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initiation accidentelle...

Chapitre 1

Inceste
Ceci est l’histoire dérivée de l’histoire « voisine enceinte », un spin-off pour les anglicistes.

Elle commença quelques semaines après la fin de mon aventure avec N. celle-ci avait accouchée et je ne la voyais plus qu’épisodiquement avec son bébé et souvent avec son mari. Notre histoire avait réellement prit fin et elle semblait ne plus prêter attention à mon existence. Seulement, avant de se quitter, elle m’avait glissée une phrase dans l’oreille que je n’avais pas oubliée:« Ne t’inquiète pas, tu recevras prochainement une visite qui ne te fera plus penser à moi. »Seulement, les jours, voire semaines, s’écoulaient sans nouveauté pour moi. Je bossais en semaine, tentais des sorties le soir ou certain w.e. mais mes très rares aventures me semblaient bien terne par rapport à ce que j’avais vécu avec N. Et puis, comment dépasser un certain cap sans passer pour un obsédé voir détraqué sexuel. Les seuls souvenirs de cette période étaient les deux culottes que j’avais conservées et qui m’aidaient dans mes longues soirées de solitude.Ainsi s’écoulait mon existence durant ces vacances. Jusqu’à un samedi soir où l’on sonna à ma porte.Qui cela pouvait- il bien être ? Quelle ne fut pas l’agréable surprise de voir C sur le pas de ma porte. Elle n’avait plus son ventre proéminent et avait quelque chose de différent que je ne pouvais déterminer. Elle était vêtue d’une jupe large de couleur rouge tenue par une large ceinture noire et d’un chemisier blanc dont les deux boutons du haut ouvert laissaient entrevoir un décolleté vertigineux et où les yeux avaient envies de se perdre. « Bonsoir ! » dis –je enchanté. « Quelle surprise de te voir. »« Bonsoir ! » me lança-t-elle dans un franc sourire.« Entre ! Je t’en prie. » Du fait de mon inactivité, mon intérieur était des plus rangé mais restait un studio de 24m².« Si je m’attendais ! Comment vas-tu ? » On se fit les bises de courtoisie.« Très bien merci. »« Et le bébé ? »« Adorable ! dit-elle en continuant de sourire, Il commence à faire ses nuits ce qui me permet de récupérer un peu. »« Et tu ne l’as pas emmené ? »« Non ! Je voulais décompresser un peu. Ce n’est pas facile un premier enfant même s’il n’y a rien de comparable au niveau bonheur que cela puisse apporter. Alors je l’ai laissé à mon mari et puis je suis passé voir N. Je ne l’avais pas vue depuis … notre dernière entrevue à trois.Le sien est aussi adorable. On a papoté ainsi toute l’après-midi. C’est en partant qu’elle m’a annoncé que tu habitais toujours au-dessus. Alors me voilà ! ».Le moment de surprise passé, je lui offris un verre pour détendre l‘atmosphère et on se mit à discuter. Le temps s’écoulant, je me surpris à l’inviter à diner au restaurant. Mes maigres pitances ne me permettaient pas de l’inviter dans mon studio. Et oh joie ! Elle accepta. Sa présence me redonnait du baume au cœur. Et son décolleté, laissant entrevoir la naissance de ces seins, me mettait tout en émoi. C’est ça qui avait changé, ces seins avaient pris quelques proportions supplémentaires. Elle m’avait glissé qu’elle allaitait son bébé et qu’elle avait du lait à en revendre. Je ne pouvais m’empêcher de les revoir, pendants, ballotés, caressés, aspergé lors de notre unique rencontre. Mon sexe commençait à se sentir à l’étroit et il me fallut de la concentration pour ne pas montrer mon excitation. On finit par prendre sa voiture pour se rendre en ville et on entra dans une crêperie que je connaissais. Elle en fut étonné et ravie car cela la changeait des restaurants habituels. On commanda puis continuâmes notre discussion. Au cours du repas, on arriva sur les circonstances de notre 1ère et unique rencontre puis je lui posai la question qui me trottait dans la tête.« Tu nous avais dit ce jour-là, que tu jouais à touche-pipi avec un cousin ? Tu le faisais souvent ? »« Disons que cela a duré un certain moment. C’est comme cela que j’ai découvert ma sexualité. Mais ce n’est pas l’endroit pour en parler. »« Mais si ! Raconte s’il te plait. Il y a suffisamment de bruit pour que personne d’autre n’entende. » C. regarda autour d’elle un peu gênée puis se lâcha :
