entoure le cou de mon fils et dépose des baisers aux coins de ses lèvres.— Maman ! …- Oui chéri… -- Je t’aime …. mais je t’aime pas vraiment comme un fils ….. je t’aime vraiment … j’aimerai comment te dire …. J’aimerai que tu sois ma femme … je t’aime comme si tu étais ma femme … voilà c’est dit … ne m’en veux pas maman, c’est devenu plus fort que moi— Tu vois Antoine, depuis que tu es arrivé, depuis qu’on a commencé … commencé à se chercher, à faire l’amour, depuis que je me donne à toi… et bien, même si mon esprit , ma culture le refusent, j’ai au fond de moi, le même désir que toi , j’aimerai être ta femme, je voudrais que tu sois mon nouveau mari, avec toi je sais maintenant que je pourrai tout donner , l’amour le sexe, la perversité, car dans une relation incestueuse, et il faut bien appeler un chat un chat, notre relation est bien incestueuse, la perversité en fait tout à fait partie, elle en ai même le moteur. Je viens de découvrir l’immense amour que je te porte, mais aussi la dose si excitante de dérives sexuelles qu’elle engendre.. …. je suis folle de toi Antoine, c’est inimaginable, mais je veux être moi aussi ta femme ,ta maitresse, ta putain, nous sommes sûrement devenus fous mais on s’en fout c’est tellement bon, tellement beau. Ce soir on fête la réussite de notre transaction, tu viens de me mettre dans un état d ‘excitation pas possible Antoine, et ta maman a besoin de bien plus encore, que ce que tu viens de lui donner …. on va dire que tu m’as déjà donné … l’apéritif ! je suis impatiente du plat de résistance !Nous embrassons en pouffant de rire.
Apres avoir contourné la banlieue de la ville, nous nous garons devant une grande ferme ancienne, manifestement rénovée. De nombreuses voitures sont garées. Perchée sur mes immenses talons j’ai quelques difficultés pour garder l’équilibre sur le sol en gravier, j’ai redescendu le bas de ma robe, et remonté sur mes seins la dentelle transparente de ma robe, ce qui ne change pas grand chose d’ailleurs, j’ai pris la mini pochette dans laquelle j’ai pu caser mon nécessaire à maquillage, téléphone portable et porte monnaie.Mon Antoine semble avoir choisi, un établissement classe, vu la qualité des voitures qui y stationnent._ Nous avons réservé deux couverts au nom de Bernstein ! Annonce Antoine au réceptionniste— En effet ! Monsieur et Madame Bernstein, deux couverts, le diner est servi à vingt deux     heures. Je vous rappelle que ce soir, la soirée est libre pour les hommes célibataires,     Je vous remercie de votre visite, passez une bonne soirée, messieurs dames.Je règle le montant faramineux « tout compris » de cette soirée, et le réceptionniste déclenche l’ouverture de l’établissement très coquin et très selecte qu’a choisi mon amour de garçon pour fêter le début de ma « dépravation. » Je me sens toute chose, d’abord le « Monsieur et Madame Bernstein » , nous sommes vraiment un vrai couple , et puis je me balade à moitié nue au bras de mon enfant, au milieu d’une foule ou la plupart des femmes sont elles aussi à moitié nues. Je ne passe pas inaperçue, perchée à un mètre quatre-vingt, accompagné par un beau mâle qui pourrait être « mon fils. »Nous faisons un tour rapide du bas de l’établissement, des hommes et des femmes très déshabillées au bar ou déjà dans des fauteuils profonds, qui entourent la piste, musique branchée et spots fluo. Une maître d’Hôtel vêtue uniquement de bas et d’un papillon autour du cou, poitrine nue et minette épilée nous indique nos couverts. Nous nous retrouvons autour d’une table ronde, en verre, deux couples sont déjà installés, ainsi qu’un jeune homme manifestement célibataire, Je vois immédiatement les regards ravageurs des hommes qui matent déjà mes seins et mon entrejambe sous les fines dentelles de ma robe. On se salut et mon garçon nous présente— Antoine, et voici ma mère Manon …Stupeur interloquée de nos compagnons de table, la plus jeune des femmes reste avec son verre immobile à portée de lèvres, le garçon se présente gauchement : moi c’est Max , après quelques instants de flottement les deux maris se présentent, : Jean, la cinquantaine, assez classe, et sa femme Sophie, grande brune ,un peu forte mais attirante, elle porte une guêpière noire et