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initiation accidentelle...

Chapitre 6

Inceste
« C’est ça faire l’amour ? »« Ben oui ! Après ce que j’avais vu avec ta mère, je me suis renseigné et j’ai appris que faire l’amour, c’est quand le garçon met son sexe dans celui de la fille, dans le trou ou j’avais mis mon doigt. Quand j’ai entendu les mariés, j’ai compris ce que faisaient mes parents certains soirs : Parfois, j’entends ma mère gémir de la même façon quand ils pensent que je dois dormir profondément. Mais je me suis toujours demandé pourquoi elle gémissait. Maintenant, je comprends que mon papa et elle faisaient la même chose.»Moi, mes parents dormaient un étage au-dessus donc je n’avais jamais rien entendue.« Oui mais t’a vu le zizi de tonton ? Il est énorme ! »« Ben… quand j’avais mis mon doigt dans le kiki de ta mère, mon doigt n’était pas arrivé au fond. C’est peut-être plus profond que ça ? »« Moi Je sais pas, j’ai jamais essayé. » dis-je.
…Suite…
« Au fait, qu’est ce qui s’est passé tout à l’heure quand je t’ai caressé ? Tu as faillis me faire mal à la main »« Je sais pas. C’était la première fois que ça m’arrivait. » Je ne voulais pas lui dire que cela m’était en fait arrivé hier dans les toilettes.« Quand tu m’as caressé, il y a un endroit qui me faisait du bien quand tu es passé dessus et plus tu caressais et plus ça me faisait de bien jusqu’à ce que je ne supporte plus tellement c’était bon. Dis ? Tu veux bien me montrer ton zizi de nouveau ? »Notre conversation me faisait tout bizarre de nouveau dans mon bas ventre. Je voulais de nouveau retrouver ces sensations dont on parlait.« D’accord, mais je veux voir le tien aussi. »« Montre d’abord, j’ai demandé la première ! »  « Oui mais tu me montre le tiens après ! »« D’accord ! Mais commence ! »
    T. déboutonna son pantalon qu’il baissa puis il baissa son slip. Alors, je vis son sexe dans son intégralité. Il était redevenu mou et pendait parmi ses poils. Le prépuce avait repris sa place et couvrait le gland. Il faisait quelque centimètre et n’avait rien à voir avec celui de mon oncle ou de mon frère.« A toi maintenant ! »    Je pris mon temps pour voir sa réaction. Alors je commençais par soulever ma robe blanche, lui montrant ma culotte blanche en coton qui devait être encore humide dans le fond. Tout de suite le sexe de T. réagit en se redressant légèrement. Puis je la fis descendre doucement dévoilant d’abord mes poils puis ma petite fente. Le sexe de T. se redressa encore plus. Je fis passer mes jambes pour la retirer et la lui tendis. Il l’a prise en me regardant comme pour me dire merci. Il se mit à la caresser puis la porta à son nez. Son sexe finit de se redresser pour se tenir droit. C’était impressionnant. Je venais de voir son sexe tripler ou plus de volume. « Humm… j’adore cette odeur » Dit-il en me regardant. « C’est presque la même odeur que celle de ta maman. »« Comment ça ? » fis-je interloquée.« Ben, l’année dernière, j’avais senti mon doigt que j’avais mis dans le kiki de ta maman avant de me nettoyer. J’ai retrouvé cette odeur quand tu m’as fait respirer tes doigts tout à l’heure. Ça me fait encore plus mal à mon zizi que quand je vois une culotte. »Je voyais son sexe bouger par intermittence comme s’il voulait se développer encore plus.