« Bon d’accord. Mais c’est une longue histoire… »« A vrai dire, j’ai tout mon temps. C’est à toi de voir.« Ne t’en fait pas, j’ai demandé ma soirée à mon mari. Il a compris que j’avais besoin de décompresser. Je lui ai dit que N. m’avait invité pour toute la soirée que l’on devait la passer entre femme. »   C. se mit à me raconter alors :« Ma vie sexuelle a commencé un jour précis de ma vie. C’était à un mariage, celui du plus jeune de mes oncles du coté de mon père. Mon père avait 2 frères et 3 sœurs. Il était l’ainé de tous et la plus jeune de mes tantes (qu’on appelait tantine) n’avait que 3 ans de plus que mon grand frère. Il avait 18 ans et moi 3 ans de moins. J’étais déjà bien formée (du moins le pensais-je avec mon 85b) et était réglée depuis 2 ans, depuis que mes poils avaient commencé à pousser. J’étais cependant un vrai garçon manqué car mes parents n’eurent que moi et mon frère qui m’en faisait voir de toutes les couleurs. Je m’habillais toujours en pantalon car à la campagne c’était plus pratique. Mais là, au vu des circonstances, la robe était de mise, blanche immaculé comme la mariée. Je te fais grâce de la cérémonie des plus ennuyantes pour des enfants de nos âges puis on arrive au restaurant. C’était une sorte de manoir transformé en restaurant qui faisait réception et hôtel en même temps. Mon oncle, qui était alors directeur d’une grande entreprise, avait loué des chambres pour ceux qui habitaient loin, ce qui était notre cas. A l’arrière, s’ouvrait un grand parc ou les enfants pouvaient s’amuser avec au fond une ouverture entre 2 rangées de buissons qui délimitait le parc et un petit bois de chênes et châtaigniers ou les gens pouvaient se promener. On était au début de l’été et ce samedi là, il faisait très beau.Pendant que les grands prenaient l’apéritif à l’intérieur, nous, les enfants, avions investis le parc qui résonnait de nos cris. Il y avait une dizaine d’enfants de moins de 10 ans, moi et un cousin d’un an plus âgé que moi T. Au vu du bruit, on nous fit comprendre avec mon cousin qu’il serait bien d’encadrer les plus jeunes. Mon cousin proposa alors de faire une partie de cache-cache. On définit qu’on ne devait pas rentrer dans le bois et mon cousin se mit à compter. Tous les enfants partirent dans tous les sens. Pour moi, un peu grande, je n’avais pas beaucoup d’endroit où aller ; je me dirigeai alors vers le bois mais me dissimula juste derrière les buissons. Ceux-ci entraient dans le petit chemin sur 2 ou 3 mètres sur un côté comme un L. Cela faisait un espace avec derrière des buches de bois entassées et protégées par une bâche blanche. Cela me permettait de voir ainsi tout le parc et d’être « camouflé» pour le jeu. Je ne trichais pas puisque je n’étais pas dans le bois….Mon cousin n’avait pas encore finit de compter et je pus voir mon frère et tantine prendre le chemin en direction du bois. C’est parfait, je verrais ainsi si ma cachette était bonne. Mon frère avait un costume clair.il avait laissé la veste au restaurant et se promenait en chemise. Ma tante avait un léger ensemble bleu à boutons par le devant s’arrêtant à mi-cuisses. Elle avait les cheveux châtains, les yeux verts et des seins que je trouvais bien plus gros que les miens à cette époque. Ils arrivaient à l’entrée du chemin quand mon cousin commença sa recherche des enfants. J’étais en position accroupie et je commençais à avoir envie de faire pipi. Je