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Initiation au monde de O

Chapitre 2

Divers
Chapitre 2 : O prend ma vie
Les semaines passent, O, alias Ninon ma cousine, est la personne la plus importante au monde à mes yeux. Nous parlons déjà mariage, marquage indélébile, anneaux. Si le tatouage d’une femme ou la pose de piercing étaient chose encore rare, cela se faisait pourtant beaucoup, mais dans une discrétion absolue.
On est fin juin, déjà la chaleur se fait plus accablante. Un courrier nous annonce la prochaine fête de famille. Elle se déroulera dans cette maison qui vit naitre notre libido, notre amour. Il est évident que nous acceptons. Pourtant, une chose nous préoccupe, avouer ou pas notre vie dissolue, notre vie cachée. C’est encore notre amie qui nous apporte la solution par le tatouage de ma O. Alors, O nue, on cherche l’endroit de son corps qui pourrait porter ma marque, mon nom, mon titre de propriété. Le pubis, oui, excellent endroit peu visible, un sein, pourquoi pas, mais plus facilement vu. Une épaule, l’idée est intéressante, là, tout le monde, toute la famille pourra le voir. Créer un scandale, l’idée nous ronge, nous envahit. Oui, un cousin aimant sa cousine, si c’était chose courante il y à une époque pas si lointaine, aujourd’hui, c’est jugé immoral. Mais l’idée fait son chemin sinueux. L’envie devient plus forte que la raison. O et moi, nous savons qu’une personne ne dira rien de mal à notre union, ma sœur, ma grande sœur. Je sais, par des amis communs qu’elle aime être aimée de partout et en tout lieu, comme nous. Parfois, je me demande si elle a lu Histoire d’O.
De toute manière, ce livre, la toute première version restera à sa place. Dans la valise, nous y mettrons une édition plus récente du livre. O se montre un peu trop impatiente, ce vilain défaut qu’elle a, sa nervosité qui lui joue de sale tour. Je me dois de corriger cela et sur le champ. Je lui désigne la porte du fond. Alors, nue, elle s’y dirige, elle sait qu’elle a fauté en se montrant impatiente, nerveuse. Je la penche sur ce chevalet, lui lie ses chevilles, ses mains aux pieds de cet engin de souffrance. Je choisis avec soin quel instrument prendre. Une badine de cuir fera l’affaire. La faute n’est pas grave en soi, mais je ne peux la laisser passer. La petite roue tourne, elle va de cinq à cent. S’il n’y a qu’un cent, le reste se divise en cinq, dix, vingt etc. chacun de ce ces nombres se retrouvent plusieurs fois sur la roue et plus il est bas, plus il y est souvent représenté. Le dix, ce sera dix fois.
Je suis derrière O, ma main caresse, sublime ce corps. Le cuir de la badine passe et repasse sur cette croupe très belle. Je frappe, je caresse, elle comptabilise, ainsi de suite. Cependant, sa position, une fois son supplice terminé, me mets en transe. Je dégaine, m’enfonce, me noie dans ce corps offert. Et cette bouche qui ne cesse de gémir, de m’encourager à y mettre toute ma puissance. O sait que je vais défoncer, oui, je n’ai pas d’autre mot que celui-ci. Je vais et viens avec force, puissance. Je sais qu’elle est sur le point de s’envoler vers le septième ciel. Alors, pervers, je reste un moment sans ne plus bouger en elle. Et je recommence autant de fois qu’il me plait avant de libérer cet orgasme de cette prison corporelle. Alors, c’est le feu d’artifice, l’explosion de ma O en milliard de petits orgasmes qui rebondissent contre les parois de son corps avant de s’échapper entre les lèvres de ma O. C’est dans ces moments que je ne suis plus son Maître, mais juste son esclave. Alors, presque masochiste, je recommence.
Je recommence jusqu’à ne plus pouvoir me retenir tellement ma souffrance devient trop grande. C’est alors un autre orgasme qui sort de ce corps, de ma O, plus puissant encore, si violent qu’il nous terrasse, nous vide.
Dans le bain, elle me lave alors, seule sa bouche est autorisée à me laver entièrement quand elle est punie. Je sais qu’elle adore, son journal intime me le raconte si souvent. Tout se passe dans un silence presque religieux, seul mes onomatopées de plaisir brisent ce silence, ceux qui indiquent à O que je vais jouir sous peu. Je lui remplis sa bouche, salis son visage, sa chevelure de ce trop-plein de plaisir contenu dans mon corps.
Dans notre lit, son corps nu, entravé, j’use et abuse de son corps, de tout son corps, de tous ses orifices. Parfois sanguinaire, sauvage, parfois tendre, doux, amoureux, je jouis, elle jouit, nous jouissons. Cela prend des heures pour nous dessécher de toutes nos forces, de toutes nos réserves. Mais demain, on recommencera, c’est certain !