mauve dont les balconnets contiennent difficilement un forte poitrine, qui couvrent juste le bouts de ses tétons, à travers la table de verre je vois qu’elle est en bas et porte- jarretelles de couleur identiques, je ne lui vois pas de string, elle est manifestement cul nu. .Je suis intriguée par l’autre couple, ils sont plus jeunes, une petite trentaine, Louise et Vincent. Louise très brune cheveux courts, elle porte une mini- robe chemisier noire entièrement transparente, on voit au travers ses seins nues, ils sont menus mais gonflés pointus et bien dressés, les aréoles brun foncé, et sous la fine étoffe de sa robe, on voit un petit ventre bien rond, et un mini string bien coincé entre ses cuisses et son son pubis, elle est manifestement enceinte. De sa grossesse, il émane une aura mystérieuse, cette fille est belle comme un fruit juteux, elle est pleine et attirante, elle me fascine immédiatement, et je pense que ma condition de femme incestueuse ne la laisse pas indifférente. Nos regards se croisent, et se fixent quelques instants, nous serons peut être les deux « ovnis » de cette soirée. Je dois aussi me remettre un peu gauchement de la présentation d’Antoine « voici ma mère » J’ai eu également un instant de stupeur, mais il s’est très vite estompé, presque immédiatement, ma chatte à réagit, et la provoque de cette annonce à électrisé mon sexe. J’ai envie de crier « oui c’est mon fils mon garçon mon enfant, il est le plus beau des amants et je l’aime, je suis sa femme sa chose, sa pute, et j’aime qu’il me montre et m’exhibe je lui appartiens ». Le dernier convive de notre table est arrivé, il s’appelle François la trentaine pas très grand , un peu enveloppé, il devrait faire un peu de gym je pense. Très différents, ces deux célibataires sont attirants. Je gamberge déjà « Antoine me donnera-t il à ces deux là, j’imagine leurs sexes dans mes trous …. Ça y est je mouille déjà, et la fine lanière de mon string qui traverse mon con s’humidifie un peu plus, d’autant que Louise me regarde fixement l’entrejambe, ce qui ajoute à mon excitation. Nous sommes tous levés afin de nous placer, mais le plan de table n’est pas aisé puisque nous avons trois beaux étalons avec nous, en comptant évidement mon Antoine. De façon un peu naturelle les couples restent côte à côte. Antoine se met à ma gauche, puis la belle Louise et Vincent son mari, Sophie s’installe à côté de ce dernier, son mari Jean, et enfin les deux jeunes, Max et François, ce dernier se retrouvant à ma droite.Dés le champagne servi, les premières coupes bues, et les entrées consommées, l’ambiance se relâche complétement. Passées les banalités d’usage, très vite conversations et comportements s’orientent sexe et libertinage. Je suis heureuse j’adore cette endroit, à la fois chic, mais décontracté, je vais pouvoir enfin m’exhiber sans contrainte au grand jour avec la complicité mon enfant. C’est Antoine qui donne le « La » à l’ambiance de notre assemblée.
— Maman ! Tu devrais descendre le haut de ta robe ! Fais nous nous voire tes seins !Mon sang ne fait qu’un tour, ma chatte se met en vibration, je dois aussi mouiller, dans un demi coma je m’exécute, en faisant glisser le haut transparent de ma robe à hauteur de mon ventre, mes seins prisonniers de l’étroitesse de la dentelles se libèrent, juste encadrés par les lanières de mon soutien-gorge coquin, je sens mes aréoles se durcir, tous me regardent, les homme et les femmes de notre table, mais aussi ceux et celles des tables voisines. Ceci dit, je ne serais pas la seule à dîner les seins nus. François, mon voisin de droite, profite de l’aubaine, pour remonter sous la table, le bas de ma robe, et loger une main tout en haut de ma cuisse, dans le pli de mon aine. Au travers de la glace transparente de la table Antoine ne perd rien du parcours de la main du garçon en direction de ma fente, un petit clin d’œil de sa part me donne le feu vert, je peux continuer d’accepter ses doigts sur ma chatte. Je suis heureuse je mouille de plaisir en écartant plus largement mes cuisses pour me laisser caresser. Du coup, Sophie à elle aussi baissé les bonnets de sa guêpière pour dégager complétement ses seins, elle nous offre sa belle poitrine opulente avec