me disais que le jeu prendrait vite fin et que je pourrais ensuite aller aux toilettes. Le moment fatidique allait tomber. Mon frère et ma tante passaient à coté de mes buissons. Je vis alors mon frère se retourner et après également avoir regardé devant, il prit la main de tantine et il la tira derrière un grand châtaigner par l’autre côté du chemin. J’étais contente, ils ne m’avaient pas vu.Ce qui se passa alors me figea sur place. Je les vis s’embrasser comme le font les amoureux : sur la bouche. Ils s’enlacèrent et de là ou j’étais, je pus même remarquer qu’ils s’embrassaient en y mettant la langue. Cela ne pouvait pas être possible, ils ne pouvaient pas faire ça ! Ça ne se faisait entre tante et neveu ! Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Mon frère regarda de nouveau en direction du parc et pendant ce temps-là ; ses mains se mettaient à caresser ma tante sur tout le corps. Au bout d’un instant, elle fit de même avec lui. Mon frère commença alors à lui ouvrir 2 ou 3 boutons du haut et je vis une de ses mains disparaitre dans son décolleté. J’ai pensé « Il va se prendre une gifle. » Ma mère m’avait toujours dit que le jour où quelqu’un chercherait à me caresser des parties sensiblement féminine, je n’avais qu’à lui foutre une gifle pour qu’il me laisse tranquille. Mais au contraire, ma tante se laissait faire et commençait à gémir ce qui me semblait être de plaisir. Je détournais mon regard pour voir ce qui se passait dans le parc. Mon cousin avait presque retrouvé tous les enfants. J’entendis :« Oh oui, c’est bon… » Je regardais de nouveau mon frère toujours affairé sur les seins de tantine. Celui-ci regarda une nouvelle fois dans le parc et sortis sa main du décolleté pour la descendre plus bas. Il alla jusqu’au bas de la jupe et remonta par en dessous. C’est sûr, il allait se prendre un aller-retour direct ! Sa main se calla sur la culotte blanche de tantine et commença à la caresser à travers le tissus. Ma tante se recula alors et se reposa sur le tronc de l’arbre. Elle gémissait sous l’effet de la caresse de mon frère. « Huummm… » Faisait elle en se mordant les lèvres. Un nouveau regard de mon frère vers le parc et sa main remonta pour s’infiltrer sous la culotte. « Oh oui... continue… »J’étais sidéré. C’était la première fois que je voyais un couple se donner du plaisir mais il s’agissait de mon frère et de ma tante. Que pouvait-il bien se passer pour qu’elle puisse gémir ainsi ? Elle aurait dû le chasser mais au contraire elle semblait en redemander. Une fissure venait de s’ouvrir dans les convictions que l’on avait bien voulut m’inculquer. Je voyais les doigts de mon frères remuer dans la culotte et ma tante de remuer de son bassin en gémissant de plus belle « oh oui… encore...encore… continue… »Elle aussi avait baissé sa main et frottait le sexe de mon frère à travers le pantalon. Je me posais mille questions sur ce que je voyais. Mon frère et ma tante se frottaient leurs sexes et ils avaient l’air d’apprécier. Alors par curiosité, je relevai aussi ma robe déposa ma main sur ma culotte et me mis à me caresser. Je ne voyais rien de spécial. Sauf que l’envie de faire pipi était toujours présente. Je descendis ma main un peu plus et accentua la pression pour voir. Je regardais de nouveau mon frère. Sa main gesticulais de plus en plus et ma tante s’agrippait à son coup « oh oui… oh oui… encore… encore… » Sa main ne bougeait plus sur le sexe de mon frère tellement elle semblait concentré sur son plaisir. Ma main elle était toujours sur ma culotte. Je commençais à ressentir de petit picotement et je pouvais sentir à travers un renflement comme un petit bouton qui me faisait bizarre. Je décidai de me concentrer dessus malgré mon envie de faire pipi. Je vis tantine alors se tendre et gémir dans l’épaule de mon frère « huuummmm…. » Cela dura quelques secondes puis elle serra les jambes et enleva la main de mon frère de sa culotte.