« Dis ? Je peux sentir ton kiki ? » Me demanda-t-ilJe réfléchis à sa proposition. Si ça se trouve, c’est ce qu’on avait vu tout à l’heure, peut être que mon oncle avais senti le kiki de la mariée mais celle-ci avait éprouvé du plaisir, donc il devait y avoir autre chose. Peut-être que T. allait me faire découvrir ce que c’était.. « D’accord, mais je veux sentir le tiens aussi. »« Oui mais moi d’abord, ce coup-ci, c’est moi qui l’ai demandé en premier.»« Bon si tu veux. »Alors je finis par soulever ma robe pour lui montrer mon sexe. Il s’accroupi devant moi et approcha sa tête.« Ecarte les jambes s’il te plait. » je m’exécutais en lui dévoilant encore plus mon intimité il approcha son nez et commença à me renifler. « humm… je retrouve ton odeur. Mais c’est pas facile. Tu veux pas t’assoir sur le tronc s’il te plait ? » Je reculais de quelques pas, ma robe toujours redressée pour m’assoir. Une fois assise, je repliai mes jambes de côté, les pieds sur le tronc lui dévoilant ainsi mon sexe tout entier. Il s’approcha son sexe tendu à l’extrême qui ballotait, pour s’accroupir de nouveau devant moi. Sa tête se pencha de nouveau sur mon sexe et il huma de nouveau. Je le voyais fermer les yeux pour mieux sentir. Cela dura quelques secondes avant qu’il ne les r’ouvre.« huummm… rien que de te sentir, j’ai mon kiki qui me fait de plus en plus mal. » il se mit à observer mon sexe. « C’est plus facile de voir, tu as moins de poil que ta mère. On voie bien ta fente. Je peux écarter s’il te plait ? »  Il me regardait d’un air suppliant. Cela me faisait de drôles de sensations qu’il soit si proche comme ça. En plus maintenant, il voulait en voir davantage. J’étais plongé dans mes réflexions si oui ou non j’allais le laisser faire qu’il prit lui-même l’initiative. Il avança ses mains sur mon sexe pour l’écarter. Rien que le toucher de ses mains m’électrisa. Jamais personne ne me l’avait touché la chaleur dans mon ventre réapparue à vitesse grand V. Je dégluti ne sachant pas la tournure que prenait les évènements. « Je vois vraiment mieux qu’avec ta maman. Ce petit trou, c’est pour faire pipi ? »« Euh... oui, c’est par là que ça sort »« Tu peux me montrer s’il te plait ? »« Non, j’ai pas envie pour l’instant »« Et ça, c’est ici que ça t’a fait des choses ? » « Je ne sais pas. J’ai jamais regardé »
C’est vrai que je n’avais éprouvé du plaisir que par le toucher. Je n’avais même pas regardé ce bouton source de plaisir qui m’avait fait tourner la tête par deux fois. Sentir son souffle sur mon sexe m’embrumait l’esprit. Je fermais un instant les yeux pour tenter de comprendre ce qui se passait dans mon corps quand je reçus une décharge électrique provenant de mon bouton justement. J’ouvris les yeux pour voir la cause d’une seconde décharge électrique. T. venait de passer un deuxième coup de langue dessus.« Ca doit être ça » me dit-il. « Vu comme tu réagis » et il repassa un coup de langue.« Mais arrête ! » dis-je.