de longs bouts et des aréoles rose foncé, Mais celle qui m’attire le plus c’est Louise et sa réserve, a travers le fin tissu qui recouvre ses seins, je suis aimantée par ces nichons gorgés de vie, et par les lèvres de sa bouche au rouge carminé qui contraste avec la pâleur de son beau visage de vierge. Elle regarde elle aussi mes seins, ce qui fait se dresser encore plus fort les bouts de mes tétons. En face de moi sous la table je vois que Sophie a écarté ses cuisses, j’entrevois son sexe nu, sa fente épilée entrouverte par les doigts de Vincent et ceux de Jean, son mari, elle a les yeux un peu chavirés, mais son attitude reste digne, je trouve ça vachement excitant, d’autant que les doigts de François ont définitivement pris possession de ma fente, il écarte les deux brides de mon string à la recherche de mon clitoris. J’ai le souffle court, mais comme Sophie, je ne bronche pas, le visage tourné en direction de mon garçon, je fais comme si c’était la plus naturelle des chose, que de se faire tripoter au cours d’un repas. Antoine que cette petite exhibition excite, en profite pour coller ses lèvres aux miennes, et prendre un de mes seins au creux d’une main. Nous nous embrassons furieusement, Antoine titille le bout dressé de mon nichon, j’ai fermé les yeux, pour retenir cet instant merveilleux au plus profond de moi. Nos langues au gout de champagne se cherchent et se trouvent, je suis aux anges, d’autant que ce coquin de François a enfin trouvé mon bouton d’amour. Pour plus de facilité, je me suis légèrement soulevée pour qu’il puisse dégager la bride gênante de mon string, en la déplaçant sur un coté de ma raie. Je m’ouvre de plus en plus à ses caresses, ses doigts allant et venant doucement entre les lèvres de mon sexe. Nous sommes interrompus par l’arrivée de la serveuse, heureusement, car je crois que j’allais jouir en pleine table. La petite blonde entièrement nue hormis les bas et le papillon, nous sert de magnifiques homards grillés. L’exhibe d’une mère et de son fils, n’ont pas laissé notre tablée indifférente, durant quelques instants le silence à fait place aux conversations, Louise n’a d’yeux que pour moi et ma poitrine, indifférente aux petits pincement de ses tétons que Vincent, exerce sur les petits nichons de sa femme, à travers le voile léger de sa robe. Ce moment euphorique passé, les conversations reprennent, Jean est un homme cultivé, il porte bien sa cinquantaine, il est intéressant, et je pense que finalement je ne suis pas si éloignée de ce couple, ni par l’âge ni par la culture. Quant à François, il me plait , il a beaucoup d’humour, c’est avec beaucoup de coquinerie que je me laisse caresser la chatte, le manège est parfaitement visible et tous nos nouveaux amis semblent y prendre plaisir, et plus particulièrement je crois, mon fils. Nous terminons nos homards en suçant les patte les pinces, et même nos doigts, François a dû retirer, à nos grands regrets, ceux qui s’occupaient de ma fente, pour s’occuper de son homard, il nous dit trouver à ces pinces un parfum particulièrement ensorcelant, ce qui nous fait tous éclater de rire. Il est pratiquement minuit lorsque nous sortons de tables, deux heures de conversation libertine et osée, deux heures d’un repas délicieux, deux heures se petit pelotage sympathique, deux heures et un nombre incertain de bouteilles de champagne. Nous nous levons de table, je suis un peu pompette.— Les filles je vais faire pipi, y a t-il des amatrices, dis-je en me rajustant tant bien que mal— Je vais avec toi, me dit LouiseAntoine me prend par la taille, me glisse un petit baiser au coin de l’oreille, et me dit— Je sens que ma maman chérie, a envie de faire des coquineries avec la jolie Louise !— Amour ! dis moi si ça te ferait plaisir si ….. enfin tu vois …. Je crois qu’elle a envie de moi, et    moi j’ai très envie d’elle…… elle est si belle avec ses petits seins pointus et ce joli ventre     bien rond …. Je ne sais pas si c’est le champagne qui me fait cet effet, mais tu vois Antoine     j’aurai envie d’être comme elle, avec un bébé te toi dans mon ventre …. Dis moi si je suis     devenue folle, chéri !