« Oh mon dieu…. Merde que c’est bon… tu es doué tu sais… » « Les enfants à table !! On vous attend… » Un adulte était venu dans le parc pour nous appeller. « Quelqu’un aurait vu C. ? » non ! Personne ne répondit tous affamés qu’ils étaient.Les enfants rentrèrent pour manger. Tantine à cet appel se réajusta correctement. Mon frère,lui, regardait de tous les côtés. Avait-il compris que je pouvais être là à les épier ? Peut-être,mais il ne devait pas penser que je pouvais être aussi prêt. Tantine s’exclama. « Viens allons-y, on va remarquer notre absence » elle fit un pas vers le chemin mais mon frère la retint.« Eh là ! Pas si vite ma beauté, tu ne vas pas me laisser comme ça ! » Dit-il en l’embrassant de nouveau. « Mais ils vont s’inquiéter ! »« Et alors, on aura juste à dire qu’on s’est promené dans les bois. » et il l’embrassa de nouveau. Je le vis prendre la main de tantine et la poser sur son sexe comme avant. « C’est mon tour s’il te plait ! »Et une nouvelle fois, je vis quelque chose d’ahurissant. Tantine en l’embrassant caressait le sexe de mon frère à travers le tissu. Déjà depuis tout à l’heure je voyais qu’il y avait une bosse à cet endroit-là. Et c’est cette bosse qu’elle caressait. Dans ma jeunesse, mes parents ne m’avaient rien appris en matière de sexe. Ils avaient toujours pensé que le temps n’était pas encore venu et attendait que je grandisse encore un peu. De mon côté, garçon manqué, je trainais parfois avec des garçons mais ils n’avaient jamais abordé ce sujet en ma présence. Et ce que je voyais ce jour-là était des plus déboussolant pour une fille de mon âge.La main de tantine ne s’arrêtait pas là. Je la vis déboutonner le pantalon et le faire descendre. Elle reposa sa main sur le slip de mon frère ce coup-ci et refit des mouvements de bas en haut mais très vite, elle baissa ce slip et laissa apparaitre quelque chose qui resterai gravé dans ma mémoire. Un sexe en érection. J’avais déjà vu mon frère nu il y avait quelques années mais son sexe ne ressemblait en rien à celui que je voyais actuellement. Il était grand, gros, dressé droit comme un I. La main de ma tante arrivait tout juste à en faire le tour et je la voyais s’activer de bas en haut dessus de mon côté, cette scène ne me laissais plus de marbre. Inconsciemment, ma main s’était fixé sur ce bouton que je sentais à travers ma culotte et passait dessus, tournoyait autour, le pinçait. Une douce chaleur envahissait mon bas ventre. Je sentais mon cœur s’emballer, ma respiration s’accélérer. Je sentais un changement s’effectuer dans mon corps et cette sensation de pipi qui s’intensifiait. Je ne pouvais pas bouger sans trahir ma présence. Il fallait absolument que je me retienne. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Je ne savais vraiment pas ou tout cela allait s’arrêter. J’avais l’impression que les choses empiraient et je me demandais si je n’aurai pas mieux fait d’aller me cacher ailleurs.Tantine s’accroupie tout en continuant de caresser le sexe de mon frère. Une fois, elle cracha dans sa main avant de continuer son mouvement puis c’est là que tout bascula. Mon frère avait mit ses deux mains sur le haut de sa tête qu’elle avança, sa bouche arriva au niveau du sexe puis elle l’ouvrit pour sortir sa langue qu’elle passa sur le haut du sexe. Ce coup-ci, ce fut mon frère qui gémit « humm… ne t’arrête pas. » et alors, ma tante ouvrit sa bouche et y enfonça le sexe de mon frère. Cela fut comme un choc dans ma tête. Mais comment était-ce possible ? Ce que je voyais me semblait inimaginable ! Comment pouvaient-ils faire ça ? Comment ma tante pouvait accepter de mettre ce qui servait à faire pipi dans sa bouche ? Celle-ci se mit à faire des