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initiation accidentelle...

Chapitre 2

Inceste
suite...
On revint ensemble dans la grande salle ou visiblement les entrées étaient quasiment finies. Je m’assis pas loin de mon frère mais avec les enfants et celui-ci me dévisageait légèrement livide. Il devait se demander si mon absence n’avait pas été provoquée par son escapade avec ma tante. Mon assiette étant encore servit, je la vidai rapidement car tous ces évènements m’avaient mis en appétit.Puis ce fut une succession de plats, de discours, de chansons, de discussion. Je surpris maintes fois les regards interrogateurs de ma tante vers mon frère mais celui-ci ne m’avais pas encore approché. J’étais en effet avec le groupe des enfants ainsi que mon cousin et nous tentions de les amuser. Après le dessert, on organisa une chasse aux ballons qui étaient éparpillées dans la grande salle. De nombreuses personnes étaient sorties prendre l’air dans le parc. On avait séparé les enfants en deux groupes dirigés par un grand et aussitôt ils se mirent à courir dans tous les sens riant, tombant, tapant dans les ballons. A un moment, je vis un ballon à l’écart. En regardant mon cousin en face de moi, je vis qu’il l’avait vu lui aussi. Pris dans le jeu, on courut pour se l’approprier et on arriva quasiment au même moment, on se baissa ensemble pour le ramasser et c’est là que je le vit se figer. Il resta là, les bras immobile le regard fixe. Et son regard… se dirigeait … vers mon entrejambe…Je m’étais accroupis pour saisir le ballon comme lui, sauf que j’avais oublié que je portais une robe et il avait pleine vu sur ma culotte. Cette culotte blanche qui devait encore porter les taches humides de mon plaisir pris auparavant. Et il n’arrivait pas à détacher son regard. Comme lui, j’étais paralisé par ce qui se passait. Je prenais alors conscience que j’étais une fille et que j’avais un pouvoir sur les garçons. Je vis aussi une bosse comme celle de mon frère se former dans son pantalon. Il finit par refermer la bouche et déglutir. Je refermai mes jambes, pris le ballon et me releva. Je retournai vers les enfants en leur disant qu’on avait gagné d’où exclamation de joie. Mon cousin nous rejoint quelques secondes plus tard. Il avait les yeux baissé et était rouge écarlate. Pendant les jeux qui suivirent, il avait changé du tout au tout avec moi. Ses regards n’étaient plus les mêmes je le sentais parfois essayer de regarder par tous les moyens sous ma robe. Cela me procurait un drôle d’impression. Je décidai alors de m’amuser avec lui. De toute façon, il en avait vu beaucoup quand je m’étais accroupie. Je proposai alors aux enfants de faire un concours de danse. Et tous se mirent à gesticuler. Mon cousin aussi se mit parmi nous et alors, je tentai de tournoyer un tour sur moi-même ce qui donna l’effet de soulever ma robe. En regardant mon cousin, je vis que j’avais fait mouche, son regard était de nouveau figé sur moi. Cependant, je pense que je n’avais pas du tournoyer trop vite et qu’il n’avait vu qu’une partie de mes cuisses. Mais cela suffisait pour attirer toute son attention. Je le fis patienter en passant d’enfant en enfant puis décida d’en remettre une couche je tournoyais ce coup-ci un tour mais plus rapidement que la première fois et là, je sentis ma robe bien remonter et un courant d’air passer entre mes jambes. Là ; il du bien voir de nouveau ce que j’avais en dessous. Un rapide coup d’œil me confirma qu’il était le seul à s’être rincé l’œil. Cela me procurait une impression de domination. Mon cousin était subjugué et paraissait avoir perdu une partie de son cerveau. Je remarquai aussi la bosse se reformer dans son pantalon. Mais je jouais à un jeu ou je ne savais pas quel but je cherchais à atteindre avec lui. Je l’avais ferré comme dirait un pécheur mais pour l’amener où ? Je repassais tout cela dans ma tête en continuant de danser avec les enfants. Son regard était toujours fixé sur mes jambes. J’avais appris aujourd’hui beaucoup de chose en regardant mon frère et ma tante (tiens, ou étaient-ils en ce moment ?), beaucoup de chose que l’on m’avait caché. Car je me doutais bien que ce que j’avais vu devait être chose courantes chez les adultes. Alors, peut être que mon cousin aussi était dans l’ignorance de certaines choses. Alors pourquoi ne pas lui en apprendre