— Tu sais que tu serais très belle, toi aussi avec un joli ventre rond, et je te dis pas les     nichons que tu aurais ! …… je crois que …. J’aimerai beaucoup moi aussi!Cette petite conversation m’a chamboulé, mais elle m’a également mis le feu à la chatte.Louise me suit aux toilettes, et comme si c’était chose naturelle, nous entrons dans le même cabine. Immédiatement la porte refermée, nos lèvres se cherchent, nos bouches s’ouvrent nos langues s’unissent. Nous nous embrassons longuement, les mains glissées sous nos robes, nous nous pelotons l’entrejambe, je remonte mes mains jusqu’à son petit vente de femme enceinte, je le caresse tendrement, quelle douceur, cette fille me rend folle, mais je ne veux pas jouir d’elle ici, je veux qu’Antoine en profite lui aussi. Nous baissons ce qui nous sert de culotte et faisons pipi chacune à notre tour. C’est dans un état second, que nous recherchons notre groupe d’amis. Antoine m’attend au vestiaire pendant que Louise rejoint son mari et nos nouveaux copains.— Les amis sont montés directement au premier, on les retrouve en haut. Maman, enlève     ta robe, je veux que tu sois nue, je veux que tous les hommes te voient nue, tu es si belle !    je veux te donner ……. tu étais d’accord maman ?— Bien sûr amour que je suis d’accord, je te l’avais promis, j’aime tous ce que tu me     demandes.Antoine m’aide à retirer ma robe, nous la remettons à la préposée nue du vestiaire. C’est fait ! je suis perchée sur mes talons mes fesses et mes seins entièrement nus, les deux brides de mon cache sexe, ne cachent rien de ma fente. Les hommes et les femmes me matent sans aucune retenue à mon passage. Je suis bien, la tête me tourne, je vois la fierté de mon garçon, il m’exhibe et ça me donne des vibrations dans tout le corps, je sens ma chatte s’humidifier encore plus depuis que François a fait joujou avec elle. Je vois aussi les désirs que j’allume dans les regards des mâles que nous croisons, je serai peut être à eux tout à l’heure, je sais que certains vont me prendre. Je suis heureuse je suis folle je suis excitée je suis en rut. Nous montons les escaliers qui mènent aux coins dit « câlins » à chacune des marche je sens que mon sexe tout mouillé s’ouvre, et qu’on doit voire mon abricot et sa fente. Nous avons du mal à nous retrouver, je vois Sophie déjà à quatre pattes sur un sofa, fesses et chatte ouvertes, elle se fait prendre en levrette par Max, Jean les regarde, elle jouit doucement, ses seins nus battent la mesure avec le sexe qui va en elle. Jean se masturbe en les regardant avec tendresse. La longue queue de Max va et vient entre ses fesses. Je trouve ce couple merveilleux. Je cherche Louise mais ne la trouve pas. Antoine me pousse alors dans une cabine, ou par des trous dans la cloison, je vois des queues prêtes pour se faire sucer, une fille vêtue que d’un string pompe et branle un long sexe noir, sans hésitation je m’accroupie à côté d’elle, dans la même position que lorsque que je fais pipi, ce qui écarte mes grandes lèvres, entrouvre mon sexe, je suis accroupie et soumise, j’adore ! Je sais qu’Antoine me regarde, alors docilement je me saisi aussi de ces bites offertes. Je n’ai jamais fais chose pareille, et je trouve cela follement excitant. Il y en à quatre à ma disposition, toutes différentes, je peux faire mon marché. Je prends dans mes mains les plus longues, je les branle en les décalottant très fort, ca m’affole de plus en plus, je suce la plus courte, je lui trouve bon gout, je fais aller ma langue et mes lèvres du gland au bas du pubis, le garçon jouit très rapidement, trop rapidement à mon gout, son sperme m’éclabousse en giclant sur mon visage, j’en mouille mon string tant j’ai de plaisir. Je fais juter les deux autres, en évitant cette fois qu’ils m’aspergent le visage. Antoine vient me rechercher en me relevant alors que je m’apprêtais à en sucer un nouveau. Me tirant par la main, mes seins ballotant au rythme de mes pas d’échassier, nous retrouvons Louise et Vincent. Louise est étendue à plat dos sur un immense matelas à hauteur des sexe des hommes, elle porte toujours son petit string, entre ses cuisses entrouvertes on peut voire le fin tissu séparer sa jolie petite raie des fesses, ses seins sont découverts, sa petite robe glissée sous ses adorables petits nichons que Vincent