T avait complètement changé. Il ne se comportait plus comme un garçon timide qui avait peur de tout. Non, il était curieux, entreprenant. Il osait là où j’avais moi-même peur de ce côté inconnu de ma personnalité. J’avais peur de la réaction de mon corps suite à ses attouchements car il faut dire que ses coups de langues m’avaient littéralement liquéfié. M’empêchant toute réaction de rejet. Il ne me semblait plus n’avoir que la parole. « Arête ! Je te dis ! » lâchais-je dans un souffle alors que maintenant, il avait sa bouche collé à mon sexe. Sa langue passait et repassait sur mon bouton m’apportant les vagues de plaisirs tant redoutées que je ne voulais pas montrer aussi vite à mon cousin. Je me retins de gémir comme l’avais fait la mariée. Je ne voulais pas lui montrer à quel point ce qu’il me faisait m’apportait un plaisir de plus en plus insupportable. Je ne pus que murmurer un :« arrête s’il te plait »mais n’étais-ce pas que dans ma tête que je le suppliais ?Sa langue se détacha de mon bouton pour descendre devant mon orifice. Il commença à lécher à cet endroit, tentant de faire rentrer sa langue à l’intérieur. Les sensations furent différente ce qui me permis de souffler un peu et de retarder la montée de mon plaisir. « Je croyais que tu n’avais pas envie de faire pipi ? » Me dit-il en se retirant légèrement.« Mais non. » Répondis-je. « J’ai pas envie. »J’essayais de reprendre mes esprits et de comprendre ce qu’il me disait « C’est bizarre ! Continua-t-il, j’ai l’impression qu’il y a un liquide qui coule par petite goutte. Mais c’est vrai que ça n’a pas l’odeur du pipi, ça a la même odeur que quand j’ai senti ta culotte » Et de replonger son visage entre mes cuisse et moi de repartir dans mon trouble. Il avait réactivé sa langue, me léchant tout ce qu’il pouvait en l’enfonçant parfois dans mon antre. Puis il remonta, retrouva mon bouton et recommença à jouer avec. Mes vagues de plaisirs étaient revenues et je n’avais pas besoin de le diriger ce coup-ci. Je me surpris à lâcher un gémissement qui eut l’air de lui faire redoubler d’ardeur. Il se mit à passer sa langue de plus en plus vite sur mon bouton. S’arrêtant parfois pour l’aspirer, le mordiller, recommençant dans l’autre sens. Je ne pouvais plus rien dire, concentré sur ses sensations si différentes de quand il m’avait caressé ou de mes propres caresses. Mon plaisir avait l’air d’être plus concentré, plus fort. Je ne pouvais me retenir de gémir de plus en plus. Mon cousin T. avait l’air de s’en jouer et continuait inlassablement ses coups de langues. A un moment, il s’y prit d’une telle manière que je parti sur une voie sans retour.
Je me surpris à dire » oh oui… oh oui… oh oui… » Alors T. ne changea plus ses coups de langues ni de fréquence. Cela ne fit qu’accéléré l’arrivé de mon plaisir. « oh oui… oh oui… oh oui » lâchai-je encore plus fort..Je ne résistais plus, laissant arriver ce plaisir pour voir jusqu’où il pouvait m’emmener. Je ne pensais plus à rien, ni à T., ni à ses coup de langue ni à ce que j’avais vu tout à l’heure, je me focalisais sur cette onde qui arrivait comme hier comme une grande déferlante que je ne pouvais retenir et qui dévastait tout sur son passage« OH OUI…… » Avais-je eu l’impression d’hurler quand elle m’emmena loin dans mon subconscient me coupant totalement de la réalité, sensations 10 fois plus merveilleuses que celles ressenties par les caresses promulgué quelques instant plus tôt par les mains de mon cousin qui venait ainsi de me faire jouir pour la seconde fois.