aller retours, je voyais dans sa bouche sa langue bouger. Mon frère semblait aux anges. Il avait fermé les yeux et rejeté sa tête en arrière. « Oh que c’est bon, continue, ça va venir…. » Quoi ? Qu’est ce qui allait venir. ? Je me mis naïvement à regarder dans le parc et autour de moi mais tout était vide. Tout le monde était rentré manger sauf nous. J’avais arrêté de me caresser car les sensations que je ressentais sur mon bouton avaient accentué mon envie de faire pipi. J’avais l’impression que j’allais bientôt ne plus pouvoir tenir. Ma vessie de par ma position accroupie commençait à me faire mal. Tantine avait accélérer son mouvement de va et vient avec la bouche. Mon frère gémissait de plus en plus. « Oh oui ! Ça vient, n’arrête pas… continue… » J’avais l’impression que c’était mon frère avec ses mains et ses mouvements de bassin qui donnait le rythme « oh oui… ça vient... ça vient… »Mais de quoi il parlait ? Qu’est ce qui venait ? Tout à coup mon frère s’arc bouta. Il immobilisa la tête de ma tante avec son sexe entièrement à l’intérieur. Et il lança un grognement bestial puis il donna deux ou trois coup de bassin dans la bouche de ma tante. Celle-ci ne bougeait plus. Le sexe de mon frère devait luis remplir la bouche. Qu’est ce qui se passait ? Il lui faisait pipi dans la bouche ? Mais je ne la voyais pas avaler. Alors ? Mon frère arrêta de bouger ma tante ouvrit légèrement la bouche et un filet blanc en sorti. Cela était trop blanc pour que ce soit de la bave et ce n’était certainement pas du pipi. Elle finit par sortir le sexe de sa bouche. Elle avait du blanc partout autour de sa bouche maintenant et le sexe en était recouvert. Ma tante passa sa langue pour récupérer ce qu’elle avait sur le visage puis ressorti la langue pour lécher le sexe qui avait diminué de volume. Il n’était plus très droit. Ma tante le reprit complètement en bouche mais elle n’avait plus l’air d’être aussi remplit qu’il n’y a quelques instants encore. Et elle le ressorti tout propre. Elle avait tout avalé. Tout ce jus blanc qu’elle avait eu à l’intérieur et autour de sa bouche ainsi que ce qu’il y avait sur le sexe de mon frère.Elle finit par se relever. « Hummm… tu t’y es prise comme une déesse » dit mon frère« Et moi j’ai adoré ton jus » répondit-elle. « Ça vaut tous les apéritifs du monde » et ils s’esclaffèrent. Elle l’embrassa de nouveau et se réajustèrent. Ils finirent par sortir de derrière les arbres et retournèrent tranquillement vers le restaurant.Je n’y tenais plus, mon envie me faisait mal, les voir marcher doucement comme si de rien était puis tourner au coin de la bâtisse fut un véritable supplice. Une fois disparut je me précipitai sur ma culotte. Je n’avais plus le temps pour me relever. Qu’elle ne fut pas ma surprise de la toucher humide. Je n’avais pas l’impression pourtant d’avoir lâché ma vessie. Je n’avais plus le temps de me poser des questions. vite j’en écartais le bas pour enfin libérer mon pipi. Jamais je ne m’étais autant retenu que ce jour-là et jamais je ne vis mon jet aller aussi fort et aussi loin. Je ressentis alors une sensation de béatitude et je ne sais ce qui se passa dans ma tête mais je crois qu’à ce moment-là, j’eu eut un pseudo orgasme. J’avais l’impression que j’allais m’évanouir tant de sensations traversaient mon corps et mon esprit. Il me fallut un certain temps pour me ressaisir. Mon jet s’était tari et mon ventre ne me faisait plus mal. L’inconvénient avec les robes de cérémonies, c’est qu’elles n’ont pas de poche. Je n’avais donc rien pour m’essuyer. Tant pis. Je remis ma culotte en place, regarda en direction du parc et ne voyant personne, finit par me relever. Ce ne fut pas sans mal car j’étais resté un long moment accroupie. Puis je pris la direction du restaurant. Je me sentis les doigts pour voir si