et François sucent et titillent. Antoine me fait grimper a quatre patte entre ses jambes, Louise me prends le visage et s’empare de ma bouche, je retrouve le gout de ses lèvres sa salive un peu salée, nos langues se cherchent et se retrouvent, puis Louise pousse ma tête à hauteur de son sexe, mes mains tremblent quand j’entreprends de la libérer de sa petite culotte, je découvre son sexe, en lui écartant les lèvres, elle est étroite, ma langue a quelques difficultés à entrouvrir son trou d’amour, mais qu’il est bon qu’il est doux, je sens immédiatement le gout acidulé de son jus, je suis en transe , elle pousse son bassin au devant de ma langue qui explore la totalité de son vagin. Derrière moi Antoine m’a fait relever les fesses et écarter plus largement mes cuisses, il a fait glisser puis ôter mon string, je suis maintenant totalement offerte, je sais que plusieurs hommes reluquent mon cul, alors d’une main j’écarte une de mes fesses pour agrandir mes orifices. Louise geint de plus en plus sous les caresses de ma langue, et aussi de mes doigts. Je ne veux pas savoir qui va me prendre en premier, c’est à Antoine de décider, je veux continuer de profiter du sexe de Louise, il sent si bon l’amour. Je sens qu’on écarte encore plus largement mon con, çà y est un premier sexe m’enfile, il glisse entre les parois de mon vagin, je suis si bien, je me laisse faire, la queue va et vient en moi, je ne serais dire si elle est longue ou grosse, je m’en fous, je me fais simplement enfiler pour donner du plaisir à l’homme que j’aime, et ce plaisir est infini. La queue se retire et du sperme gicle sur mes reins, c’est chaud c’est bon. Aussitôt une autre bite s’enfonce en moi, je me retiens de jouir, malgré la force d’un orgasme qui commence à électriser mon vagin. Le bassin de Louise va de plus en plus vite au devant de ma langue, mes doigts la fouille profondément, je la branle de plus en plus vite, je sens qu’elle va jouir, alors je stoppe les mouvements de mes doigts, pour prolonger ce bonheur . Derrière moi, un homme m’enfile une ou deux minutes puis se retire, je sens qu’un autre prend sa place mon sexe est ouvert à qui veut le prendre, je coule de jouissance. Louise m’attend, elle geint doucement, alors mes doigts reprennent possession de son vagin, je la branle très fort, un immense gémissent s’échappe de sa gorge, et un jet puissant gicle du petit méat urinaire bien enfoui entre les lèvres de sa chatte, elle jouit en éjaculant son urine mélangée à sa cyprine. Je suis folle, la queue qui m’enfonce bat de plus en plus fort sur le bas de mes fesses, je ne peux me retenir de jouir a mon tour, j’ai honte du feulement qui s’échappe de ma gorge, je m’en fous je suis bien je suis offerte et j’aime ce plaisir.Après avoir un peu récupéré, le souffle un peu court, Louise et moi continuons de nous embrasser, je prends ces tétons dans ma bouche, je caresse son petit ventre gonflé de vie. Je me déplace, me met à plat dos, j’écarte en grand mes cuisses, c’est maintenant elle qui lèche mon sexe, suce mes sécrétions. Que c’est doux que c’est bon, je ne peux m’arrêter de mouiller ma fente se transforme en fontaine. Antoine se met prés de nous, il sort son sexe, je le prend aussitôt dans ma bouche, quel immense plaisir de sentir la queue de mon enfant au plus profond de ma gorge, je suce mon fils devant tout le monde, je le branle, mes doigts bien enroulés au dessous de son gland, sa queue se durcie, je fais bander mon garçon ! _ Louise ma chérie ! écarte tes cuisses et ouvres toi !Docilement Louise ouvre ses jambes et relève ses cuisses ses doigts écartent son sexe tout rose Antoine se place au dessus d’elle et c’est moi qui guide la queue de mon garçon entre les lèvres ouverte de cette si jolie future maman. Vincent et moi les regardons se donner l’un à l’autre ils sont beaux.Antoine m’a encore donné à deux autres hommes, je ne sais pas trop qui, ils m’ont prise en levrette, le cul bien ouvert, je ne voyais pas leur visage, je m’en fichais, mais ils m’ont encore fait jouir, ils avaient des capotes ils ont éjaculer dans ma chatte je n’en reviens pas du nombre de fois que je peux me faire baiser en y prenant du plaisir, mais ça, je sais, c’est Antoine qui me rend folle dingue de sexe.Jean toujours très classe demande à mon garçon, assez fort pour que je l’entende.