un peu à lui aussi ? J’attendis que le moment sois propice et que personne ne me regarde pour faire ce coup-ci un double tour sur moi-même à grande vitesse. Ma robe resta ainsi en l’air pendant quelques secondes et mon cousin put ainsi admirer ma culotte de devant et de derrière. Quand je passai à un autre enfant ; je constatais qu’il était vraiment mal à l’aise. Il avait les mains abaissées devant son pantalon mais des enfants vinrent le chercher pour faire une ronde et le forcèrent à donner la main. Je pus constater que la bosse devant avait pris de grande proportion et que cela le gênait pour marcher. Il leva enfin les yeux vers moi, et je pus y lire une certaine détresse. C’était décidé. En voyant cela, je décidais que nous apprendrions ensemble les choses de la vie qu’on nous avait dissimulé. J’attendis qu’il se soit libéré de l’emprise des enfants puis de nouveau que personne chez les adultes ne nous regarde. Alors je partis sur une série de tour sur moi-même. Je ne comptais pas les tours, mais ma robe se remit à s’envoler. Mon cousin ne bougeait plus et me regardait d’un air beat. Je finis mes tours et fis semblant d’avoir le tournis. Je m’approchai de mon cousin et près de lui, fis semblant de tomber à la renverse et finis assise par terre jambe relevées et écartées. Il ne pouvait de nouveau rien perdre du spectacle que je lui offrais : ma culotte souillée. En le regardant me fixer, je ressentis à ce moment la même chaleur dans mon bas ventre que tout à l’heure quand j’étais seule. Et tout à coup, si j’osais ? Je jouais toujours celle qui était étourdie et il finit par s’approcher de moi en me tendant une main, certainement pour me relever. Quand je lui saisis et qu’il tirait, je résistais pour rester assise et prétextant cet effort, je fis mine de forcer mais je libérais par la même occasion quelques gouttes d’urine. L’effet ne se fit pas attendre. Je sentis une chaleur douce se répendre et arriver sur ma culotte. Une nouvelle auréole devait s’y former en ce moment. Cela laissa mon cousin sans force. Il ne put que regarder cette tâche qui devait être jaunâtre s’agrandir sur le fond de ma culotte. C’est là que je me rappelai la tache translucide de tout à l’heure. Si ça se trouve, il pouvait voir les poils de mon sexe par transparence. Mais trop tard, le mal était fait. Et là, je pus voir également de son côté une tâche se former dans son pantalon au niveau de sa bosse. Très vite, il me lâcha la main et me dit qu’il devait aller aux toilettes. Je ne comprenais pas trop ce qui s’était passé. Avait il lui aussi fait pipi dans son pantalon ? C’était la première fois que je mettais en émoi un garçon et celui-ci partait en courant presque. Je me relevai toute seule et resta là avec les enfants à m’interroger sur ce qui pouvait lui être arrivé. Il mit un temps fou pour revenir. Quand il finit par réapparaitre, je remarquai discrètement qu’il avait nettoyé l’endroit où il y avait eu la tâche. Mais il y avait un autre changement. Je ne pouvais dire quoi. IL revenait vers nous,le visage tout rouge et évitant mon regard. Je dis aux enfants « tout le monde dehors ! » il n’y avait de toute façon plus grand monde à l’intérieur. Il faisait beau et tout le monde profitait du soleil. Je passais derrière eux pour sortir, juste après mon cousin. Et ce que j’avais remarqué de différent, ce définissait plus facilement par derrière. Son pantalon lui collai les fesses ce qui indiquait qu’il avait ôté son slip dans les toilette. Cela me fit rigoler. Mon cousin se retrouvait nu dans son pantalon. Cela me fit toute chose mais j’étais à court d’idée pour continuer de jouer avec lui. De plus, à l’extérieur, les gens s’étaient formés en groupe et marchaient dans le parc et même dans le bois au fond. Je libérais les enfants en leur disant qu’il pouvait faire ce qu’ils voulaient en me faisant promettre de rester sage. Promesse qui dura moins de 2 minutes en fait.J’en profitais pour m’isoler un peu. Des groupes de sièges étaient disposé un peu partout dans le parc. Beaucoup étaient occupé mais j’en remarquai 2 ou 3 isolés. Je me dirigeai vers eux et en positionna 2 face à face pour pouvoir m’étendre. Une fois installé, je fermai les yeux et me remit à penser à tout ce qui s’était passé depuis que nous étions ici. Je m’assaillais d’une multitude de question pour lesquelles je n’avais