Ce fût un moment de volupté et de plénitude totale que je ne voulais pas quitter et qui dura une éternité à mes yeux. Ce fut mon premier pied géant. Mais tout avait une fin et je fus ramené à la réalité par mon cousin qui continuait ses coups de langues mais qui ne m’apportait plus rien sur le moment. Je fis un effort qui me semblait surhumain pour lui faire détacher sa tête de mon sexe.« Arrête ! J’en peut plus » Finis-je par dire. Il me regarda avec curiosité. « Cela avait l’air de te faire tellement de bien » me dit-il.« Tu m’as fait beaucoup de bien je t’assure mais il faut que je me repose un peu, je n’ai plus de force. » je descendis mes pieds pour m’assoir correctement« Qu’est ce qui s’est passé ? A un moment, tu as commencé à gémir puis a m’encouragé à continuer, puis tu gémissais de plus en plus fort. J’ai eu l’impression que ton bouton grossissait et durcissait sous ma langue alors tu as crié et on aurait dit qu’un liquide arrivait sur mon visage en même temps que tu as serré les jambes. »« Je ne sais pas ce qui s’est passé, c’est comme si tes coups de langues m’avaient apporté un tel plaisir que j’ai faillis en perdre conscience. C’était une sensation bizarre et merveilleuse. »« Je crois comprendre ce que tu me dis. C’est un peu ce qui m’est arrivé hier quand j’ai vu ta culotte puis quand je t’ai vu faire pipi. »« Quand tu jettes ce liquide blanc ? C’est ça ? »« Oui » Fît il en hochant la tête.« Et là tu as toujours mal ? »« Oui »« Est-ce que je peux sentir aussi ? »  « Ben… euh… oui, si tu veux »
Alors, il se releva et se rapprocha de là ou j’étais. Son sexe était toujours bien droit pointant vers le haut. Il arriva à quelques centimètres de mon visage moi toujours assise. Je pris son sexe de la main droite et l’emmena devant mon nez. Je sentis une odeur différente de celle que dégageait mon sexe, mais elle n’était pas identifiable. Ma main faisait maintenant le tour de son sexe et j’entamais machinalement un va et viens. Je regardais un sexe de prêt pour la première fois. Je voyais cette petite fente par laquelle les hommes devaient faire pipi. Elle était au sommet du gland lisse et dur protégé par ce bout de peau et suspendue à cette hampe qui tout aussi dure palpitait sous ma main. « Aïe, ça me fait mal » dit-il « Attends ! » dis-je.Une goutte était apparue par la petite fente. D’un doigt, j’essayais de la prélever mais je ne pus que l’étaler sur le dessus. Mon doigt passa ainsi plus facilement et dégagea ainsi une seconde goutte que j’étalais de la même façon par effleurement. Son gland ainsi lubrifié luisait à mon regard et je ne sais ce qui me pris, j’avançais ma bouche. J’en sortis ma langue et la passa sur son gland. Je ne sentis rien de spécial, ni au gout ni à l’odeur. Je recommençais une fois puis deux. Puis, je fis comme avec une glace, je léchais l’ensemble de tous les côtés. Mon cousin lâcha un gémissement:« humm... C’est bon ce que tu me fais. J’ai moins mal comme ça »
Mes coups de langues avaient imprégné son sexe de ma salive. Peut-être avait-il besoin d’être humidifié pour que tout se passe bien. Alors, me rappelant ce que j’avais vu avec mon frère hier et mon oncle tout à l’heure, je pris mon courage à deux main et approcha encore plus son sexe de ma bouche. Cependant, une appréhension me prenait. Prendre un sexe dans sa bouche ?Cela m’aurait dégoutté encore deux jours avant. Et j’aurai fustigé quiconque m’aurai dit que cela pouvait apporter du bien. Mais tantine l’avais fait sans aucune peur ni gène. Elle l’avait même fait jusqu’à ce que mon frère « vienne » d’après son expression, dans sa bouche. La mariée l’avait fait aussi après que mon oncle soit « venu » à l’intérieur d’elle-même. Cela ne voulait-il pas dire qu’il n’y avait rien à craindre ? Cela devait apporter aussi le même plaisir que j’avais pu avoir quelques instants auparavant.Je fermais les yeux et ouvrit ma bouche puis avança le membre dont je ne pris que le gland. Cela avait maintenant un petit gout avancé et salé. Son sexe n’étant pas aussi grand que ceux de mon oncle ou mon frère, je gardais le gland en bouche et joua avec ma langue dessus.