— J’aimerai baiser ta mère Antoine, elle est trop belle et bandante, tu peux prendre Sophie si     elle te fait envie ! Tu crois que je pourrais …. peut être la prendre par son joli cul…— Bien sûr que tu peux prendre ma mére, demande lui, elle s’est beaucoup donné coté chatte.    elle sera d’accordJean me caresses d’abord les seins, tire sur mes bouts jusqu’à m’en faire mal, mais cet homme me plait, je le laisse faire, il me couche sur le dos, puis il prend mes cuisse et les remonte sur mes épaules, comme un paquet de linge , me prenant par les hanches, il fait remonter mon bassin ,dans cette position la tête rentrée dans les épaules je dois ressembler à une poupée désarticulée ,tout le poids de mon corps porte sur mes omoplates, mes cuisses et mes jambes en l’air de l’autre côté de mes épaules , je n’ai jamais été si ouverte, dans cette position mon entrejambe grande ouverte, mes orifices s’ouvrent presque naturellement . Debout au dessus de moi Jean n’a qu’à fléchir ses genoux pour que sa bite puisse accéder à mes trous. Je ne suis plus rien, je ne suis qu’une femelle ouverte qui attend de se faire pénétrer par des mâles. Antoine regarde fixement Jean s’enfoncer en moi, il me prend d’abord par la chatte, il va et vient en elle plusieurs fois , puis sa queue bien mouillée par mon jus, se place à l’entrée de mon anus, je sens son gland ouvrir peu à peu mon trou secret, je pousse mon anus pour aider à son ouverture, puis d’un seul coup je hurle de douleur le sexe de Jean a pénétré mes entrailles le trou de mon cul s’est ouvert comme une pêche juteuse, la douleur s’évanouit très vite, remplacée par une douce jouissance sa queue rentre et sort de mon trou je n’ai pas mal, je suis bien, mon trou bien dilatée accepte la queue qui me pénètre sans discontinuité. Un fantastique orgasme m’embrase, autour de nous des hommes et des femmes nous regardent,, ils me voient jouir, la bite de Jean enfoncée dans mon cul, ses couilles battent en cadence mon entrejambe, je geins, j’halète, je crie de plaisir un temps indéfini , mais surement trop court, je hurle encore une fois au comble de la jouissance quand je sens les décharges de Jean à l’intérieure de mon ventre. Je suis folle, mon enfant me regarde me faire enculer, je sais qu’il aime, je sais qu’il m’aime et moi j’aime me faire baiser devant lui. Je suis allongée, je suis repue, je suis comblée, du sperme s’échappe doucement de mon anus et glisse entre mes fesses de putain.Max et François ont disparus, ils doivent courir baiser quelques sexes vraisemblablement plus jeunes que les nôtres. Nous avons trouvé un petit espace fermé et confortable, un lieu discret loin du bruit incessant des femmes feulant de jouissance. Nous sommes nus, nous reprenons doucement nos souffles. Vincent caresse le petit ventre de sa femme ses doigts voyagent du petit nombril distendu, au creux de son sexe, s’attardant quelques instants entre les lèvres de sa petite fente, Louise, elle masturbe tout doucement son mari. Sophie a quatre pattes suce la queue de Jean, je vois bien sa longue chatte entrouverte je ne peux m’empêcher de penser que ce sexe qui regonfle entre ses lèvres, m’enculait quelques minutes plus tôt. Je les regarde, je les trouve beaux, ces couples s’aiment, ils prennent du plaisir et en donnent aux autres. De les voire ainsi emmêlés me redonne du plaisir, j’ai envie de mon fils, je n’ai plus envie que de lui, c’est le seul qui ne m’ait pas pris ce soir, je le veux, je le veux là tout de suite. Je prends sa belle queue entre mes doigts, il se laisse faire les yeux mi-clos, je le prends dans ma bouche, je la sens grossir enfler se durcir entre mes lèvres. Nos amis ont arrêté leurs caresses, immobiles autour de nous, ils nous regardent attentifs et bienveillants, il regardent une mère et son enfant faire l’amour surement une grande première pour eux. Je me retourne sur le dos, j’élève mes jambes et mes cuisses, de mes doigts j’ouvre encore une fois mon sexe, il est humide et chaud je vais y accueillir la belle queue de mon garçon, je voudrais tant qu’elle me féconde.
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