aucune réponse à apporter car on ne m’avait rien appris sur le sexe. Qu’est ce qui pouvait bien se passer chez un homme pour que son sexe grossisse autant ? Et qu’est ce qui se passait chez moi ? comment se faisait-il que mon sexe soit autant humide quand je le caresse et qu’est ce qui m’était arrivé dans les toilettes ? Je me doutais bien que c’était ce qui était arrivé à ma tante sous les doigts de mon frères et a bien y penser, c’est sûr que je recommencerai tellement c’était bon. Plongé dans mes réflexions, j’entendis des bruits dans l’herbe à proximité. J’ouvris les yeux pour voir mon frère s’approcher. « Ça va sœurette ? » me dit-il en me souriant. « On se repose ? Ce n’est pas facile de garder des enfants hein ? Je le sais, rappelle-toi, c’est moi qui vous gardais quand vous étiez plus petit. » Ce disant, il prit la chaise libre pour s’assoir à côté de moi.« Oui en effet, répondis-je, il faut tout le temps être derrière eux. »« En effet, sinon, il y en a toujours un pour échapper à ta vigilance et qui part se cacher on ne sait où. »Sa phrase était pleine de sous-entendus. « Écoute sœurette. Tu peux me dire ou tu étais tout à l’heure ? » « Ben tu l’as bien vu, j’étais aux toilettes. J’avais quelques problèmes... »« Pas à moi sœurette. Ta tante était passée aux toilettes juste avant le repas et tu n’y étais pas. De plus, quand je suis allé m’installer à table, vu que j’étais un peu en retard, je t‘ai vu au milieu du parc à travers une fenêtre. Tu es sur que tu n’as rien à me dire ? »Je baissais les yeux. Comment lui dire la vérité. Je ne savais plus moi-même ce que j’avais vu tellement cela semblait irréel.« Tu m’as vu avec tata ? » finit-il par demander d’un air sérieux. Je n’avais toujours pas levé les yeux mais je le sentais embarrassé par la situation.Je ne pus que faire oui de la tête.  « Écoute. Je ne sais pas comment te le dire mais voilà. J’aimerai que tu gardes ça pour toi. J’aimerai que tu ne dises à personne ce que tu as vu. Avec tata on a fait une bêtise et on ne le recommencera pas. Est-ce que tu peux faire ça pour moi sœurette ? »Je me mis à réfléchir sur ce que je venais d’entendre. Au final, il en ressortait que mon frère était dans un état de faiblesse et me mettait dans une position de dominance. J’avais ainsi un pouvoir sur lui dont je pouvais profiter. En fait, je n’avais eu aucune intention de dévoiler ce que j’avais vu. Mais il venait m’offrir sur un plateau un pouvoir que je pouvais exercer sur lui. Je devais donc profiter de cette occasion mais comment. Je n’avais aucune intention de lui faire du mal. C’était mon frère et je l’aimais comme tel. Je relevais les yeux pour le regarder puis je fis le tour du parc. Je vis un peu plus loin ma tante qui nous regardait. Elle devait se douter que mon frère était en train de me tirer les vers du nez. C’est alors que je sus. Je savais ce que je pouvais désormais demander à mon frère.« D’accord. Je ne dirai rien. Mais à une condition. »Je le vis blêmir.Je tournai de nouveau mon regard vers lui. « Ce que tu fais avec tantine, ce n’est pas mon problème. Seulement, tout à l’heure, j’ai été très surprise. D’une part par ce que c’était vous deux, mais aussi parce que je ne savais pas ce que vous faisiez. C’est la première fois que je voyais deux grands faire ce genre de chose et tu sais bien que ni papa ou maman nous apprendraient ce genre de chose. »« Oui ça s’est sûr ! » me confirma t’il.« Alors, comme tu as l’air de t’y connaitre sur ce sujet, j’aimerai que toi et tantine vous me les appreniez. ». Il resta interloqué par ce que je venais de lui demander.« Mais enfin, je ne peux pas ! Tu es ma sœur, et puis, tu as vu ton âge, tu es trop jeune ! »« Je te rappelle que c’est toi qui es venu me voir. Je n’ai pas dit non plus que tu devais me toucher, je t’ai juste demandé de m’apprendre. Avec ce que j’ai vu tout à l’heure, j’ai trop de questions en tête qui resteraient sans réponse. Je sais qu’avec toi et tantine, vous pourriez répondre à beaucoup de chose. »Un peu rassuré, il finit par dire « bon ben je vais voir ça. Je te promet rien» il se leva. « À tout à l’heure sœurette »« Et ne m’appelle plus sœurette S’il te plait !» En effet, j’estimais ne plus être une fille maintenant, et avoir grandi plus en cette journée qu’en plusieurs semaines…
A suivre…
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