« ouahhh ! » fit mon cousin « quelles sensations tu me fais »Je continuais quelques instant et à certains moments, une note un peu plus salé m’arrivais de sa fente. Peut-être ces gouttes vues un peu avant que je ne le prenne.« Oh oui, comme ça fait du bien. Continue s’il te plait… » Enhardie par ses encouragements et voyant que je pouvais y arrivé facilement avec lui, je commençai à avaler un peu plus son sexe. Je me l’enfonçais ainsi de deux ou trois centimètres. Mais ma langue comme ça ne pouvait jouer aussi facilement qu’avant, alors j’entrepris de le comprimer dans ma bouche et ne sachant vraiment pourquoi, je me mis à l’aspirer.« Oh oui… Tu me fais du bien… Ouahh c’est chaud à l’intérieur de ta bouche… Continue … » Je me rappelais aussi ce que j’avais vu avec tantine et mon cousin. Alors d’une main, je tins fermement le sexe de mon cousin et je me mis à monter à descendre sur son membre. J’avais l’impression qu’il commençait à prendre du volume dans ma bouche. Je ne pouvais plus trop jouer avec ma langue mais continuais d’aspirer en respirant par le nez. « Oh oui…. C’est encore meilleur comme ça… continue, tu me fais du bien… je sens que ça commence à monter. »De quoi parlait-il ? De son jus blanc ? Malgré toutes mes questions, je me refusais encore à recevoir ce jus dans ma bouche. Mais comment faire ? T. m’avait apporté tellement de bien avant avec sa langue que je ne pouvais pas ne pas aller jusqu‘au bout.
Encore à mes réflexions, je continuais mes mouvements de la bouche mais aussi de la main accentuant ses gémissements quand je sentis son sexe grossir tout à coup sous ma main et sentir quelque-chose remonter de la base pendant que mon cousin grognait maintenant sa jouissance. J’eu juste eu le temps de reculer mon visage pour voir jaillir une première saccade vers ma bouche et que je pris en pleine face sous mon nez. Je détournais rapidement son membre sur le côté pour voir jaillir encore deux ou trois saccades qui se perdirent sur le tronc avant que le reste de son jus blanc ne s’écoule sur son sexe et ma main. Tout le temps que cela prit, T. donnait des coups de reins à chaque saccade dans ma main en continuant de grogner.
« Oh C. … si tu savais... j’ai jamais rien ressenti de pareil… Ca n’avait rien de pareil que tout à l’heure… c’était mille fois mieux… » il disait cela en gardant les yeux fermé tout à son bonheur. Le jus que j’avais reçu sous le nez commença à couler sur mon menton. J’étais tétanisé, ne sachant pas quoi faire de ma main libre, l’autre semblant soudée à son sexe. Par reflexe je sortis la langue pour enlever ce qui coulait à travers mes lèvres. J’eu une impression de dégout quand je réalisais ce que je venais de faire mais trop tard. Ma langue avait happé un peu de ce jus blanc. Je voulus le recraché, mais son gout me surpris. Un mélange un peu visqueux au gout bizarre mais pas repoussant et un peu salé. Je ressortis ma langue pour en reprendre un peu. Ma tante n’avait-elle pas tout avalée prouvant qu’elle aimait ça ? Et la mariée s’était proposé spontanément pour le faire montrant qu’elle aimait aussi. Au final j’avalais ce que j’avais pris. Je me surpris à aimer aussi. Mon cousin avait r’ouvert les yeux et me regardait.« Désolé, je n’ai pas pût me retenir. C’était trop bon et j’étais incapable de dire un mot pour te prévenir. Mais ! Qu’est-ce que tu fais ? » De ma main libre, je ramassais ce qui coulait de mon menton et le portait à ma bouche.« A vrai dire, c’est pas trop mauvais ce jus » « Vraiment ? »« Ben oui ! » je finis par détacher ma main de son sexe mais il y en avait trop dessus pour que je le lèche. « Comment on va se nettoyer maintenant ? »« T’inquiète pas, j’ai prévu des mouchoirs » il sorti un mouchoir en coton qu’il avait dans sa poche et me le tendit « tu me le repasse après ? » on s’essuya ainsi avec le mouchoir qui fut vite remplit.
A suivre…
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