C’est le jour, notre amie nous attend dans un restaurant pour un déjeuner. Je sens O fébrile, excitée, à la limite d’être fessée, là, dans ce lieu public et ce ne serait, de loin, pas la première fois. Voyant ma main menacer, mon regard furibond, elle s’apaise. Ensemble, notre trio traverse la rue, pénètre dans ce temple du tatouage, du piercing. Je désigne l’épaule côté cœur, le pubis et le sein gauche de ma O. je désigne encore le creux de ses reins, pour un tatouage qu’ignorait encore O. Chacun de ces lieux portera une partie de ma marque, de mon nom, de mon titre de propriété. Cela étant, si la vie devait nous séparer, il serait simple de modifier là où mon nom est gravé dans la chair. O est nue entre les mains de cette femme qui arbore fièrement le drapeau arc-en-ciel dans le dos de sa chemise. Il est partout, même sur les murs ou encore tatouer à tout jamais sur son biceps gauche, toujours côté cœur. Ce n’est pas un canon de beauté, mais elle est loin d’être laide, très loin même. Je sais qu’elle n’apprécie pas ma présence et pourtant notre amie la rassure sur ma manière de penser. Cela étant, elle ne semble pas rassurée. Alors, notre amie va tirer le rideau, nous cachant de l’humanité. Elle relève sa jupe, je viens me mettre à ses pieds pour dévorer son sexe déjà bien humide. Alors cette tatoueuse comprend que je la respecte comme je respecte ma O. O qui subit déjà les nombreuses piqures qui vont marquer son corps de mon empreinte.
L’épaule est presque terminée, il ne manque que la couleur. La tatoueuse s’attaque sein. « Usez de son corps comme bon vous semble comme bon vous semble. » lui dis-je. La femme me regarde au moment où mes lèvres se soudent à celle de ma O. Notre amie montre le chemin à la tatoueuse. Pendant que mon titre de propriété se grave un peu au-dessus de ce sein, je tiens la main de ma O. Je voudrais démontrer à cette femme qu’un homme peut aussi faire jouir une lesbienne, mot que je n’aime pas, tout comme gouine, je voudrais un mot plus poétique sans ne l’avoir encore trouvé. Du sein, transpirante, elle s’en prend au pubis alors que j’éponge son front. Mon prénom et mon nom prennent forme. On se regarde, elle se redresse, pose sa main sur mon épaule, me colle sa bouche sur le mienne. Nous nous embrassons, baiser tendre s’il en est, respectueux de l’autre. Elle met fin à ce baiser, me fixe encore : « T’es bien le premier mec que je respecte ! » Ce sont ses mots, brute de brute, tel un bucheron sortit de sa forêt. Ils ont l’art de me plaire sans que je ne m’autorise à la chercher, à la provoquer. Elle sait que j’ai une méchante érection, c’est de voir ma O souffrir pour moi, son Maître. Le pubis est une région tellement sensible, comme chez l’homme du reste. Parfois, je prends un peu de pommade que je suis prêt à étaler sur cette petite partie de son corps. Un signe de la tatoueuse et je répands cette pommade en une bonne couche. Très vite, le visage de O se détend, devient serein. Qu’il est jouissif de voir une femme se faire la porteuse de sa soumission gravée sur son corps. Je commence à panser ce pubis non sans l’embrasser tendrement, tout comme je le fis sur son sein, son épaule.
Et pourtant, son supplice n’est pas encore terminé, il manque la petite flèche dans le creux de ses reins, une flèche avec ces mots : « Entrée des artistes » Cela veut tout dire pour qui connait. Si cela vous échappe, cela signifie qu’aucune brute épaisse n’y est tolérée de près comme de loin. Trois heures durant, avec quelques courtes pauses, O subit les aiguilles qui encrent sa peau à tout jamais. Cela suffit pour aujourd’hui, il n’est pas loin de midi quand la tatoueuse protège les marques apposées sur le creux des reins de ce corps divin. Elle me recommande de bien les surveiller, de détecter la moindre trace d’infection et de la soigner au plus vite. Elle me donne des tubes de pommade. Cette fois, c’est moi qui guide sa bouche sur le mienne, elle ne refuse pas.
Sur une terrasse, d’après notre amie, c’est la toute première fois qu’elle embrassait un homme et qu’un homme lui prenait un baiser. Ma O est près de moi, collée contre mon épaule, heureuse de porter mon nom sur son corps. On reviendra, dans cinq jours, pour la couleur, cette fois.