mes doigts ne sentaient pas trop le pipi mais oh surprise ! Je m’arrêtai sur le chemin car ce que je sentais n’avait rien à voir avec l’odeur de l’urine. Elle était bien différente presque enivrante pour la première fois que je la sentais. Je repris alors rapidement le chemin du restaurant et prit la direction des toilettes. Je m’enfermai et enleva ma culotte. En effet celle-ci était humidifié à l’entrejambe une tache s’y était formé mais presque translucide. Je la portais à mon nez pour la renifler. J’y retrouvais l’odeur que j’avais sur les doigts même si maintenant une odeur d’urine s’y dissimulait du fait que je n’avais pu me nettoyer. Je m’assis alors sur la cuvette des WC et releva ma robe. Je me remis à me caresser. J’essayais de retrouver le bouton que j’avais sentis à travers ma culotte. Je le trouvais bien vite. En le cherchant, je m’aperçus que tout mon sexe était humide, plus que d’habitude. Je mouillais mes doigts avec et les portait à mon nez. Je reçus de nouveau un choc car je sentis l’odeur à l’état brut. Je les remouillai pour les sentir de nouveau. De mon autre main, je retrouvai mon bouton et me mit à le caresser. Cette chaleur que j’avais ressentie plus tôt revint. Mon cœur et ma respiration s’accélérèrent. Et c’est ainsi que je ressenti de nouveau cette impression de béatitude. Puis arriva une autre sensation. Cela arriva doucement puis augmenta, semblait s’en aller alors je me caressais autrement, cela revint plus fort puis semblait repartir, alors je forçais de nouveau sur mon bouton tout en continuant de sentir mes doigts et cela recommença et ainsi de suite comme des vagues qui allaient de plus en plus loin sur un rivage pour finir au bout d’un court instant par une déferlante. Je me suis laissé emporter par ces flots, si je puis dire et je me suis surprise à gémir comme l’avait fait ma tante sous les doigts de mon frère. J’eu du mal à refaire surface. Cela n’avait rien de comparable à ce que j’avais ressenti derrière les buissons. Je pris quelques secondes pour m’en remettre. Ma main toujours sur mon bouton qui me lançait quelque décharge électrique maintenant. Je descendis cette main sur mon sexe et le sentit encore plus humide que quand j’étais entrée. Mais qu’est ce qui m’était arrivé ? Certes je venais de me donner mon premier orgasme mais je n’en étais même pas consciente. Pourquoi mes parents ne m’avaient ils jamais parler de tout ce qui venait de m’arriver ? De tout ce que je venais de voir ? Devais-je d’ailleurs leur en parler ? Est-ce que je devais leurs dire ce que j’avais vu entre mon frère et ma tante ? Et qu’avait il fait au juste ? Est-ce normal de prendre un sexe en bouche ? Ma tante n’avait pas eu l’air de s’en offusquer et même, n’avait-elle pas montré qu’elle aimait ça ? Des milliers de questions se mélangeaient dans ma tête mais le temps commençait à être long d’ailleurs, la porte des toilettes s’ouvrit et j’entendis mon nom appelé. C’était ma mère qui me cherchait s’inquiétant de ne plus me voir. Je lui répondis que j’étais là et que j’arrivais. Je m’essuyai comme je pus, remit ma culotte encore humide, sentis mes doigts une dernière fois et sorti de la cabine. Je me lavai les mains sous les réprimandes de ma mère qui me disait me chercher depuis des lustres et je dû lui prétexter des problèmes intestinaux pour qu’elle me laisse tranquille. On revint ensemble dans la grande salle ou visiblement les entrées étaient quasiment finies. Je m’assis pas loin de mon frère mais avec les enfants et celui-ci me dévisageait légèrement livide. Il devait se demander si mon absence n’avait pas été provoquée par son escapade avec ma tante. Mon assiette étant encore servit, je la vidai rapidement car tous ces évènements m’avaient mise en appétit.
A suivre…
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