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INITIATION PERVERSE

Chapitre 5

SM / Fétichisme
"INITIATION PERVERSE"
Suite (5)
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------De : c joelle <joelle410@hotmail.fr>À : Ph B <philb_2000fr@yahoo.fr> Envoyé le : vendredi 3 février 2013 : 23h45 Objet : RE: Correspondance privée-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
..............................................J’arrivai à l’heure prévue à la fois très excitée et inquiète. je portais une petite robe d’été, très courte et pas mal décolletée. Comme ils me l’avaient demandée, j’étais nue dessous. J’avais aussi, au rasoir Gillette, rafraichi la toison pubienne en ne laissant qu’une petite bande au dessus du sexe, allant même jusqu’à couper au ciseaux les poils trop longs. C’est elle qui m’accueillit sur le perron. Ce fut un choc: Maquillée à l’extrême dans des tons noirs et mauves, elle portait un ensemble en cuir, bottes hautes à talons, guêpière cloutée laissant apparents ses seins et son sexe. Des bas noirs à résille et sa cravache qu’elle frappait contre ses bottes renforçait son allure de dominatrice.Alors que je m’avançais, elle me stoppa d’un geste, me demandant d’enlever ma robe. Comme j’hésitais, elle fit mine de rentrer en me congédiant. L’envie était trop forte et, regardant à droite et à gauche si personne ne pouvait me voir, je m’exécutai et pénétrai nue dans la maison. Me gratifiant d’un petit coup de cravache sur les fesses, elle m’intima l’ordre d’aller directement dans la chambre.Roméo m’attendait, nu lui aussi. Il commença par me câliner, me dire des mots tendres, me caresser avec douceur. C’était la première fois qu’il agissait ainsi. J’étais surprise mais subjuguée. Il continua ainsi de longues minutes avant de m’ entraîner vers le lit. il me fit l’amour doucement, amoureusement. Je mouillais tellement que j’eus un orgasme rapidement. Je m’envolai littéralement et, je ne sais comment il m’en persuada, j’acceptai de me laisser attacher les mains aux barreaux du lit. A partir de cet instant tout changea, il se leva et appela sa femme. Quand elle rentra, je compris à son regard que ça allait mal se passer. Debout à côté du lit , elle le branlait doucement en passant sa cravache sur mes seins: - "Elle te fait bander cette petite pute! - "Tu veux qu’elle t’excite encore plus ?et à moi sur un ton sans réplique -" Ecarte tes jambes de salope!!!Et me gratifiant d’un coup de cravache à l’intérieur de chaque cuisse -"Plus!!!! et replie les!!!!! J’obéis immédiatement, craignant un autre coup , offrant sans pudeur, mon sexe humide, à leurs regards. - "Tu as vu cette moule , elle en redemande, fist la !!!!!!!!J’ignorais totalement de quoi il s’agissait , mais je compris vite quand il commença à m’introduire un doigts puis deux dans le vagin. Je remuais pour refuser la caresse mais elle me cingla les seins de sa cravache, cette fois avec violence. J’essayais donc de me décontracter le plus possible et tous ses doigts commencèrent à rentrer. Malgré la situation, malgré cette caresse en forme de viol , malgré les insanités que hurlait la mégère, un plaisir intense montait en moi. l’orgasme arrivait en même temps qu’une sensation curieuse et inquiétante. Je criais: - "Arrête je vais faire pipi
mais cela sembla l’exciter encore d’avantage et en même temps qu’il enfonçait sa main, l’orgasme se déclencha , en même temps qu’un jet puissant me sortait du vagin. - Regarde là, c’est une femme fontaine. Putain!!!!, salope!!!!, tu vas tout dégeulasser!!!!Elle accompagna ses invectives de 3 ou 4 coups de cravache sur le haut des cuisses. Cela me fit horriblement mal et je me mis à pleurer. Au lieu de les calmer, mes larmes semblèrent décupler leurs ardeurs. Elle m’attrapa les jambes les relevant en les écartant -"Punit la cette pouffiasse, fait lui le cul à sec.Après quelques tentatives, de plus en plus brutales, il réussit et s’enfonça en moi. Je crus défaillir tant la douleur était forteNe pouvant me cravacher, elle me mordait les seins en excitant son mari. Cela eu un effet bénéfique car il éjacula rapidement. Ce n’était hélas pas fini. - "Aide moi à la retourner je vais la baiser à mon tour.J’étais à demi consciente. Ils me mirent à genoux , m’attachèrent les mains au lit et les jambes à une sorte de barre qui me laissait écartelée.Ils me baisèrent pendant plus d’une heure , suçant ou léchant l’un quand l’autre me pénétrait (elle portait maintenant sa ceinture god et en utilisait un autre qu’elle maniait à la main).Je dégoulinais de lubrifiant car au moins, ils ne le faisaient plus à sec....Je devais aussi dire des insanités..dans le genre: défonce moi!..encore! je suis ta pute! je suis votre esclave! etc..Quand ils arrêtèrent (sans doute rassasiés et épuisés ), j’étais à moitié inconsciente , je n’avais pas eu d’orgasme, une douleur incroyable me parcourait (je pense que j’étais déchirée, car j’en ressenti les conséquences pendant 15 jours). Ils redevinrent alors très gentils. Elle me lava, me passa du lait, des crèmes, pour apaiser mon cul en feu. Elle me caressait, m’embrassait , me câlinait. Mais cette fois, contrairement à la veille, .je n’avais qu’une envie: rentrer chez moi....ils me congédièrent avec des paroles qui me glacèrent: -"Tu ne dis rien car on t’a enregistrée et on a pris des photos ...tes parents, ton lycée..(je ne sais plus quoi)... recevront tout ça si tu fais la conne!!!...tu reviendras quand on te dira!!!!!!...j’ eu du mal à enfiler ma robe et encore plus à marcher (j’habitais à 500 mètres), parfois je m’arrêtais, m’ appuyant après un mur: traumatisée, bafouée.......... en larmes
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Date: Sun, 04 février 2013 :1h12 +0000De: philb_2000fr@yahoo.frobjet: Re: Correspondance privéeA: joelle410@hotmail.fr-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Ma très chère Joelle
Je comprends mieux maintenant votre réticence à me raconter ce que je ne croyais être qu’une banale "Histoire de cul". Ces deux pervers étaient des adeptes du BDSM et vous avez du être une proie facile pour eux, obnubilée que vous étiez par ce fourbe personnage qui n’était que le rabatteur de cette infâme mégère.Y a t’il eu à votre connaissance d’autres jeunes filles qui sont tombées dans leurs griffes?Comment êtes vous sortie de cet enfer?Tendres bisesPhilippe

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------De : c joelle <joelle410@hotmail.fr>À : Ph B <philb_2000fr@yahoo.fr> Envoyé le : Dimanche 5 février 2013 : 16h36 Objet : RE: Correspondance privée-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Mon cher Philippe.Je n’ais pas eu connaissance d’autres filles qui succombèrent comme moi (mais vous comprendrez pourquoi à la fin.)Je vais me remettre à l’écriture et vous conter rapidement le dénouement bises
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