Chaque matin, avant notre journée de labeur, je change les pansements, étale de la pommade en guettant la moindre trace suspecte. Rien, il ne se passe rien. Durant ce temps, elle n’est plus que l’élue de mon cœur et je ne suis que son amoureux. Plus de Maître, plus de soumise, juste un couple d’amoureux.
C’est le jour, on y retourne, toujours avec notre amie, direction l’antre de la tatoueuse. Le baiser qui m’accueille dès la porte passée me surprend. C’est elle et son sourire fait plaisir à voir. Sa main masculine entre mes cuisses me surprend encore. « C’est qu’il y en a derrière ce pantalon ! ». La tatoueuse embrasse goulument ma O, notre amie avant de nous entrainer dans son antre. Nue, O prend place, la tatoueuse retire délicatement chacun des pansements en m’interrogeant sur d’éventuelles infections. Mais rien, tout est propre. Elle se retourne, m’embrasse encore, à croire qu’elle est amoureuse. Elle commence à colorier les tatouages. Avec notre amie, on en profite pour une ou deux courses. Notre absence ne dure qu’une vingtaine de minutes. Le temps d’acheter une robe qui dévoilera les tatouages, enfin, pas tous, les plus intimes seront et resteront caché du monde.
Dans la boutique de la tatoueuse, un gémissement fait plaisir à entendre. Un coup d’œil à travers un coin du rideau, je souris, pousse notre amie vers la porte d’entrée. Deux femmes s’aiment, je ne veux pas les déranger. C’est en face que l’on se réfugie, notre amie et moi. Un homme survient, il baise la main de notre amie, me serre à peine la mienne. « C’est mon toutou » M’annonce notre amie. Et l’homme s’agenouille, posant sa tête sur la cuisse de sa Maîtresse. La quarantaine vigoureuse, il m’apparait vite comme très sympathique. Seulement, son comportement commence à échauffer les regards, les dires de certain. Notre amie le fait assoir sur une chaise, près d’elle. De la vitrine, une femme magnifique m’apparait, elle se nomme O. je la rejoins, elle m’entraine derrière, la tatoueuse finit de ranger et nettoyer son matériel. « Merci, t’es un mec bien ! » me dit la belle tatoueuse. Je caresse sa joue : « Tant que tu as été heureuse avec O, c’est déjà un merci. Si tu as joui plusieurs fois avec elle, je suis encore remercier. Maintenant, si tu acceptes, je veux te remercier ».
Je me baisse, m’agenouille devant elle ouvre son pantalon, le baisse, abaisse sa petite culotte, hume son intimité. Je relève mon regard sur le sien. Je n’attends qu’un signal clair de sa part. Elle ne bouge pas, comme médusée. Alors, j’écarte ses cuisses et la lèche tendrement et doucement comme le furent tous mes gestes sur elle. O masse mes épaules, embrasse cette femme qui se laisse coucher sur sa table. Le pantalon tombe sur le sol, sa culotte suit, je lèche sans aucune intention de la pénétrer de mon pénis. Sauf, si elle m’encourage, m’invite à la prendre. Ses pieds nus sur mes épaules, elle peut me rejeter à tout moment. Elle n’en fera rien, jouissant déjà. Ma O s’empare de la poitrine de cette femme, la dénude presque brutalement pour téter à tout va, heureuse de la dominer l’espace de plusieurs orgasmes qui s’enchainent les uns après les autres.
Je me calme, calme O. je me relève, en remettant délicatement sa culotte en place. Je baise son pubis tendrement. Elle est encore surprise qu’un homme se montre aussi doux avec elle. Elle, la fière lesbienne à la carrure masculine, tenant fièrement l’étendard arc-en-ciel à bout de bras. Je me baisse encore, mettant son pantalon, je me redresse, la mets debout, termine de fermer cette braguette. Nos bouches se soudent avant un délectable baiser à trois. Ma O me déclare dans un chuchotement à peine audible : « Elle serait d’accord pour une nuit, Maître. »
Je regarde cette femme. J’ose une main sur son sein en mettant sa main près de ma joue. Elle sait qu’elle peut me gifler si cela ne lui plait pas. Ma caresse se fait douce, sans aucune précipitation. Je me penche, soulève ce petit pull, tète ce sein, puis l’autre. Sa gifle s’abat tendrement sur ma joue comme la plus douce des caresses. Elle me redresse, m’embrasse encore, caressant mes joues. On se sourit, ma O enfile sa robe après avoir été pansée. Je paie, glisse notre adresse, notre numéro de téléphone et un mot : « Quand tu seras prête, nous serons tes amants. »
Le moment que je craignais, le moment de quitter cette femme si certaine de son sexe, de son homosexualité, si soudainement ébranlée par un mec lambda. On s’embrasse une dernière fois. La porte s’ouvre sous ma main. Elle se referme peu après sur un visage désormais ami et amant.
En face, notre amie se lève pour nous accueillir, son soumis est déjà debout. On s’embrasse avec notre amie. Tel un bon dominant, je caresse la tête du soumis. Notre amie nous délaisse un moment. S’enfile dans la cabine téléphonique non loin de la terrasse. Je la vois fixer cette vitrine de l’autre côté de la rue. Cela ne dure quelque courte minute. Elle revient, s’assoit : « Ce soir, vous venez chez moi pour souper. » Tel un ordre, nous acceptons avec un plaisir certain.
Après quelques courses, le soumis se met derrière ses fourneaux, c’est un cuisinier, un pro et un bon aux dires de sa Maîtresse. Dans le salon, O nous dévoile ses tatouages sur l’insistance de notre amie. Un bref coup de sonnette, le soumis, nu, se presse d’aller ouvrir. Un bonsoir Maîtresse, nous apprend que c’est une femme qui arrive. Je ne la vois pas immédiatement, l’entrée du salon est dans mon dos. O montre fièrement son pubis quand une voix raisonne : « Tu ne devrais pas les montrer ainsi, c’est encore trop frais, tu risques l’infection » Notre tatoueuse est là, accompagnée d’une femme aussi jeune que O et moi. Elle est en laisse, une laisse accrochée à un anneau situé dans sa cloison nasale. Belle sublime tout comme O. Je me lève, prêt à embrasser la belle tatoueuse. Elle m’arrête d’une main sur ma poitrine. D’un geste, elle retire l’unique vêtement de sa soumise, me dévoilant un corps plus que parfait, tatouer du nom de sa Maîtresse, annelé de manière si sublime que O en tombe à genou devant le petit cadenas qui obture le sexe de cette soumise.
« C’est cela que tu veux, O ? » Lui demandais-je ? « Oui mon Maître, cela ne fera que renforcer votre emprise sur votre soumise pour n’en faire plus que votre esclave dévouée corps et âme ! » Je regarde la tatoueuse qui devine déjà toutes mes questions. Elle y répond et à toutes. Une seule me désole, trois mois pour que tout soit complètement cicatriser et sans plus aucun risque. Trois mois sans avoir de O à faire jouir, c’est bougrement long. Alors, ma tatoueuse me regarde d’un air attendri : « T’inquiète pas, si tu veux, on se partagera ma soumise le temps qu’il faut. Elle, elle n’est pas comme moi, elle est bi ! » Cela me dépasse, m’abasourdit, m’étourdit qu’elle me propose sa soumise. Sa main me prend la mienne : « Tu m’amène O demain avec une petite valise ave une semaine de fringue ! » Me dit-elle en caressant ma joue. J’embrasse son front en acceptant. Cela étant, O est surprise que je la laisse partir pour trois mois. Pourtant, je me ravise, c’est impossible si tôt. Je me retourne vers O, la regarde sans ne rien exprimer sur mon visage. « Tu devras attendre. Nous avons la réunion de famille. » O est abattue. Elle qui voulait avoir mon empreinte définitive sur son corps. Je lui enfile sa robe, la ferme, le temps de passer à table. Assise près de moi, sa main sur ma cuisse, ses yeux insistent encore. Madeleine, notre tatoueuse, explique les risques trop grand si cela se faisait dans la précipitation et, à son tour, refuse d’annelé O. Cela ne gâche pas la soirée et encore moins la nuit. Deux hommes pour quatre perles de beauté. Si le soumis ne peut contenter O, il se doit à sa Maîtresse. O est dans les bras de la soumise de Madeleine. Et nous deux, on se regarde longuement. Je ne veux pas la brusquer, surtout pas. Je sais qu’elle hésite.
Sur le balcon, je me risque à caresser sa croupe musclée. Son visage se tourne vers moi. Mes mains le prennent, ma bouche embrasse. Ses mains m’enlacent. Lentement, je l’entraine dans la chambre que notre amie nous m’a désignée. Lentement je couche cette tatoueuse, la dénude tout en embrassant ce corps qui s’abandonne petit à petit. De ses pieds que je baise, suce, je remonte le long de son corps. Je m’arrête longuement sur ce berceau de la vie, que j’honore de ma langue. Puis, sur ce nombril, lieu qui l’unissait à sa mère. Je remonte, dévoilant sa poitrine si ferme. Enfin, je baise cette bouche qui répond à mes baisers passionnés.
C’est elle qui guide mon pénis à l’orée de son saint des saints. C’est lentement que mon gland s’insinue dans cet étroit canal. Je sens le pourquoi de sa résistance. Je la fixe dans ses yeux. Sa bouche embrasse mon nez. Ses mains se plaquent sur mes fesses.
Fin du second chapitre.
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